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Blandine et les loups

Chapitre 13

Trash
— Non, je pensais enfoncer mon bras jusqu’au coude, en fait. Ce produit est miraculeux.— Tu sais quoi ? Tu n’es pas drôle, là !
Liou ne répondit pas, mais il souriait jusqu’aux oreilles tout en préparant l’anus de Blandine. Il réussit à enfoncer deux doigts – et les siens étaient gros – sans rencontrer de résistance. Il lubrifia un peu plus et glissa son annulaire en plus des deux autres, arrachant un gros soupir à la jeune fille. Qui se cambra un peu plus pour mieux s’offrir. Bouche ouverte, elle respirait au rythme des mouvements des doigts dans son postérieur.
— C’est bien, tu es souple.— Viens, s’il te plaît, répondit-elle d’une voix rauque.
Le géant présenta donc l’extrémité de son rostre devant la rosette, retira ses doigts et pesa. Abondamment graissé, l’épieu de chair pénétra la croupe offerte sur presque dix centimètres. Toute la partie effilée avait pénétré, à partir de cet endroit l’épaisseur devenait conséquente. Il laissa sa petite partenaire s’adapter à la situation présente, appréciant les contractions des sphincters qui pompaient involontairement sa queue. Puis il donna une nouvelle poussée, arrachant un long gémissement à la blondinette.
— Mon dieu mon dieu mon dieu....— Il n’a rien à voir là-dedans ; moi, c’est plutôt le diable. Comment ça va ?— Que c’est gros, j’ai l’impression d’éclater, d’être empalée, traversée de part en part.— Et tu as mal ?— Oui. Non. Un peu. Tu es... Tu es tout entré ?— Non, il s’en faut de beaucoup. Mais la suite est à peine plus épaisse.— Alors continue, je t’en supplie.
Liou empoigna les hanches de Blandine et donna un nouveau coup de reins qui propulsa sa queue encore plus loin. La jeune fille renifla et se tourna vers lui, de grosses larmes ruisselant sur ses joues. Les yeux rouges, elle lui adressa un pauvre sourire puis passa une main entre ses jambes pour juger de la taille de ce qui distendait son anus à exploser. Elle frémit en comprenant qu’il restait encore plus de la largeur de sa main à l’extérieur. Le plus épais.
— Allez, défonce-moi. Je ne suis pas en sucre ! Ah ! Aah ! Mon dieu !— Tu as mal, ma puce ; tu veux que je me retire, c’est ça ?— Pas question. Je ne m’assoirai plus jamais, je crois, mais vas-y à fond.
Il ne se fit pas plus prier et entreprit de mouvoir sa queue lentement mais sur une grande amplitude, sortant presque complètement pour revenir à fond, arrachant des plaintes déchirantes à sa proie.

— Tu es ma petite salope, maintenant. Ton cul m’appartient et je vais tellement le défoncer qu’il ne se refermera pas de sitôt.
Progressivement, il accéléra la cadence jusqu’à en arriver à asséner de véritables coups de boutoir dans les reins de son amante. Il la maintenait en position de ses mains faisant le tour de sa taille fine, accompagnant ses assauts en la tirant à lui. Ce faisant, la jonction des corps s’accompagnait d’un claquement sec de chair contre chair. Cependant ce bruit était couvert par le gémissement continu que poussait la jeune fille. Son corps menu complètement relâché n’était plus qu’une poupée inerte sous les ruades puissantes de son suborneur.
Lequel poussa soudain un râle en déversant une quantité invraisemblable de sperme dans les entrailles de la jeune fille. Il se laissa tomber sur le côté, entraînant Blandine avec lui de manière à ne pas libérer son anus. Ils reprirent leur souffle et leurs esprit en silence, collés l’un contre l’autre, la petite blonde se cambrant pour rester empalée sur la gigantesque bite qui ne montrait aucun signe de faiblesse.
— Pfiou ! Je crois que mon petit trou ne s’en remettra jamais !— Tu n’as pas joui, ma petite ?— Non. Mais j’ai adoré te sentir en moi, si loin, si gros... Je peux toucher ta verge là, sous la peau de mon ventre, au-dessus du nombril. Ça fait bizarre. Et mon ventre est gonflé, j’ai l’impression d’être pleine...— Tu veux remettre ça tout de suite ?— J’ai un peu soif. Tu me proposes quoi ?— Beaucoup d’eau pour moi, du champagne pour toi ?— Tu ne bois pas d’alcool ?— Si, ça m’arrive. Mais mon métabolisme considère l’alcool comme un aphrodisiaque puissant, et après...— Tu me fais marcher, là !— Non, je te jure que c’est la vérité. En plus après avoir joui j’ai besoin de m’hydrater. Tu n’as peut-être pas remarqué, mais j’éjacule près d’un demi-litre de sperme à chaque fois. J’ai soif.
Sans plus attendre il se leva, serrant Blandine contre lui ; toujours empalée sur le monstrueux engin, elle poussa un petit cri quand, sous l’effet de son seul poids, elle s’emmancha encore plus profondément.
— Tu n’as pas l’intention de me garder ainsi toute la nuit, j’espère ?— Je pense profiter de ta chatte et de ta bouche, te faire avaler une bonne dose de semence, aussi.
Toujours intimement emboîtés, ils ouvrirent un petit frigo et sortirent une bouteille de champagne que le géant déboucha. Il servit deux coupes avant de se désaltérer d’une grande bouteille d’eau minérale. En trinquant, il précisa :
— Il n’est pas 17 heures, mais là je suis parti pour te baiser au moins jusqu’à minuit.— C’est l’effet du champagne ou tu es toujours comme ça ?— Si je ne bois pas, j’arrête à 11 heure trente.— Alors on trinque.
Pendant deux heures, Lioubovson prit Blandine par tous ses orifices quasiment sans discontinuer. Tout au plus buvaient-ils régulièrement de l’eau ; le géant ne suait quasiment pas, sauf du visage et des mains, au contraire de la jeune fille dont la peau luisait. Ses cheveux blonds poissaient, moins de sueur que de sperme, car Liou avait joui sur son visage. Elle n’avait pu boire qu’une infime partie de l’éjaculation bien trop abondante, le reste aspergeant ses cheveux, sa face et son torse.
Après cela, il avait à nouveau sodomisé Blandine ; son vagin était trop douloureux car un peu plus tôt il avait forcé sa matrice et pénétré l’utérus sur une dizaine de centimètres. Au moins, il pouvait enfoncer toute la longueur de son mandrin dans son anus.
Ils furent interrompus par des coups discrets mais insistants à la porte. Se redressant alors qu’il démontait sans douceur les reins distendus de Blandine, le Maître lança d’une voix courroucée :
— Qu’y a-t-il ?— Votre père, Monsieur. Il vient d’arriver.— Bon sang ! Il m’avait dit qu’il passerait me dire au revoir avant mon départ pour le Sussex. J’avais oublié. Vite, à la douche. Je vais te présenter un authentique maître des arcanes, ancien aventurier au passé tumultueux.— Je suis morte ; je ne sais pas si je vais pouvoir marcher.— J’ai un onguent fabuleux, ainsi qu’une potion magique : décontractante, aphrodisiaque et tonique à la fois.
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