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Le bestiaire 2, Roxane chienne fidèle

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Au petit matin, Blandine dans le jardin fumait sa cigarette, elle discuta longtemps avec la postière qui apportait un colis pour sa mère.
Odile et Roxane attendaient qu’elle s’en aille pour aller dans le jardin, la chienne avait envie, et se trémoussait sous les contractions intestinales.Lorsque disparut enfin le Kangoo jaune, les deux sortirent, il était temps, la chienne ne pouvait plus se retenir.Blandine s’approcha de sa mère, un petit sourire aux lèvres.Elle lui expliqua que la factrice devait partir pour quelques jours, mais celle ci avait un chien, un Matin de Naples de deux ans qu’elle hésitait à placer au chenil...Blandine avait proposée de le prendre peut-être en pension, et avertit sa mère que la dame des postes passerait le soir même pour voir si Odile n’y était pas opposée." - L’occasion fait le larron ! ", lâcha t-elle goguenarde, à sa mère interloquée.La journée défila rapidement entre toilettage, jeux et sieste récupératrice, puis le soir arriva tout aussi vite.Roxane avait été enfermée dans la salle de bain à l’étage, à l’abri des regards.Odile avait fait les choses en grand, champagne et macarons ponctuerait cette soirée de rencontre.La fonctionnaire arriva vers dix neuf heures trente. Doug son mâtin l’accompagnait.La bête était énorme, haut de 85 centimètres pour quasiment 90 kg. Il était puissant et massif, lourd et trapu dans sa robe grise.Mais ce qui frappait le plus, c’était la grande gentillesse de la bête, un gros molosse débonnaire et affectueux.
Brigitte expliqua à Odile qu’elle devait partir quatre jours pour une formation, et qu’elle rechignait à confier son chien à sa sœur et encore moins de le placer en chenil.Le pauvre Doug aimant trop la compagnie des femmes, il aurait assurément déprimé dans son box...Les trois femmes discutèrent un peu des modalités, mais très vite Odile déclara que cela ne l’embêtait pas, de plus sa fille étant là quelques jours, se serait assurément aisé de le prendre en pension.Cela faisait maintenant trois heures que les trois femmes discutaient, pendant ce temps là, le chien lui n’arrêtait pas de renifler la pièce, une odeur particulière semblait l’intriguer, et souvent il essayait de monter au premier, mais la factrice veillait au grain et le rappelait à l’ordre immédiatement.
Pendant ce temps là, toujours cloîtrée dans la salle d’eau, Roxane trouvait le temps de plus en plus long.Depuis presque une heure trente, elle se retenait d’uriner, certes elle aurait pu utiliser le bidet, mais en tant que chienne elle s’y refusait.Roxane ne tenait plus, les contractions de sa vessie étaient de plus en plus rapprochées, et de petites gouttelettes de pisse sortaient régulièrement de son urètre et descendaient doucement entre ses lèvres.La chienne finit par courber l’échine sous l’effet des convulsions, et puis d’un coup son arrière train fut pris de spasmes.Roxane, ne pouvait plus lutter contre ce besoin impétueux, elle se mit alors à uriner copieusement sur le carrelage de la pièce.
La flaque était énorme, et la chienne piteuse de ne pas avoir pu se contenir, alla se pelotonner dans un coin de la pièce.
Les trois femmes étaient un peu pompette sous l’effet des bouteilles de champagne qu’elles s’étaient enfilées. Brigitte prit congé vers 22h30, en ayant prit soin de faire de grosse léchouilles à son Doug chéri.A la manière dont elle l’embrassait cela fit se dire à Odile et Blandine, que la postière et son chien avait dû tissé un lien certainement plus étroit qu’elles ne pensaient.
Odile partit chercher Roxane, Blandine et le molosse lui emboîta le pas.En ouvrant la porte de la salle de bain, Odile aperçut immédiatement la flaque de pisse, Roxane penaude s’était blottie contre la baignoire." - Ne la punit pas maman, c’est de notre faute, nous avons trop traînées... "," - Oui ma fille tu as raison ! ".Blandine commença à éponger la mare, pendant qu’Odile caressait gentiment Roxane en lui disant des mots doux pour la réconforter;" - Ce n’est rien ma chérie, c’est maman qui a trop tardé...".Doug s’était peu à peu rapproché, et trouvait les odeurs de pisse sur la chatte de Roxane très à son goût, il s’enivrait de cette senteur qui l’avait tant intriguée toute la soirée.
Odile fit descendre tout le monde, on serait assurément mieux au salon pour que femelle et mâle fasse connaissance.Roxane à quatre-pattes dévalait les marches, et tout de suite derrière elle, suivait le mâtin de Naples, la truffe collée sur les orifices de la chienne.
Doug tourna autour de Roxane un long moment, cet animal étrange l’intriguait.La femelle avait bien l’odeur d’une humaine, mais toute son attitude était celle d’une chienne prête pour la saillie.Alors comme pour se donner une contenance, le molosse lui léchait la croupe avec frénésie, et parfois pataud, il posait une patte sur la fesse de la femelle, comme s’il hésitait encore un peu.
Blandine et sa mère s’étaient confortablement installées sur le sofa, et tout en se caressant, elles ne perdaient pas une miette de ces drôles de préliminaires.Le chien oscillait entre l’envie de grimper ce drôle d’animal et les doutes sur la possibilité de le faire, alors en amorce, il la pourléchait avec avidité.
Roxane impassible se laissait déguster tout les orifices, elle s’abandonnait aux douces caresses de la langue du chien, et lui représentait régulièrement son arrière train dès qu’elle sentait le mâle éprit de doute.La chienne qui n’avait pas oublié sa première expérience avec son corniaud d’un soir, pouvait à nouveau se délecter de ces délicieuses gâteries.
Doug s’enhardissait de plus en plus, et lentement maintenant son sexe sortait de son fourreau.Il était énorme, bien rouge avec des nervures bleutées, le molosse était un chien de belle taille mais son vit était encore plus imposant, on aurait dit le sexe d’un âne.De petites giclées sortait en flot régulier, signe que la saillie n’allait pas tarder à débuter.Incité par l’attitude docile de la femelle, le dogue se dressa d’un coup et agrippa les hanches de sa promise, sa bite tapait maladroitement à l’orée des trous de la chienne, il cherchait son chemin avec méthode.
D’un grand coup de rein il trouva enfin l’entrée du ventre chaud et humide de Roxane, et força le passage de son conduit dilaté par le plaisir.Il lui barattait maintenant sa motte détrempée, s’enfonçant toujours d’avantage, au plus profond de son intimité, avec fougue et bestialité.Roxane était en transe, le poids de son amant sur son dos, les coups de butoir dans sa chatte que déjà le knot élargissait, les halètements de ce robuste mâle dans le cou, et puis il y avait surtout le regard de sa patronne qui la fixait sans faillir.Roxane y vu toute la fierté de l’éducation qu’elle avait reçu jour après jour, elle voyait dans les yeux d’Odile, toute la joie d’un dressage réussit et enfin mené à son terme...
Et Roxane su qu’elle était maintenant une véritable chienne, impudique et heureuse de satisfaire sa maîtresse du divin spectacle de sa première saillie.Elle était enfin sereine, dans la sauvagerie de son accouplement, prise par son mâle vigoureux, son doux maître d’un soir...
Au bout dans bon quart d’heure de copulations mécaniques, Doug descendit du dos de sa chienne et se retourna, les deux amants restèrent collés cul à cul, solidement knotés, Roxane ne bougeait plus.Le chien envoya sans discontinuer des flots de sperme dans la vulve de sa femelle, pour ensemencer son ventre et assurer sa lignée.Parfois Doug avançait pas à pas, comme pour essayer de s’extraire, tirant sur son sexe, mais le nœud était solide et l’ensemble se distendait sans rompre, bien ancré au chaud dans le sexe de Roxane. La chienne sous la traction finissait par capituler et reculait peu à peu.
Ils restèrent comme cela, collés, pendant vingt minutes d’extase, le vagin de Roxane remplit de foutre généreux, qui s’écoulait petit à petit sur le sol du salon.
Vint enfin, dans un flot de semence canine, l’expulsion du nœud et la libération du membre.Roxane resta longtemps avachi sur ses bras, la croupe encore dressée à ruisseler de foutre.Elle n’était plus femme, elle n’était plus Jessica, mais juste un animal soumis à son accouplement, une chienne montée, une femelle saillie.
Le flot de sperme s’écoula peu à peu pour se répandre à terre, et déjà Blandine s’était levée pour venir s’en repaître à la source.La bouche bien collée, elle lécha longtemps la vulve de la chienne, en dodelinant son petit cul, attendant patiemment que le solide chien ne reprenne quelques forces et vienne à son tour la saillir.Car elle aussi voulait goûter à la bestiale copulation, mais Doug momentanément indiffèrent se nettoyait la verge.
Alors Roxane et Blandine s’unirent ensemble sur la verge du molosse, et de leur langues habiles elles goûtèrent à son foutre, se le partageant en becquée, dégustant chaque gouttes.Puis peu à peu, elle réveillèrent l’appétit du chien, et Doug sous le regard d’Odile, put alors tour à tour les saillir, d’abord Blandine, qui put s’adonner enfin aux délices de ce fruit défendu, puis, plus tard, le chien retrouva la chaleur de la croupe de sa femelle soumise.
Odile se délecta jusqu’à l’aube, de voir sa chienne et son mâle unis dans toutes leurs perversions animales.
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