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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle

Chapitre 3

SM / Fétichisme
Le dimanche matin, les deux femmes déjeunaient. L’ambiance était détendue, gaie voir joviale.Odile aborda alors le sujet de leurs jeux. Jessica l’écoutait silencieuse.Elle parlait de son envie de continuer, d’aller plus loin.Elle souhaitait une obéissance sans faille de la part de sa chienne, mais précisa qu’en retour, la bête serait traitée avec déférence, câlinerie, respect mais aussi fermeté.Odile souhaitait un animal de compagnie docile et acceptant tout ses caprices, Sa Roxane serait-elle désireuse de continuer l’expérience, mais aussi serait-elle à la hauteur de ses espérances.Elle s’interrompit et regarda Jessica droit dans les yeux, attendant sa réponse.
La jeune fille, resta sans rien dire un long moment, c’était un choix important à faire. Odile lui ouvrait deux portes, l’une vers la sortie, l’autre vers une nouvelle vie.Elle aimait être bousculée, punie, dominée, et là le choix était simple, accepter et se laisser faire, supporter sans faillir d’être driver, discipliné, asservie... mais aussi d’être aimée.« - Oui, je le veux, oui je veux être ta chienne, ton petit animal fidèle et amoureux ! ».Odile jubilait intérieurement, maintenant, le temps était venu d’instaurer quelques règles, quelle énonça précisément.
Selon les travaux de Pavlov, Odile imposa que dorénavant Jessica ne devienne chienne qu’au son d’une clochette qu’elle agiterai selon son bon plaisir.Elle devrait alors cesser toute affaire cessante, mettre ses accessoires et venir se poster à quatre patte dans le salon, afin que sa dominatrice se charge de lui poser sa queue et de lui mettre sa laisse.Les brimades furent abordées sans tabou,pas de pâté pour chien dans la gamelle, mais le même repas que la maîtresse,pas de punition excessive sans raison,pas d’aboiements imposés, mais interdiction des paroles humaines pendant le jeux.En contrepartie Odile devra veiller :à l’éducation de sa chienne,à sa bonne santé physique, morale et mentale.elle la toilettera, la bichonnera,la sortira pour qu’elle fasse ses besoins,Veillera à son dressage et à son éducation canine.Le reste du temps sera à la discrétion de chacune des deux parties et soumise à leur approbation réciproque.
Le statut d’animal de compagnie ne devra pas interférer sur les activités professionnelles de la coiffeuse, ni sur son entourage.
Jessica écouta avec attention, et ne trouva rien à redire.Odile lui tendit une feuille de papier reprenant chacun des points.Jessica relu le contrat de soumission puis le signa.
Odile Mercier se leva, et vint embrasser tendrement son officielle soumise, elle lui caressait tendrement les cheveux, la joue, et lui murmura dans un souffle :« - Tu verras... je vais bien m’occuper de toi ! ».
Elle se dirigea vers le buffet de la salle à manger, ouvrit le tiroir pour y ranger le contrat, puis sortit une cloche, et la fit teinter.
Au tintement Jessica se leva sans mot dire, posa ses oreilles, son collier, se mit quatre-pattes et se positionna au pied de sa patronne.Odile lui enfila sa queue dans le cul, puis lui attacha la bride, symbole de sa soumission acceptée.Elle la caressait, lui marmonnant des « c’est bien ma belle ! », « tu es une bonne chienne ! ».Jessica à ce moment su que dorénavant elle devenait officiellement Roxane.
Odile brossa le dos et les flancs de Roxane, la toiletta, la parfuma, puis la sortit dans le jardin pour qu’elle y fasse ses besoins. De retour dans la maisonOdile lâcha l’entrave qu’elle avait gardée en main durant tout le temps de la promenade.Elle ouvrit son peignoir, elle était toute gainée de latex noir, entres ses jambes le gode chien de la veille, déjà en place, bien calé dans son minou, l’autre extrémité prête pour la saillie...
Elle reprit en main la laisse de sa chienne, la tendit fermement et lui intima cet ordre simple :« - Pas bouger ! », et Roxane à quatre-pattes ne bougea plus.
Odile enfila alors un masque de chien, une parfaitement reproduction de la gueule d’un Doberman.Lentement, elle se plaça contre l’arrière train de sa chienne, et de ses avant-bras lui serra vigoureusement la taille et la pénétra.
Elle la prenait sans ménagement, haletant dans son cou, elle lui pilonnait le vagin, poussant tout au fond de son orifice sa mouille abondante.Odile gonfla le nœud canin, pour élargir la chatte de sa soumise et repris sa copulation.Roxane en transe, se mit à gémir, comme un animal, elle poussait de petit jappement qui trahissais son plaisir tant physique que mental.Elle était chienne, chienne en chaleur, chienne fidèle, chienne obéissante et soumise, pendant que celle qui avait à présent toute ascendance sur elle, la prenait comme un chien baise sa femelle.Odile la saillie pendant une bonne heure, et leurs orgasmes ininterrompus se succédèrent sans faiblir.
La maîtresse relâcha son emprise et se dégagea, elle enleva son godemiché, puis alla s’asseoir sur le petit canapé du salon.Roxane allongée sur le sol reprenait quelques forces.
Odile commença doucement à se caresser, puis lorsqu’elle eut bien répandu toute sa mouille sur son intimité, elle colla fermement sa main sur sa chatte, ferma les yeux et lâcha contre sa main plaquée un petit jet d’urine, qu’aussitôt elle étala sur ses lèvres, son clitoris.Elle recommença son petit jeux, vidant peu à peu sa vessie, s’enduisant de pisse chaude, partout, sur son ventre, sur sa raie, sur son anus, ou sur ses seins.Roxane la regardait faire, elle attendait la bave aux lèvres le signal, qui ne tarda point.
« - Viens ! Viens lécher maman ».Et la chienne docile, sans le moindre doute, se précipita pour nettoyer de sa langue son adorée.Une fois sa besogne achevé, Odile la fit s’allonger avec elle sur le sofa, la chienne exténuée mais repue, la tête posée sur les cuisses de sa dominatrice finit par s’endormir.
Odile la cajola longuement, avec douceur, avant qu’elle même ne finisse par tomber dans un profond sommeil, jusqu’au lundi matin.
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