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Blandine et les loups

Chapitre 10

Trash
De nombreux sourires s’affichèrent, la jeune fille se sentit déshabillée du regard, soupesée et évaluée. Elle ne doutait pas qu’ils étaient prêts à passer à l’action sans attendre le soir.
— Tu vas arriver à assurer ? demanda un géant ressemblant à Thor (sans le marteau). Tu n’as pas l’air bien solide.— Ben, ça dépend de vous. J’espère que vous ferez un peu attention.— Ouais, quand tu te seras pris nos bites dans ton petit cul, je crois pas que tu pourras t’asseoir avant longtemps !— Je sais. En attendant, vous me faites une place ? J’aimerais manger un peu.
Comme la veille Blandine s’installa entre deux hommes qui se chargèrent de la faire boire. Elle n’osa pas refuser, se disant aussi que ça lui donnerait du courage. Trois verres de vin blanc plus tard, elle était à moitié ivre et riait aux blagues salaces de ses voisins qui ne se privaient pas pour la caresser. Une main dans son short, une autre sous son tee-shirt d’abord, puis elle se retrouva nue sans trop savoir comment, assise sur un des deux hommes. Jambes écartées largement, dos contre un torse puissant, elle subissait des attouchements précis. Deux doigts plongeaient en profondeur dans ses replis trempés, un autre faisait rouler son gros bouton, deux mains caressaient sa poitrine.
Haletante, les yeux clos, la blondinette gémissait, au bord de l’orgasme ; ses mains avaient été guidées sur deux organes turgescents qu’elle masturbait lentement. Le bassin basculé vers l’avant, elle s’offrait totalement aux caresses vicieuses. Un signal interrompit la scène avant qu’elle ait pu jouir et elle se retrouva frustrée, pantelante et tremblant de désir.
Seule dans le réfectoire, elle soupira puis décida de revenir à la piscine pour se préparer ; il lui restait une heure avant l’arrivée des Rouges. Ça lui faisait peur mais son corps les réclamait. Elle nagea un long moment pour retrouver ses esprits puis entreprit de rincer son fondement avec la douchette. Enfin, elle le prépara soigneusement, plongeant quatre doigts huilés dans son anus. Blandine était étonnée de pouvoir se pénétrer ainsi sans ressentir de douleur particulière. Elle joignit le pouce aux autres doigts et réussit presque à glisser toute sa main.
Elle s’allongea sur son transat et attendit. Pas longtemps car quelques minutes plus tard, ils commencèrent à arriver ; elle frémit car ils étaient nus et bandaient comme des malades. Ils l’encadrèrent et de nombreuses mains s’emparèrent de son corps, la conduisant dans un état d’excitation extrême.
— Tu as la chair de poule, je vois. Tu as froid ?— Non, j’ai juste un peu peur de ce qui m’attend.— Pourtant, tu mouilles comme une chienne, et tes petits tétons sont durs comme du bois.— Je sais. Mais vous êtes si nombreux, et vos verges sont si grosses...— Tu vas les sentir passer, c’est sûr, dit un brun au crâne rasé. Il paraît que tu suces bien. Allez, montre-moi ça !
Blandine s’agenouilla et entreprit de sucer la bite épaisse qu’il lui présentait. Un cri lui échappa quand quelqu’un en profita pour la sodomiser sans préambule. L’anus distendu au maximum, elle se concentra sur la bite qu’elle avala jusqu’à buter du nez contre les abdos. Puis elle recula pour sucer fort et masturber la hampe majestueuse. Elle comprit que ce soir non plus ils ne voulaient pas jouir trop vite : ils se retirèrent et la jeune fille dut enjamber un autre mâle allongé sur un matelas. Elle guida sa verge roide au centre de son intimité et descendit. Son vagin s’ouvrit assez facilement malgré la taille de l’engin, aussitôt des mains la poussèrent en avant pour qu’elle s’allonge corps à corps.
Une grosse queue s’engouffra dans son anus ; de surprise, elle poussa un cri étouffé par une troisième bite qui s’enfonça dans sa gorge.
— Putain qu’elle est étroite !— Oui, mais chaude comme la braise !— Et elle suce divinement. Avec sa mine de première communiante je lui aurais donné le bon Dieu sans confession, à cette salope !
« Oui, il a raison, je suis bien devenue une salope, se dit Blandine. Car je crois que j’aime ça, me faire prendre en même temps par tous ces hommes. Ils sont un peu rustres mais ils savent y faire. »
De fait, elle jouit plusieurs fois dans les heures qui suivirent, buvant sans compter les nombreuses éjaculations dont ils l’abreuvèrent, chacun à plusieurs reprises. Cette fois, personne ne joua le bon Samaritain et ne la porta dans sa chambre. Elle resta donc allongée sur un matelas souillé, incapable de se lever tellement elle était épuisée. Le froid l’obligea cependant à réagir et elle se traîna sous la douche. L’eau chaude la revigora suffisamment pour qu’elle ait le courage de se savonner et de nettoyer en profondeur ses orifices douloureux.
Elle entra enfin, enveloppée dans une serviette de bain, et eut la chance de trouver aussitôt sa petite chambre. Facile, quelqu’un avait écrit à la craie « salope » sur la porte. « Pff ! de vrais gamins » se dit-elle. La jeune fille sombra dans un sommeil profond à peine couchée.
Une semaine passa de la même façon. Comme elle l’avait deviné, tous les hommes travaillaient pour Lioubovson comme mercenaires, gardes du corps, force d’intervention privée, service de sécurité. Ils étaient une centaine mais seulement trois équipes, bleu, rouge et noir, étaient ici. Les autres équipes étaient sur le terrain en mission. Chaque soir, Blandine était offerte à une équipe. Sa journée restait libre, mais souvent quelques gaillards venaient la voir pour assouvir leurs pulsions.
Puis, un jour, l’ambiance changea. En début d’après-midi, les mines devinrent graves. Un bruit parvint aux oreilles de Blandine qui lisait dans un salon (dehors, un orage couvait, un vent violent soufflait en rafales) : le Maître était de retour d’Angleterre. Ou du Périgord, personne ne savait. Puis ce que craignait la jeune arriva, un garde s’approcha d’elle et lui lança :
— Allez, vite. Le Maître veut te voir. Dépêche-toi, il n’aime pas attendre.— Mais... Bon, d’accord...
Elle se leva et considéra sa tenue très succincte : un mini short noir et un débardeur rose, tous deux trop petits pour elle de plusieurs tailles la moulaient outrageusement.
— Je reste comme ça ? Je n’ai rien d’autre à me mettre.— Non, tu restes pas comme ça. À poil, vite ! Tu paraîtras devant le Maître sans rien pour masquer ton corps de salope !— Décidément, c’est une idée fixe, ronchonna-t-elle en se déshabillant rapidement.
L’homme saisit fermement son biceps gauche, lui arrachant une protestation qu’il feignit ne pas entendre ; il la guida devant une porte double, toqua deux fois, attendit dix secondes et ouvrit. Tête baissée respectueusement, il s’avança, tirant Blandine derrière lui. La petite blonde, malgré sa nudité, ne baissa pas les yeux et embrassa la salle d’un regard curieux.
C’était un grand salon meublé d’un large fauteuil de cuir fauve placé face à une télé à écran géant. Sur l’écran défilaient des images qu’elle n’oublierait pas de sitôt : l’exécution de son père d’une balle dans la nuque, le corps basculant dans une fosse creusée dans une clairière.
Mais ce qui la marqua durablement, ce fut de découvrir l’homme assis dans le fauteuil. Un homme ? Un géant, oui. Il arrêta la télé d’une pression sur la télécommande et se leva, faisant face aux deux arrivants.
— Théo, laisse-nous, j’ai à m’entretenir avec la petite.— Bien chef. Bienvenu ici. Respect des groupes Rouge, Bleu et Noir.
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