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Blandine et les loups

Chapitre 7

Trash
La jeune fille somnolait quand le coffre s’ouvrit. Clignant des yeux, elle tenta en vain de se redresser. Un des costauds la souleva et la déposa sans trop de manières sur ses pieds après avoir coupé l’attache rapide de ses chevilles. Elle constata alors qu’elle était dans une propriété privée dont le parc était ceint de hauts murs. L’homme la poussa devant lui alors qu’elle cherchait vainement son père. Il la conduisit près d’une piscine toute neuve et la délivra enfin de ses liens et du bâillon puis lui montra la douche extérieure.
— Tu te laves, il y a du gel douche et une serviette. Ensuite, tu pourras nager si tu veux. Il est 22 heures, nous arrivons dans une demi-heure. Je te préviens, nous sommes quinze. On va se relayer et te défoncer toute la nuit. Si tu es bonne, on te garde, sinon tu rejoindras ton père dans un trou.— Vous savez motiver les gens, vous, ironisa Blandine. Tout sera bon plutôt que de me retrouver avec ce salaud.— Tu n’as pas l’air de l’aimer, ton père.— Vous rigolez, là ? Je le déteste carrément. J’irai cracher sur sa tombe.— En tout cas, lave-toi, et prépare-toi à une nuit difficile.— Ouais, je me doute. J’espère juste que vous ne serez pas trop méchants avec moi.— Ça, tu ne dois pas y compter. Il y a des gardes qui sont de véritables bêtes et qui chercheront à te démolir.— Au moins, je sais à quoi m’attendre, murmura-t-elle. Ce n’est plus Blandine et les lions, mais Blandine et les loups. Et ils ont faim.
La soirée était douce, plusieurs réverbères éclairaient les lieux ainsi que des spots au fond de la piscine. Des chèvrefeuilles embaumaient, une petite chute d’eau glougloutait gentiment. La jeune fille se senti rassérénée dans ce cadre enchanteur. Elle jeta jupe et top maculés et froissés dans une poubelle et passa sous la douche après avoir testé la température de l’eau : tiède, parfaite. Sous le large pommeau elle dénoua sa chevelure dorée puis enleva le gros plug en grimaçant.
Quand elle se savonna, elle glissa trois doigts dans son anus avant d’y enfoncer la douchette, comme Dédé lui avait appris. Une fois récurée, elle se sentit bien mieux, détendue et sereine. « Tu es dans l’œil du cyclone, ma petite, tu vas entrer dans une zone de turbulence. » se dit-elle.
Fataliste, elle plongea tête la première dans la piscine ; remontant à la surface, elle cria son plaisir à la lune. Puis elle partit dans un crawl très lent, sensuel, glissant sans effort dans l’onde pure. Quand elle eut fait cinq ou six longueurs, elle s’immobilisa et leva les yeux, découvrant plusieurs hommes nus qui la suivaient du regard en silence.
Ils étaient une bonne dizaine, tous sur le même moule : des colosses à la musculature impressionnante, crâne rasé et tatouages tribaux, corps puissants souvent épilés. Plusieurs étaient noirs, peut-être la moitié, mais tous étaient pourvus d’attributs d’une taille hors norme. Blandine frémit en voyant leurs verges se dresser et gonfler lentement. Debout au centre de la piscine, elle mordilla sa lèvre inférieure, sentant son ventre se nouer d’appréhension et d’envie. Ses mamelons roses durcis au contact de l’eau gonflèrent et se tendirent encore plus, témoins discrets de son émoi.
Dans un silence juste troublé par le bruit de la cascade, elle s’approcha des hommes et tendit la main vers eux. Un black sourit et, saisissant la main tendue, la hissa sans effort sur le rebord. Ruisselante, magnifique naïade blonde, elle lui sourit en retour.
— Merci.— Tu n’as pas l’air d’une pute ; tu sembles si jeune...— Merci encore ; c’est parce que je n’ai que dix-huit ans, et que je ne suis pas une pute. Même si ça fait plusieurs jours que je dois me comporter comme une salope. Et je crois que ça va continuer, quand je vois vos bites. Je suppose que ça ne sert à rien de vous demander d’être prévenants.— Faut voir, objecta le black. Tu proposes quoi ?
— Je peux vous sucer à tour de rôle puis me faire sodomiser, mais ce serait mieux si vous aviez du lubrifiant, quand même.
Pour toute réponse, un des hommes envoya un énorme glaviot dans sa main et s’en servit pour masturber sa queue dont la taille fit frémir la blondinette. Écartant les bras en signe d’impuissance, elle s’agenouilla devant le black qui l’avait aidée et commença à lécher son gros esquimau au chocolat. Tellement épais qu’elle eut du mal à le prendre en bouche. Il força son avantage et vint aussitôt peser sur sa luette ; heureusement que Blandine avait beaucoup pris de cours de gorge profonde ces temps-ci : elle déglutit en se positionnant au mieux.
Sans rencontrer de résistance, la colonne de chair plongea jusqu’à la garde dans la gorge offerte. Tout au plus la jeune fille gémit car sa glotte se retrouvait écrasée par la taille impressionnante de l’intrus. Quelques larmes coulèrent sur ses joues mais comme Blandine sortait de la piscine, personne ne pouvait les remarquer.
Les hommes l’entouraient à présent, caressaient rudement son corps, des mains s’insinuaient entre ses cuisses. Elles butèrent rapidement sur la base du plug, quelqu’un la saisit et commença à effectuer des va-et-vient.
— Putain, j’y crois pas ! Elle a l’air d’une collégienne échappée d’un couvent et elle se trimballe un gros plug dans le cul !— Ouais, et elle suce comme une pro, je vous dis que ça. Les gars, on a décroché le gros lot, je vous le dis. Un mignon petit lot qui n’attend que nos grosses bites dans ses trous de salope !
Ça y est, se dit Blandine. Pour eux aussi je suis une salope. J’espère quand même qu’ils feront un peu attention à moi, je n’ai pas envie de finir déchirée. Ils sont si gros, leurs sexes ! J’ai vu des produits pour se protéger du soleil, je vais leur demander...
Aussi quand le black qui prenait sa bouche si profondément la libéra un instant pour la laisser respirer et cracher un flot de salive, elle pointa du doigt les flacons et tubes divers rangés près de la douche.
— S’il vous plaît, il y a de l’huile solaire, des crèmes apaisantes, vous pourriez en utiliser, au début ; j’aurais moins peur...— On en a rien à foutre, de toi ! commença un balèze hargneux à face de bouledogue.— Allez, les gars ! intervint l’homme qu’elle suçait. Si ça peut lui permettre de tenir plusieurs jours, c’est pas mal non plus, non ?— Ouais, ça d’accord, vas-y, Joe ! Mets de l’huile !— Je vais m’occuper de toi en premier, petite. Je ferai doucement, au début en tout cas.— Merci, Joe. Je m’appelle Blandine, au cas où ça intéresserait quelqu’un. Ouais, c’est pas sûr, ça. Pour eux, je suis juste la salope... murmura-t-elle en aparté.
Joe prit donc quelques instant à lubrifier sa bite raide et épaisse à faire peur avant d’enlever le plug et de verser directement dans l’anus de l’huile solaire. Puis il présenta sa verge et pesa sans plus de façon ; son énorme gland disparut dans le fondement bien préparé puis, d’une bon coup de reins, il propulsa une bonne moitié de sa queue dans l’anus.
— Ce que tu es serrée ! Chaude et serrée. Je continue ?— Ouf ! Doucement, je vais éclater, là ! se plaignit la blondinette d’une voix cassée. Oh ! Doucement !
Elle glissa une main sous elle et constata qu’il restait encore un bon morceau de bite à l’extérieur. Soupirant, elle comprit qu’il n’y avait rien à faire, il fallait passer par là.
— Allez-y, c’est pas grave. Je vais m’y faire. Ouch ! Enfin, sûrement...
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