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Blandine et les loups

Chapitre 4

Trash
Il autorisa Blandine à remettre sa petite culotte, un sous-vêtement sage en coton blanc dont l’entrejambe colla aussitôt à sa vulve humide, ainsi que son chemisier blanc largement ouvert. Pieds nus, elle suivit Dédé, tête basse. Elle n’avait pas eu l’autorisation de se nettoyer et du sperme était nettement visible sur son menton et ses joues.
Debout derrière le comptoir, Gilles buvait une bière en discutant avec un client. Toutes les têtes se tournèrent vers Blandine qui s’immobilisa au milieu de la salle, sur ordre de Dédé.
— Les amis, ça y est, cette jeune fille n’est plus pucelle, c’est officiellement une salope. Si y en a qui veulent essayer sa bouche, c’est le moment.
Plusieurs cris fusèrent, des mains se levèrent : tous les clients, soit une dizaine de personnes, étaient partants. Gilles ne dit rien, ni pour encourager les clients ni pour s’opposer à la proposition. Il avait les yeux rivés sur sa fille qui cherchait à se faire toute petite.
— Salope, tu es voûtée comme une vieille. Tu as honte ? Allez, lève la tête, regarde en l’air, plus haut... Les bras croisés dans le dos... Ecarte les jambes, plus que ça... Cambre-toi, bombe le torse... Là, c’est bien ; ne bouge plus.
Décrire la honte qui habitait l’esprit échauffé de Blandine serait impossible. Elle sentait physiquement le poids des regards de tous les mâles présents dans le bar. Et son corps la trahissait : ses tétons turgescents pointaient comme jamais sous le fin tissu du chemisier. La porte d’entrée s’ouvrit et la jeune fille poussa un petit cri en sursautant, mais un simple regard de Dédé suffit à lui faire reprendre la position initiale. Trois hommes entrèrent en riant puis marquèrent un arrêt en apercevant cette beauté juvénile prenant la pose devant eux.
— Alors, Dédé, lança un des trois hommes. Tu fais la sortie des lycées, maintenant ?— Elle vient travailler ici. Tu vas pas t’en plaindre, non ?— Ça dépend de ce qu’elle sait faire... Tiens, salut, Gilles. Je t’avais pas vu !— Bonjour, Maurice. Je te présente Blandine, ma fille.— Ta fille ? Belle poulette, si on aime les petits nichons et les petits culs... Voyons ça.
L’homme passa devant Blandine qui frémit en le découvrant : c’était une vraie montagne de muscles avec un visage de voyou. Dans les quarante ans, la peau café au lait décorée de nombreux tatouages et le cheveux ras, il portait un tee-shirt blanc moulant ses pectoraux de culturiste sur un pantalon en cuir noir et des santiag en croco.
Délicatement, de ses gros doigts portant de nombreuses bagues, il caressa les joues de la blondinette figée ; puis il descendit pour déboutonner largement son chemisier qu’il écarta posément, dévoilant sa poitrine menue mais adorable, avec ses petites aréoles roses et gonflées. Il siffla de surprise.
— Tu as de beau seins, tu sais !
Blandine ne savait plus où se mettre, ses oreilles brûlaient et la rougeur avait envahi sa face. Elle était à deux doigts de fondre en larmes, mais en même temps son ventre se tordait, lourd de désirs et d’envies glauques. Ce fut pire encore quand Maurice caressa les pointes érigées de ses mamelons : la jeune fille ne put s’empêcher de se tendre et de les coller contre la paume des mains fureteuses.
— Dites donc, je lui fais de l’effet, à cette petite poupée ! s’exclama-t-il, ravi.— C’est une salope, voilà tout ! répondit Dédé. Bon, Momo, tu surveilles le bar, nous devons faire une course avec Gilles, nous serons revenus dans une bonne demi-heure.— Et ma fille ? On la laisse comme ça ?— Momo, tu l’installes dans les vieilles toilettes à la turque. Elle pourra tailler des pipes à ceux qui veulent. Mais rien que des pipes, hein !
Maurice hocha vigoureusement la tête et saisit Blandine par une épaule. Il la conduisit au fond de la salle jusqu’à une porte à la peinture écaillée marquée "toilettes hommes", et en dessous : "prière de ne pas aggraver l’état des lieux". Il actionna un interrupteur noir et une lumière blafarde éclaira la petite pièce ; la jeune fille frémit en découvrant les lieux : l’odeur de moisi, la peinture verte et jaune passée, le trou au sol encadré de larges rebords pour poser les pieds.
— Tu vas t’installer à genoux sur ces trucs, mais d’abord enlève ta chemise. Tu voudrais pas la salir si jamais quelqu’un s’oublie sur toi, non ? Oui, donne-la, tu n’en as pas besoin ici, il fait pas froid. Tu peux garder ta culotte, je vois qu’elle est mouillée... Sous ta mine de sainte-nitouche, tu es une vraie salope, toi. Y a pas à dire.
Blandine se retrouva donc à genoux sur les plots de faïence, et Maurice se hâta de sortir sa verge, un engin sombre de bonne taille qu’il lui présenta aussitôt. Résignée, la petite blonde ouvrit la bouche et commença à sucer. Là encore, elle reçut des conseils entrecoupés de mots orduriers qui la faisaient frémir. Sous la houlette de son nouveau professeur, elle caressa les grosses couilles à peine velues, les lécha aussi. Elle prit ensuite l’épaisse colonne à deux mains et la masturba. La verge gonfla et durcit encore sous ses oeuvres, ce dont elle fut heureuse.
Il la guidait de la voix et d’une main posée sur sa nuque, la forçant à avaler aussi loin qu’elle pouvait, s’arrêtant quand elle paniquait, reculant pour la laisser cracher des flots de salive qui coulait sur son torse nu. Enfin il éjacula de lourdes et longues rasades de semence si importantes que Blandine s’étouffa, toussant et pleurant, du sperme ressortant par ses narines.
Les yeux rougis et larmoyants, elle ne se rendit même pas compte du départ de Maurice qu’un client remplaça derechef. Il lui présenta une verge épaisse et courte que Blandine empoigna et guida dans sa bouche ouverte. Heureux de sa bonne fortune, l’homme jouit très vite sur le visage de la petite blonde. Essoufflée, elle eut à peine le temps d’essuyer sommairement son oeil droit englué avec le dos de sa main qu’un autre client arrivait. Il ouvrit sa braguette et en sortit une verge toute molle à l’odeur peu appétissante.
— Allez, la salope. Montre-moi ce que tu sais faire. Et applique-toi si tu veux pas que je te pisse dessus !
Horrifiée, Blandine approuva d’un mouvement de menton et se mit au travail. Sous les caresses inexpérimentées de sa petite langue, la verge prit rapidement de l’ampleur jusqu’à emplir sa cavité buccale. Régurgitant un flot de salive, la suceuse novice recula en toussant, deux grosses larmes coulant sur ses joues. Courroucé, le vieux client commença à uriner sur la poitrine de la jeune fille qui glapit de dégoût. Heureusement, sa miction fut brève car il avait soulagé sa vieille prostate peu avant. Blandine fascinée autant qu’écœurée, le regarda se vider sur son torse sans bouger.
Il lui fit reprendre sa fellation comme si de rien n’était, se moquant de la voir si appliquée à le satisfaire. Déployant sa science toute neuve, elle pompa le dard en caressant les couilles fripées puis en masturbant la tige dure. Il éjacula sans aucune prémisse ; surprise, Blandine reçut la première décharge directement sur sa luette. Avalant de travers, elle se mit à nouveau à tousser et à cracher.
L’homme sortit en riant de sa pitoyable performance. Dédé s’encadra alors dans l’embrasure de la porte et lui fit signe de se lever. Péniblement, les genoux douloureux, elle se redressa sans lever les yeux sur le gérant. Son père était un pas derrière et la couvait d’un regard brûlant qui la perturba presque plus que ce qu’elle venait de subir.
— Regarde ce qu’on t’a trouvé, un beau plug pour élargir ton anus avant de t’enculer. On a choisi un gros modèle, on s’est dit qu’une vraie salope comme toi n’avait pas besoin de commencer par des petits diamètres. Mais ne t’en fais pas, regarde : on a acheté un gel lubrifiant spécial sodomie. Ça va entrer comme dans du beurre.
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