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Bourgeoise remplie au sperme

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
A l’évidence, le garçon n’en était pas à son coup d’essai. Il prit sa queue d’une main et la frotta entre les lèvres de l’abricot bien fendu, histoire de trouver l’orifice rapidement.
Pendant ce temps, un beur au sexe épilé et très foncé s’était en train de s’allonger devant la femme; Il s’appelait Samir.
A la façon dont Ces mecs se branlaient sans vergogne les uns devant les autres, et devant des inconnus, on comprenait tout de suite que ma propriétaire n’était pas la première à venir dans cet endroit d’où on avait banni toute pudeur.
Jules désormais poussait sa bite :-  Aïe, vous me déchirez, arrêtez, arrêtez...-  Bien sûr que j’te déchire salope ! Et j’peux même te dire que c’est super bon. Tu vas dérouiller, mais pas de souci, tu vas t’y faire... Tout le monde s’y fait... et tu vas bientôt couiner... tu vas aimer ça... tu vas en redemander du gros morceau !-  Vous me faites mal !-  Ouaiiiiis, c’est bon, c’est bon. J’la sens bien étroite ta chatte au bout de mon nœud....Mais j’vais te faire du bien. T’es bonne là. Putain les gars elle est vraiment étroite c’est bon.-  C’est pas elle qu’est étroite, c’est toi qu’est gros !-  Putain c’est vrai que t’es un monstre, même la mère à Titouan elle le dit, hein Titouan ?
Florian, qui semblait connaître le Titouan en question, lui demanda :
-  C’est vrai Titouan, ta mère elle a vu la bite à Jules?-  Ouais, elle l’a vue et il l’a niquée... toute façon il saute sur tout ce qui bouge.-  Sans dec ? Raconte !
Titouan rapporta donc cette anecdote au moment où Jules accélérait son va-et-vient arrachant enore à la bourgeoise des cris qui devaient s’entendre dans tout le sous-sol et peut-être même au rez-de-chaussée.
-  Aller, bouffe les roustons à Samir.
Elle s’y mit ce qui eut pour effet de calmer ses cris.

J’assistais à ce que j’avais vu dans des film porno. Le cul de la femme claquait sous la violence des chocs répétés. Elle bouffait les couilles du type qui lui pilotait la tête pendant ce temps là pour la conduire précisément là où il voulait dans son entre-jambe.
Inutile de dire que je bandais à mort, mais je pus me concentrer sur le récit de Titouan :
"Un soir, j’suis venu chez mes vieux avec Jules. Mon père y regardait un film où une meuf se faisait sauter et ma mère elle faisait de la couture ou des conneries comme ça. Alors j’ai dit que la meuf elle aimerait sûrement se faire sauter par Jules vu qu’il a une grosse bite comme jamais on en a vue. Alors mon père et ma mère ils ont dit que c’était des conneries mais je leur ai dit que non, alors mon père il a dit, manière de rigoler : "Tu nous ma montre" et ma mère elle a fait "même pas cap" Mais Jules il s’est pas démonté, tout façon dès qu’il peut sortir sa bite celui-là, il y va; alors  il a baissé son froc avec son gros truc qui bandait même pas mais qui tenait tout seul droit devant, même que mon père il s’est levé pour se rapprocher et dire que même à l’armée il avait pas vu un bazooka pareil et que même que ça devait le gêner le Jules parce que y’a pas une nana qui peut se prendre un rondin comme ça dans la chatte. Alors ma mère elle a dit que ça lui faisait même pas peur et ils se sont pris a tête avec mon daron parce que lui il insistait pour dire que non et elle pour dire que oui. Alors mon père il a dit qu’il y avait qu’à essayer et que comme ça, elle ferait moins la fière quand elle l’aurait dans le cul la grosse bite. Mais comme il bandait pas Jules, ma mère elle a dû le sucer un peu. Puis après, elle s’est allongée sur la table comme ça elle avait la chatte au bord et il a pu la prendre debout. Mon père il regardait de près, il a sorti son zguégue. Ma mère elle a rien dit par fierté mais on voyait bien à la gueule qu’elle faisait que ça lui faisait limite plus mal que de pondre un gosse. Puis elle s’y est fait, alors on l’a montée à tour de rôle et on a tous joui dedans et depuis des fois, mon père et Jules ils la rebaisent mais pas moi j’aime pas trop ça, c’est ma mère quand même"!
Pendant le temps que se déroulait cet édifiant récit, Jules tapait le cul à coups redoublés en se cramponnant aux hanches pendant que la femme, domptée désormais, lâchait des plaintes heureuses entre deux coups de langues sur les burnes du gars allongé devant.
-  Putain qu’elle est bonne. C’est_une_putain_de_bonne_chatte ! - dit Jules en détachant chaque mot avec lenteur et d’une voix de stentor.
Puis, après une bonne claque sur le cul, il se retira, mit la bourgeoise sur le côté et s’allongea dans son dos pour la prendre ainsi. Un troisième gars vint se substituer à Samir pour se faire bouffer la pine. Tous les autres se pignolaient ce qui me rendaient dubitatif. Si, moi, je m’étais masturbé comme il le faisaient, j’aurais déjà joui. Je n’avais pas besoin de toucher ma queue qui tenait droite toute seule. Je crois que je n’avais jamais triqué aussi longtemps et aussi fort.
En fait je m’étais habitué à l’action comme si c’était normal de me retrouver là. J’attendais mon tour, en espérant cette fois-ci goûter aux plaisirs du vagin.
Mais tous ces garçons étaient des bêtes de sexe, endurants, avides d’utiliser au maximum la chance qui leur était offerte. On attendait que Jules libère la chatte pour prendre la place. Mais il fallut encore qu’il la baisât en missionnaire, puis debout, elle pliée en deux devant lui, suçant Titouan qui bavait au sens propre comme au figuré, tout son plaisir.
Jules avait épuisé plus rapidement son lot d’insultes que sa capacité testiculaire mais il commentait néanmoins sans relâche. Les "salope, chiennasse, cochonne, grosse truie, bourge de mes deux, outre à sperme, garage à bites, rince-burnes...", tout y passait au plus grand bonheur de Marie-Clotilde qui semblait jouir à moins qu’elle ne fît semblant
-  T’es pas la première bourge que je baise. T’inquiète, le Jules il est connu pour sa bite, mais t’es vachement bonne,  t’es  chaude comme une barque à frites. Tu fais pas mine de prendre ton pied.
Quand il eût essayé toute les positions, il la reprit en levrette pour le bouquet final.
-  T’aimes le jus ? T’aimes le jus ? Réponds salope ! Tu sais, moi ce que j’aime, c’est de recouvrir de sperme les vieilles bêcheuses comme toi. Alors, t’aimes le jus ? Tu la veux ma sauce ?
Avec le sperme séché et l’odeur de pisse qu’elle portait sur elle, la réponse me paraissait évidente mais elle la formula quand même à voix très basse :
-  Oh oui, j’aime le jus, remplis-moi de tes couilles gros porc-  J’en étais sûr, elle se lâche... t’es vraiment une grosse cochonne. A genoux!
Il se retira et se planta face à elle, les jambes bien écartées, solide sur ses appuis et, la tête en l’air , jurant comme un beau diable, après de vigoureux coups de poignet, il juta sur elle.
Trois ou quatre lourdes larmes percutèrent le haut de la poitrine palpitante et, ensuite, une pluie plus légère  et plus éparse de gouttes plus fines s’égaya sur les seins, le menton ou le visage.
Une énorme trainée blanche, pareille à de la glace qui fond, serpenta de haut en bas sur le sein gauche, lentement, puis recouvrit le téton en basculant dans le vide. Elle y resta accrochée un court moment en s’étirant au fur et à mesure qu’elle se détachait, puis elle s’écrasa sur le sol.
Déjà, un mec se présentait par derrière, lui plaquait la queue entre les fesses et, trahissant en cela aussi une certaine habitude, sans se soucier du foutre qui les recouvrait,  saisit les nichons à pleine s mains pour les pétrir de vive force.
Notre pauvre amie demanda grâce, arguant de sa fatigue qui, il est vrai, devenait visible.
Il en fut tenu compte.
On l’allongea sur le dos et chacun la pénétra en missionnaire, ce qui n’en rendit pas les coups moins virulents.
Les culs s’agitaient, les reins se contorsionnaient, les muscles des bras et du dos se tendaient à chaque fois qu’un garçon ahanait sur la bête.
Les gars s’encourageaient et commentaient leurs prouesses de virilité, obéissant chacun à un rituel tacite qui les faisait s’extraire à l’approche de l’orgasme pour venir éjaculer sur les seins ou le visage de la dame et, pendant qu’ils se décrassaient la pine au plus profond de sa bouche, un autre mâle prenait position entre les cuisses, commençait la pénétration avant de s’allonger de tout son long, une fois la place entièrement libérée par son prédécesseur.
Cette tournante me fascinait. J’étais comme hypnotisé par ces corps transpirant à grosses gouttes et dansant leur ballet obscène, le mouvement rotatif et régulier des mamelles ondoyant au rythme des coups de bites, le glands luisants, gonflés au moment où s’échappait leur blanche liqueur.
La femme était offert, les jambes bien écartées, les bras cherchant les muscles particulièrement quand les tourments de l’orgasme la soulevait et elle en connut plusieurs à moins que ce ne fût le même qui se calmait, s’éteignait ou se rallumait au tempo des différents savoir-faire déployés par les étalons successifs qui, sans doute, n’était pas d’égale qualité.
Je remarquais quand même l’intimité de tous ses jeunes hommes qui, leur plaisir assouvi, restaient nus les uns devant les autres, n’hésitant pas à se caresser le cul ou se frôler la grappe et j’en déduis qu’en l’absence de femme, ils devaient s’amuser entre eux. Je compris mieux pourquoi Florian m’avait spontanément saisi le sexe tout à l’heure et pourquoi, en ce moment même, tout en se branlant de la main droite, il me tenait par l’épaule de la main gauche, serré contre moi, les yeux fixés vers l’orgie qui se déroulait à nos pieds. Je dois le dire, j’aimais ce contact. Et je me surpris même à penser qu’il devait être bon de se mettre à la place de la femme.
Enfin, très tard, ce fut mon tour, en avant dernier, avant que Florian ne passe lui même. Du reste, il ne restait que Vladimir, Gurvan, Jules, Florian et moi dans la cave Les autres s’étaient éclipsé, lassés d’attendre sans doute un second tour qui tardait à venir ou pensant peut-être ne pas pouvoir recharger leurs couilles pour remettre ça, ce qui n’était pas le cas de Jules qui retriquait déjà solidement.
Je me concentrai pour bien profiter de ma première pénétration vaginale. Je ne l’avait pas imaginée comme cela, plutôt au calme, bien tranquillement avec une petite fiancée, mais l’occasion faisant le larron....
Je fis comme les autres. Je m’appuyai solidement sur mes bras et tâchai de trouver le trou. Forcément je tâtonnai un peu et visai tout d’abord trop haut. Par quelques mouvements du bassin qu’elle fit vers moi pour me présenter l’orifice et par les ajustements de ma position je trouvai enfin la porte du bonheur. J’y glissai en douceur, d’un seul coup, tout naturellement.
J’en appréciai immédiatement le confort, la chaleur et l’humidité. On était bien dedans. Par contre j’ y étais moins serré que dans le cul que j’avais pénétré un peu plus tôt dans la soirée. Et j’avoue que je regrettai cette sensation de pression sur la bite.
Il n’empêche, pas besoin de gel, pas besoin de vaseline, l’engin pistonnait sans peine dans un petit bruit semblable à celui que la terre humide produit sous les pas, quand toutefois les acclamations autour me permettaient de l’entendre.
La queue ainsi en action, et plutôt satisfait de m’en être tiré sans éveiller de commentaires qui auraient pu accompagner ma perte de pucelage, je pus me concentrer sur le reste.
On s’habitue à tout. Il y avait sans doute largement plus d’une heure que nous étions dans cette cave dont l’atmosphère était surchauffée. Un inconnu qui  serait arrivé à cet instant aurait sans doute été suffoqué par cette température et se serait sans doute aussi pincé le nez devant l’odeur de foutre et de sueur chaude qui emplissait la turne. Mais dans le feu de l’action, on n’y prenait plus garde.
Cependant, en me penchant sur la femme, mes narines furent frappées par les forts relents de sperme qui montaient de sa poitrine, de ses épaules, de son cou et même de sa bouche. J’en étais suffisamment près pour en être marqué. Cela sentait même très fort.
J’aurais dû réaliser ce que cela impliquait mais non. C’est ainsi que, lassé d’avoir les bras tendus je m’allongeais entièrement sur le corps de mon altière logeuse. J’étais à peu près de la même taille qu’elle et, au moment où mon torse comprima sa poitrine sous mon poids, je sentis toute l’humidité de la jute qui la recouvrait;  j’en serais tout mouillé aussi, tant pis !
Ainsi placé, je pus lui susurrer des ordures dans l’oreille : "Tu fais moins la fière là, hein ? Il sont où tes grands principes quand on te défonce la chatte ? Tu me trouves toujours aussi mal élevé ? Tu aimes que je me balade dans ton vagin " ?
En retour à cette provocation, j’eus droit à une très forte pression sur mes fesses. Elle y enfonça ses ongles, longs et affutés, à m’en faire mal... pour mon plus grand plaisir d’ailleurs et à ma grande surprise... et comme je me dressai dans ce qu’elle prit sans se tromper pour un geste de satisfaction, elle remonta ses griffes jusque dans mon cou, traçant dans mon dos des sillons rouges qui mirent deux ou trois jours à s’estomper.
-  N’oublie pas de lui crémer la gueule !-  Oui, oui, j’vais lui couvrir sa tronche de richarde de mon jus, vous inquiétez pas !

Et de fait, lorsque je sentis l’orgasme venir, je me dégageai, quoique maladroitement car elle m’enserrait comme une proie, et je fus assez heureux pour lui plonger le gland entre les dents, juste à l’instant de jouir.
-  Garde tout dans ta bouche, garde tout dans ta bouche cochonne, j’arrive !
L’ordre venait de Jules. J’avais à peine basculé sur le côté, qu’il l’empoignait par les cheveux, achevant de détruire le fier chignon si strict qui lui donnait un air de supériorité qu’elle affectait au plus haut point.
Il la força ainsi à une pipe monumentale. Un cocktail de salive et de sperme ruisselait le long du menton. On n’entendit plus que les sons étouffés qu’elle produisait et les injures incessantes de Jules.
Il demanda s’il y avait encore quelqu’un pour une double.
Mais non. Tout le monde bandait mou. De plus, après le plaisir, l’excitation diminuait ne laissant place qu’à la fatigue et à l’envie que, finalement, tout cela s’achève vite et qu’on aille se coucher.. Alors il se finit là où il était. Mais il fut long encore. La pauvre fille était comme une poupée de chiffon. Complètement inerte, les bras le long du corps, elle laissait sa tête à la disposition de Jules qui jouait avec comme si c’était un fleshjack, dans lequel il éjacula provoquant un haut-le-cœur.
Elle recracha tout le sperme et se releva.
Que restait-il de la femme élégante et stricte, sévère, dominatrice et autoritaire ?
Les cheveux en pagaille, le maquillage qui avait coulé, du sperme mi-sec mi-humide sur la face et le corps, les cuisses et les fesses rouges, elle titubait comme prise par l’ivresse.
Elle chercha des fringues pour se couvrir.
-  Que le haut ! Tu restes la chatte à l’air, on rentre comme ça !
Elle ne dit rien, prit un t-shirt qui traînait, trop étroit, qui moula sa forte poitrine.
Jules nous remercia et nous pria de revenir quand on voudrait.
-  Sérieux, trop bonne votre pute là. Bonne à sauter. Tous les mecs du quartier vont vouloir se la faire. J’suis sûr qu’on peut même se faire du fric. Sans rire, tu m’la ramènes ta meuf là !
Puis, il s’approcha d’elle, lui mit deux doigts dans le sexe qu’il agita bien fort.
-  Merci ma belle. Tu r’viens quand tu veux. J’suis sûr que t’as aimé ma grosse queue et que tu lui trouves un goût de reviens-y !
Elle ne dit rien. Qui ne dit mot consent ?
Nous sortîmes de l’immeuble. La rue était déserte mais j’avoue que le spectacle de cette femme aux formes parfaites, au sexe légèrement poilu et aux fesses galbées, qui rejoignait sa voiture comme un automate était d’un érotisme puissant.
Nous regagnâmes le centre d’Angers sans d’autre commentaire que celui de Gurvan : "Bon, je crois que c’est foutu pour la séance photos ce soir" !
Nous entrâmes dans la cour. Il était plus de deux heures du matin. Tout dormait.
-  A poil !-  Quoi ?-  J’veux que tu traverses la cour et que tu montes l’escalier à poil pour moins faire ta fiérote !
Comme elle semblait ne pas comprendre, Florian prit le T-shirt qu’il déchira en deux ou trois coups vifs.
Elle entra rapidement dans l’immeuble devant nous, et gravit les marches nous montrant ainsi son magnifique postérieur qui ondulait. Arrivée devant sa porte, elle l’ouvrit. Florian s’immobilisa sur le palier alors que nous poursuivions notre ascension dans l’escalier.
-  Florian, tu viens pas ?-  Ah que non ! Putain, t’as vu comment qu’elle est roulée. J’vais avec.
Puis il la poussa dans son appartement en lui disant :
-  Demain matin au réveil, j’veux que tu vois à quoi ressemble une gaule bien tendue. Tu vas avoir un p’tit dèj de bite d’enfer ma chérie !
Puis se tournant vers nous.
-  Putain, j’crois que je deviens accro à cette nana. J’vous raconterai demain !
Puis il referma la porte et le couple improbable disparut dans un silence d’incrédulité.
Je me démerdai pour faire dormir les autres gars dans ma chambre et celle de Simon.
Les poils de mon torse collaient sous le sperme coagulé que j’avais ramassé sur les seins de ma désormais très obligeante logeuse. Il était trop tard pour prendre une douche, je m’écroulais sur le lit, nu et satisfait.

A suivre.
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