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Bonus Malus

Chapitre 8

Trash
Suite :
— Bien. En fait, cette première fois était une sorte d’accident. Ce jour-là, j’avais dû me déshabiller et écarter mes cuisses en grand devant un homme le matin et j’avais également dû masturber un technicien dont le sexe était franchement immense… Tout ça pour vous dire que j’étais excitée et que, à cause de la quantité de travail que j’avais à faire, je n’avais pas eu l’occasion de me soulager comme j’en avais pris maintenant l’habitude. Du coup, quand ce troisième agent est venu en fin d’après-midi, après le départ d’une bonne partie des collègues, je mouillais d’avance !
Il s’agissait d’un des gars de l’équipe bâtiment, un homme d’origine portugaise, grand et musclé, qui m’avait toujours impressionné. Lorsqu’il a transféré ses points bonus sur le compte de la comcom, j’ai tout de suite su qu’avec ce montant, il allait pouvoir exiger beaucoup de moi. J’aurais dû être effrayée mais j’étais au contraire impatiente de découvrir ce qu’il allait me demander. Je lui ai dit « Eh bien, Miguel, en voilà du bonus ! Qu’est-ce qui vous ferait plaisir ? »   Et en disant cela, je m’étais assise sur le rebord de mon bureau, juste devant lui et je lui exposais déjà fièrement mes cuisses.
Cet homme m’avait déjà vue nue et en train de m’exhiber sur des chantiers, mais il n’était jamais allé plus loin avec moi. Je n’ai donc pas été surprise lorsqu’il a posé ses main sur mes genoux, les a doucement écarté et, contemplant mon petit string quasi transparent, m’a dit « laissez-moi faire… Vous m’arrêterez si j’en demande trop… ». Je lui ai dit ok et à partir de ce moment, cela a été une déferlante de plaisir…
Il m’a d’abord caressé le sexe au travers du string en jouant habilement avec mon clito et mon vagin. Je mouillais beaucoup et il a fini par le sentir au travers du tissu. Régulièrement, il glissait un doigt sous le string en s’enfonçait en moi. Puis il a retiré ce string qui ne cachait plus rien et a continué de me masturber et de me doigter magnifiquement. Il avait en permanence deux doigts en moi, des doigts longs et larges, des doigts de travailleurs. C’était comme s’il me baisait !
Je sentais l’orgasme monter en moi mais j’en voulais encore. J’en voulais plus. J’étais toujours assise sur mon bureau et lui était toujours assis en face de moi, sur son siège. J’ai enlevé une de mes chaussures à talon et, avec mon pied, je lui ai palpé l’entre-jambe. J’ai alors senti un membre énorme et très dur, ce qui m’a rendu folle. Je l’ai donc caressé avec mon pied pendant qu’il me masturbait.
Puis il s’est levé et s’est penché sur moi pour me lécher le sexe. Cela a été une magnifique sensation, inédite pour moi avec mes agents car aucun n’était allé jusqu’à ce degré d’intimité. Je me suis légèrement allongé sur le côté pour être capable d’atteindre sur pantalon. Je l’ai ouvert, au baissé son slip et j’ai découvert un monstre, encore plus gros que j’imaginais. On parle beaucoup du sexe des Noirs, à raison d’ailleurs car j’en ai testé quelques un aussi, mais les Portugais sont également très bien montés, je peux vous l’assurer ! Toujours est-il que j’ai immédiatement commencé à masturber cette belle et grosse verge pendant qu’il m’enivrait de plaisir avec sa langue et ses doigts.
L’orgasme qui m’a submergé a été long et magnifique mais ne m’a pas assommé, au contraire. J’ai aussitôt glissé au pied de mon bureau et ai pris en bouche ce sexe immense. Je ne savais même pas s’il avait prévu de se faire sucer mais j’en crevais d’envie. Je lui ai donc fait la meilleure pipe possible en dévorant le membre que j’avais pourtant bien de la peine à avaler. A mon tour, je lui faisais plaisir par mes caresses buccales que j’essayais de varier au maximum. Je léchais sa hampe, pompais son gland, avalais ses testicules, essayais de m’enfoncer le sexe aussi loin que possible dans mon gosier… Bref, je le suçais comme une folle, comme jamais je n’avais sucé mon mari…
Il m’a alors annoncé, que si je continuais à ce rythme, il allait bientôt craquer. J’ai alors été submergé par un sentiment de fierté mais entaché de déception car j’avais envie de pleins d’autres choses. Je me suis alors redressée tout en lui tenant le sexe et me suis assise sur le bureau en le tirant entre mes jambes. Et alors que son gland effleurait mon vagin, il a hésité « Vous êtes sûr, Madame ? ». En guise de réponse, j’ai tiré son sexe vers moi pour enfoncer son gland dans mon vagin, puis j’ai levé bien haut les jambes en lui disant de me défoncer et de se finir en moi.
Jamais je n’aurais pensé un jour demander cela à un employé, sur mon lieu de travail. J’étais devenue une pute doublée d’une salope parce que j’aimais ce qu’on me faisait. En tout cas, lui aimait aussi car il m’a pénétré doucement puis a commencé à me baiser en râlant de plaisir. Moi, je ne râlais pas, je gémissais, je criais presque tant le plaisir était intense et tant que me sentais remplie, dilatée.
Après avoir commencé doucement, il a accéléré le rythme et m’a furieusement baisé sur mon bureau, sur mes documents de travail, à côté de la photo de mon mari et de mes enfants. Mais je n’ai pas eu un regard envers cette photo, je me contentais de fermer les yeux, envahie par la jouissance et je me malaxais les seins au travers de mon haut qu’il ne m’avait pas retiré. A part mon string, il ne m’avait retiré aucun vêtement et me défonçais toute habillée, presque à la sauvette.
Comme il l’avait annoncé, il n’a pas été long à craquer et, à ma demande, il est venu en moi et m’a remplie. Puis il a rapidement quitté la pièce après avoir rajusté son pantalon, en me remerciant et me laissant, épuisée sur mon bureau. J’étais allongée, jambes écartées, le sexe dilaté suintant de sperme qui me coulait le long des cuisses. J’étais lamentable. Et infidèle, c’était officiel.
— Quelle histoire, en effet. Je note que, comme vous l’aviez dit, c’était un accident puisque, finalement, c’est vous qui avez demandé à avoir une relation sexuelle.

— C’est vrai, même si pour me déculpabiliser, je me suis dit qu’avec le nombre de point bonus qu’il avait, il aurait pu me baiser de toute façon…
— Et concernant le fait qu’il vienne en vous, c’est un acte très intime. Et les maladies ?
— Je m’en rendais compte en effet alors qu’avec ma main, j’essayais d’empêché tout ce sperme de couler sur mes jambes ? Je me suis dit que ce mec venait de me remplir et que je ne le connaissais pas. Après, depuis que le vaccin contre le Sida existe, on ne risque rien de bien grave mais bon, j’ai quand même été faire un test après cette expérience et j’ai ensuite exigé soit un test négative pour les MST soit un préservatif.
— Cela signifie donc que, rapidement, d’autres agents ont voulu avoir le même genre de relation avec vous ?
— Évidemment… J’imagine que Miguel a dut raconter cela à ses collègues qui, du coup, ont voulu la même chose. Mes semaines se sont donc chargées car, en plus des habituelles séances d’allumage en public ou de pelotage, je me faisais sauter régulièrement.
— Régulièrement ? A quelle fréquence aviez-vous des rapports sexuels ?
— C’était très variable et, forcément, dépendant du nombre de points de mes agents. Parfois je passais à la casserole deux fois dans la même journée, parfois il pouvait se passer une semaine sans que personne ne vienne me voir. Le plus que j’ai eu, c’était, il me semble, 5 ou 6 rapports en une semaine, plusieurs fellations et une séance avec une femme. Sans compter les petits jeux d’exhibition.
— 5 ou 6 rapports ! A vous aviez en plus, j’imagine, votre mari à contenter…
— En effet, d’autant qu’il est également très demandeur ! Bref, certaines semaines, je passais mon temps à baiser et à jouir…
— Et vous est-il arrivé de refuser une demande ?
— Bien sûr, souvent même. Déjà, je refusais des demandes exagérées qui ne correspondaient pas aux bonus dût. Ensuite, je refusais les actes que je jugeais dégradant. Par exemple, un employé m’a demandé que je le laisse me pisser dessus ! Lui, non seulement il n’a pas eu ce qu’il voulait mais en plus il s’est pris un sacré malus pour avoir, clairement, manqué de respect à sa directrice ! Au début, j’ai aussi refusé qu’on me sodomise, même je suis devenue de plus en plus ouverte à ce sujet à la longue (rires) !! Et puis, j’ai aussi refusé certaines demandes de personnes que je trouvais franchement laides ou trop vieilles, etc. En gros, je n’acceptais que ce que j’avais envie de faire, ou en tout cas ce qui ne me rebutais pas totalement. Et c’est pour cela que je ne me suis jamais considérée comme une prostituée : je ne me suis jamais enrichi personnellement avec ce service et on ne m’a jamais rien imposé.   
— Je comprends la distinction. Vous nous avez parlé d’une femme, plus haut. Vos collègues féminines étaient donc aussi des habituées de votre système ?
— Habituées, non. Sur l’ensemble de mes collaborateurs, j’avais en fait 2 lesbiennes et une hétéro « curieuse » si je puis dire que venaient, de temps en temps me solliciter. Honnêtement, les deux lesbiennes n’étaient pas très jolies et n’étant moi-même pas porté sur la bisexualité, j’ai assuré le strict minimum avec elles et sans que cela ne me procure le moindre plaisir.
— C’est-à-dire ?
— En gros, je les ai masturbées, ou l’ai ai laissé me caresser et me mater nue. Mais rien de plus. Par contre, il y avait cette jeune secrétaire, très belle et très sexy qui, la première fois qu’elle ait venue me voir, m’a expliqué que son mari fantasmait de la voir faire l’amour avec une femme et que cette idée lui trottait dans la tête depuis un moment. Mais comme elle ne savait pas si elle allait aimer la bisexualité, elle voulait découvrir cela avec moi. Elle m’a dit, à plusieurs reprises, qu’elle me trouvait vraiment belle et que le fait que je sois sa directrice l’excitait un peu aussi. De plus, dans sa tête, le fait de me demander une action précise contre du point bonus mettait des limites, un cadre à son petit jeu, ce qui la rassurait.
— Cette démarche semble très intime et sérieuse. Et très respectueuse envers vous. Comment cela s’est passé ?
— Déjà, dites-vous bien que nos échanges ont été très dispersés dans le temps. Elle y allait étape par étape et laissait passer pas mal de temps entre deux « séances », histoire de bien savoir si elle voulait continuer. La première fois, après m’avoir expliqué comment elle voulait procéder, elle a juste demandé de m’embrasser puis a tenté quelques caresses timides alors que j’étais restée habillée. C’était pour elle un test : si ces simples actes la rebutaient, c’est qu’elle n’était pas du tout bisexuelle.
— Je suppose que cela lui a plu puisque vous l’avez revue. Mais vous, est-ce que cela vous a plus ?
— Tout à l’heure je vous ai dit que je n’étais pas bisexuelle et que les relations avec les 2 femmes lesbiennes ne m’avaient pas plus du tout. Eh bien, avec elle, c’était différent. J’ai tout de suite adoré notre baiser et ses mains sur mon corps m’ont électrisé. Il faut dire qu’elle était vraiment belle, avec un corps parfait, le genre de filles que n’importe qu’elle autre femme regarderait avec envie. C’est donc avec plaisir que je l’ai vu revenir dans mon bureau la semaine suivante. Là, en échange de son petit bonus hebdomadaire, elle a demandé à me voir nue. Cela ne me posait aucun problème mais j’ai joué les pudiques devant quelqu’un du même sexe que moi et j’ai demandé à ce qu’elle en fasse autant. Elle a accepté et c’est déshabillé en même temps que moi. C’était bizarre, nous étions comme deux adolescentes découvrant nos corps alors qu’elle avait 35 ans et moi… un peu plus (rires).  
Bref nous nous sommes retrouvées toutes les deux entièrement nues, en train de nous caresser gentiment et de nous embrasser. Nous n’avons pas été plus loin ce jour-là, nous découvrions ensemble et doucement la bisexualité… Mais je peux vous dire que son corps était à tomber par terre et qu’il m’a fallu beaucoup de force pour ne pas lui sauter dessus.
— Pouvez-vous nous la décrire ?
— Elle était blonde, assez grande, mince mais pas trop, avec des formes juste là où il fallait. Ses seins n’étaient pas très gros mais bien ronds, fermes. Son ventre était plat et musclé, sans un gramme de graisse, son sexe état parfaitement épilé, ses fesses rebondies, ses jambes longues et élégantes. Son visage respirait la gentillesse, la beauté et, tout de même, une certaine sensualité. Elle était parfaite !
— Quel portrait ! Elle devait avoir du succès au sein de votre collectivité !
— Elle aurait pu si elle avait été infidèle. Tous les mecs lui courraient après. Mais je ne l’ai jamais vu avoir un comportement déplacé avec un homme et cela me rendait encore plus fière : j’étais la seule de la comcom qui avait suscité l’intérêt de cette bombe atomique ! Toujours est-il qu’après ces deux premiers rendez-vous timides, nous nous sommes revues régulièrement, sans que la quantité de bonus qu’elle avait à échanger ne rentre vraiment en compte et nous faisions exactement tout ce dont nous avions envie. Nous nous sommes masturbées d’abord l’une devant l’autre puis mutuellement lorsque nous nous sommes senties prêtes. Nous nous sommes léchées, doigtées, nous avons utilisé divers sextoy. Et au final, après plusieurs mois d’entrevues, nous faisions régulièrement l’amour sans plus aucun lien avec les bonus. Puis, un jour, elle s’est décidée à le faire devant son mari, pour réaliser son fantasme et m’a demandé que ce soit moi sa maîtresse. 
— Pouvez-vous nous raconter cette soirée ?
— Si vous voulez mais cela n’a plus vraiment à voir avec le sujet de votre article…
— Vous croyez ? Auriez-vous couché avec cette femme si vous n’aviez pas été obligée de recourir aux avantages en nature que vous accordiez à vos collègues ?
— Non, certainement pas…
— Donc, finalement, cette soirée est tout à fait dans le sujet. Elle montre bien l’engrenage en marche.
A suivre...
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