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La boîte de Pandorre

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Mes petits jeux semblaient plaire à Maëlie. Après une période pendant laquelle elle me reprochait de n’avoir que ça en tête, ce qui n’était pas faux, j’eus l’impression que je l’avais gagnée petit à petit à ma cause. Je suis souvent en déplacement à l’étranger, ce qui est un peu dur parfois, car elle me manque, mais ce qui est également une source de renouveau pour nous. L’éloignement nous incite à faire travailler notre imaginaire, source de nos fantasmes, et nous évite sans doute l’usure de la routine. Lorsque je me retrouve seul, à des milliers de kilomètres de ma superbe épouse, je pense à elle tendrement. Puis il m’arrive de penser à elle plus tendrement encore, d’imaginer la prendre, nue, dans mes bras et de la serrer doucement contre moi. Mes pensées dérivent alors inévitablement sur ce qui se passerait si nous nous trouvions dans cette situation.
Je ne pense pas que ce soit le cas pour elle, puisqu’elle reste dans son environnement, ses habitudes, ses tâches ménagères, ce qui doit être moins sexy que de se trouver à l’étranger seul dans une belle chambre d’hôtel, devant son ordinateur. Lors de l’un de ces voyages, j’eus l’idée de lui faire une petite surprise pour mon retour. J’avais acheté ce qu’il fallait pour m’épiler, car elle m’avait fait comprendre à demi mot qu’elle pourrait apprécier que je m’épile le torse. Non que je sois très velu, mais elle sembla en avoir envie tout de même. « Tu sais que Corinne le fait à Fabrice ? — ah bon ?— ben oui, lui, il n’y arrive pas alors elle le lui fait, c’est marrant, non ? »
Oui, c’est marrant. Marrant parce que ça faisait un moment que je voulais le faire, mais que je ne savais pas si ça lui plairait. La veille de mon retour, je sors donc le produit miraculeux, « spécial aisselles et maillot » et je l’applique généreusement sur le torse et sous les bras. 6 minutes plus tard, le tour est joué, me voilà tout lisse comme un nouveau né.
Nos retrouvailles sont affectueuses, comme toujours, et nous nous couchons tous les deux un peu fatigués, moi par mon voyage, elle par ses journées de travail et de tâches ménagères. Comme d’habitude, elle veut lire un peu avant de s’endormir, je la laisse faire et je me tourne de l’autre côté, attendant patiemment qu’elle veuille bien me rejoindre. La lumière finit par s’éteindre et, comme prévu, elle vient se blottir contre moi. Elle caresse un peu mon ventre, remonte vers mon torse et s’arrête, sans avoir rien remarqué. Je suis très déçu, mais je ne veux rien dire, je veux qu’elle le découvre elle-même. Elle sent sans doute que je ne dors pas et reprend ses caresses. Soudain, elle semble prendre conscience de quelque-chose de différent. Sa main s’arrête brutalement sur ma poitrine et je l’entends pouffer de surprise. Elle fait un petit « hmmm ? » qui semble vouloir dire à la fois « c’est quoi ça ? » et aussi « j’aime bien ». Encouragé par sa réaction, je saisis son poignet délicatement pour guider sa main. Elle est encore plus douce qu’auparavant, sur mon torse totalement glabre. Elle remarque aussi mes aisselles et redécouvre mon corps d’une manière extrêmement sensuelle. Pour moi aussi le contact est extraordinaire : je profite bien mieux de la douceur de sa main sur une peau dont rien ne vient troubler la surface.
Je la guide vers mon ventre, où elle retrouve la toison qu’elle connaît sur mon pubis. Je me tourne légèrement, de façon à poser mes fesses sur le lit et lui présenter mon sexe dressé depuis longtemps, mais en l’empêchant de le toucher. J’amène sa main sur le haut de ma jambe, là où la peau est plus douce et dénuée de toute pilosité, sans doute à cause du frottement quotidien des sous-vêtements. Ses doigts sont souples sur moi, je la dirige avec de légères variations pression sur son poignet. Je lui fais parcourir le haut de ma jambe, le bas de mon ventre, me rapproche de mon sexe, me procurant de délicieux frissons. On retrouve le temps de se découvrir après une petite absence, alors qu’on aborde beaucoup plus rapidement le vif du sujet quand on vit tous les jours ensemble. Je la repousse doucement vers l’intérieur de ma jambe, à la rencontre de mon pénis.
Tout à coup, elle s’aperçoit que la zone lisse est plus étendue qu’au moment de mon départ. Ses doigts rencontrent la base de mon sexe et elle s’en empare totalement, en faisant rapidement le tour pour vérifier ce qu’elle savait déjà: pour moi, l’épilation avait eu lieu SOUS le maillot ! Elle se colla à moi et fit courir ses doigts si menus sur toute la longueur de mon membre. Je m’allongeais totalement et écartais légèrement les jambes pour laisser libre court à sa découverte. Elle était visiblement enchantée et ne se lassait pas de me toucher, de faire le tour de mes bourses, de les empaumer complètement, laissant sourdre une douce chaleur sur celles-ci, de faire coulisser sa main sur un sexe raide d’excitation doux comme la peau d’une jeune fille. Ses doigts remontèrent tout le long de ma verge brûlante et soyeuse, elle posa son pouce et son index sur mon prépuce, comme me décalotter, puis, au lieu de ça, laissa redescendre sa main sans serrer mon sexe, juste en l’effleurant de sa main et de ses doigts. Des frissons de plaisir parcouraient tout mon corps et je sentais quelques gouttes de liquide séminal perler au bord de mon prépuce.
Je me tournais vers elle pour l’embrasser et la caresser moi aussi, mais elle ne pouvait pas se résoudre à me lâcher. Il allait pourtant falloir, si on ne voulait pas abréger fortuitement nos retrouvailles ! Je posais une main sur l’intérieur de sa cuisse et elle m’offrit immédiatement son sexe : elle ramena son pied droit vers elle, pliant sa jambe à 90 degrés et ouvrant ainsi l’accès à son intimité. Je posais ma main sur le sillon de ses fesses, la paume sur son sexe et j’embrassais ses seins. Cette position m’offrait totalement le sexe ouvert et humide ma femme, ce qui m’excitait terriblement. Je réalisais également que mon majeur reposait sur son petit trou et je le caressais doucement, pendant que ma bouche descendait de ses seins vers son ventre. Elle me semblait extrêmement excitée et détendue, je sentais son anus totalement souple, ce qui indiquait un total relâchement de ses muscles « protecteurs ». J’approchais ma bouche de son entrejambe et je me mis à lécher délicatement ses lèvres fermées, elles aussi épilées de frais ! Même si on ne parle pas beaucoup de nos fantasmes et de nos plaisirs, ce qui est bien dans un couple comme le nôtre, c’est qu’on les connaît quand même !
Je me laissais glisser sur le lit, pour me mettre dans une position plus confortable et soustraire mon sexe à ces caresses démoniaques qui allaient me faire échouer dans mon projet de coït magistral si elles se prolongeaient. Je soulevais encore un peu plus sa jambe et me mis à explorer avec ma langue toute la zone de son sexe et de son anus, finissant par me concentrer sur son anus, sans protestation de sa part. Elle était vraiment ouverte à ces caresses buccales et j’en étais terriblement excité. Ma langue poussait doucement sur son petit trou, pendant que mon pouce parcourait sa fente humide, remontant jusqu’à son clitoris, que je massais doucement. Je fis descendre mon pouce le long de ce sillon glissant et ouvris son sexe d’une légère pression de celui-ci. « ahhhhhh ». Je devais être prudent avec mes attouchements, je sentais qu’elle était comme une grenade dégoupillée. Si je voulais aller au bout de mon idée, je devrais agir avec doigté… mais pas trop !!!
Je retirais donc mon pouce, pour laisser agir mon autre main plus tranquillement. Le sillon de ses fesses était tout humide de ma salive et c’était un régal d’y passer mes doigts d’avant en arrière, ouvrant son sexe de ma paume, puis son petit trou de mes doigts. Quand je sentis qu’elle y serait réceptive, je présentais mon majeur à l’entrée de son anus, et je l’enfonçais doucement, mais résolument. Les deux premières phalanges pénétrèrent sans aucune difficulté, avec au contraire un grand plaisir des deux partenaires. Elle faisait un effort pour ne pas se contracter et me laisser ainsi pousser plus loin mes investigations. La deuxième articulation rencontrait une petite résistance, mais je la vainquis avec douceur. Elle râlait de plaisir et je sentais une veine en elle qui palpitait, signe qu’elle était au bord de l’orgasme. Je restais un moment ainsi, sans bouger, pour ne pas déclencher la grenade. Quand je fus sûr que la pression avait diminué et que je sentis ses muscles se relâcher, je présentais mon index tout contre mon majeur et je le poussais doucement à l’intérieur. Je savais que la largeur de ces deux doigts représentait à peu près la largeur de mon sexe, je la préparais donc doucement à mon projet de ce soir.
Avec douceur et patience, je détendis ses chairs, puis je lui glissais à l’oreille « tu veux bien que je te prenne comme ça ce soir, ma chérie ? ». A mon immense surprise, elle me répondit « oui, mais pas tout seul alors » dans un halètement rapide, surexcitée qu’elle était. Je retirais mes doigts en douceur et je fonçais dans le placard chercher ce qu’il nous fallait : un préservatif, du lubrifiant et le sexe de son amant virtuel.
En revenant sur le lit, le souffle court, je l’entendais qui continuait d’haleter, comme si quelqu’un continuait à s’occuper d’elle en mon absence. Elle devait vraiment être au bord de l’explosion et faisait des efforts pour se contenir. Une noisette de lubrifiant sur le majeur et l’index de la main gauche, je m’introduisis à nouveau en elle, suscitant un « rhhhhaaaaa » de plaisir. De l’autre main, je libérais le préservatif et le plaçais sur moi, ainsi qu’un peu de lubrifiant. Je lui demandais de se retourner et de se placer à genoux, ce qu’elle fit volontiers, après que j’aie retiré ma main. Elle posa les coudes sur le matelas et me présenta sa croupe. Il faisait très sombre et c’est donc en m’aidant de mes doigts que je plaçais mon gland latexisé sur sa rosette détendue. Je me hissais un peu sur les genoux, afin de mieux me présenter dans l’axe, puis je commençais à exercer une pression pour entrer en elle. J’avais peur de lui faire mal, quand je voyais l’effort que je devais réaliser pour la pénétrer. Nous avions tous deux bloqué notre souffle, je sentais mon gland progresser de millimètres en millimètres.
Puis soudain, toute résistance disparut et je fus en elle en un instant. Elle poussa un cri de plaisir et s’empala d’elle-même plus profondément, d’un coup de reins sur ma bite bien raide. Je fis doucement un ou deux aller-retours en elle, puis je m’allongeais sur son dos pour saisir la bite de latex, déjà lubrifiée. Profitant de cette position pour lui parler à l’oreille, je lui demandais « tu aimerais qu’on fasse ça vraiment, avec un autre mec pour s’occuper de toi ? Je le laisserais te toucher, te caresser, t’embrasser, puis je te prendrais par derrière pour bien profiter avec toi de ce moment où il te pénètrerait pour la première fois ». Elle me répondit dans un gémissement « oooooh ouiii, ce serait tellement bon ! Ah, Vas-y vite, dépêche-toi ». Je réussis à placer le gland de son amant virtuel contre les lèvres de son sexe et je le poussais doucement en elle. Elle se mit à onduler du bassin, pour alterner les pénétrations anales et vaginales de ses 2 amants. Pendant que je faisais aller et venir le sextoy en elle, j’imaginais qu’elle s’offrait à un autre. « Ça te plairait d’avoir un amant ?— ah ouiiiiii— tu voudrais qu’on te fasse l’amour tous les deux ensemble ?— ah oui oui OUIIIIII !!!! »
Elle fut secouée de spasmes et de sanglots comme jamais, elle ruait, mordait l’oreiller pour ne pas crier, tressautait et je la sentais palpiter à l’intérieur. N’arrivant pas à jouir moi-même de cette façon, je lui demandais si je pouvais la prendre moi aussi, après son amant. Elle me dit que oui, dans un souffle. Je me retirais prestement, ainsi que le pénis de latex, arrachais mon préservatif et me glissais délicatement en elle, pour ne pas lui faire mal, me doutant qu’elle était devenue très sensible. Quel plaisir de sentir la chaleur de son antre humide directement sur ma bite, de la faire glisser en elle sans la moindre résistance. En 3 mouvements, j’atteignis l’orgasme et je me déversais en elle, sans pouvoir retenir mes cris de jouissance.
Nous nous sommes effondrés l’un sur l’autre, épuisé mais content, conscients tous les deux que le moment approchait de l’épreuve de la réalité.
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