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Blandine et les loups

Chapitre 17

Trash
De fait, ils étaient collés par l’énorme boule formée dans les reins de Blandine. Il ne pouvait sortir sans la déchirer, du moins tant que le lien ne diminuait pas. Inquiet, Liou gagna la salle de bain et se glissa sous la douche. Il régla le mitigeur sur « froid » et fit couler l’eau sur leurs deux corps.

Si Blandine glapit quand sa peau se couvrit de chair de poule, elle ne protesta pas, comprenant ce que son amant voulait faire. De fait sa verge perdit lentement de sa superbe et se dégonfla suffisamment pour que Liou puisse soulever la gracile ado et la libérer. Un flot ininterrompu de liquide séminal jaillit alors, d’autant que l’anus restait béant.

Il l’était encore un peu quand les amants se placèrent sous la soufflerie. Blandine était radieuse algré la vive douleur qui poignardait ses reins au moindre pas. Le géant ébouriffa ses cheveux en riant.

— Tu m’as estomaqué, ma puce. Ce que tu as réussi à faire, c’est impressionnant. Et j’ai adoré, la sensation est extraordinaire. Merci.
— J’espère que tu as une super pommade, maintenant. Parce que sinon, je vais pouvoir mettre une couche-culotte. À mon âge, ça fait désordre.
— Ne t’en fais pas ; grâce à ma mère qui est une herboriste hors pair, mon père a fabriqué des onguents et des filtres dingues. Que tu ne risques pas de trouver dans le commerce, bien sûr. Je vais te badigeonner la zone sensible avec la même pommade qu’hier, puis nous discuterons avec papa sur ce qui est possible.

C’est autour de la table de la cuisine, alors qu’ils déjeunaient tous trois sans façon, que Liou aborda le sujet.

— Papa, nous avons un souci intime à régler avec Blandine.
— Je comprends. Elle refuse de faire l’amour avec toi, horrifiée par ton sexe.
— Pas du tout, elle est tout à fait partante, au contraire.
— Ah ? Alors elle est d’accord, mais la nature fait qu’elle n’est pas assez accueillante.
— Ce n’est pas ça, j’ai pu la pénétrer après quelques préparations nécessaires.
— Bien bien... Tu n’arrives pas à lui mettre toute ta queue, la base est bien trop grosse.
— Mais non, je l’ai prise hier soir...
— Mon fils, tu m’énerves à tourner autour du pot !
— Mais... Papa, c’est toi qui fais des suppositions erronées depuis une heure !

Sergueï considéra la situation et secoua la tête, déconfit. Puis il tendit la main et caressa la joue de Blandine qui écoutait tranquillement.

— Ma chère Blandine, je ne sais comment tu fais pour avoir un minois aussi pur et angélique tout en partageant la couche de mon fils. En y faisant tout ce qu’il raconte sans en mourir. Sois en remerciée, je pensais qu’il allait finir ermite dans le désert de Gobi.
— Merci aussi, monsieur. Votre fils est certes impressionnant, mais c’est un être prévenant et sensible ; et je l’aime tel qu’il est.
— Mon fils, tu as entendu ! Bon, quel est ton souci ?
— J’aimerais avoir un produit qui facilite nos rapports et rende les orifices de Blandine plus souples.
— N’envisage même pas de prendre trop profondément son sexe, c’est tout bonnement impossible. Pour son anus, je pense qu’il est possible de faire quelque chose. Je vais demander à Isatys.
— Maman, expliqua Liou. Elle voudra sûrement te rencontrer, Blandine.

La jeune fille hocha la tête, pas vraiment pressée de rencontrer une succube. Après le repas, elle embrassa Sergueï qui prenait la route pour revenir chez lui et alla se reposer, laissant les deux hommes discuter entre eux. À son réveil après une courte sieste, elle sursauta en découvrant une jeune femme à la longue chevelure brune qui ondulait presque jusqu’au sol. Vêtue d’une tunique indienne et d’un pantalon corsaire qui moulait ses jambes fines, elle était debout à un mètre du lit où reposait Blandine.

— Ainsi donc, tu es cette fille qui plaît tant à mon fils, dit la femme d’une voix douce et sensuelle.
— Mon dieu, vous êtes.... Isatys ? Je m’appelle Blandine. Enchantée, madame.

La jeune fille s’assit sur le bord du lit, incertaine de la conduite à tenir devant une démone. S’agenouiller ? Se prosterner ? Isatys comprit la question informulée et répondit :

— Pas de chichis entre nous, Blandine. Je vais t’examiner et décider de ce qu’il convient de faire avec toi. Lève-toi et déshabille-toi.

Pendant que la petite blonde s’exécutait, la succube allumait les lumières et écartait les rideaux. Puis elle approcha de Blandine qui avait, par habitude, pris la position d’attente, exposant crûment son corps nu.

— Bien... Tu as reçu une bonne éducation, à ce que je vois... C’est bien ce que je pensais, tu es maigrichonne, tu n’as pas beaucoup de poitrine ni de fesses. J’ai ici une fiole de fruit de lune rousse que j’ai empruntée à Méphisto. Tu vas boire ça et ton corps va rapidement changer. Tu pourras recevoir mon fils dans tes orifices sans être détruite. Allons, bois !

Un peu craintive, Blandine n’osa refuser et avala le contenu de la petite fiole d’albâtre. Le liquide avait une odeur suave et un goût sirupeux. En rendant le récipient vide à la succube, la jeune fille ne put manquer l’expression ironique sur son visage.

— Je l’ai bu, votre truc. Mais vous semblez avoir oublié de me dire quelque chose, non ?
— Tu n’as pas tort. Cette potion a des effets secondaires puissants : ta féminité sera exacerbée à un point extrême. D’ici quelques minutes, ta poitrine va gonfler et devenir hypersensible ; elle commencera même à produire du lait. Tes organes sexuels apparents ou non seront hypertrophiés. D’adolescente pubère tu deviendras une odalisque perverse, une hétaïre avide de se faire prendre sans cesse.
— Mais, pourquoi...
— Mon fils a signé un pacte pour sauver la vie de son père. Il doit offrir à son démon-maître la femme qui l’aime et qu’il aime. Grâce à cette potion que tu as bue de ton plein gré, tu vas devenir une esclave obsédée par le sexe, incapable de te refuser à tout mâle, humain ou non. Tu seras offerte en pâture à mes frères et mes cousins, démons et incubes pourvus de bites démesurées qui t’auraient tuée en te baisant. Maintenant, grâce à ta transformation, tu accueilleras les plus gros chibres. Pas sans douleur, il ne faut pas exagérer, mais sans dommage permanent.

Horrifiée, Blandine écoutait à peine ; elle sentait son corps changer, ses organes internes se réarranger. Isatys lui tendit une grande bouteille d’eau et elle but longuement, son organisme réclamait du liquide. La poitrine et le ventre en feu, elle retint un gémissement en se rendant compte que sa poitrine gonflait à vue d’œil. Les aréoles se projetaient en avant, elle ne put résister à l’envie de les toucher ; une onde de plaisir la traversa, si forte qu’elle faillit tomber. Comme gagnée par la frénésie, sa main descendit sur son ventre. Elle cria en touchant son clitoris engorgé qui avait pris la taille d’un pouce tendu.

— Tiens, comme je suis bonne fille, lança Isatys, j’ai fait appel à Bélial pour te soulager. Il est un peu brusque, beaucoup macho et monté comme un âne. Et ce n’est pas une figure de style. Allez, cousin. Viens démolir ma nouvelle bru.

Une forme sombre apparut dans la pièce, prenant une apparence plus solide d’instant en instant, jusqu’à devenir un démon cornu et fourchu. Un rire narquois fendit sa face de bouc géant quand il avisa Blandine tétanisée par l’effroi. Il s’avança lentement, précédé par une virilité qui gonflait jusqu’à atteindre des dimensions inhumaines. Blandine aurait fui si elle avait pu, mais tout son être la projetait en avant, vers le démon qui allait la posséder sans pitié.

— Oh putain con, vé la belle gonzesse, je vais la défoncer « chanmé » ! Lança le démon en prenant l’accent marseillais.
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