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Blandine et les loups

Chapitre 2

Trash
Blandine ne prit pas la peine de répondre, tout au plus hocha-t-elle la tête avant de traverser la salle en laissant sa valise en plan. Elle disparut dans la resserre en refermant doucement la porte. Ce que voyant, le patron allongea une claque sur l’épaule de son ami.
— Viens, on boit une bière et on y va ! Tu n’as pas envie de la sauter, cette petite pute ?— Ben... Dédé, je te rappelle que c’est ma fille...— Ouais, et moi, je suis le pape ! Sérieusement, tu n’as jamais eu envie de te la faire ?— Elle était presque jamais à la maison, tu sais. Mais sûr qu’elle a l’air baisable. Tu y vas, je viendrai dans un moment ; je surveille ton bar.— Va pas servir de tournée générale ; ce sont de vieux clients mais c’est pas une raison.
Dix bonnes minutes plus tard, le colosse quitta le comptoir et ouvrit la porte de la réserve. Blandine était exactement là où elle devait être. Elle avait obéi, empilant ses vêtements sur un fût de bière ; complètement nue, elle offrait son intimité à son regard scrutateur. Dédé était satisfait, mais il n’allait pas le lui montrer et la pousser plus loin.
— Ta position est nulle, idiote. Écarte plus les jambes et cambre-toi, je veux que ton cul se relève. Baisse le buste, la tête contre le mur et les mains à plat, encore un peu... Là, parfait. Tu es négligée, tu as plein de poils ; c’est pas parce qu’ils sont blonds et fins que tu dois ressembler à une guenon. Même les aisselles, je vois... Je vais te conduire chez une amie qui va s’en occuper une bonne fois pour toutes. Voyons comment tu es... Tu mouilles comme une chienne. Intéressant, ça.
Blandine avait retenu un cri quand un doigt avait glissé entre les replis de son intimité. Honteuse, elle sentait bien que son bas-ventre devenait humide. On n’avait pas idée de lui imposer cette position complètement obscène ; même dans ses rêves les plus fous elle n’aurait imaginé se retrouver ainsi. Elle ne put retenir un gémissement quand le doigt fureteur s’engagea dans son vagin jusqu’à venir buter contre son hymen. Puis un autre doigt trouva son bouton et le fit rouler, le massant et le cajolant fermement.
Les cuisses de la petite blonde se mirent à trembler comme Dédé accentuait ses caresses en l’abreuvant d’injures. Submergée de honte, elle serra les poings en mordant sa lèvre inférieure, puis poussa un cri quand une douleur cuisante traversa sa fesse droite. Son suborneur venait d’asséner une violente claque sur le fessier offert.
— Les mains à plat, j’ai dit ! Si tu n’obéis pas, je vais te faire rentrer mes ordres dans le crâne à coups de ceinture, tu as compris ?— Oui... souffla-t-elle
Une nouvelle claque sèche, sur l’autre fesse cette fois.
— Tu apprendras la politesse ! Oui Monsieur, et plus fort !— Oui Monsieur ! sanglota la pauvrette.
C’étaient à présent deux gros doigts qui coulissaient aisément dans le pertuis mouillé, arrachant d’éperdus gémissements à Blandine ; yeux clos et bouche ouverte en cul de poule, elle haletait et tentait de résister à l’émoi qui l’envahissait.

— Tu vois que tu es trempée. Tu aimes ça, te soumettre à un vrai mâle. Je vais te dépuceler, maintenant. Tu préfères avec les doigts ou avec ma grosse bite ?
Surprise, Blandine tordit le cou pour apercevoir Dédé qui attendait sa réponse. Elle comprit à son visage sérieux qu’il ferait comme elle lui dirait, et elle sut à cet instant précis qu’elle n’échapperait pas à son destin.
— Avec votre bite, souffla-t-elle. Avec votre grosse bite, Monsieur.— Parfait ! Après, tu la nettoieras avec ta langue, puis tu lècheras mes couilles. Compris ?— Oui Monsieur... — Bon, ne bouge plus, je vais te planter ; je te préviens, il va falloir que je force le passage. Je suis bien monté.
Blandine resta muette, ne comprenant pas où l’homme derrière elle avait bien pu monter. Elle resta en place tout le temps qu’il se prépara. Les sourcils froncés, elle entendit des froissements de tissu : il devait se déshabiller en prenant son temps. Oppressée, elle essayait de calmer sa respiration, se demandant ce qu’il faisait.
— Je mets un préservatif ; tu prends la pilule ?— Oui Monsieur ; depuis un peu plus d’un mois.— C’est parfait ; avec tout le sperme qui va emplir ta chatte, faudrait pas que tu sois en cloque. Mais avec la bouche de salope que tu as, tu en avaleras encore plus !
Résignée, Blandine soupira. Elle n’était pas habituée à entendre des mots aussi grossiers, et en plus c’était elle qu’il traitait ainsi. Elle sentit une pression sur sa vulve et ouvrit instinctivement la bouche pour protester mais se ravisa. Dédé n’allait pas apprécier.
Ledit Dédé promenait son gland de haut en bas contre la fente, agaçant les petites lèvres trempées de rosée intime, puis il se décida. Guidant sa bite d’une main habile, il se positionna au centre de la féminité rose et s’enfonça d’une poussée irrésistible. Il crut sentir la rupture de la fine membrane, en tout cas Blandine poussa un cri de détresse au même moment et essaya de se dégager.
— Ne bouge pas, je t’ai dit !— Vous êtes trop gros ! Vous me faites mal, je vous en supplie...— Tais-toi, ce n’est rien, tu vas t’habituer très vite.
De fait, Blandine se calma car la vive brûlure ressentie lors de la déchirure de l’hymen s’estompa rapidement. Ne restait que cette impression de plénitude pas trop désagréable. Elle était dilatée par un engin volumineux, tiède et souple, qui palpitait en elle au rythme de pulsations régulières. L’homme ne bougeait plus, attentif à ses réactions. Tout au plus tenait-il fermement les hanches de la petite blonde pour prévenir toute rébellion.
D’ailleurs elle s’était calmée, même si sa respiration restait saccadée ; elle avait même repris la bonne position, bien offerte, les mains à plat sur le mur. Alors il se retira complètement, lui arrachant un petit cri — dont il ne savait si c’était de douleur ou de déception ; le lui aurait-il demandé qu’elle n’aurait pas su répondre —. Il examina un instant sa queue dressée enveloppée dans le latex rose et couronné d’un peu de sang puis, posément, s’enfonça de toute sa longueur d’une vigoureuse poussée.
Blandine poussa un râle d’agonie ; les yeux révulsés, elle était emplie et distendue à éclater, lui semblait-il. La puissante verge semblait être complètement plantée dans son vagin novice. À nouveau l’homme ne bougeait plus, se contentant de rester enfoui et laissant son fourreau s’habituer à pareille intrusion. Il caressa la douce peau des fesses, remontant vers les omoplates, les épaules, arrachant un gémissement de plaisir à la jeune fille.
— Alors, ça va mieux ? Je peux y aller ?
Elle ne savait pas exactement où il voulait aller, mais elle opina avant de répondre d’une voix rendue rauque par l’émotion.
— Oui Monsieur, je n’ai plus mal, je...— C’est bien, alors. Je vais te défoncer la chatte, la pilonner en force puis me vider les couilles et te remplir de sperme. Ne bouge pas, surtout.
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