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La blonde de mon frère

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Marc j’ai 16 ans. Je suis grand, blond, pas très musclé mais dans la moyenne. Mon frère de 18 ans a une blonde, Émilie. Elle est brune, la peau plutôt blanche, de beaux seins (du C fort je crois). 5 pieds 3 pouce pour 105 livres, elle a un cul légèrement rebondi qu’elle sait mettre en valeur et un ventre bien plat. C’est arrivé en juin dernier, mon frère et mes parents travaillaient donc j’étais seul à la maison. Elle passa vers 11:00 am pour voir mon frère, je lui dit qu’il n’était pas là mais qu’il arriverait bientôt ( ce qui était faux mais je voulais déjà me la faire) alors je l’invitait à rentrer. Elle entra et nous décidâmes de jouer à un jeu vidéo. Elle s’assit à ma droite et chaque fois que je perdais, je lui donnais une légère tape amical sur la cuisse en lui effleurant légèrement un sein au passage. Elle ne se rendit compte de rien ou bien elle devait croire que c’était accidentel. Vers midi nous nous fîmes à dîner et comme il faisait beau nous décidâmes de manger dehors. Comme il faisait chaud, après avoir mangé, je lui dit que j’allais me baigner. Malheureusement, elle me dit qu’elle n’avait pas de maillot, donc je lui dit de se baigner en sous-vêtement sous prétexte que c’était comme un bikini. Elle accepta à ma plus grande joie. En entrant dans l’eau vêtu de son soutien-gorge et de sa culotte noir. Son soutif était très beau et ils m’offrait une vue magnifique sur ses seins. je decidais de l’arroser ce qui mènerait à une bagarre amicale et peut-être que je pourrais lui empoigner "accidentellement" un sein ou une fesse. Ce que je fit. Cependant, ma main fit peut-être une pression trop insistante sur sa fesse (mais elle était si agréable au touché) qu’elle me demanda si je faisait exprès avec un léger sourire en coin. Je lui dit que non avec le même sourire. Donc, nous continuâmes à jouer encore un peu puis nous sortîmes de l’eau. Elle demanda si elle pouvait se bronzer en attendant mon frère qui avait "du retard". J’acceptais donc. Lorsqu’elle se coucha pour bronzer elle me demanda de lui étendre de la crème dans le dos je lui dégrafais donc son soutien-gorge pour lui en mettre. Je me mis donc assis sur ses jambes assez près de son beau cul que je contemplais avec bonheur. Je lui étalais donc la crème avec le plus de douceur et en essayant de montrer le plus possible le désir que j’éprouvais pour son corps. Puis, sans m’en rendre compte, je commençais à bander et ma queue se rendit exactement à l’entrée de son cul. Elle ne dit toujours rien mais moi je me sentait de plus en plus excité surtout que j’avais commencé un léger va et viens sur son derrière de déesse tout en lui massant sans même lui mettre de la crème. C’est alors que je lui dit directement de venir dans ma chambre parce que je voulais la baiser comme la chienne qu’elle était. Elle me répondit en se retournant et m’offrant un sourire de vraie salope et en me fixant dans les yeux qu’elle n’attendait que ça depuis le début de la journée. Alors, nous nous rendîmes dans ma chambre et elle me poussa sur le lit en me grimpant dessus pour venir m’arracher quelques baisers passionnés. Elle redescendit vers mon entre jambe en me parsemant de baiser puis descendit mon maillot d’un seul coup. Elle regarda ma queue (qui je l’avoue est plus petit que la moyenne) en me disant qu’elle était comme ça qu’elle les aimaient. C’est alors qu’elle commença la plus divine des pipes qui ne m’est été offerte. Elle alternait baiser, branlette, léchage et gorge profonde à un telle rythme et d’une telle façon que je ne pus tenir plus de 7 minutes. Je l’avertis et elle me dit de tout lui juter dans la bouche, ce que je fis sans me faire prier. La chienne avala tout en me regardant de son air de salope qui avait déjà tout fait. Alors, je pris le contrôle. Je lui dis de me faire un strip-tease comme elle n’en fera pour personne d’autre et elle commença une danse tellement sensuel que même les filles des clubs ne sauraient faire. Elle me regardait toujours dans les yeux avec un demi sourire, se malaxant la poitrine encore couverte dégrafant lentement son soutien-gorge et le retenant d’une seule main alors que de l’autre elle se caressait tout le corps. Elle revint vers ses seins avec sa mains les empoignant fermement et laissa tomber son soutien-gorge. Enfin, je les voyais, ses seins qui avaient été dans tellement de mes branlettes, ils avaient l’air si succulent et ferme qu’on aurait dit un rêve. Ensuite, elle s’attaqua à sa petite culotte. Elle la descendit lentement pour finalement me laisser voir son fruit défendu. Pendant ce temps, j’avais repris de la vigueur. Je lui dis de se coucher sur le lit les jambes écartées pour que je puisses lui faire un cunni comme elle n’en avait jamais eu. J’enchainais succion, coup de langue, doigt et je titillais tellement son clitoris qu’elle jouit au moins deux fois en 10 minutes. Enfin, je pouvais désormais la prendre comme je le voulais: comme la chienne qu’elle est. Je lui ordonnais donc de se mettre à quatre pattes, les jambes écarté et je la pris en levrette. Je lui limais la chatte comme jamais, j’était déchaîné, je lui criait qu’elle était une salope, une chienne, qu’elle aimait tromper son CHUM avec son frère. Elle, elle ne cessait de crier de plaisir, elle acquiesait à tout en ne disant que des: oui j’aime être ta chienne, j’aime me faire prendre par le frère de mon CHUM, c’est trop bon, je veux être ta salope, allez défonce moi la chatte et ensuite mon cul fait de moi tout ce que tu veux je suis ton objet. Je lui déversais donc encore mon jus mais dans sa chatte à présent. Et comme je n’avais toujours pas perdu de vigueur, je la pris par son petit trou. Alors sans l’avertir, je m’y suis enfoncé d’un seul coup et la chienne elle aimait ça comme ce n’est pas permis. Je la tirais par les cheveux en lui malaxant les fesses puis en les claquant avec force car je l’avais déjà entendu dire à une de ses amies qu’elle aimait être battu au lit. Elle me criait de toujours aller plus loin et de ne pas arrêter mais je ne tardait à venir une troisième fois en elle. Ensuite, nous nous sommes écrouler moi sur elle elle sous moi. Nous restâmes ainsi pendant 15 minutes. Je lui tripotait le nichons que j’avais délaissés et je les suçais. Et comme prévu, ils étaient bel et bien fermes et succulents.
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