Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 7 J'aime
  • 0 Commentaire

La Biographie Intime de Mathilde

Chapitre 1

Hétéro
L’éveil à la sexualité de Mathilde.

C’est lorsqu’elle n’avait que 16 ans que Mathilde a connu les premiers émois d’une sexualité qui allait se révéler riche. Comme beaucoup de filles et de garçons, l’adolescence fut l’âge où elle aimait jouer au docteur. Combien d’entre nous ont découvert une forme de sexualité en pratiquant ce jeu, prétexte à tant de dérives ? Je ne sais pas s’il existe une étude là-dessus, mais le pourcentage de ceux qui ont appris à connaître le sexe opposé par ce moyen ne doit pas être négligeable.
Pendant les grandes vacances qui suivaient sa scolarité au collège et précédaient son entrée au lycée, elle partit en vacances à l’ile de Ré. Ses parents la laissaient aller à la plage avec un cousin un peu plus âgé qu’elle. Il avait 17 ans. Un garçon pour elle toute seule, et un grand en plus ! Avant d’arriver à la plage, ils s’arrêtaient dans les dunes et jouaient au docteur comme l’ont fait beaucoup d’autres avant eux. Ce jeu, prétexte à l’exploration de l’autre est proprement magique !
Leurs jeux dérivèrent, évidemment, vers des pratiques plus sexuelles et c’est ainsi qu’elle fut pénétrée pour la première fois. Elle en garde un souvenir ému et agréable, même si le garçon était sans doute encore plus stressé qu’elle et qu’il éjacula beaucoup trop vite. Mathilde m’a avoué que c’était comme si elle avait goûté un gâteau délicieux, mais qu’elle n’avait eu droit qu’à une seule bouchée. Un sentiment inévitable de frustration…
Mathilde ne craignait pas la douleur car, un stage d’équitation, au cours duquel son cheval apeuré s’était mis à ruer, avait eu raison de son hymen. Elle avait été projetée en l’air et était retombée sur la selle avec une violence qui avait provoqué la rupture de sa paroi intime. Son cousin avait été tellement content qu’elle le laisse faire, qu’il lui avait offert une glace pour la remercier. Elle s’en souvient encore, car elle lui était tout aussi reconnaissante de cette expérience.
Ils ne prirent aucune précaution et eurent de la chance car, une fois qu’ils avaient goûté à ce plaisir, ils recommencèrent le reste du séjour. Ce furent deux semaines de vacances purement magiques. Elle voulait manger le reste du gâteau !
Si le jeu que nous venons d’évoquer a souvent permis la découverte de la sexualité, les relations avec les proches, particulièrement les cousins et les cousines, ont leur part dans l’éveil amoureux des adolescents. L’inceste fait partie intégrante de la société et il suffit de voir le nombre d’histoire publiées qui traitent de ce thème pour en mesurer l’importance dans l’univers fantasmatique qui nous anime. C’est l’interdit qui l’entoure qui lui confère un tel attrait dans l’imaginaire collectif, mais sans doute aussi les souvenirs liés à des expériences personnelles pas toujours désagréables. Nous nous construisons tous avec notre vécu et restons influencé par nos expériences successives.
L’année suivante, le cousin de Mathilde avait une copine et elle n’avait plus sa place. Ce fut un peu comme si l’intruse lui avait piqué la place de parking où elle avait prévu de stationner. Elle était plus agacée que jalouse.

L’épanouissement.

La relation avec son cousin avait été purement sexuelle et elle cherchait des émotions plus sentimentales. Relativement timide, il fallut pas mal de temps à Mathilde avant qu’elle ne connaisse sa seconde expérience. Elle avait alors 17 ans. Elle rêvait de mots doux, de baisers tendres et passionnés. Le garçon, lui, cherchait surtout une fille à peloter. Il ne s’avéra pas plus doué que le premier et encore moins mature.
Mathilde en était à son deuxième puceau, croyant que tous les garçons étaient éjaculateurs précoces et elle ne savait pas encore quels plaisirs lui réservait sa sexualité. Mais elle m’a avoué que, déjà, son esprit regorgeait de fantasmes et que, si elle avait pu avoir un sexe en main, je ne l’aurai rendu que sec et propre. Déjà de bien belles idées !
Cette expérience ne fut guère enrichissante par rapport à la première et c’est à ce moment là qu’elle commença à s’ouvrir au monde. Équipée de son premier PC et d’un accès Internet, elle découvrit les joies des chats et autres dialogues en ligne. Cette sexualité virtuelle allait remplir sa tête de fantasmes et il allait lui falloir attendre d’avoir 19 ans pour que sa sexualité se révèle vraiment. C’est quand elle rencontra un vrai copain à la sexualité accomplie, qu’elle allait commencer à en vivre certains.
Quand elle me raconta comment, un soir en traversant le campus universitaire, elle avait ouvert la fenêtre de la voiture de ce copain pour jeter la petite culotte qu’il l’avait mise au défi d’enlever et qu’elle venait de retirer, je compris qu’elle n’était plus dans le même registre qu’avec ses puceaux. Elle me narra également l’anecdote du jour où son copain la déposa devant chez elle, nue sous sa jupe, et où elle dut rejoindre ses parents en essayant de marcher avec un godemichet planté au creux des reins. L’évocation de ses défis empreints d’exhibitionnisme ne manquait pas de m’exciter gravement, vous vous en doutez !
Sa relation avec ce copain dura quatre ans et la rupture est encore fraîche et mal cicatrisée me semble-t-il. Sexuellement, ils étaient vraiment sur la même longueur d’ondes et ce fut un bonheur d’entendre Mathilde me raconter les moments qu’elle avait passés avec lui. Il l’avait soumise avec douceur et amour et elle lui en était reconnaissante. Elle aimait lui obéir et le satisfaire, mais sans aucune violence physique. Comme elle me le disait, elle n’aimait pas conduire la barque, mais l’orienter de temps en temps. C’est elle qui tenait le gouvernail.
Il a du se régaler quand elle lui préparait des petits plats, nue sous son tablier, ou qu’elle venait lui faire une fellation pendant qu’il jouait aux jeux vidéos sur sa console.
Mathilde est hétérosexuelle à 200 % ! Les relations avec les femmes ne la tentent pas du tout et, si elle ne marque aucune réticente, bien au contraire, à pratiquer une fellation et à recevoir le sperme de son amant en bouche, l’idée de poser sa bouche sur un sexe de femme la révulse. Même ses propres secrétions provoquent une réticence et pourraient l’empêcher de sucer un sexe qui sort de son vagin.
Elle n’aime pas non plus les relations anales et n’est pas fan de sodomie et encore moins d’anilingus. Tout ce qui touche aux excréments de près ou de loin la dégoûte. Par contre, elle a une sensibilité mammaire hors normes et un simple effleurement des doigts fait dresser ses tétons. Comme son copain a du se régaler avec cette poitrine laiteuse aux aréoles rose pâle. Elle aime qu’on s’occupe de ses seins, qu’on les caresse, qu’on les malaxe, qu’on les lèche…
Sa soumission était très cérébrale. Elle était faite de contraintes librement acceptées et engendrait des situations légèrement anxiogènes, mais tellement excitantes ! C’est la peur d’être vue qui l’excitait et non le fait que des inconnus la regardent. Son copain lui a souvent bandé les yeux pour provoquer cet effet là. Quand il lui faisait dire qu’elle était sa chienne et la tenait à l’aide d’une laisse fixée à un collier de chien, elle avait le sentiment de lui appartenir pleinement et elle était heureuse.
Leur relation s’est arrêtée d’un commun accord parce que les divergences de vues étaient importantes. Ils n’étaient pas d’accord sur la vie de tous les jours et prirent la décision de stopper, même si ce ne fut pas facile pour le garçon qui avait du mal à décrocher. Comme je le comprends !
Pendant quelques temps, il resta le sexe-friend de Mathilde, mais ils furent obligés d’interrompre toute relation charnelle, tant elle trouvait que le climat devenait malsain.

Et maintenant ?

Maintenant, Mathilde est libre… Elle ne ‘est pas convertie à une vie monacale. Un de ses copains est devenu son sexe-friend. Il assume du mieux qu’il peut se rôle en y consacrant toute l’énergie possible et profite de cette aubaine.
Pourtant, elle ne restera pas longtemps sans un homme. Il est évident que, la connaissant mieux maintenant, j’aurais tout fait pour être celui-ci si j’avais été plus jeune. Nous avons une trentaine d’années de différence et elle a l’âge de mon fils.
Je sais qu’elle rêve d’un beau mariage avec une belle robe, sa famille et ses amis et elle l’aura un jour. Elle veut avoir des enfants, quatre ou cinq peut-être, car elle veut qu’ils puissent bénéficier des avantages, que personnellement je ne connais pas, d’une famille nombreuse où il y a des cris, des pleurs, mais aussi tant de joies, de complicité et de vie tout simplement. Celui qui sera l’heureux élu aura une chance extraordinaire. Il devra avoir des bras solides et protecteurs et savoir l’écouter et la comprendre. S’il est à l’écoute de ses désirs, il découvrira un joyau brut prêt à devenir sa soumise rebelle et dévouée.
Après nos heures de complicité, je la taquine en lui demandant de m’inviter à son mariage pour que je lui mette la main aux fesses et que je vérifie sa lingerie de gala. Je sais qu’elle est choquée, mais que l’idée ne peut manquer de l’exciter au moins en fantasme.
Son homme devra vraiment bien s’occuper d’elle. Il devra la combler physiquement et aura fort à faire, mais il devra aussi et surtout savoir l’étonner et la comprendre. Savoir rester au lit avec elle toute une matinée sans lui faire l’amour, simplement en bavardant. Lui faire de délicieux massages quand elle en aura besoin. Palper son corps, le pétrir, le chérir, l’aimer…
Il devra jouir au plus profond d’elle pour l’inonder de sa semence fertile. Comme j’aimerais la savoir un jour avec le ventre rond ! Comme elle sera belle !
Mais, s’il sait faire tout cela, alors elle le gratifiera de tout son amour et de toute sa bienveillance. Qu’il en soit certain !
J’ai pris un plaisir extraordinaire à recueillir les confessions de Mathilde. Je ne l’ai pas rencontrée, je ne sais rien d’elle qui pourrait la compromettre. Elle m’a avoué que si elle m’avait ouvert le livre de sa sensualité, c’est parce que j’avais été calme, patient et à l’écoute de ses propos. Je n’ai aucun mérite, j’ai pris tant de plaisir à ces échanges parfois surréalistes…
De manière imagée, nous avons exploré nos fantasmes par personnages interposés. Je lui ai prodigué des cunnilingus interminables, je l’ai poussée dans des jeux exhibitionnistes, je l’ai pénétrée des dizaines de fois, jouissant en elle sans retenue et sans capote… Pour sa part, elle m’a gratifié de fellations divines et voulait combler tous mes désirs. Tout cela n’était que virtuel, mais comme c’était bon ! Nous avons scénarisé notre rencontre, imaginant un week-end qu’elle venait passer chez moi…
Elle a fait naître tant de rêves en moi que je ne veux plus la perdre… Je veux être son ami, son amant, son old-sexe-friend, son maître virtuel… Ce qu’elle voudra, mais qu’elle me garde !
Depuis quelques jours, elle semble avoir trouvé un garçon intéressant. Il est grand costaud avec des épaules larges, un peu timide et elle m’a dit qu’il lui avait bien fait l’amour. Leur relation n’en est qu’à ses débuts, mais je prie pour qu’elle ait trouvé le bon. Je serai presque aussi heureux qu’elle quand elle m’apprendra qu’elle a enfin vraiment trouvé l’homme qu’elle mérite ou que son ventre s’arrondit.
Elle m’en a tant dit que je postule pour être son confident pour le reste de mes jours. Je compte bien écrire les chapitres suivants de sa vie intime.
Merci Mathilde !
Diffuse en direct !
Regarder son live