En ce début de semaine Jessica se préparait pour aller travailler, elle se maquillait nue, assise dans la salle de bain.Odile arriva et la fit se lever, elle inspecta sa chatte, joua un instant avec les anneaux rivetés sur ses lèvres, tirant dessus pour distendre la peau de sa petite chatoune.Elle s’agenouilla devant le pubis de la coiffeuse, l’embrassa gentiment, puis elle sortit de la poche de sa robe de chambre, un petit cadenas chromé.Elle l’ouvrit, le plaça dans les bagues pubiennes et le referma.« - C’est moi qui dorénavant gère tes saillies ! », déclara t-elle solennellement. Elle enfila alors la clef sur une chaîne et l’attacha à son cou.Elle se redressa, et s’excusa en précisant qu’elle n’avait pas pensé à prendre sa clochette, et elle tendit son visage vers la bouche de Jessica.La jeune fille sortit sa langue, et lécha tendrement la figure de sa maîtresse. Les deux femmes se quittèrent, chacune repris le chemin de son travail.Jessica tout comme Odile repensa à ce week-end, à toutes ces saillies, à tout ce plaisir.Jessica profitait dès que cela lui était possible, de la salle de bain de ses clientes pour relever sa jupe, et comme elle ne portait pas de culotte, elle restait là, face au miroir à contempler son minou cadenassé.Pourtant il eut été facile pour elle de s’affranchir, une bonne pince coupante et elle retrouvait sa liberté.Le verrou étirait ses lèvres vers le sol, distendait la peau de sa chatte, mais Jessica trouvait cela ravissant et si excitant.Elle avait envie de se caresser, mais c’était maintenant à sa patronne de le faire, ou à l’autoriser à se toucher. Odile, elle était dans le même état d’esprit, elle recevait sa clientèle dans sa boutique, mais dès qu’elle était seule, elle sentait ce manque monter inexorablement en elle.Sa chienne lui manquait déjà.Alors, dès qu’elle avait un instant de libre, elle surfait sur le net à la recherche d’idées, de conseils, d’informations ou de gadgets.Rien ne semblait pouvoir étancher son envie de retrouver sa petite soumise.Odile attrapa son portable et tapota sur les touches de son clavier un petit SMS à l’attention de Jessica :« La cloche d’airain aimerait tant retentir ce soir !, ??? <3 ».Le message trahissait son émoi, mais aussi ses doutes, sa crainte de la perdre.La maîtresse n’était rien sans sa soumise.
Elle hésita un long moment, puis au bout d’une heure, elle se décida à l’envoyer.Jessica reçu le message, et lorsque sa cliente du moment s’extasia devant le grand sourire qui illumina son visage, elle s’isola un instant et envoya sa réponse :« Oui Maîtresse, la cloche pourra retentir ce soir... Je vous <3, Roxane... ». A la fin de la journée, Jessica se précipita chez Odile, qui l’attendait déjà, debout sur le pas de sa porte.Elle s’embrassèrent longuement, sans honte, sans craindre un instant d’être surprise par un passant, ou un voisin.Jessica attrapa la cloche et la tendit à Odile, et se précipita à l’étage pour ce préparer, dans la chambre.Sur le lit, la coiffeuse découvrit une tenue en imitation pelage de chien, d’un noir satiné, le poil était court et brillant.En la tendant devant elle, Jessica fut subjuguée et s’empressa de la passer. La toilette était magnifique, la sensation à porter délicieuse, la matière extensible collait au corps comme une seconde peau, la fourrure rase, luisait sous la lumière, c’était lisse et doux.Sur le devant deux larges ouvertures laissaient effrontément sortir les seins, le bas était également découpé, pour laisser apparents et accessibles le minou et les fesses.Il y avait aussi des petites bottines et des longs gants, en forme de pattes de chien, avec leurs petits coussinets roses.La jeune fille les enfilât immédiatement, et ces simples accessoires finissaient avantageusement la transformation.Odile avait pensé à tout, et avait acheté un jouet en caoutchouc, en forme de gros nonosse rose vif, le modèle qui fait pouic-pouic quand on le mordille. Roxane descendit alors au salon le joujou dans la gueule, et se plaça à côté de son Odile adorée. Elle attendrait qu’elle lui pose sa queue aux tréfonds de son fondement, et qu’elle lui passe sa laisse, pour enfin pouvoir aller dehors, se soulager... Elle qui se retenait en prévision de leurs réunions, depuis qu’elle avait reçu le message de sa dominatrice. Odile, soulagée, pu enfin sortir sa chienne.Elle la regarda pisser puis déféquer.Elle ramassa consciencieusement ses crottes, la promena longuement dans le jardin, jouant longtemps avec elle, lui lançant son os rose pour qu’elle le lui ramène à ses pieds.Le soir tombait, elle lui posa ses gamelles sur le sol et la regarda manger et laper son eau.Puis Odile alla s’asseoir sur le canapé pour regarder la télévision, la chienne couchée à ses pieds. Vers vingt et une heure, Odile Mercier se leva, elle attrapa le collier et Roxane fut conduit dans une salle qu’elle ne connaissait pas.La dominante s’était installé un petit donjon entre ambiance fétiche et cabinet de toilettage canin.Odile lui désignât une sorte de gros banc capitonné, haut de 50 centimètres.Sur le dessus, un énorme godemiché en forme de phallus de chien était fixé.Odile Mercier fit s’installer sa chienne à quatre pattes sur le siège.Elle fit entrer le gode dans le sexe de Roxane, puis régla la hauteur pour qu’elle fut maintenue en place sans pouvoir bouger, en appui sur ses bras et sur ses genoux.Odile posa une sangle sur la taille de sa bête quelle fixa bien serrée sous le cheval d’arçon. Roxane était parée. Odile appuya sur un interrupteur, et la bite de chien se mit à vibrer dans le con de la docile.Au bout d’un moment, Roxane sentit le knot se gonfler dans son ventre. La sphère atteignit une taille imposante, et Roxane subissait sans broncher sa première leçon de dressage.Elle ne pouvait pas bouger, de toute façon, pour rien au monde elle ne se serait dégager de cette délicieuse emprise.La jouissance montait dans son con distendu, mais l’imagination d’Odile était sans limite. Elle alluma l’écran plat de la télévision placé en face de son animal de compagnie, et démarra une vidéo.C’était un florilège de photos et de films montrant des chiens et des chiennes en plein accouplement, les saillies se succédaient sans discontinuées.Parfois se mêlait d’autres images plus personnelles de femmes et de leurs chiens jouant, s’embrassant, de chiennes aimantes léchant leur maîtresses.Odile avait même rajouter régulièrement un petit court métrage d’elle, où elle adressait des mots tendres à son petit animal, des « je t’aime ma chienne chérie, je t’adore ma chienne adorée »...Roxane était maintenant complètement accaparée par la séance, toute cette tendresse mêlée à toute cette bestialité, les chiennes en chaleur, collés à leur mâles, les caresses des maîtres, leurs mains sur les poils soyeux, les animaux fidèle, obéissant, les flots de sperme coulant... et Odile en filigrane qui l’encourageait, la motivait à devenir enfin son doux animal de compagnie. Roxane hurla de plaisir, ce qui eut pour effet de lui gicler dans son vagin déformé, une quantité importante de liquide chaud. Toute la semence expulsée la remplit, et resta emprisonné dans son ventre rendu hermétique par le knot gonflable.Odile avait habilement installé un petit microphone relié à un ingénieux système qui selon la fréquence des cris strident de la chienne déclenchait une éjaculation de faux sperme, grâce à un réservoir dissimulé dans l’assise. Odile à genoux, la caressait, veillant à ce qu’elle ne quitte pas l’écran des yeux, la cajolant, l’embrassant, lui flattait les fesses... et souvent elle approchait son visage du sien pour pouvoir se faire amoureusement lécher. Roxane hypnotisée par la projection, subit le traitement pendant deux bonnes heures, durant lesquelles le knot se dégonflait, pour reprendre ensuite sa taille maximum.Deux heures d’éjaculations, de vibrations, de vagin remplis, débordants, dégoulinants, d’images de chiennes en chaleur, de mâle bien montés, vigoureux, excités... mais aussi son Odile chérie, là, dans le film mais aussi à ses côtés, la choyant sans faillir, la stimulant sans relâche. Cette nuit là, Roxane dormit encore dans le lit de sa maîtresse.
