J’habite la région Centre, pour être plus précis la Sologne ! Pas chasseur comme tout le monde pourrait le croire, mais un piètre petit pécheur du dimanche ! J’aime mettre les pieds dans l’eau pour prendre quelques petits poissons ; je vais dans un petit cours d’eau où une passerelle traverse celui-ci, en pleine forêt ; seul l’écoulement de l’eau et le chant des oiseaux est perceptible ; le calme quoi ! Quand un dimanche matin de printemps et un ravissant rayon de soleil me décide d aller taquiner le goujon ; dans mon coin de pêche, je suis en plein cœur des propriétés, j avais, pour l’heure, attrapé très peu de poissons ! Quand, soudain, un groupe de quatre femmes m’interpelle, des bourgeoises venues pour le week-end ! L’une d’entre elles me propose de leur apporter ma friture pour l’apéro, m’indiquant le chemin à prendre, répondant poliment ok sans plus ! Je me remets à suivre mon bouchon des yeux, tout en repensant à leur proposition ; une heure passe, ma bourriche à moitié garnie, je décide d’arrêter. Tout en rangeant mon matériel, je me dis pourquoi je n’irais pas leur donner mes beaux poissons !! C’était tout proche ! J’arrive ; nous vous attendions, me dit l’une d elles (la propriétaire des lieux). Nous buvons un verre, puis deux ; l’heure passe, parlant de choses et d autres ! Quand une des femmes se lève en disant : je vais prendre congé de toi, Aurore ; de ce fait, les autres ont suivi ; me retrouvant seul avec Jeanne, une femme d’une soixantaine d’années, j’ai voulu faire la même chose ! Vous allez rester manger avec moi, rien ne vous presse ! N’osant pas refuser son invitation, j’accepte ! Ma femme m’attendait pour manger, mais bof ce n’est pas grave ! Elle dresse la table et cause beaucoup, et lâche, pas sans arrière-pensée : mon mari est resté à Paris pour son travail ! Ah bon ! Le repas se termine, me flattant, disant que j’étais sympa et charmant, etc. Elle me demande comment je la trouvais physiquement ! Aimable, ravissante et j’ajoutais à croquer ! C’est vrai, elle est ravissante, une poitrine magnifique pour ses 60ans ; je la dévisage encore plus, une croupe à en faire damner plus d’un ; je sens une érection proche ; Jeanne s’en aperçoit : je te fais de l’effet, on dirait ! Elle s’approche, passe sa main sur mon short : hum bel engin ! Je ne bouge pas, me laissant faire ; tu aimes ça, dis donc, et passe sa main dans mon slip en disant cela ; et pelote de plus bel ma verge et mes testicules ! J’étais à sa merci ; elle attrape le côté de mon short, l’arrache jusqu’à mes pieds ; ma verge en érection arrive au niveau de son visage : hum ! Pas énorme, mais bien droite, dit elle, je vais lui faire son affaire ! Jeanne ouvre la bouche et me suce royalement ; j étais aux anges ! Lui indique qu’à ce rythme-là j allais bientôt venir ! L’effet fut immédiat ; elle se relève : viens avec moi ! La suis sans hésiter une seconde ! Nous nous retrouvons dans sa chambre, j ai pas besoin de demander à Jeanne de retirer ses affaires ; en une fraction de seconde c’était fait ! Elle était nue et encore bien faite pour son âge ! Me tire par le bras ! Fait moi l amour, j’ai envie de toi ! J’ai envie d’un homme ! Je suis toute à toi ! L’embrasse sur sa bouche, ses seins, que je tète aussi ; elle tortille de plaisir, me dirige vers son bas-ventre ; je passe ma langue sur son sexe, puis écarte ses grosses lèvres pour avoir accès à son clito, elle mouille abondement, pose sa main sur ma tête, oui comme ça, oui c’est bon ! J ai envie de la prendre, me redresse, place ma verge à l’entrée sans difficulté, la pénètre, la soulevant encore plus haut et m’enfonce dans ses entrailles ! Oui, vas-y, défonce-moi, fais-moi jouir, fais-toi jouir en moi ! Elle hurle et moi je vais de plus en plus vite, elle veut être défoncée ; je m’y emploie à grands coups de queue ; quand je lui dis que j’allais éjaculer, elle sert ses cuisses autour de ma taille : vas-y, vide-toi bien en moi ; je lâche tout mon sperme en elle et me retire, bien fatigué ! Elle me remercie de ce bel instant, et je lui promets de revenir ! Ce que j’ai fait par la suite ! Promis, il y aura une suite ! Une partie de ce récit est réel.
