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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle

Chapitre 8

SM / Fétichisme
Odile revint une demie heure plus tard, elle portait une jolie jupe plissée blanche, un petit chemisier blanc à dentelle, au travers duquel pointaient ses tétons, incontestablement elle ne portait pas de soutien-gorge.Sa coiffure était parfaite, et elle laissait derrière elle un délicieux parfum capiteux.
Roxane percevait en elle de la fébrilité, mais que lui arrivait-il, que préparait-elle?
Roxane restait là, docile, sur le carrelage.Elle ne bougea même pas une oreille tout le temps de l’attente.Soudain on sonna à la port.
Roxane fut prise de panique?Que faire ?Ou se cacher ?
Mais Odile veillait au grain, elle sentit l’émoi de son animal." - Pas bouger ! ", cria t-elle, et elle partit ouvrir.
Elle revint quelques instant plus tard en compagnie d’une ravissante rousse d’à peine vingt cinq ans.La ressemblance entre les deux femmes était frappante, mais qui était ce ?
" - Voici donc ta fameuse petite Roxane, maman ?, bravo, cette chienne à l’air bien dressée..." déclara la jeune fille en s’approchant au plus prêt, et elle commença à lui triturer les mamelles, et à lui tirer les pointes.
" - Blandine ! Ne l’embêtes pas, elle te connaît pas encore ! ", et les deux femmes s’installèrent au salon pour y prendre l’apéritif, laissant la chienne au milieu de la pièce, sans un regard, comme si elle n’existait plus.
Roxane comprit, sa souveraine venait de lui faire le plus beau des cadeaux, en la présentant à sa fille, elle venait de la faire entrer officiellement dans son intimité, après tout ces longs mois de dressage.La chienne qu’elle était devenue n’était plus cachée, Roxane faisant maintenant partie intégrante de la famille.

Qu’importait alors qu’on ne lui accorde momentanément plus aucune attention, c’était cela aussi la vie d’un chien, attendre patiemment le retour d’affection de celle à qui on appartient.Allongée à même le sol, Roxane les regardait manger, boire, les écoutait discuter, se raconter leur vie et rire...
Parfois, Blandine, lui lançait un gâteau, et invariablement Odile levait les yeux au ciel, comme si sa fille allait tout défaire l’éducation de sa chienne, elle finit par lâcher:" - Arrêtes, tu vas me la rendre obèse", et la fille d’Odile riait et se moquait de sa mère et de son attachement à son animal.
Blandine enlaça sa mère, et l’embrassa sur la bouche." - Tu m’as manquée ma petite maman ", et Odile acquiesça du regard et reposa ses lèvres sur celles de sa fille.Leur relation allait bien au delà des standards familiaux, elles se galochaient maintenant sans pudeur devant Roxane, se caressaient avec ferveur, et finirent par se donner l’une à l’autre sur le canapé.Quand Odile fut occupé à lécher le minou de sa fille, Blandine fixa Roxane droit dans les yeux.Son regard sans équivoque lui disait, regardes où tu es et tiens bien ton rang, ici tu n’es rien d’autre que la chienne de la maison...
Mère et fille continuèrent leur caresse sur le sofa, puis dans le lit à l’étage, et Roxane resta docilement à sa place, lovée dans le panier de la chambre, à contempler en silence leur ébats.Mère et fille s’unir sans pudeur sous les yeux de la canine et s’endormir enfin.
Blandine se leva bien tôt le lendemain matin.Elle s’empressa d’aller bien vite aux toilettes, Roxane la suivit timidement.Elle ne savait pas encore tout à fait comment elle devait se comporter avec la fille de sa patronne, alors prudemment elle restait en retrait.Elle demeurait là, dans l’encadrement de la porte des WC, attendant un geste, un sourire, un appel.Blandine devant elle, urinait sans honte, les flots de pisse qui coulaient de sa vessie faisait un bruit épouvantable sur la faïence blanche." - Qu’est ce que tu veux ma beauté ? ", lui lança la jeune fille." - Tu veux nettoyer la chatte de la fifille à ta maman ? »« - Alors viens ! ne fais pas ta timide... ".Blandine se réajusta sur le siège, et entrouvrit grandes ses cuisses, la docile approcha, la renifla un peu, puis se mit à laper les restes d’urine." - Tu es vraiment une bonne chienne ", lui dit elle en lui caressant son encolure.Une fois la petite toilette achevée, Blandine se leva et descendit au rez de chaussé, là elle ouvrit la porte qui menait dehors et sortit la chienne pour qu’elle fasse ses besoins. Elle jouèrent un bon moment dans le jardin, Blandine lui lançait un bâton, et le doux animal le lui rapportait.
De retour à la maison, la jeune rousse prépara le café, elle s’offusquait à voix haute, que se mère aurait mieux fait de s’acoquiner avec une soubrette qui s’occuperait du petit déjeuner plutôt qu’avec une chienne incapable de faire quoi que ce soit.Blandine déjeuna, sa mère encore endormit récupérait de leur ébats de la nuit.Elle se tartinait de confiture quelques tartines qu’elle partageait ensuite avec la canine qui déjà ne la quittait plus d’une semelle.
Blandine regardait la chatte de Roxane, plus particulièrement elle portait son regard sur les gros piercings d’acier qui recouvraient toutes ses lèvres. Elle trouvait cela incongru, une chienne n’avait pas besoin de tels artifices.Elle alla fouiller dans le garage, à la recherche d’outils, et revint, un bon quart d’heure plus tard, quelques pinces à la main.Elle démonta un à un les anneaux d’acier, et ceux récalcitrant elle les coupa sans hésiter. Elle ne laissa que l’anneau que Jessica s’était fait poser sur le clitoris et y attacha simplement une petite clochette dorée.
Une fois la chatte dépourvue de tout ses oripeaux, elle souleva la petite queue de la chienne pour admirer son travail.Les lèvres pendouillaient entre ses jambes, comme de longues bajoues, le poids des accessoires et la masse des lestes les avaient distendues de plusieurs centimètres.Son vagin était toujours moite, et déformé par les assauts des godes de sa maîtresse, il restait toujours entrouvert, l’ensemble donnait alors, l’impression qu’elle venait de mettre bat une portée.
Blandine de sa paume tâtait l’humidité de son vagin, la chienne suintante commençait à se détremper d’avantage, et la fille se régalait de ses odieux attouchements et la flattait toujours plus.Elle passait doucement sa main dans les replis de ses babines tombantes, sur son clitoris, faisant du bout du doigt tinter le grelot qu’elle portait sur son bouton d’amour.La chienne sous l’adroite caresse se courbait lentement et descendait progressivement son arrière train sur la menotte fouineuse, comme pour s’y asseoir.Le poignet de Blandine, sous l’effet de la mouille abondante brillait de mille reflets, la chienne avait l’air d’aimer ces petites flatteries, et se laissait cajoler, docile, soumise, domptée.
Elles ne remarquèrent pas qu’Odile était descendue. La mère regardait fixement sa fille papouillant l’intimité de sa chienne, et Roxane servile qui se laissait faire." - Arrêtes d’embêter cette pauvre bête ! ", lâcha t-elle un peu jalouse à l’attention de sa descendance.
Blandine ne se démonta pas, et montra à sa mère son bras détrempé." - Regarde comme elle est excitée, regarde sa vulve, elle doit être en chaleur depuis tout ce temps? Maman, il faudra bien un jour que tu la fasses saillir.Et je ne te parle pas de te contenter de la baiser avec tes godes, ou de la livrer à la bite d’un Anglais pédé ! ".Les mots que sa fille venait de lui jeter au visage, désarçonnèrent Odile.Roxane, elle, était effarée, Blandine connaissait tout d’elle." - Je te parle d’une véritable copulation animale, avec un beau mâle bien monté et bestial, qui la prendrait sans retenu, avec toute la force de son instinct. "." - De quoi as tu peur maman ? qu’elle ne t’aime plus après cela ??? ".
La dominante resta un long moment interloquée, sa fille venait de toucher le point sensible, celui qui bridait ses envies et empêchait le dressage d’aller à son terme.
" - Oui, j’ai peur.... j’ai peur qu’elle ne m’aime plus après cela... ", avoua t-elle dans un souffle.Elle avait maintenant les larmes aux yeux, Odile la dominatrice s’était attachée à sa chienne, à leurs jeux pervers, au plaisir de la voir chaque jour subir sans un mot son asservissement, et plus que tout, elle l’admirait de la voir progresser toujours d’avantage.
Roxane compris tout l’attachement qu’avait pour elle sa propriétaire, elle comprit ses réticences et ses craintes.Odile avait peur que Jessica ne mette un terme à cette aventure, que Roxane n’aime pas la saillie, ou qu’au contraire que la chienne adore tellement cela qu’elle finisse par la préférer à un chien.La chienne délaissa les douces caresses de Blandine, et vint s’asseoir devant sa patronne chérie, elle attendit patiemment qu’elle lui prit la tête entre ses mains tremblantes.Alors docile, Roxane posa son museau sur le pubis d’Odile pour s’enivrer de l’odeur de sa souveraine.
" - Oui Roxane, Tu es une bonne chienne, il est temps pour maman de terminer ton éducation... Je t’aime ma chérie... si tu savais comme je t’aime", et elle s’effondra en pleurs.
Blandine s’absenta une bonne partie de la journée, préférant laisser maître et canidé seules à la maison.Odile passa tout l’après midi à caresser Roxane, à s’occuper d’elle, à la dorloter, à la parfumer...Elles étaient apaisées et heureuses d’être là, ensemble, seules au monde, et tout autour d’elle plus rien n’existait plus.
Blandine rentra un peu tard, les bras chargé de paquets, elle avait pensé que se serais une bonne idée de pique-niquer sur la table du salon, comme cela Roxane serait avec elles, à leurs pieds pour manger, avait-elle rajouté.Odile trouva l’idée merveilleuse, quand à Roxane, elle était folle de joie et se mit à remuer frénétiquement sa queue pour exprimer son contentement.Blandine installa verres et couverts sur la table du salon, apporta les plats traiteurs qu’elle avait achetée et disposa sur le sol de gros coussin moelleux." - Comme cela nous seront bien. ", avait-elle rajouté.Le pique-nique se déroulait dans une ambiance détendue, Roxane assise à côté de sa maîtresse se délectait des acras et samussas qu’elle lui donnait.Souvent Odile mettait un morceau dans sa bouche et attendait que la chienne vienne prendre la becquée.Roxane pour la débarbouillée, lui enlevait alors les quelques miettes qui restaient à ses lèvres, en lui léchant amoureusement le visage.Du coup les deux chipies passaient plus de temps à se léchouiller la figure qu’à dîner, au grand damne de Blandine qui régulièrement faisait remarquer à sa mère que l’on était en train de manger, et que si elle avait su, elle n’aurait pas acceptée la chienne à la table.Elle jouait les délicieuse emmerdeuse, faisant remarquer à sa génitrice: les aises que prenait l’animal et le laxisme de son éducation.
Odile caressait sans relâche sa douce canine, lui flattait l’encolure, le dos et souvent sa croupe, et quand les caresses commençaient à prendre une tournure plus intime, Blandine s’écriait:" - Maman ! tu exagères... ", et la mère, faussement prise en défaut se ravisait, mais seulement pour un temps.Durant tout le repas Roxane fut caresser, palper, tripoter jusqu’à ce que les flatteries d’Odile l’eurent terriblement excitée.Elle avait du mal à tenir sa posture tant les cajoleries de sa possédante lui allumait ce feu intérieur qui la consuma tout au long de la soirée.
Vers minuit, il était temps d’aller se coucher, le temps de sortir Roxane pour ses besoins du soir, quelques jeux, un peu de promenade.Blandine s’extasia en contemplant la chienne faire sa crotte.La fraîcheur nocturne se faisait sentir et tout le monde monta dans la chambre.
Blandine avait décidé que la nuit ne faisait que commencer...Elle positionna sa mère à quatre-pattes sur le lit, et lui enduisit copieusement toute la croupe de pâte à tartiner au chocolat, puis se tournant vers Roxane lui dit simplement:" - Lèche ! ".
Alors Odile vacilla sous la langue de sa chienne, celle-ci lui flatta longuement l’anus, la chatte et le clitoris, de tout l’amour qu’une chienne dévouée doit montrer à sa maîtresse.Quand elle eut terminée, Odile s’empressa de rendre la pareille à sa fille, en la badigeonnant à son tour, pour qu’elle aussi, goutte aux plaisirs linguales de l’animal.
Chienne et maîtresses passèrent alors une grande partie de la nuit, toutes trois à quatre-pattes sur le lit, pendant que la docile se délectait de tout leurs orifices, enfonçant à chaque fois sa langue au plus profond, comme des milliers de preuves de sa passion dévorante.
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