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En bouche inconnue...

Chapitre 2

Inceste
Lorsque ce fut fini, lorsque Rachel fut rentrée chez elle, que mon sexe retrouva des proportions normales, je revins dans l’appartement pour attendre Salomé. Certes, excité par la forme que prenaient les choses, je craignais évidemment pour mon mariage. J’aimais Salomé, intensément, mais ce que m’avait fait connaître Rachel en quelques minutes, m’avait renseigné sur le degré « d’incompétence » de ma femme. Cette dernière rentra deux heures plus tard. Deux heures durant lesquelles je m’étais demandé ce que pouvait bien faire Rachel, dans quelle tenue elle était, si tout cela l’avait excité, si elle se caressait. Je me pris à me demander combien elle pouvait avoir eu d’amants. Une sorte de jalousie me prit les entrailles.Lorsque Salomé ouvrit la porte, elle était accompagnée de son frère, pour qui je ne nourrissais aucun sentiment particulier. Ce dernier avait mal prit le fait que j’épouse sa petite sœur adorée, je me demandais comment il le prendrait s’il apprenait que son autre sœur m’avait sucé comme une salope.Lorsqu’elle me rejoignit, je remarquai toute de suite sa mine réjouie. Encore une enfant, encore naïve, toujours portée sur les plaisirs simples de l’amour. Je l’embrassai dans notre chambre, fou d’amour pour cet ange, à qui je devais protection, pour qui j’aurais pu mourir. Dans l’esprit, les images perverses de la langue de Léa sur mon membre.–– Tu as bien dormi mon chéri, me demanda-t-elle ? Tu ne t’es pas trop ennuyé tout seul après t’être réveillé ? J’ai oublié de te dire que Rachel était restée à côté. –– Ah ? Dis-je. Je ne savais pas. De toutes les manières, je me suis réveillé il n’y a pas longtemps, juste le temps de boire une bière (et de me faire sucer à fond par ta sœur, pensais-je si fort).–– Je suis complètement crevée. Le casino était bondé. Si tu savais ce qu’il y a comme monde qui ne dort pas la nuit à Miami… C’est dingue. Je ne répondis pas mais lui souris. Oui, je savais comme les gens ne dorment pas la nuit à Miami.Nous nous couchâmes rapidement. Il faisait une chaleur étouffante. Nous dormîmes nus. Avant d’éteindre la lumière, j’observai Salomé. Tout le contraire de sa sœur. Aussi blonde que Rachel était brune. Son corps laiteux et ses yeux bleus contrastaient aisément avec le corps torride et le regard brûlant de sa sœur. C’était le contraste parfait entre un ange et le diable. Les seins lourds de Salomé me tentaient profondément. Dans l’esprit, ces longues minutes dans la bouche puis dans la gorge de Rachel. Les tétons roses de ma femme pointaient sous l’effet de la nudité. Salomé étant à l’origine une jeune fille très pudique. Elle reposait à côté de moi, son corps allongé sur le dos. Je décidai de tenter le coup et posai délicatement ma main sur toute la surface de son sein droit. L’effet fut immédiat. Elle se détourna, m’offrant son dos pour seul interlocuteur et me dit simplement : « pas ce soir, chéri, je suis fatiguée ». Je déposai les armes et pris le parti de m’endormir coûte que coûte. Ayant la volonté de provoquer dès le lendemain matin un ébat torride tel que Salomé n’en avait jamais goûté. Pourtant une heure après, je n’étais toujours pas endormi. Il fallait que je me lève, que j’aille faire un tour. Je n’avais que trop dormi. Je me rendis compte que je n’espérais qu’une chose. Rencontrer Rachel de nouveau, comme dans toutes ces histoires où tout arrive à point nommé, au moment où il le faut. Malheureusement, tel ne fut pas mon cas. J’errai tout d’abord dans l’appartement désert puis dans le couloir de l’immeuble. Enfin dans les rues animées de Miami. Le bord de plage était fréquenté par de nombreux touristes qui avaient décidé de ne pas gâcher un seul instant des vacances passées ici. Et qui, la nuit, festoyaient comme le jour. Je me retournai, intéressé, lorsqu’une jeune femme de mon âge passait à mes côtés. Certaines me frôlaient anonymement, d’autres me renvoyaient mon sourire. J’achetai un rafraîchissement, les nuits à Miami étant aussi chaudes que l’esprit de Rachel, puis rentrai directement, sentant poindre en moi un début d’ennui prononcé. Le lendemain matin, me réveillant au côté de Salomé endormie, je pris un instant pour la scruter sous tous les angles, je passai ma main froide sur son corps chaud et doux. Passant des seins gonflés à son ventre si tentant. Plongeant dans les méandres de son intimité innocente, caressant un certain bouton destiné au plaisir. Après plusieurs contacts, Salomé commença à réagir. Elle se retourna et me sourit délicieusement. S’approchant doucement de moi, elle m‘embrassa tendrement. Je la pris dans mes bras et après quelques minutes d’embrassades amoureuses puis tout à fait passionnées, nous en vînmes aux choses sérieuses. Précipitant les événements, je pris son sein droit en bouche, la faisant dangereusement gémir, gardant à l’esprit que certains membres de sa famille, se trouvaient certainement dans l’appartement. Afin de l’empêcher d’ameuter l’immeuble et de me mettre à dos sa famille, je recommençai à embrasser à pleine bouche Salomé. Avec ma main, je passai subrepticement sur le dessus de sa chatte qui commençait à s’humidifier. D’abord doucement, puis rapidement, je multipliai les passages sulfureux. Elle finit par me prendre la main, puis l’index et, en me regardant dans le blanc des yeux pour intensifier l’échange, se pénétra elle-même. Ce fut divin. Pour elle comme pour moi. Se mordant les lèvres, elle ferma les yeux pour ne plus se contenir. J’enfonçai alors un second doigt et très vite un troisième. Un petit torrent s’échappait de son vagin béant. La pénétrant manuellement, je revins vers ce sein que j’aimais à mordiller. Puis, un flash, un autre sein, bien plus sombre, plus ferme, plus tentateur. J’embrassai Salomé pour chasser l’image. Un autre flash, une autre bouche, plus sulfureuse, plus perverse, plus intense puisqu’interdite. J’accélérai le mouvement, je sentais venir Salomé, cette puissance montante dans son ventre, cette rigidité dans les cuisses, je les reconnaissais. Son vagin n’était plus que liquide. Du pouce, je caressai par petites touches son clitoris en feu. A chaque pénétration, mon épouse parvenait de moins en moins à se contenir. Dans mon esprit, Rachel me prenant en bouche, Rachel me caressant, Rachel m’avalant entièrement, Rachel jouant avec ma semence.Tremblante, les yeux presque révulsés, Salomé atteignit un point, que les hommes ne connaîtront jamais. Elle se tendit une dernière fois contre mon corps nu, son souffle se coupa, elle agrippa mes cheveux, laissa passer un instant puis autorisa la jouissance à pénétrer toutes les fibres de son corps. La chaleur de l’amour reprenant le dessus sur les minutes de plaisir. Elle se lova contre moi, mon sexe en feu contre ses fesses. Je savais qu’il était trop tard, que je ne pourrai certainement pas jouir en elle cette fois-là, j’avais donné sans possibilité de recevoir.Pourtant, dans le fond de mon esprit, ces images s’imposant, ces images s’étirant, intenses et fantasmatiques, me laissèrent songeur, rêveur, puis demandeur, exigeant une rapide éjaculation.
Malheureusement, à mes côtés, Salomé se rendormait. Et puis, je refusais de l’admettre mais ça n’était pas son corps que je désirais pour l’heure. J’avais pénétré un ersatz de Rachel, utilisant ma femme comme un remède contre l’obsédante figure de sa propre sœur. Je compris à cet instant qu’il me fallait l’attraper, elle, Rachel, et la forcer à la pénétration la plus bestiale. Je fis le geste de me lever, mais Salomé, que je croyais somnolente, attrapa mon bras et l’installa dans le creux de son bas-ventre. Entre deux souffles, elle me dit « je t’aime ». Elle me prit ainsi en otage pour quelques heures. Mon sexe bandé à l’extrême que je massais doucement entre les fesses et les cuisses de celle qui dormait docilement.Plus tard, levés, nous tenant par la taille, nous rejoignîmes les autres. Fait exprès ou non, ils étaient sur la terrasse, celle-là même où l’acte terrible de la veille avait été pratiqué. Dans ma folie, je craignis d’avoir laissé des traces de semence sur le muret ou sur le sol. C’était une simple vue de l’esprit, une crainte infondée qui naît dans les instants de peur. Sur ce balcon se trouvaient Anna, Rachel, absolument superbe et leur frère Éric, cet être sans intérêt, dont je me bornerai à citer le nom. Anna et Rachel parlaient de rejoindre la piscine. Je ne regardais qu’elle. Ravissante, belle à se damner, elle éclipsait complètement les personnes autour d’elle. Ses formes affolantes me laissaient suffocant. Mais il ne fallait pas, je le savais, montrer quoi que soit. Je leur souris, tous me le rendirent, exception faite d’Éric, cet imbécile aux allures pénibles. Puis je détournai le regard pour observer l’horizon. Après tout, nous observions l’horizon azuré pour la première fois en cette belle ville de Miami. L’observer trop longtemps était toutefois difficile quand on sait la clarté de la lumière de Floride. Rapidement Salomé et Anna prirent le parti de rejoindre la piscine au bas de l’immeuble. Salomé me demanda si je comptais venir. Je répondis par l’affirmative, ne pouvant sans me découvrir avouer que je préférais rester à côté de sa sœur… Elles allèrent se préparer. Je portais déjà un maillot de bain qui faisait office de short. Je restai donc avec l’objet de tous mes désirs… Et ce frère toujours présent au mauvais endroit…Rachel portait la même jupe que la veille. Nous ne parlâmes pas pendant une longue minute. Nous nous regardâmes simplement. Un sourire au coin des lèvres. Éric regardait au loin, nous tournant le dos. Je m’assis face à Rachel, sur un petit banc assez bas. Sans que je ne puisse rien faire pour l’en empêcher, Éric étant présent, Rachel écarta ses cuisses, histoire de me faire admirer son entre-jambes. Elle portait une culotte bariolée. Cette dernière moulait parfaitement sa chatte visiblement rasée. Un petit sourire au coin des lèvres, elle m’observait, narguant ostensiblement la silhouette de son frère, remuant des épaules pour exciter un peu plus mes sens.J’étais médusé, ne sachant comment réagir. Du regard, je lui fis signe de cesser, il suffisait que son frère se retourne pour qu’il puisse voir Rachel les jambes grandes ouvertes face à moi. Je ne comprenais pas le comportement de Rachel, elle qui disait ne surtout pas vouloir blesser Salomé et tout garder secret. Je ne pouvais toutefois pas cesser de jeter des coups d’œil rapides sur la petite bosse de sa culotte. Le tissu pénétrant très légèrement l’intérieur de son vagin. Il aurait fallu être insensible, ou complètement gay, pour ne pas réagir en cet instant de totale hystérie. Ma queue commença à gonfler dans mon short, je sentis quelques gouttes de sueur perler sur mon front et une douce chaleur envahir mon bas ventre. Il fallait interrompre tout cela pendant qu’il était encore temps, avant que je ne devienne fou, l’objet de tous mes désirs se trouvant à quelques centimètres de moi. Je me levai sans attendre, annonçant haut et fort, à l’attention de tout celui qui pouvait entendre que je descendais à la piscine sans attendre personne… Bien obligé, eu égard à la proportion de la bosse dans mon short. Porte qui claque, couloir insonorisé, ascenseur aseptisé, hall déshumanisé, enfin la piscine. Je lançai ma serviette sur l’une des chaises longues qui attendaient au soleil et me jetai d’un coup dans l’eau. Le froid me fit un bien fou. Sur ma peau chauffée sans retenue par le soleil, sur mon sexe, également chauffé sans retenu mais par une autre raison. Plus sombre, plus perverse, plus sensuelle. Je nageai un peu, tentant de penser à autre chose qu’au corps somptueux de ma belle-sœur. En vain. Je nageai encore lorsque j’aperçu la famille au grand complet. Ils arrivaient tous, gâchant ma solitude. Je ne pouvais envisager de rester avec eux. Par habitude, mon œil chercha Rachel dans le lot, pour compenser… Je me rendis compte que j’avais fait une erreur.Une personne manquait à l’appel… Qui était restée là-haut… Pour une raison inconnue apparemment. J’entendis Éric dire à Anna que Rachel était bête de rester coincée à l’intérieur par ce beau soleil… Anna haussa des épaules et dit que parfois elle ne comprenait pas Rachel… Que sans raison aucune, elle agissait bizarrement. Sans raison aucune… Sans raison aucune… Ces mots résonnaient à mes oreilles… Je la connaissais cette raison. Elle me paraissait évidente… Si évidente que je ne comprenais pas qu’ils puissent encore ne pas comprendre ce qui se tramait entre elle et moi… La raison, la seule, qui brillait là aux yeux de tous… Équivoque… Le sexe ! Elle m’appelait silencieusement, m’attirait par son absence.La possibilité de la prendre, de l’avoir pour moi seul, enfin se présentait. Cela ne fit qu’un tour dans mon esprit. Et cela suffit. Je ne me permis aucune excuse, je repoussai toutes les craintes. Elle était là-haut, pour moi, peut-être déjà nue, mouillant en imaginant les ébats si proches. Je savais qu’elle m’attendait. Il y avait entre elle et moi comme un lien de perversion. Nous nous comprenions sans mots.Aujourd’hui, je ne me rappelle plus des mots que j’ai dit à Salomé, à Anna, à Éric, pour excuser mon absence. J’étais si profondément plongé dans ce qui devait suivre que j’étais sorti de toute réalité. Je me souviens tout juste de m’être séché. Arrivant là-haut par je ne sais quel moyen, mon corps avançant sans que mon cerveau ne suive, je frappai à sa porte. Tellement absent que lorsqu’elle ouvrit, je ne réagis pas tout de suite. Elle se tenait là devant moi. Pour moi. A moi. Ce corps chaud qui m’attendait. Toujours vêtue des mêmes vêtements, elle se tenait, aguichante contre la porte. Je me jetai littéralement sur elle.Je l’embrassai voracement. Je pétris son corps. Je relevai sa jupe au-dessus de sa culotte. Je la soulevai. Malaxai ses fesses. Elle passa ses jambes autour de mes hanches et me rendit mes baisers. Je n’avais pas été le seul à attendre ce moment. Nous nous embrassâmes sans retenu, sans même faire attention aux bruits que nous faisions ou à toute la salive que nous étalions sur nos visages. Nous nous mangions littéralement, consumés par cette passion débordante. Je n’avais jamais connu de telles effusions. Son corps m’appartenait, elle se donnait à moi, se libérait de toute responsabilité, de toute retenue. Je savais implicitement que nous irions aussi loin que la morale nous le permettrait… Nous étions dans le salon. Il y avait un large sofa sur lequel nous nous rendîmes pour poursuivre notre aparté. Elle s’assit, je lui ôtai son haut et sans attendre, son soutien-gorge. Elle se tenait face à moi seins nus. Elle était belle à mourir. Ma queue avait pris une proportion qui tendait dangereusement mon short. Je n’en pouvais plus. Il fallait que je la voie nue. Sans autre forme de procès, je tirai sur sa jupe puis sur sa culotte. J’avais vu juste, sa chatte était complètement épilée à l’exception du réglementaire « ticket de métro ». Ses poils bruns mettaient en valeur son clitoris qui dépassait légèrement des grandes lèvres. Il apparaissait à peine. Histoire de mettre l’eau à la bouche. Je me rends compte aujourd’hui de l’ironie de la situation. Le matin, en pénétrant Salomé de ma main, je n’avais pensé qu’à sa sœur. Au moment où je me destinais à sa sœur, je ne pensais absolument pas à Salomé, mon esprit étant définitivement absorbé par l’intimité de Rachel.J’enlevai mes vêtements et m’assis à côté de Rachel. Cette dernière m’embrassa à nouveau. Puis elle fit de même avec mon torse. Passant sa langue régulièrement sur mes tétons. Mes mains se baladaient sur sa poitrine, soupesant un sein, pressant un téton, passaient dans ses cheveux, descendaient dans son dos, empoignaient ses fesses, mes doigts parcourant sa raie…Un instant je pris peur. Ne voulant pas tout gâcher en touchant un endroit qu’elle préférait peut être préserver. Je ne m’attardai donc pas sur son anus. Mais au moment où mes doigts le frôlèrent, Rachel eu une sorte de raidissement. Pour m’assurer de cela, du plaisir qu’elle avait eu, je repassai encore une fois, laissant cette fois mon index deux secondes se reposer sur le petit trou fermé. Rachel ne me fit pas douter longtemps, elle pressa elle-même son fessier sur mon doigt, histoire de m’assurer que non, ça ne la dérangeait pas d’être caressé ici, bien au contraire. Je délaissai le bas de son corps pour m’intéresser au visage. Je léchai sa langue, ses lèvres, son menton. Je goûtais son arôme fascinant. Je m’extasiais de cette peau sucrée. Sans cesser de la lécher je descendis le long de son cou, parvins à sa poitrine, mis ma bouche sur son téton droit, aspirai doucement puis plus fort. Elle ne put en supporter davantage et lâcha un gémissement qui surpassait en intensité tout ce qu’elle avait dit jusque-là. Je passai au suivant pour le même résultat. Je la voyais belle comme le crépuscule. Ses joues rouges de plaisir.Je compris que l’instant était arrivé. Le grand moment. Celui que j’attendais depuis des lustres. Je poussai Rachel, l’allongeai complètement. Elle comprit ce que je désirais. J’allais goûter à cette liqueur si particulière, celle que la femme destine à l’être aimé ou désiré. Ce nectar n’attendant plus que mes lèvres et ma langue pour se faire cueillir. Déposant tout d’abord délicatement mes lèvres sur son clitoris, j’aspirai progressivement cet infime morceau de peau… Mes mains, apposées sur les cuisses de Rachel, percevaient les tremblements dans tout son corps. Je passai alors ma langue du clitoris à l’intérieur du vagin. Révélant un peu de ce rose propre à la chair. Rose qui contrastait parfaitement avec le teint mat du vagin, de l’intérieur des cuisses, des sombres poils pubiens qui surplombaient ce petit Vésuve. Rachel vibrait de tout son être. Peut-être ne percevait-elle plus ma présence, perdue dans des cieux dont les hommes n’ont pas les clefs. Elle avait posé ses mains sur les miennes, histoire de prétendre garder le contrôle, de vouloir toujours être maître de son propre plaisir. Je la voyais s’en aller vers une rive où je ne pouvais pas la rejoindre, pas encore, pas tout de suite. Il fallait que j’interrompe ce voyage… Petit à petit, ma langue réduisit ses passages, ralentit la cadence, pénétra de moins en moins cette chatte mouillée. Jusqu’à cesser totalement.Je n’avais pas l’intention de la faire jouir sans que j’aie pu profiter pleinement de ce corps étendu devant moi. Je n’avais aucune conscience de la pièce qui m’entourait, des autres qui se trouvaient en bas et qui pouvaient fort bien être derrière la porte, dans le couloir, à deux pas de nos ébats. Le temps passait et je ne songeais aucunement que chaque minute pouvait augmenter la suspicion des membres de la famille.Je masturbai ma queue quelques instant, me préparant à la pénétration. Des doigts de la main gauche je repris une lente masturbation clitoridienne. Lorsque je fus dur, nous nous regardâmes une seconde. Pas de préservatif à l’horizon… Etant marié je n’en avais pas l’utilité. Rachel haussa les épaules. Et sans attendre, je dirigeai mon sexe dans ce gouffre de sensualité qu’était la chatte de ma belle-sœur. Doucement, puis intensément, mes coups de butoir paraissaient ravir de plaisir Rachel. Celle-ci se mordait les lèvres. Je la pénétrais de plus en plus violemment, attrapant au passage ses cheveux pour affirmer ma position dominante.Nous étions toujours sur ce sofa. Une fine pellicule liquide s’était créée sous nos deux corps. Je me souvenais fort bien de l’attitude de Rachel lorsque j’avais passé mon doigt sur son anus. Sachant pertinemment que je ne pourrai tenir indéfiniment, et prenant enfin conscience du temps passé loin de la piscine, j’enfonçai mon pouce dans ce trou si étroit. Tellement étroit qu’il n’avait pas dû servir souvent. Je sentis Rachel se cambrer sous l’effet de la douleur. Elle ne rechigna pas pourtant. Elle ne me fit pas signe de sortir de là… Je restai donc… Ravi de ce nouveau rapprochement et de l’horizon de plaisirs nouveaux qu’il ouvrait. Je terminai de lutiner la chatte de ma belle-sœur, ma queue était gonflée au maximum, je pouvais voir les veines saillantes presque palpitantes de ce sexe dont j’étais de plus en plus fier.Mettant enfin un terme à la longue procession des coups dans le vagin, je m’apprêtai à libérer mon pouce de son cul pour le remplacer par plus intéressant lorsque Rachel me retint. « Non, pas cette fois ». Je n’en revenais pas, de ce plaisir pervers qu’elle prenait à aiguiser mes attentes tout en restreignant leurs réalisations. Presque sous le choc, la verge à la main, je ne savais plus que faire de cet instrument. Je décidai de me venger.–– A genoux ma belle, lui dis-je. Elle s’exécuta sans broncher. Ses longs cheveux bruns caressant son dos. Je me levai, ma queue était à hauteur de son front. Je me branlai durant deux bonnes minutes. Quand enfin je sentis le fluide se propager le long de mon manche, s’amonceler près du gland, je dirigeai ce dernier sur les cheveux de Rachel. Le sperme gicla sur les mèches brunes, une partie atterrie sur la joue de Rachel. Satisfait, je l’observai. Elle m’avait refusé la sodomie, je me vengeai en me déversant à l’endroit le moins opportun pour une femme. Elle ne dit rien, ne voulant pas gâcher l’instant. Nous nous rassîmes sur le sofa. Nous étions plutôt affalés l’un sur l’autre, fatigués de ce combat. Cela me faisait du bien de sentir sa peau tiède contre mon corps. Nous nous regardâmes un instant… Un début d’affection réciproque nous prenait. Une étincelle d’amour… Nous nous embrassâmes à pleine bouche. Ne pensant à rien d’autre qu’à cette seconde de plénitude. –– Pardonne-moi pour tes cheveux… Tu es si merveilleuse, lui dis-je, timide malgré la situation.–– Ce n’est rien, j’allai prendre une douche de toutes les manières… Et puis ça n’est que le commencement d’une belle histoire… Et si tu veux vraiment tout savoir… Tu l’auras ta sodomie, mais pas aujourd’hui… Nous nous embrassâmes encore. Sans bouger. Une minute, peut être dix. Je ne sais plus vraiment. Ce que je sais en revanche, c’est que juste après j’étais habillé, que j’avais attrapé une bouteille d’eau car la chaleur et l’amour m’avaient déshydraté, que je m’étais dirigé vers la piscine, qu’à peine arrivé j’avais enlevé mon t-shirt, déposé ma bouteille, et sauté directement dans l’eau. Ressortant la tête de l’eau, je les regardai, eux, qui n’avaient pas bougé, qui étaient resté dans ce monde fade pendant que Rachel et moi atteignions un univers parallèle de plaisir et de tiédeur. Ils ne s’étaient doutés de rien… Ne pouvant imaginer une telle situation. Mais, comme toujours, coupable jusqu’aux bouts des ongles, je ne cessai de scruter leurs visages en quête d’un quelconque signe. Mais rien ne vint. Aussi, soupirai-je de soulagement… Elle était ma belle-sœur, et après ? Rien ne pouvait entraver le plaisir mutuel que nous devions nous offrir. Tout allait bien, pour le moment… Et les vacances étaient encore longues…
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