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Le blog de Marguerite

Chapitre 2

Trash
25 Mai 2014 : Mon frère est un crétin complet
Mon frère est stupide. Alors d’accord, il n’a que 16 ans, soit un an de moins que moi, mais cela n’empêche qu’il est vraiment stupide pour son âge. Tenez, lui et deux de ses amis étaient à la maison hier. Ils jouaient à la console, à des jeux de guerre : Pan-Pan-Pan, Ratatatata, etc.Et c’était vachement bruyant, on se serait cru en Syrie. Et c’était chiant parce que je voulais faire de la poésie et on ne peut pas faire de poésie quand on entend des balles voler. En plus, ils gueulaient à chaque fois que leur personnage mourrait. Normalement mes darons auraient dû leur dire de faire moins de bruit, mais ils étaient partis au resto pour la soirée.Et je suis gentille, vous savez, mais arrive un moment où la moutarde me monte au nez et alors j’ai le nez qui pique du coup ma patience à des limites qui font que j’ai besoin de passer mes nerfs sur quelqu’un.Alors je vais dans le salon pour leur dire de fermer leur gueule et de baisser le son, et j’étais vraiment en colère :
— Nan, mais bande d’abrutis vous ne respectez pas la tranquillité des gens c’est impoli, où vous vous croyez ! Mon frère vous invite et vous profitez de notre hospitalité pour vous comporter comme des sagouins ! Mais où vous avez été éduqué ? Vraiment, une incorrection pareille c’est incroyable, incroyable !— Mais on joue juste à un jeu... Prends pas tes grands airs— Alors, jouez sans le son ! Les voisins vont se plaindre après. Et ce sera la honte ! La honte ! De toute façon je vais dormir (là, je mentais, mais je ne voulais pas leur dire que je faisais de la poésie, car ils voudraient sans doute entendre mes vers, et ils n’étaient pas tout à fait au point.) Alors plus aucun bruit !— Va te faire ! On fait ce qu’on veut ! Et puis tu mens, tu ne dors jamais aussi tôt.
Celui qui osait me répondre sur ce ton, c’était mon frère, un sale morveux borné et stupide, comme je vous l’ai déjà dit. Il me fallait trouver une bonne raison pour le réduire au silence je lui dis alors :
— Ouais, mais je dors mal en ce moment, alors il faut que je me couche tôt, dans le calme, et je dois même prendre des somnifères. Alors si vous faites du bruit je le dirais à maman et plus jamais tes potes ne reviendront le soir !
Et là j’avalais une de mes pilules contre le mal de ventre que m’avait donné le docteur. L’astuce, c’est qu’ils allaient croire que c’était un somnifère, parce que vous l’aurez compris, mon frère est con (et ses amis aussi).Je les laissais là, comme des nuls, et retournais dans ma chambre à l’étage. Je recommençais à faire de la poésie, ce n’était pas facile même sans bruit. J’étais en pleine concentration sur une rime riche quand j’entendis mon frère et ses bouffons de potes monter l’escalier.
— Je te dis qu’elle ne dort pas, elle a dit ça juste pour nous emmerder. — Mais si on la réveille, elle ne risque pas de piquer une nouvelle crise ?— Elle bluffe je te dis.
Oh là là ! S’ils me voyaient assise à mon bureau, ils allaient se remettre à jouer et m’empêcher de faire mes vers. Je me glissais vite dans mon lit et éteignit la lumière, j’étais rapide comme une gazelle ! Juste quand je me recouvrais de mes couvertures mon frère ouvrit la porte, et je fermais les yeux à temps pour leur faire croire que j’étais dans les bras de Morphée (<— c’est une licence poétique, il n’y avait personne dans mon lit, lol !) mon frère chuchote :
— Tu dors ?
Évidemment je ne répondis rien, je n’étais pas bête. J’entendis qu’il allumait la lumière, mais moi je ne bougeais pas d’un poil, on aurait cru une morte.
— Tu vois elle dort, on sort c’est bon.— Mmm ok…
Il éteignit la lumière et repartait. Mais alors qu’il allait fermer la porte derrière lui, il changea brusquement d’avis :
— Attendez une minute ! J’ai vu sa manche, ce n’était pas son pyjama, c’était son sweat ! Elle ne s’est pas mise en pyjama, je vous l’ai dit, elle bluffe !
Il ralluma la lumière et arrivée à mon lit, il retira les draps. Et évidemment j’étais tout habillée de mes vêtements de la journée ! Là, j’ai cru que je m’étais fait avoir, j’allais devoir admettre que je n’étais pas vraiment endormi. C’était embêtant, ils allaient se moquer de moi, mais heureusement un de ses potes me sauva la mise :
— Attends, si ça se trouve c’est le somnifère qu’elle a pris, il a agi tout de suite, et elle n’a même pas eu le temps de se mettre en pyjama qu’elle s’est endormi dans son lit.— Et puis, dit l’autre pote, réveiller les gens sous somnifère j’ai entendu dire que ça peut les tuer.— C’est pas les somnambules ?— Euh... Peut-être…— Bon on la laisse dormir alors ?— Ouais c’est sans doute mieux.
Ils allaient repartir quand un des potes s’inquiétât :
— Mais elle va dormir tout habillée cette nuit ?— Bah ouais.— Je veux dire c’est pas hygiénique— Qu’est-ce que ça peut nous foutre ?— Bah rien… mais je pensais juste qu’on pourrait la déshabiller et lui mettre son pyjama.
Il y a eu un blanc assez long.
— Pas moyen qu’elle ne se réveille pas, si on fait ça.— Ouais, t’es malade, si elle se réveille t’imagines ce qu’elle dira ? Qu’on voulait la toucher pendant qu’elle dormait ou ce genre de conneries.— Et puis même si on ne la réveille pas, quand elle se lèvera au matin elle remarquera qu’elle est en pyjama et pas dans les habits dans lesquels elle s’est couchée.— Mais non. Elle se dira qu’elle s’est mise en pyjama d’elle-même, vu comme elle est tombée comme une masse, elle ne se souviendra plus des détails exacts de ce qu’elle a fait avant de s’endormir.
D’accord, ils étaient gentils de s’inquiéter de mon hygiène, mais me traiter de masse ce n’était pas cool. En tout cas j’avais réussi mon coup, ils étaient persuadés que je dormais ! Je me mis même à ronfler un peu pour parfaire l’imitation. Ils hésitèrent encore un peu puis un des potes décida :
— Regarder comme elle dort bien, alors qu’on parle super fort…— On tente le coup ?— On tente !— Bon moi je m’occupe de son pantalon !— Moi, de son soutien-gorge.— Moi, de sa culotte !
Ils se débrouillèrent très mal. Bon pour le sweat et le pantalon les choses allèrent vite sans parler des chaussettes. Mais mon frère — particulièrement crétin — prenait un temps fou à enlever le soutien-gorge, il me touchait les seins comme s’il pensait trouver la fermeture dessus. Je me demandais s’il allait y arriver... Mon slip leur posa problème aussi... il glissa avec une lenteur… peut-être pensaient-ils que j’avais des collants, ils palpèrent le haut de mes jambes pendant une éternité. Une fois nue, ils auraient dû me mettre mon pyjama, mais ils dirent :
— Dis-donc elle ne se réveille pas hein ?— Ouais on pourrait croire que, quoi qu’on fasse, elle va continuer à dormir tranquillement.
Il y a eu un nouveau blanc, puis mon imbécile de frère déclara :
— Vous pensez à quoi je pense ?— Moi je le fais !— Alors moi juste après.— Moi aussi !— Mais c’est ta sœur.— Et alors… C’est peut-être une emmerdeuse, mais est comme les autres filles physiquement…
Leurs propos étaient vachement mystérieux, et j’étais intrigué, mais il ne me fallut pas longtemps pour percer à jour leurs intentions : ils voulaient cacher quelque chose dans ma chatte ! Un des amis de mon frère y faisait entrer quelque chose. J’y réfléchis et je compris tout. Mon frère est stupide, mais aussi blagueur, alors le lendemain il viendrait me voir et me dirait qu’il voulait faire un tour de magie. Il dirait, genre :
— Je vais faire apparaitre ton gros stylo-plume ! Hocus Pocus ! Abracadabra ! Stylo apparait !
Rien ne se passerait, alors je lui dirais que son tour était raté, mais là il se concentrerait et dirais quelque chose comme :
— Mais non ! Il est apparu quelque part sur toi… Je sens les ondes magiques, ah je sais… il est dans ta chatte !
Je vérifierai, et je le trouverais. Et là, je serai vachement gênée de trouver ça là. Et il se moquerait de moi, genre je masturbe et puis j’oublie de retirer mes ustensiles… Mais c’est lui qui demain se ferait avoir ! Le stylo j’allais le retirer dès qu’ils seraient partis. Et alors mon frère il pourrait regarder et me fouiller la chatte tant qu’il voudra demain, il ne trouvera rien !
Cela dit, ce n’était pas gagné, car ça devait être difficile à cacher… Il n’arrêtait pas retirer le gros stylo avant d’essayer de le remettre, heureusement qu’il avait mis le bouchon sinon il m’aurait barbouillé d’encre tout l’intérieur. Mon frère dit :
— Au fait, on ne la farcit pas, on finit ailleurs pas question de l’engrosser.— Oh !
On sentait que les autres étaient déçus. Le type s’excitait vachement avec le stylo, a-t-on jamais vu quelqu’un d’aussi maladroit, enfin il s’améliorait un peu... il l’enfonçait de plus en plus loin, mais je doutais qu’il réussisse car il le faisait entrer de plus en plus vite. Ce n’était certainement pas comme ça qu’il fallait faire pour le placer au bon endroit ! Il aurait mieux fait de se concentrer et de prendre son temps. Et puis ça l’énervait, il jurait, grognait enfin vraiment un nul.
Finalement, le pote déclara qu’il allait « balancer la purée ». C’est là que je compris ce que mon frère voulait dire par me faire "en"grosser, car comme mon frère est un crétin, il devait croire que je pouvais grossir en me mettant de la purée ou de la farce dans le sexe. En tout cas le pote jeta la purée sur mon visage ! Les autres trouvèrent ça dégueulasse (et j’étais d’accord), mais il dit :
— Si je l’avais balancé ailleurs, ça se serait vu sur le pyjama quand on lui mettra, ça aurait laissé des traces blanches. Alors que sur le visage ça séchera pendant la nuit.— Ouais, au pire, elle pensera que c’est son maquillage qui a coulé, ou quelque chose comme ça.
En tout cas ce n’était pas un stylo qu’il avait voulu enfoncer. Ça devait être quelque chose qui contenait un liquide blanc, qui nourrit… Du yaourt !
Le second fit aussi des tentatives pour cacher le pot yaourt dans mon sexe. Maintenant que j’y réfléchissais, je sentais bien l’aspect cylindrique du pot, trop gros pour être un stylo. Quant aux difficultés à le faire entrer dans ma minette, c’était les bords du pot qui à chaque fois qu’ils essayaient de la faire passer cognait contre mes parois intimes. Et je vais vous confier un secret, pour toutes les masturbatrices qui me lisent, je ne peux que recommander le pot de yogourt ! On ne le croirait pas comme ça, moi-même je n’y aurais jamais pensé, mais ça nous rentre dedans de manière merveilleuse, c’est moelleux et en même temps dur… on ne sent pas le plastique et surtout ça s’adapte parfaitement… comme si c’était conçu pour ! Je me sentais toute chose à mesure qu’il me l’enfonçait, je ne pus m’empêcher de gémir, sur le coup je craignais que je ne me trahisse, qu’ils découvrent que j’étais réveillé, mais ils dirent :
— Regarde-la, elle doit faire de beaux rêves.— Si elle voyait que le type qui la fourrait c’était toi, et pas le top-modèle de son rêve elle ferait un arrêt cardiaque.— Arrête de charrier. Tel que je la connais, elle doit rêver que le chien de la voisine lui grimpe dessus.
En tout cas, j’étais tranquille, je poussais de petits cris sans me gêner, et ces idiots croyaient que je dormais ! La tête qu’ils feraient s’ils savaient que je jouais la comédie ! Mais, comme j’humidifiais de plus en plus, enfoncer le pot devenait de plus en plus dur. Finalement le deuxième pote en eut assez et déversa le laitage sur mon visage. À force de le rentrer et de le sortir, ils devaient finir par abimer le pot et tout le lait fuitait du yaourt.
Mon frère tenta sa chance après les deux autres. Mais cet idiot, bête comme il est, il prit un pot de yaourt encore plus gros et plus long que les précédents ! Comme si ça avait une chance que ça marche avec lui alors que les autres avaient échoué. D’autant que je le sentais bien occuper l’espace de ma foufounette, il n’y a avait aucune chance qu’au matin je ne remarque pas ça au réveil. Ça devait être une mini-bouteille de lait qu’il essayait de placer !D’ailleurs je poussais des gémissements encore plus forts et mon minou se contracta sans que je fasse exprès. Mon frère eu juste le temps de retirer la bouteille, car il devait sentir que la bouteille s’était fait comprimer et aller m’éclater dedans. À peine l’avait-il sorti qu’il m’en éjecta le contenu à ma figure ! Vraiment j’avais vraiment l’impression d’être complètement couverte d’un jus crémeux, c’était peut-être du Yop... Finalement ils me mirent mon pyjama en évitant soigneusement que la crème sur mon visage touche le vêtement.
Ils sortirent silencieusement de la chambre. Et je les entendis partirent presque immédiatement de la maison en rigolant. Quant à moi leurs tentatives de me remplir la chatte de yogourt m’avait épuisé et je m’endormis d’un gros dodo dès que la porte d’entrée se referma, sans même je pense à retirer le laitage de ma figure (faut dire qu’elle était très liquide, c’était peut-être du 0%, je ne la sentais presque pas).
Le lendemain, à peine levée j’allais à la salle de bain me regarder dans le miroir, et ma figure était toute couverte d’une croute blanche ! Et ça avait mal supporté la nuit, quand j’en goutais un peu pour savoir si c’était du Yop, du 0% ou du yogourt ça semblait devenir plus visqueux que liquide, je me débarbouillais vite fait et sortais de la salle de bain. Je croissais alors mon frère… il était tout rouge en me voyant ! Il devait être contrarié de ne pas avoir réussi sa blague, de ne pas pouvoir faire son tour de magie. Il en était presque mignon je lui fis la bise et le remerciait d’avoir arrêté ses jeux vidéos pour que je puisse dormir.Eh oui, les frères gentils ont droit à une gentille sœur.
A+ pour mon prochain billet !
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