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Blandine et les loups

Chapitre 8

Trash
Joe n’attendit pas une seconde de plus, il donna un nouveau coup de reins et réussit à propulser l’intégralité de son épieu dans le ventre de l’adolescente. Laquelle commença à crier de douleur, mais une verge épaisse en profita pour s’engouffrer dans sa bouche ouverte et manqua de l’étouffer. Elle n’eut d’autre choix que de sucer le rostre de chair.
Au moins, le sexe était propre, comme celui de Joe. Tout au plus dégageait-il une légère odeur de sueur et de musc pas désagréable. Ballotée entre les deux sexes qui l’embrochaient de part et d’autre, elle avait l’impression qu’ils essayaient de se rejoindre en tentant de l’investir toujours plus loin. Une chose était certaine, son corps avait intérêt à être souple pour accepter les puissants engins qui commençaient à se succéder. En effet, Joe s’était retiré pour laisser sa place à un autre mâle pourvu d’un engin au moins aussi gros.
« Ça y est, je suis prise dans une tournante. C’est sûr, ils vont m’ouvrir en deux avec leurs engins déments. Le type dans mes reins, il se prend pour un marteau-piqueur, c’est pas possible autrement ! Et celui que je suce, il me laisse à peine respirer. » pensa la jeune fille.
Quand celui qui la sodomisait se retira sans avoir joui, elle comprit que la nuit allait être longue et éprouvante ; très longue et très éprouvante. En effet, dès qu’un des hommes sentait monter l’envie de se répandre, il se retirait et laissait la tension redescendre. Ce qui fait qu’ils se succédaient en elle et la défonçaient sans ressentir la moindre fatigue. Au contraire d’elle qui, après une simple demi-heure de sodomie et de pipe non-stop, commençait à avoir des difficultés à suivre le rythme forcené imposé.
Puis l’homme derrière elle la souleva et la plaqua contre son torse de culturiste. Blandine poussa un cri de surprise, d’autant qu’un colosse black s’avançait devant elle. Sans faire de manières, il saisit ses jambes et les écarta, puis il guida sa queue hypertrophiée dans la fente rose oubliée jusqu’à présent. Et il la pourfendit d’une poussée sans faiblesse. Heureusement que Blandine était lubrifiée par un jus abondant qui suintait de son vagin car sinon elle aurait hurlé. Là, elle grimaça et gémit, prise en double-pénétration pour la première fois de sa vie.
— S’il vous plaît, non... Oh mon dieu, je vais éclater, c’est pas vrai...— Non, regarde ! Tu mouilles comme une salope.
« Ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas traitée de salope, ça me manquait » soupira-t-elle, fataliste « en tout cas, me voilà bien avec ses deux verges si grosses en même temps. Ce n’est pas trop désagréable, passée la surprise du début... »
Elle s’accrocha aux épaules de l’homme devant elle et se laissa aller, mais ils la forcèrent à monter et descendre, s’empalant elle-même sur les deux épieux. Puis celui qui la sodomisait se retira, aussitôt remplacé par un autre. La petite blonde noua ses mains autour du cou de l’homme qui pénétrait son vagin et se cambra pour faciliter la pénétration anale, qui se révéla éprouvante car la bite était particulièrement épaisse et dure comme l’acier.
La jouissance la prit au dépourvu. C’était même son tout premier orgasme depuis qu’elle avait basculé dans le côté obscur. Rien à voir avec ceux qu’elle déclenchait parfois en se caressant, cette fois elle perdit presque connaissance. Se raidissant lors de la montée du plaisir dans son ventre, elle ne put retenir un hurlement, plantant ses ongles dans le cou du costaud qui la portait.
— Putain, c’est pas vrai, elle jouit, la petite... Elle inonde ma queue, sa chatte est brûlante, je peux pas me retenir... Arg !
Il inonda la matrice de Blandine de semence épaisse, les secousses de sa bite firent jouir le type qui défonçait l’anus de la jeune fille. Dès lors, ce fut la curée, les hommes voulaient tous se vider qui dans le cul, qui dans le vagin, qui dans la bouche. Une heure plus tard Blandine gisait sur un bain de soleil, jambes impudiquement écartées et ses orifices débordant de foutre. Dans un état semi-comateux, elle comprit que Joe la soulevait et la prenait dans ses bras. Il la déposa sur un petit lit dans une petite chambre de la grande maison et repartit en éteignant la lumière. Elle sombra dans un sommeil sans rêve.
À son réveil, le soleil filtrait par les interstices des volets. Elle s’étira en grimaçant, poussant même un cri quand elle s’assit sur le bord du lit. Elle renifla et frémit de dégoût : son corps puait et collait, couvert d’un mélange de sueur et de sperme séchés. Ses voies étaient douloureuses ; quand elle passa une main sur son entrejambe pour évaluer les dégâts, se pliant en avant pour constater de visu, elle comprit pourquoi elle avait mal : ses lèvres étaient gonflées et la chair à vif. Quant à son anus, sa couleur rougeâtre et malsaine s’accompagnait d’une irritation extrême.
Rassemblant tout son courage, la jeune fille se leva et, au hasard, ouvrit les portes s’offrant à elle. La deuxième était la bonne : une douche carrelée occupait le fond. Elle se glissa sous l’eau presque froide coulant du pommeau et se lava longuement et minutieusement de toute trace de la nuit de débauche qu’elle avait vécue. Elle décrocha ensuite le pommeau pour le glisser entre ses jambes et nettoyer en profondeur ses orifices tuméfiés à l’eau tiède.
En fouillant dans la petite armoire au-dessus du lavabo, elle trouva un tube de pommade apaisante dont elle fit bon usage. Ragaillardie, elle s’enveloppa dans une grande serviette de bain et partit explorer la maison. Un brouhaha de conversations l’attira vers une porte qu’elle ouvrit, atterrissant dans une vaste cuisine, plutôt un réfectoire en fait, occupé par une dizaine d’hommes qui mangeaient. Un coup d’œil à une horloge murale lui apprit qu’il était midi et demi ; son estomac gargouilla, lui rappelant qu’elle n’avait rien mangé, juste bu. De l’eau et du sperme, en quantité. À ce souvenir, la jeune fille grimaça mais s’avança dans la pièce ; elle reconnut plusieurs hommes qui avaient participé à l’orgie de la nuit, certains lui firent un signe de la main ou de la tête, un clin d’œil, un sourire.
— Bonjour, je peux manger quelque chose ? J’ai un peu faim.— Tu peux bouffer mes couilles, proposa un colosse torse nu. Et sucer ma queue.
Il partit d’un éclat de rire et tapota le banc à sa gauche, montrant la place libre. Blandine s’assit en prenant garde à ne pas perdre sa serviette, songeant qu’ils en avaient vu bien assez la veille. Elle mangea de bon appétit une part d’omelette aux poivrons et pommes de terre, dut même boire un grand verre de vin rouge malgré ses dénégations.
— Alors, tu as survécu, la petite. Ce n’était pas si terrible, et tu as assuré, lui lança son voisin.— Je m’appelle Blandine. Et je ne suis pas petite.— Arrête, tu mesures un mètre soixante à tout casser, pour quoi, cinquante kilos ?— Un peu moins, quarante sept.— Et tu vois, je mesure presque deux mètres pour cent dix kilos. Alors pour moi, t’es la petite.
Avec le fromage, Blandine but encore un verre de vin et commença à se sentir pompette. Elle n’avait jamais bu d’alcool de sa vie, si ce n’étaient quelques gorgées de bière dans le troquet de Dédé, pour faire passer le goût du sperme. Elle se laissa aller contre Joé et ne protesta pas quand il fit tomber la serviette, dévoilant sa poitrine effrontée.
— Tu as de beaux nichons, petite. Tu aime te les faire sucer ?— Ben, je sais pas. On ne me l’a jamais fait.— Et ta chatte, intervint le costaud à sa gauche. Tu aimes te faire lécher ? Tu dois avoir super bon goût.— Ah bon ? Il y a des gens qui font ça ?— Eh ! D’où tu sors, du couvent ?— Presque. J’ai passé mon bac le mois dernier dans une école privée catholique, j’étais pensionnaire.— Finis de manger, je vais te faire grimper aux rideaux ; je vais bouffer ta chatte comme dessert.
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