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Bourgeoise remplie au sperme

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Le seul inconvénient de mon appartement, c’était la propriétaire. J’étais en coloc avec mon pote Simon, à Angers, au quatrième étage d’un immeuble du centre-ville, non loin de la mairie. C’est lui qui avait eu le filon par un couple de cousins qui avaient occupé l’appart juste avant nous.
Il était grand, lumineux, avec deux chambres, une vaste cuisine et une magnifique salle de bain. Le prix nous convenait.
Le problème c’était la propriétaire. Elle possédait l’immeuble en entier et occupait le premier, le rez-de chaussée étant dévolu à des commerces et les autres étages étant occupés par des personnes âgées qu’on ne voyait jamais.
Madame Marie-Clotilde X.... était bien souvent seule, son mari travaillant pour une grosse multinationale était souvent en déplacement.
Elle jouait parfaitement à la bourgeoise. Elle devait avoir entre quarante et cinquante ans mais elle en paraissait plus, se vieillissant à loisir par des tenues strictes, souvent des tailleurs, des lunettes aux montures noires d’un classique désespérant, les cheveux toujours impeccablement tirés en arrière et noués en un petit chignon, un maquillage léger mais sans fantaisie, un port hiératique et une allure quotidienne de reine offensée.
Elle avait en effet  toujours un air pincé et condescendant, nous snobant de toute sa hauteur car elle était grande. Elle eut été belle sans ce côté hautain affirmé. Soyons justes, belle, elle l’était vraiment, mais d’une beauté glacée, froide, distante, à faire peur. On devinait un magnifique petit cul sous se s jupes parfois trop serrées qui laissaient voir la marque des fines culottes. Elle avait de gros seins que l’on supposait fermes et ronds sous ses chemisiers tendus et ses colliers d’or ,d’argent ou de perles, selon les circonstances. Même pour un mec de vingt ans, elle aurait été bandante si elle avait su employer son charme.
Non. Au lieu de cela, elle était odieuse. Simon la voyait très peu, ses horaires étant souvent décalés, alors que moi je la croisais tout le temps, en partant en cours, en revenant, en sortant, en allant au club de muscu et, même si je revenais tardivement après une séance de ciné ou après avoir pris un pot avenue Foch, elle était encore là, comme si elle assurait elle-même la fonction de concierge qu’elle devait pourtant considérer comme bien en dessous de sa condition supérieure de femme du monde.
Je me pique d’être bien élevé et d’être attentif aux plus petites marques de courtoisie, aussi ne manquais-je jamais l’occasion de la saluer ou de lui montrer les marques de la plus extrême déférence. : "Bonsoir Madame, bonjour Madame, pardon Madame, merci Madame..."
Pour toute réponse, elle n’avait que des paroles désagréables. "Dites-donc jeune homme, vous pourriez faire moins de bruit en montant l’escalier. On n’entend que vous dans cette immeuble.... Dites-donc jeune homme, vous pourriez mieux nouer vos sacs de déchets ménagers. Je ne tiens pas à ce que vous empuantissiez toute ma maison... Dites-donc jeune homme, vous pourriez dire à vos fréquentations de mieux se comporter chez-moi. Votre grand ami avec qui vous êtes venu hier, qui vient des îles ou d’on ne sait où, il pourrait saluer tout de même..."
Le grand ami, c’était Florian, un grand black avec qui je faisais du sport. Visiblement, Madame était un peu raciste... quoique... dès qu’elle croisait un de mes amis... quel qu’il fut, elle lui décochait une parole au vitriol.
Un soir, il y eut un incident. Nous rentrions de la musculation Florian et moi et, comme j’avais oublié ma serviette, je ne m’étais pas encore douché, contrairement à Florian qui était propre comme un sous-neuf...
Dans le hall, Madame était là, inspectant je ne sais quoi. Florian se tut mais moi, comme à mon habitude, je saluai : "Bonsoir Madame".
Je n’eus aucune réponse. Nous avions à peine commencé à monter les escaliers que j’entendis le désormais traditionnel : "Dites donc jeune homme..."

Je me détournai : "Oui Madame" ?
Elle dévisageait Florian : "Il me semble que cela sente.... la sudation... et que vos amis n’aient pas une hygiène.... correcte".
Florian est un garçon qu’il ne faut pas aller chercher.
 "Elle dit quoi là, la meuf"?-  Non,non laisse tomber.-  Elle dit que je pue ,c’est ça ?-  Non, non... Excusez-moi Madame, il doit s’agir de moi. Je n’ai pas eu le temps de me doucher et....-  Ah ? Vous êtes sûr que c’est vous ? Car l’odeur est incroyÂÂÂblement prononcée !
Florian sortit de ses gonds.
" Eh oh ! Si vous dites que c’est moi, vous avez qu’à venir voir... j’suis clean moi, même si vous me sentirez la bite, c’est propre".-  Oh.... mais c’est qu’il est incroyÂblement vulgaire... et en plus il ne sait pas s’exprimer correctement. Quant à vous jeune homme, je vous avertis que je ne veux plus voir cet individu chez moi ou il vous faudra me donner également votre congé. Soyez sûre que j’en parlerai à mon époux qui ne saurait laisser les choses en l’état.-  Florian s’excuse Madame... Il s’est cru insulté. Je puis vous assurer que cela ne se renouvellera pas.-  Mais personne ici ne l’a insulté !
Et je poussai Florian dans l’escalier.
"Non, non jeune homme, votre ami s’en va à l’instant".
-  Oui, bien Madame, juste le temps de déposer mes affaires et je le raccompagne.
Et, en montant les marches, Florian ajouta, pas très haut pourtant : "Putain quelle salope! T’as vu? Tiens, moi j’lui apprendrais bien à vivre à cette mal baisée. Attends que j’la prenne et que je lui fasse sauter le croupion à cette meuf. J’suis sûre qu’cest une frustrée d’la vie.. J’vais lui apprendre à coups de bite moi tu vas voir".
— Tais-toi, tais-toi, elle va t’entendre... Tu vas me faire virer.
Ell avait entendu, elle vint s’en plaindre à Simon le lendemain. Elle lui fit savoir que j’avais jusqu’aux vacances de Pâques, début mai, pour trouver un nouvel appartement et, lui, pour trouver un nouveau coloc. Me retrouver à la porte à quelques semaines des examens de fin d’année, bonjour le stress !
Les jours suivants, je me fis le plus discret possible, évitant de la croiser, rentrant plus tôt, partant plus tard... Bref, j"avais peur.
Et puis il y eut ce jeudi soir. Le jeudi soir, Madame allait jouer au bridge chez des amis et rentrait nuitamment. J’en profitai souvent, avec Simon, pour recevoir des amis. Ce soir là, pour me faire un peu d’argent de poche, j’avais accepté la proposition de Florian. Il avait un pote qui suivait des études de commerce et qui, pour valider son diplôme devait créer une petite société de vente. Ce copain, Gurvan, avait choisi de vendre des dessous masculins, slips, boxers, strings, jockstraps, débardeurs et stringers (ces grands débardeurs très ouverts qui cachent à peine les tétons).
Gurvan avait besoin de mannequin pour porter ses vêtements. Il payait, peu, mais enfin il payait et c’était déjà ça.
Mon appartement étant grand, on pouvait le transformer en studio photographique, surtout ma piaule. Que nous soyons modèles, Florian et moi, allait de soi compte tenu de notre pratique de la musculation. Gurvan, plutôt beau gosse pouvait poser aussi et, pour faire bonne mesure, nous avions ramené un autre copain de muscu, Vladimir, un géant slave un peu plus âgé que nous.
J’épiais le départ de la mégère. Quand je vis la Jaguar sortir de la cour, j’envoyais un texto aux potes. Il était vingt heures.
"C’est cool de nous recevoir Jean. T’es sûr que ça va pas te poser de problèmes" ?-  T’inquiète. Mon coloc est en stage et mon infecte proprio est parti. On a jusqu’à minuit. Si on est bien organisé, çà va le faire.
J’avais déjà dégagé tout un mur, poussé mon lit dans un coin, enlevé les posters...

Pas de chichi entre nous. Il fallait essayer des dizaines de modèles. Nous fumes tous à poil en moins de cinq minutes. Pendant qu’un mec posait, un autre se préparait et on enfilait les clichés autant que les slips ou les strings.
La chaleur des spots de Gurvan, la présence dans la chambre de quatre mecs à poils qui s’agitaient en enfilant ou en enlevant des fringues, l’agitation égrillarde nos nudités provoquait, les rires et les plaisanteries gauloises qui en découlaient, tout concourait, au propre comme au figuré, à faire monter la température.
La douceur angevine était déjà perceptible en ce début de printemps. J’entrouvris la fenêtre. Nos rires et nos discussions m’empêchèrent sans doute d’entendre la Jaguar revenir dans la cour, plus tôt que prévu... bien plus tôt. Pour une raison que j’ignore, il n’y eut pas bridge ce soir là.
En sortant de sa voiture, la connasse dut entendre nos rires. Elle dut lever les yeux, voir de la lumière à ma fenêtre dans le soir qui tombait. Elle entreprit de venir passer ses nerfs sur moi.
Elle monta, ne prit pas la peine de sonner, entra dans l’appartement, et se précipita dans la chambre où elle entra comme une furie.
A ce moment, j’étais devant l’objectif, avec un jockstrap, tendant mon cul pour l’immortaliser.
Gurvan était nu, Vladimir passait un slip et Florian était en stringer. Les fines bretelles dégageaient ses épaules volumineuses, ses pectoraux puissants étaient quasiment à nu comme la pointe de ses tétons. Le débardeur cachait le pubis et la base de la verge mais l’énorme engin et ses couilles velues dépassaient largement.
" Jeune ho.... Mais que... que... qu’est-ce que signifie cette débauche.... mais où vous croyez-vous ?"
Elle s’était avancée au milieu de la pièce. Je m’étais retourné, plus mort que vif, juste à temps pour voir Florian se replier vers la porte et barrer la route à ma logeuse si elle voulait sortir.
Voir quatre hommes nus ou presque qui posaient dans des vêtements dévoilant les fesses et toute l’intimité comme pour partir sur un char à la gay-pride... il dut s’en passer des choses dans sa tête.
"Quelle honte ! Vous transformez ma maison en .... en .... je vois.... des invertis.... des sodomites... je vous laisse à vos débauches lubriques... vous me dégoûtez... Quittez tous immédiatement ma maison.... j’appelle la police... je vais porter plainte....".
Et elle tourna les talons pour sortir.
Elle se heurta à Florian, dont la stature colossale, son mètre 97, ses épaules larges, ses jambes puissantes et massives formaient comme un mur entre elle et la porte.
" Vous le, vous le... laissez-moi passer" !-  Vous le quoi ?-  Laissez-moi passer !-  Vous le quoi ? C’est le nègre que tu voulais dire ?-  Rangez-vous !-  Ça te pose un problème ?  Moi c’est tes insultes qui me posent un problème. Alors t’aime pas les noirs ? Et l’autre jour, tu m’as dit que je pue, et là tu dis qu’on est PD !-  Laissez-moi passer ou j’appelle.-  Tu vas voir si je pue ma donzelle.
Et il l’attrapa de sa main gauche, puissante et rapide, lui saisissant le cou. Il la colla le nez contre son aisselle.
"Sens moi ça ma belle. Tu la sens la bonne odeur de l’homme ? Pas lavé de la journée et là on transpire depuis une demie-heure sous les projos. Alors, comment que tu trouves que c’est ? Y’a longtemps que t’a pas senti un homme, un vrai" !
Elle essayait de se débattre, laissant passer des sons inarticulés : "Mmmmm...";
J’interpelai Florian : "Putain Florian tu fais quoi là ! Laisse Madame X....."
Mais lui continuait : "Et tu penses que je suis homo ? Tu la sens ma queue salope ? C’est du calibre 22, oui Madame, monté comme un âne le black ! Avoue que t’a jamais vu du matos comme ça... tu veux la snifer ma queue voir si c’est aussi bon que sous les bras" ?
Et il la força à s’agenouiller.
"Alors, comment tu trouves ça ? Il a une bonne odeur de mâle le sexe de ton homme ou il sent l’eau de Cologne ? J’suis sûr qu’il te fait cocue à tour de bras quand il est pas là. J’suis sûr que t’a envie d’une vraie bite, hein".-  Florian, laisse-là maintenant. Tu es déjà allé trop loin.-  Tu rigoles. T’as vu comment elle kiffe me renifler les boules. Hein t’aime ça pouffiasse !
Il lui maintenait la tête plaquée contre son sexe turgescent. Elle ne disait rien, ne gémissait même plus.
"Aller, touche-là ma bite... touche là. T’as vu comment tu me fais bander ? Ça te plait d’exciter encore un homme comme ça hein ? T’es une pute d’allumeuse toi ! T’aime faire bander des jeunes comme nous. J’suis sûr que t’es une bonne vieille dégueulasse de couguar".
Il avait relâché son emprise. Il ne la maintenait que d’une main, et encore, sans fermeté. Il bougeait son sexe contre la bouche, le nez, tout le visage de la femme. Elle ne cherchait plus à se dégager. Ses bras était inertes.
"Aller, prends ma bite... elle est à toi... tu vois, je te la donne. Tu peux en faire tout ce que tu veux..."
Elle ne bougeait pas. Elle dit seulement très bas, tout doucement, sans conviction : "j’vous en prie, s’il vous plait...".
Il se baissa pour lui saisir un bras qu’il colla ensuite sur son ventre.
"Tu sens mes abdos ? C’est musclé ça Madame... ton couillon, j’suis sûr que c’est un gros, un gras du bide".
La main glissait sur le ventre, le nombril, les poils pubiens.
"C’est bon, tu y es... empoigne ma bite... Vas-y, t’en crève d’envie".
Il se recula pour desserrer son étreinte. Le visage ne touchait plus l’énorme sexe déployé droit devant. Elle resta à genoux à contempler l’engin, l’air un peu hagard.
Gurvan et Vladimir bandaient. Je ne savais plus quoi faire.
"Regarde-moi salope.... regarde-moi dans les yeux... regarde... oui... Alors, vas-y, j’suis sûr que t’as autant envie que moi... prends ma queue...prends là" !
Elle regarda la bite, tendit la main avec hésitation, s’arrêta, regarda tout autour, nous vit à poil tous les trois, regarda à nouveau  Florian dans les yeux, la main toujours à un centimètre du sexe. Florian lui sourit : "Putain t’es canon. T’es une vraiment belle nana. Si tu la prends tu vas pas regretter".
Et il bougea juste le bassin pour amener sa queue vers la main. Les deux membres se touchèrent.
"Tu sens comme tu me l’a durcie ! T’as jamais fait triquer un mec comme ça je parie. Aller, branle-là" !
Les doigts se refermèrent sur le vit et elle commença un léger va-et-vient, toujours en regardant tout autour. Ma queue se mit à gonfler.
"Maintenant, elle est à toi cette pine. Tu fais ce que tu veux avec, tu caresses, tu suces... c’que tu veux".
Elle accéléra progressivement le mouvement, tout en serrant davantage. Elle se redressa sur ses genoux, comme si elle commençait à réaliser, à accepter l’inéluctable issue, à la vouloir.
"Suce-moi chérie s’te plait"
Alors , elle posa ses lèvres sur le gland, eut une ultime hésitation, puis l’avala. Florian se cambra, bascula la tête en arrière en poussant un énorme "OUUUUUF" de plaisir.
"Oh putain, tu suces bien toi. J’avais raison. T’es pas à ton coup d’essai. Oh la vache, c’est super bon... ça c’est une pipeuse les mecs" !
Vladimir avait commencé à se branler, Gurvan en fit autant et, machinalement, je les imitai.
Florian avait passé ses mains derrière sa propre nuque, la laissant prendre l’initiative. Elle l’avait maintenant agrippé par les fesses et le pompait allègrement, en s’arrêtant de temps à autres pour masturber le braquemart enduit de salive.
"Tu vas pas laisser mes potes comme ça. Branle-les aussi"!
Elle allongea immédiatement ses mains. Vladimir et Gurvan n’eurent pas la même hésitation que moi.
Au bout de trois ou quatre minutes de ce traitement, il la remit debout. Il prit les lunettes, les jeta sur un paquet de fringues et lui roula une méga pelle. Elle y mit autant de fougue que lui, définitivement vaincue et soumise. Il se recula, enleva la veste du tailleur qui s’en fut rejoindre les lunettes.
Il lui fit un signe du menton qui pouvait s’interpréter comme "Alors prête" ? Elle fit oui de la tête. Alors, il mit ses mains dans l’ouverture du chemisier dont les boutons volèrent quand il le déchira libérant le soutien-gorge bien rempli. Il glissa sa tête dans le creux des seins tout en cherchant de ses mains dans le dos l’agrafe qui libérerait les mamelles de leur cage de tissu. Il ne fut pas longtemps à trouver. Les seins apparurent dans leur beauté sublime, gros et fermes, les tétons tendus vers le plaisir. Il les aspira goulûment l’un après l’autre puis il la poussa vers le lit sur lequel elle bascula.
A suivre
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