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Blandine et les loups

Chapitre 14

Trash
Il leur fallut presque une demi-heure pour rejoindre le père de Lioubovson. Blandine avait bu double dose de potion avant la douche, puis le Maître avait oint son corps d’onguent, insistant sur son bas-ventre et jusque dans les orifices douloureux de l’adolescente. Pieds nus mais vêtue d’une longue robe blanche à volants, elle suivit son amant dans les couloirs du manoir jusqu’à un salon dans lequel attendait un homme tout de noir vêtu. Blandine le salua respectueusement de la tête sans oser s’approcher, mais tout en l’examinant à la dérobée.
Grand, le visage émacié et noble, il portait fièrement une longue crinière de cheveux gris qui tombait sur ses épaules. Ses yeux noirs se posèrent sur la jeune fille et la détaillèrent longuement ; puis un sourire apparut sur ses lèvres avant de gagner ses yeux qui pétillèrent.
— Mon fils, je pense que tu as trouvé celle que tu cherchais. Je te l’avais dit qu’elle existait quelque part sur terre.— Oui, je le pense aussi. Jusqu’alors toutes celles que j’ai approché fuyaient une fois qu’elles comprenaient ce que je suis. — QUI tu es, mon fils. Pas CE QUE tu es. Tu es un être vivant, seulement en partie humain certes, mais tu es fait de chair et de sang, comme moi, comme cette jolie petite. Tu l’as connue comment ?— C’est une longue histoire. Elle est la fille d’un joueur compulsif qui refusait de payer ses dettes. Pour sauver sa peau, il n’a pas hésité à la jeter en pâture à ses créanciers. Je l’ai sortie d’un bouge infâme et l’ai d’abord donnée à mes hommes. Puis je l’ai rencontrée. Papa, je te présente Blandine. Blandine, mon père, Sergueï.
Gauchement, la jeune fille embrassa Sergueï sur les deux joues puis recula, les joues rosies par l’émotion. Elle aussi sentait que se rencontre avec Liou était un signe du destin ; elle se sentait en sécurité avec lui, choyée et aimée. Machinalement, elle passa une main sur sa poitrine, la trouvant très sensible et gonflée : ses tétons dardaient outrageusement sous le fin tissu. Un effet de la pommade, sans doute. Son ventre aussi devenait lourd et elle serra les cuisses en réprimant un gémissement.
— Tu bois quelque chose, après cette longue route ?— La Jag a tourné comme une horloge. Je prendrai comme d’habitude, si cette charmante créature accepte de me servir.— Moi ? s’étonna Blandine. Bon, d’accord.— Une vodka-Martini. Mélangée au shaker, pas à la cuillère.
Liou montra à la jeune fille où se trouvaient les boissons et les deux hommes discutèrent pendant qu’elle préparait le cocktail et servait deux nouvelles coupes de champagne. Elle eut un étourdissement quand elle trinqua avec eux, Sergueï la retenant par un coude.
— Ça ne va pas ?— Juste un éblouissement ; et mon ventre... Il brûle un peu. J’ai chaud...— Blandine ! s’écria Liou, affolé. Assieds-toi un instant.
Il la conduisit à un grand fauteuil et la fit asseoir, mais après une minute à peine la jeune fille se cambra et la coupe de champagne lui échappa. Poussant un cri plaintif, elle leva des yeux désolés sur son amant et bredouilla :
— Liou, fais quelque chose, je t’en supplie. Je brûle...
— Mon fils, tu ne lui a quand même pas administré de ma potion en trop grande quantité ?— Euh... Deux cuillères à soupe pleines.— Non ! Elle semble peser dans les cinquante kilos, tu aurais dû t’arrêter à une demi cuillère ! Et tant que j’y suis, tu n’as pas utilisé l’onguent spécial en même temps, j’espère !— .....— Tu es une triple buse ! Son organisme est saturé d’hormones du désir, elle a besoin de rapports sexuels immédiats et si possibles nombreux.— Mais je peux...— Nous avons rendez-vous dans une demi-heure chez Julien Cthulhu. Il devrait y avoir Henri Tepes et Gustave Astaroth : il n’est pas possible de reporter ! Ensuite, nous serons pris pour un bon moment à la soirée qu’il organise en notre honneur.
Le géant considéra la situation avec le plus de sang-froid qu’il pouvait. Blandine se mordait les lèvres et pétrissait sa poitrine inconsciemment, en proie à un émoi grandissant. Il sortit son portable et composa un numéro en raccourci.
— Joe, je dois sortir ce soir. Tu réunis tous les hommes disponibles sur les trois équipes. Blandine a un souci, elle est à vous jusqu’à ce que je revienne, sûrement pas avant minuit. Ne lui faites aucun mal, mais vous pouvez la baiser comme bon vous semble.
Il raccrocha et s’accroupit devant Blandine ; les yeux clos, elle tremblait de tous ses membres pour résister au désir qui tenaillait son corps. Il lui souleva le menton et essuya la sueur qui perlait sur son front.
— Je suis désolé, mais je dois partir avec mon père. Mes homme essaieront d’éteindre le feu que j’ai allumé bien involontairement. Allez, debout... Enlève cette putain de robe... Bon sang ! Tes nichons...
La poitrine de Blandine avait triplé de volume et surtout, ses tétons pointaient agressivement ses bouts roses gros et long comme une phalange. Liou ne put s’empêcher de les empoigner et de les faire rouler entre deux doigts, arrachant des gémissements plaintifs à sa victime. Ce fut pire quand il glissa une main entre ses cuisses disjointes ; ses doigts glissèrent dans les replis marécageux et torrides, rencontrèrent le clitoris engorgé largement sorti de son capuchon. Ce fut le moment que choisit Joe pour frapper à la porte. Le géant se recula en grognant et fit entrer son lieutenant.
— Joe, je te confie Blandine. Tu m’en réponds sur ta tête. Elle a absorbé par mégarde un produit qui... Il lui faut de la bite, maintenant, et je dois partir. Baisez-la jusqu’à mon retour. — Bien, chef. Pas de restriction ?— Non, c’est elle qui vous préviendra si elle refuse quelque chose. Ça te va ?— Parfaitement, chef. Je ferai attention à elle, c’est une chouette fille.
Téléphonant à ses hommes, il prit doucement la main de Blandine, salua les deux hommes, puis quitta la pièce suivi docilement par la jeune fille. Un orage couvait, il la conduisit donc dans un grand gymnase au sous-sol du bâtiment. Une quinzaine d’hommes se déshabillaient quand ils entrèrent dans la grande pièce. Tous les regards se portèrent sur la femme nue et ils comprirent tout de suite qu’elle n’était pas dans son état normal. Leurs sexes se dressèrent devant cette odalisque habitée par le démon du sexe. Leur mains coururent sur sa poitrine orgueilleuse, ses flancs frémissants, mais elle voulait plus, et tout de suite.
Blandine se cambra avec une impudeur totale et écarta ses petites fesses à deux mains pour offrir ses orifices suintants de désir et de besoin de stupre. Joe montra l’exemple en la sodomisant d’une poussée violente ; la jeune fille n’eut même pas un rictus de douleur alors que l’épaisse bite l’avait pénétrée jusqu’aux couilles, elle poussa juste un soupir de plaisir.
— Les gars, son cul est grand ouvert et bien souple. Le chef est passé par là, je crois qu’on va devoir y aller à deux ensemble ! Vous entendez, merde ! Remuez-vous !— Du calme, Joe !— On attaque, soulève-la, Joe, et tiens-la contre toi...
Joe se redressa en collant Blandine contre lui. Une fois debout, il laissa la jeune fille s’empaler sur son épieu et fit signe à un type musculeux pourvu d’une bite particulièrement longue.
— Viens, soulève ses cuisses et glisse ta queue à côté de la mienne.
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