Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 20 J'aime
  • 2 Commentaires

Boris soigne par les eaux

Chapitre 1

Trash
Histoire en deux épisodes.

Boris s’était fait connaître assez rapidement, grâce au bouche à oreille. Dans les petits villages, en effet, les gens sont encore de nos jours fidèles aux guérisseurs, rebouteux, charlatans de tout poil.
Beaucoup plus de personnes qu’on pense vont les voir, bien qu’on n’en parle peu. Et ils se gardent bien de le raconter à leur médecin auquel ces drôles d’oiseaux font concurrence, car les praticiens de la faculté acceptent mal que leurs patients fassent confiance à des gens sans diplôme, et sans autre connaissance que leurs intuitions délirantes et leurs croyances… et parfois sans vergogne, vous allez voir.
De tout temps, les guérisseurs ont eu du succès, mais à notre époque où les médecines douces connaissent un engouement effréné, où la science avoue son impuissance à guérir des maux chroniques, et où la nocivité des médicaments fait de plus en plus souvent parler d’elle, une part impressionnante de personnes s’en remet à n’importe qui.

Boris fit entrer la femme qui attendait patiemment depuis de longues minutes dans la petite pièce qui lui servait de salle d’attente. Il l’avait équipée depuis peu d’une caméra dissimulée, ce qui lui permettait de s’amuser un peu avant son "entrée en scène", et d’adapter son propre rôle à son "patient" en échafaudant son scénario. Il avait probablement vu le film "Le Docteur Petiot" mais n’était heureusement pas aussi criminel.
Il avait observé la femme un bon bout de temps sur son petit écran ; c’était une femme d’une cinquantaine d’années, comme il les aimait : corpulente, les hanches larges et massives et dotée d’une très forte poitrine.
Il s’était amusé à essayer de deviner le motif de sa consultation. Mais la curiosité était trop forte, et le mieux était de le découvrir sans tarder.
Elle rentra et s’assit, sur son invitation. Un peu timide, un peu gauche, tout trahissait la rustaude. Boris, à l’avance, s’en régalait.
"- Ben voilà, ça un fait un peu que j’ai mal au dos…
— Le bas du dos, ou le haut… ?
— Ben le bas… mais aussi le haut… Et pis…"
Commença alors une longue litanie de maux, jambes, ventre, articulations… qui n’en finissait pas. Tant qu’à faire, se disait-il… Elle sait qu’elle va payer, et que ça n’est pas remboursé, alors elle compte bien que je lui en soigne le maximum pour son argent. Ça oui, elle va payer… Mais moi, je vais me payer sur la bête. Et me payer grassement !

" Bon, déshabillez-vous, on va regarder ça.
— Déshabiller ? Déshabiller comment…?
— Entièrement."
Déjà elle ne s’attendait pas à devoir se déshabiller chez le rebouteux. Pensait qu’il allait apposer ses mains sur elle, par-dessus les vêtements, ou la traiter par une formule ou un rituel, par exemple. Enfin, bon, c’est comme un Docteur… Et pis c’est qu’il doit être sérieux. Mais, là… entièrement…?
— "Euh, entièrement… Vous voulez dire toute nue… ?
— Mais oui…
— Ben, c’est que ça me gène un peu… Surtout comment je suis…
— Mais chère Madame, vous comprenez qu’avec tous les problèmes que vous me dîtes, il faut que je voie tout…
— Oui… Bon, bon…"

C’était comme la promesse implicite qu’il allait s’occuper de tous ses problèmes en une seule séance. Là, il avait touché juste. Ça avait convaincu la grosse femme avare.
Il vit donc la forte femme commencer à se déshabiller devant lui (il n’y avait qu’une seule pièce et pas de paravent, bien entendu), les yeux baissés, se concentrant sur ses vêtements, faisant en sorte d’oublier que le rebouteux – un homme – la voyait.
Premier petit plaisir, premier acompte pris : la grosse dame lui offrait un strip besogneux ; comme on était en été, ce fut assez rapide : une fois le maillot de laine et la jupe retirés - elle était déjà en culotte et soutien-gorge - marqua un temps d’arrêt, d’hésitation, regarda Boris, qui se tenait à 2 mètres d’elle ; un petit mouvement du menton un rien autoritaire l’encouragea à continuer et à ne pas poser de question supplémentaire et inutile.
Elle enleva donc son soutien-gorge et sa culotte de coton, modèles qu’on ne trouve pas dans les magasins de lingerie…
C’est avec un plaisir certain, mais bien entendu dissimulé, que Boris contempla sa "patiente" dans la tenue d’Eve : un corps massif et d’un blanc d’albâtre, lisse et brillant comme le nacre, à l’exception bien entendu du pubis et des aisselles, naturels et le poil en désordre.
Boris s’amusa d’une pensée qui lui traversa l’esprit à ce sujet : il arriverait à la convaincre que ce poil n’était pas bon pour la santé… voire même que raser tout ça constituait une remède, validé par sa grande expérience…
Avec régal il reluqua le corps sculptural, blanc et puissant, des épaules larges, des cuisses grasses et rondes comme des colonnes ; quant à la poitrine, c’était deux énormes obus qui tombaient sur le milieu de son ventre, une panse pleine et tendue.
Ça fait longtemps que je ne suis pas tapée une bonne grosse, se dit-il, et à cette pensée, une émotion naquit dans son pantalon, et se raidit douloureusement.
Il lui demanda de se tourner (pour "me montrer votre dos") et de s’appuyer sur la table d’examen (une table neuve qu’il avait acquise récemment, pour faire plus professionnel), de se pencher en avant ; bien entendu, dans cette position, elle ne montrait pas que son dos ! Elle exposait à sa vue deux lunes massives et carrées : il y avait longtemps qu’il n’en avait pas vue de pareilles ! Ça c’était un cul ! Et en matière de cul il était connaisseur… et même un expert.
Très calmement et sans départir d’une attitude très concentrée, il posa ses mains à plat sur les larges hanches qui prolongeaient les fesses vers le haut, sur la même ligne courbe. Elles étaient douces et pleines, et creusées de chaque côté d’une émouvante fossette vers le bas.
Tout en posant des questions brèves sur l’endroit habituel des douleurs, ses mains palpaient, pinçaient légèrement, pressaient la chair du dos sur toute la largeur, d’un geste sûr, prenant tout son temps, faisant rouler les bourrelets lisses entre pouce et index pour en apprécier l’épaisseur, faisant ressortir l’importance de la surcharge graisseuse. D’une claque légère mais ferme sur le côté de la fesse il lui enjoignit de se baisser d’avantage, ce qui accentua encore d’avantage l’ampleur de la large croupe en la cambrant. Ce geste un brin autoritaire eut pour effet de faire sentir à la grosse femme l’impression que son embonpoint était coupable, voire responsable de beaucoup de ses maux.
" Je sais que je suis trop grosse. Mais j’ai tout essayé : régime, médicaments, rien n’y a fait. C’est à cause que je suis grosse que j’ai mal au dos, hein… ?"
— Ma bonne dame, les médicaments ne servent à rien, et les régimes ça n’est que rarement efficace… surtout vu l’importance de vos… formes !"
— J’ai même essayé les eaux minérales, vous savez : celles qu’on fait la pub à la télé, les Fineforme, Aqualaïte…"
C’était une perche inespérée qui inspira chez Boris le reste de son docte discours :
— "L’eau c’est très bien, c’est un remède très efficace pour l’excès de poids… Mais vous ne l’avez pas utilisée par la bonne voie…
— …
— Bien entendu : certaines eaux ont des propriétés défiltrantes et réduisent les graisses, surtout là où vous les avez. Mais il faut la faire agir de l’intérieur et surtout ne pas l’ingérer : ne pas la garder car elle risque d’accentuer l’œdème, la cellulite, se stocker dans vos rondeurs. Il faut l’utiliser pour ses propriétés lavantes : la laisser agir, vous laver, vous purifier, et hop, la laisser ressortir avec toutes les toxines et les résidus…
— Vous voulez dire qu’il faut la vomir…?!!!
— Mais pas du tout : il faut vous laver, l’introduire… par le bas.
— Hein ? Un lavement ?!
— Ça n’est pas un lavement : mais une hydrothérapie avec un subtil mélange de fines essences. Je les fabrique moi-même. Ce sont des essences dont seuls de rares guérisseurs connaissent le secret…
Non seulement cet homme connaissait son affaire, mais en plus c’était un savant ! Et dire qu’elle faisait confiance à cet idiot de Dr Dufifre, ce prétentieux qui ne savait même pas quoi répondre à toutes ses interrogations sur les origines de son mal ou ne trouvait rien d’autre à dire que : "c’est l’âge Mme Léonesse", "c’est l’arthrose" ou : "y a rien à faire". Lui allait la soigner, le rebouteux, il savait des choses anciennes que les docteurs n’ont même pas appris. Il allait la soulager pour de bon.

Pour la soigner, il allait la soigner ! Entièrement conquise par son discours, elle faisait maintenant sans discuter tout ce que Boris lui demandait.
Et c’est de bonne grâce qu’elle était montée sur la table et elle était désormais installée dans l’une des positions les plus indécentes et les plus suggestives : à quatre pattes !
Boris prépara son mélange salvateur, sur un petit guéridon roulant, au pied de la table. Ce faisant, il ne perdait rien du spectacle des énormes fesses arrondies par la position de sa patiente, qui attendait sans bouger, confiante et docile. Il se repaissait de la vue sur un magnifique abricot fendu, puisqu’il lui avait demandé d’écarter un peu ses cuisses grasses et luisantes, afin, avait-il dit, de lui permettre "d’être plus stable".
Il réexamina, par pure "conscience professionnelle" la dame : il pocha un à un les gros replis de son ventre, pour mieux étayer son discours, en allant même jusqu’à prendre à pleines mains les énormes seins qui pendaient comme des outres obscènes :
"Tout ça est vraiment très infiltré d’eau et d’œdème… On va soigner le mal par le mal. Sans compter que des choses pareilles ça doit vous fatiguer le dos et les épaules ; elles sont tellement lourdes."
Et ce faisant, il les soupesait, les malaxait, les faisait ballotter légèrement : Manquerait plus que ça de réduire leur volume ; c’est un régal des seins pareils. Des merveilles de la nature. Un don des dieux…
Il se présenta enfin devant l’imposant postérieur et lui demanda d’écarter plus ses cuisses, afin de faciliter l’accès… (à la victime à sacrifier, pensa-t-il… Si ça se trouve, son œillet est aussi vierge qu’Iphigénie, aussi neuf… Et il se mit à bander plus fort !!!)
La rosette glabre comme celle d’une communiante lui apparut, froncée et sombre. Il l’enduisit copieusement de gel, la massant longuement pour l’assouplir, la préparant à l’assaut des ondes liquides.
Puis lentement, son index força le petit cratère, et elle prit le doigt sans broncher ; le canal était étroit mais se livrait sans résistance. Si ça se trouve, elle en a l’habitude, cette grosse cochonne. Le doigt fit des allers et venues, bougea dans tous les sens, appréciant l’élasticité de l’endroit, cherchant à élargir l’espace. Hum, quel petit nid douillet…elle est brûlante. Si je ne me retenais pas, je montrais sur la table et lui prendrais le cul à cette grosse truie ! Mais patience…
Boris avait des canules de différentes tailles. Il sortit tout son attirail et entreprit de les montrer à sa victime.
— "Voilà. Ma thérapie repose sur plusieurs remèdes. Celui que je vais vous administrer est adapté à votre cas : celui de l’embonpoint dit des "masses infiltrées". C’est une série de trois injections d’une solution à chaque fois différente : l’intensité est croissante. La première est de 1 litre d’une solution froide d’une première essence que je vais vous administrer avec cette canule." Il lui montrait une canule en plastique, d’une taille convenable : un genre de gros étui à cigare, muni d’en renflement évitant le rejet.
"La deuxième est de 2 litres d’une solution tiède, légèrement piquante, administrée avec ceci." Il montra une canule genre caoutchouc dur de la taille d’une belle carotte ou d’un phallus de dimension conséquente, ornée de deux gros renflements destinés à la caler dans le sphincter anal. Les yeux de la dame s’arrondissaient en fixant la canule.
Il fit un peu durer le suspense, jouant avec elle, se repaissant de ses réactions croissantes.
— "Enfin, la dernière injection vous délivrera 3 litres et demie d’une solution thérapeutique chaude, défiltrante, qui attirera l’œdème et vous en débarrassera, en même temps que les douleurs et pesanteurs pénibles du dos et des jambes. Ce sera un peu plus difficile à garder tout le temps nécessaire mais il faudra tenir bon, ça en vaut la peine. Vous vous sentirez vidée mais le résultat sera là, vous vous en rendrez compte". Le visage de la grosse femme, à ces mots, s’était détendu, un sourire s’étant dessiné sur son visage…
Mais quand il montra la canule avec laquelle il allait administrer la dernière série, elle fut comme prise de panique, s’empourpra, il crut même qu’elle allait sauter de la table. Il s’agissait d’un objet renflé de la taille d’une énorme aubergine, avec une extrémité plus mince.
— "Mais, mais… Pourquoi est-ce que c’est aussi gros… !!?
— C’est normal. Ce que je ne vous ai pas dit, c’est que les trois injections, pour être efficaces, devaient s’effectuer avec un débit de plus en plus fort… Alors, pour que ça coule plus vite, il faut un plus gros calibre…
Elle baissa la tête, vaincue, abattue, bredouillant :
— -" Jamais j’pourrai… jamais vous arriverez… enfin…
— Mais si, mais si. Après les deux premiers, ça rentrera comme dans du beurre. Et puis vous n’êtes plus une jeune fille"
Cette dernière phrase, avec son allusion sexuelle, n’était pas sans ambiguïté, évoquant sans détour sa virginité perdue depuis longtemps (même si rien ne disait qu’elle ne l’avait plus de ce côté-là) et ne fit qu’accentuer le trouble.
Il fallait qu’elle se sente comme un morceau de viande sur l’étal d’un boucher, une fille à soldat offerte après qu’on l’ait culbutée sur la paille, une poupée de chair, un gros gadget sexuel (d’un modèle parfait)… C’est du moins ce qu’il se laissait aller à penser. Car la naïveté de la grosse dame rustre, sa confiance en son pseudo-praticien, renforcé par l’aspect scientifique de son discours alambiqué et de son protocole compliqué, n’avaient pas été entamées.
Cette naïveté, cette crédulité excitaient Boris au plus haut point, et des images obscènes et délirantes se précipitaient fiévreusement dans sa tête : il se voyait en train de besogner et de triturer vicieusement cette grosse mémère pas maligne dans tous les sens et de toutes les façons, tandis que passivement elle se laisserait faire sans broncher, secouée de toutes parts sous ses assauts furieux, sa graisse ondulant partout, pensant se conformer à un traitement, entièrement sous l’emprise du rebouteux charmeur.
Il se raisonna, sachant qu’il devrait la jouer plus fine.
— "Pendant l’administration des solutés thérapeutiques, je vous ferai des massages, de plus en plus énergiques, comme vous verrez, pour aider l’élimination."
Diffuse en direct !
Regarder son live