Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 42 J'aime
  • 3 Commentaires

Blandine et les loups

Chapitre 5

Trash
Blandine ne trouva rien à répondre tellement elle était désabusée. Mais elle fut quand même secouée en voyant ce que lui montrait Dédé : un objet ovoïde en plastique noir à l’extrémité effilée et d’une taille... Ils n’envisageaient quand même pas de lui enfiler ce... truc dans le... Non ?
La suite lui prouva que si. Et que c’était tout à fait possible aussi. Non sans douleur, mais elle était une salope, après tout.
— Putain, tu pues la pisse ! s’exclama Dédé quand il la fit sortir des toilettes. Tu pourrais te retenir, à ton âge ! — Mais, tenta-t-elle de se justifier. Ce n’est pas...— Ferme-la ! Tu devrais juste ouvrir la bouche pour sucer des bites. Enlève ta culotte et jette-la dans les toilettes... Tourne-toi, écarte tes fesses à deux mains. Et penche-toi, idiote.
Le front rougi par la honte, elle obtempéra et fit de son mieux pour se décontracter. Un liquide froid coula dans la raie de ses fesses puis la pointe effilée appuya sur son anus clos. Le tenancier lui demanda de pousser comme pour faire ses besoins et il en profita pour forcer les sphincters malgré les couinements de la jeune fille. En une minute le gros plug était en place, distendant ses muscles entre douleur et gêne ; Dédé claqua violemment ses fesses pour signaler qu’il avait fini.
Blandine se redressa en le fusillant d’un regard glacial. Il ricana avant d’attraper la blonde par sa queue-de-cheval et de la forcer à se trouver nez à nez avec lui.
— Il y a un truc qui ne te plaît pas, je crois.— Un truc ! Je vous rappelle que je me retrouve dans ce tripot alors que je devrais être en vacances avec des amies. Tout ça à cause de mon père qui se prend pour un champion de poker. Vous n’imaginez pas comme je suis contente d’avoir ce truc entre les fesses, de sucer vos amis, d’avoir perdu ma virginité avec vous. Mais je suis une salope, puisque vous le dites. Alors peut-être qu’un jour j’aimerai ça, mais pas ce soir.— Un peu que tu es une salope. Tu en connais beaucoup, des filles qui accepteraient de faire tout ce que tu as fait aujourd’hui ? Et oui, tu aimes ça, je suis sûr que si je fouille ta moule, je vais la trouver trempée et prête à se faire sauter. Non ?— ...— Alors pour calmer tes ardeurs, tu vas aller repêcher ta culotte et la remettre. Ça te refroidira les idées. — C’est dégueulasse ! se défendit la jeune fille.— Peut-être, mais tu vas le faire tout de suite.
Vaincue, Blandine s’agenouilla devant l’orifice des toilettes et récupéra sa culotte qui trempait dans un mélange sordide et puant ; elle s’essora du mieux qu’elle put avant de la passer et de la remonter sur ses cuisses fuselées, en grimaçant de dégoût. Elle commença à sortir mais Dédé l’arrêta :
— Reste là ! À genoux, comme tout à l’heure ; tu vas reprendre tes pipes, et tu as intérêt à t’appliquer !
Ravalant un sanglot, Blandine se positionna comme précédemment. Sauf que maintenant, son anus était empli d’un imposant plug et qu’elle portait une culotte souillée et visqueuse qui collait à son intimité. Elle soupira, puis ouvrit de grands yeux en voyant son père approcher en ouvrant son pantalon.

— Papa, non !— Et pourquoi donc, ma puce ?— Mais... Tu es mon père !— Et je n’aurais pas le droit de vider mes couilles ? Depuis que ta maman n’est plus, jamais je n’ai tiré un coup. Tu ne me refuserais pas un moment de jouissance, non ?— Mais... Bon, d’accord.
Résignée, elle ouvrit la bouche pour recevoir la verge paternelle, pas encore bandée, mais qui prit rapidement de l’amplitude au point d’écarteler ses mâchoires douloureusement. Elle gémit et enserra la bite épaisse à deux mains, en faisant à peine le tour. Gille était en effet pourvu d’une vraie matraque de chair, pas très longue mais d’une épaisseur hors norme. Il laissa sa fille lécher et pomper un long moment, puis il vit qu’elle fatiguait.
— Les mains, ça suffit maintenant. Croise-les dans ton dos, je ne veux plus les voir. Je vais baiser ta bouche de salope. Depuis le temps que j’en rêve...
Il saisit la nuque de Blandine à deux mains et entama une série de va-et-vient lents et de plus en plus profonds, son gland mafflu repoussant la luette et provoquant des haut-le-cœur irrépressibles chez la jeune fille. Pourtant elle ne chercha pas à s’échapper, tentant au contraire de maîtriser la nausée qui la faisait saliver. La bite gonflée à bloc était couverte de bave pendant en longs filaments et coulant sur la poitrine menue. Les yeux injectés de sang et noyés de larmes, Blandine poussait des cris de gorge à chaque coup de reins.
Puis le père sentit la délivrance approcher, il s’enfonça plus loin qu’il ne l’avait encore fait, écrasant les lèvres de sa fille sur son pubis, et il jouit directement dans la gorge offerte. Blandine ne put que déglutir péniblement pour recevoir la semence paternelle, elle crut qu’il n’en finirait jamais de se vider, les rasades succédant aux rasades. Puis le flux se tarit, et il libéra sa fille qui aspira goulument l’oxygène qui lui manquait. Pliée en avant, les mains posées sur le sol crasseux, elle toussa et cracha, reprenant peu-à-peu son souffle.
— Blandine, regarde-moi. Regarde ton père, redresse-toi...
Elle obéit dès qu’elle eut récupéré suffisamment ; dès qu’elle fut droite, elle comprit : son père tenait sa verge à moitié débandée dans sa main gauche et attendait pour uriner.
— Papa, s’il te plaît...— Ouvre la bouche, montre que tu es une salope. Tu es une salope, ma fille ? — Oui, je commence à croire que oui...
Secouant la tête, Gilles remit sa verge dans son caleçon et referma sa braguette, considérant sa fille avec un mélange de stupéfaction et de dégoût. Il ne la reconnaissait pas dans cette femelle sans pudeur et sans vergogne qui acceptait de subir les perversions les plus abjectes.
— Tu étais prête à boire ma pisse ?— Prête, non. Et ça ne me fait pas envie non plus. Mais je me serais forcée, fidèle à l’image de salope que vous m’avez donnée. Je ne comprends d’ailleurs pas comment tu pouvais avoir envie d’uriner sur moi, quel plaisir tu pensais y trouver. Je n’ai plus que du mépris pour toi, après ce que tu as fait. Je suis entrée dans cet infâme bistrot avec mon père, mais maintenant, je suis seule ici, entourée de loups lubriques aux mœurs dépravées.
Dédé s’est approché un instant et a demandé, tout en essuyant une chope de verre :
— C’est fini, tous les deux ? Il y a une bonne douzaine de clients qui veulent une pipe, alors il te faudrait t’y mettre !— Papa a fini, il va partir maintenant. Il faut qu’il se prépare pour aller perdre au poker. Moi, j’ai tout mon temps, et je suis prête. Envoyez vos clients, Monsieur. Je vais faire tout mon possible pour les satisfaire.— Je crois qu’on va s’entendre, toi et moi. Ça fait longtemps que je cherche une serveuse jeune , perverse et jolie.— Votre ami Maurice trouve que j’ai de jolis seins, mais je les trouve petits.— Personne n’est parfait.
Diffuse en direct !
Regarder son live