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Bonus Malus

Chapitre 4

Trash
Suite :... être la pute de son patron, un très bel homme, est une chose. Mais être la pute de son entreprise en est une autre. Et c’est ce que je devenais.— Pouvez-vous nous en dire plus ?— Et bien, les collègues voyaient bien mon changement de tenue et mon changement de comportement avec le patron. Par ailleurs, ils connaissaient mes difficultés et s’étonnaient de ne pas me voir faire des heures sup ou amenez du travail à la maison pour faire baisser mon malus. Certains, je l’ai su plus tard, ont soulevé la question au DRH car depuis que la délation n’est plus un tabou, n’importe qui peut dénoncer n’importe quoi… Un jour, mon chef m’appelle dans son bureau et j’y découvre le DRH avec lui, alors que je pensais que nous serions seuls. Je commence par saluer le DRH et apporte mon travail du jour au patron, comme si de rien n’était. Mais celui-ci me demande alors de soulever ma jupe. Je suis terrifiée car je n’ai pas de sous-vêtements et que, manifestement, le DRH est maintenant dans la combine. Après quelques hésitations vite réprimées par des menaces de licenciement, je soulève donc ma jupe et montre mon sexe au DRH.Celui-ci me fait me pencher sur le bureau du chef et écarte mes fesses pour scruter mon anatomie à la loupe. Puis il dit à mon chef :« Bon écoute, je veux bien fermer les yeux sur cet arrangement et je calme un peu ceux qui se posent des questions. Par contre, je veux en profiter aussi. Et le PDG aussi veut sa part… »Mon chef a alors répondu qu’il n’y avait pas de souci, que j’étais affamée et que j’avais tant de malus à rembourser qu’ils pouvaient se faire plaisir. — Quelle horreur ! Qu’avez-vous fait ?— Honnêtement, à l’instant où il a prononcé cette phrase, j’étais en colère et me sentait coincée. Mais, malheureusement pour moi, j’étais aussi très excitée par la situation, moi penchée le cul à l’air et mon DRH qui, tout en parlant, me doigtait. Mon sexe était trempé et au lieu de contesté mon nouveau statut de pute publique, j’ai gémit de plaisir en sentant le sexe du DRH me pénétrer. Je pense sincèrement qu’une femme plus prude ou frigide aurait mis fin à ce petit jeu il y a bien longtemps et ne serait jamais retrouvé dans une telle situation. Mais moi, je pense avec mon cul et c’est à cause de cela que je me faisais alors baiser par derrière par mon DRH alors que mon chef, lui, sortait sa queue pour que je le suce.— Et donc ces 3 hommes, supérieurs hiérarchiquement, vous ont régulièrement baisé contre du malus en moins ?— Oui, cela a duré 3 semaines. 3 semaines pendant lesquelles je me faisais sauter presque tous les jours par mon boss et mon DRH et de temps en temps par le PDG, un vieil homme dégoûtant. Le soir, j’avais régulièrement droit à des plans à trois, mes supérieurs profitant du départ des salariés pour me baiser ensemble comme il faut. Le sexe devenait extrême, j’étais prise en double, je me faisais recouvrir de sperme, mais mon malus diminuait et j’avais toujours la garde et l’amour de mes enfants. C’est ce que je me disais le soir, en pleurant sous ma douche, alors que j’essayais de me débarrasser de leur foutre et leurs crachats qui me souillaient à longueur de journées.   — Si vous avez enduré cela pendant trois semaines, qu’est-ce qui vous a fait partir ?— Deux choses : une professionnelle et l’autre lié au sexe. La première c’est qu’en parallèle de mon travail, j’avais commencé à chercher un autre job et que j’avais passé un entretien très concluant. Je n’attendais donc qu’un « oui » pour partir. Mais j’avais encore du malus. Du coup, j’ai continué à me faire sauter régulièrement et j’ai même demandé du « rab » pour accélérer la résorption de ma dette. En gros, j’ai joué les nymphomanes pour qu’ils me sautent le plus souvent possible et les ai pompés, au propre comme au figuré. — Et la deuxième chose ?— C’est quand mon chef m’a demandé de faire l’allumeuse avec des clients. J’ai tout de suite eu peur que ça ne dégénère à nouveau et que je me fasse ainsi sauter par des dizaines d’hommes différents. J’avais peur pour ma réputation, ma santé… J’ai tout de même dû faire deux rendez-vous durant lesquels j’ai exposés mes jambes, mon décolleté, mes sous-vêtements à un client. Enfin, un soir, le téléphone sonnait pour m’annoncer qu’on me prenait dans une autre entreprise, avec une jolie augmentation à la clé. Le lendemain, je déposais en ligne ma démission, d’ailleurs merci à Macron pour cette allègement de procédure, et soldait mon compte avec un léger bonus !— Votre patron n’a rien dit ?— Si bien sûr, mais je l’ai simplement menacé de porter plainte avec, à l’appui, quelques mails très parlant où il m’annonçait la couleur pour la prochaine « pétée ». En partant, j’ai une dernière fois soulevé ma jupe, écarter mes fesses pour lui montrer mes orifices et lui ai dit que c’était la dernière fois qu’il les voyait. Je me demande encore si c’était pour l’énerver pour l’exciter…— Ce qui est étrange c’est que vous ne semblez pas spécialement choquée par cette aventure…— En fait, sur le moment c’était très dur. Je vous laisse imaginez ce que c’est de devoir se faire enculer tous les jours, se faire recouvrir de sperme ou, pire, l’avaler par gorgée entière, se faire cracher dessus, se faire baiser à la moindre occasion… Mais, presque un an après les événements, je me souviens surtout des orgasmes et de l’excitation… Être prise par deux hommes en même temps, c’est une expérience à tenter, selon moi ! Et puis, finalement, cela m’a permis de garder mes enfants, de trouver un meilleur job et de rencontrer enfin un homme bien.— Et il est au courant de votre passé ?— Oui, et il profite d’ailleurs bien de l’expérience ainsi acquise. Je ne pense pas que beaucoup d’autres mecs puissent se vanter de me faire ce qu’il me fait !!— Et bien merci pour ce témoignage. Si Christelle semble finalement avoir tourné la page et oublié les humiliations qu’elles a subit durant ces mois de soumission, il n’en reste pas moins que cela est un exemple typique des dérives du système bonus/malus lorsqu’un patron décide d’en abuser. Mais les abus ne sont pas toujours dans ce sens. Dans le témoignage qui va suivre, c’est une directrice qui a été victime de ce système.A suivre
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