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Bourgeoises soldées

Chapitre 4

Avec plusieurs hommes
Je reprends la suite du récit de ma fille Mélanie. A la demande de nos tortionnaires, nous sommes contraintes d’envoyer des comptes-rendus détaillés de nos turpitudes depuis que nous sommes devenues les esclaves sexuelles des élèves de ma fille. Je m’appelle Christiane, j’ai 49 ans. Je suis directrice d’une agence bancaire et j’habite un grand pavillon dans la région parisienne. Je suis grande, élancée. Féminine, raffinée. Je fais très attention à mon corps. Mohamed a créé un site internet où il poste les photos et les vidéos dont nous sommes bien malgré nous les actrices. Il a également ouvert un blog où ma fille et moi, nous devons toutes les semaines raconter notre déchéance. Après cette après-midi de cauchemar où ma fille et moi, nous avions été partouzées par des jeunes de banlieue, Mohamed m’avait ramenée chez moi. Avec ses complices, ils m’avaient baisée une dernière fois me laissant anéantie…

La sonnerie du pavillon retentit et je me dirige vers la porte. Je suis seule, mon mari est à l’étranger pour visiter un chantier. Il est à la tête d’une grosse entreprise de BTP qui passe des contrats important un peu partout dans le monde mais aussi en France. Je reste bouche bée devant la porte. Trois blacks, des jeunes, sont devant moi…Capuche sur la tête, casquette…Sans hésiter, ils rentrent me bousculant presque. Je tente de protester :— Mais ! Sortez d’ici immédiatement !Un des blacks se retourne et me dévisage…Il mate mes seins moulés dans mon chemisier en satin. Je m’apprêtais à partir au travail. — Pas mal, la bourgeoise ! Mohamed m’avait prévenu…Du premier choix !Ils éclatent de rire et je blêmis…— Je croyais qu’il t’avait dis de t’habiller sexy pour recevoir tes premiers clients !Je manque m’évanouir…je ne pensais pas que ces jeunes étaient sérieux quand ils nous avaient annoncé ça dans la voiture qui nous ramenait…Il me prend par les bras et m’entraîne vers le salon, les talons de mes escarpins claquent sur le sol. Le plus grand, qui semble commander me dit s’appeler Moussa. Il me présente ses complices : un plus petit, le crane rasé, le regard méchant qui s’appelle Diouf et un gros, énorme, le ventre en avant. Il a dû trop se nourrir de fast-food…Il porte un sac. Moussa me demande si j’ai internet. Je les emmène dans le bureau de mon mari. Il allume l’ordinateur et il se dirige sur un site intitulé « Dressage de bourgeoises ». Je défaillis…Ma fille et moi sommes les héroïnes de ce site immonde où l’on nous voit se faire prendre à la chaîne dans le sex-shop et dans la cave de la citée. Je suis quand même soulagée de voire que nos visages sont floutés.Pendant que je regarde le film, la main de Moussa remonte le long de mes jambes. Je frémis au contact mais ne dis rien. Fascinée par le film. Diouf déboutonne mon chemisier. Il baissa les balconnets de mon soutien-gorge faisant apparaitre mes seins. Il souleva ma jupe, baissa mon collant et mon string. — Tu ne devras plus porter de sous-vêtement à part des bas. Tu as un porte-jarretelle ? Médusée, je hoche la tête. La main de Moussa me caresse la vulve. Je commence à mouiller. J’ai honte mais j’aime ce contact. Cette main noire qui caresse ma peau blanche m’excite terriblement. Moussa m’appuya sur les épaules et je dus m’accroupir. Il sortit son sexe. Un membre qui me parut énorme. Une matraque de chair qu’il m’enfonça brutalement dans la bouche. Je dus le pomper longuement, salivant sur la hampe, lui léchant les couilles. Il éjacula, le sperme giclant contre mon palais. Je déglutis avec peine et avalai sa semence.

Je fus relevée et emmenée dans ma chambre. Je dus faire le tri dans ma penderie, jeter tous mes pantalons. Moussa et Diouf admirèrent ma lingerie.— C’est pas mal, mais pour aujourd’hui, on t’a ramené des fringues. Enlève ta jupe!
Je me déshabillais et restais devant les trois hommes totalement nue. Le gros, qui se prénommait Brice, me palpa sous toutes les coutures. Les seins, la chatte, le cul. Puis je dus m’habiller avec les vêtements qui étaient dans le sac qu’il avait emmené. Un collant noir à couture ouvert à l’entrejambe dévoilant mon cul et ma chatte. Un soutien-gorge ouvert également laissant apparaitre mes seins. Une minijupe en vinyle s’arrêtant juste en dessous des fesses et une paire de cuissarde en vinyle également aux talons très hauts. Moussa ajusta un collier autour de mon cou avec une laisse. Je ressemblais vraiment à une pute ! Non ! Pire, à une esclave…

Moussa m’ordonna d’appeler ma banque pour dire que j’étais souffrante et que je ne pourrais venir aujourd’hui. Pendant que je parlais avec mon stagiaire, Jérôme, un jeune que je chargeais en général d’effectuer les tâches ingrates dans la banque comme faire les photocopies, Brice m’enfonça deux doigts dans ma chatte. Je sursautais ! — Oui, Oui, Jérôme...Non, je ne viendrais pas…Sadiquement, Brice remue ses doigts boudinés, je mouille et j’entends les clapotis. Pendant ce temps, Diouf me malaxe les seins...Je ne tarde pas à réagir à ses caresses et je donne des coups de reins involontaires…Je raccroche précipitamment et je gémis… — Arrêtez, je vous en supplie…c’est trop…Ricanement de Brice qui me branle sauvagement faisant coulisser ses gros doigts dans ma fente…Diouf me suce les tétons…Moussa filme la scène avec une caméra numérique. Brice me branle savamment me caressant lentement puis plus vite me faisant haleter. Diouf m’enfonça son index dans mon anus et je sursautai. Branlée par la chatte et le cul, je ne tardais pas à jouir sous le regard de la caméra.
Le souffle court, je tentais de récupérer. Moussa se pencha vers moi :— T’as intérêt à récupérer ma chérie, y a du monde qui va arriver. On a mis une annonce sur le site. Une bourgeoise qui recherche des mâles bien montés pour un gang bang géant…On a vite recruté, ils ont tous payé sans rechigner. Ce sont des blacks qui viennent de différentes citées de la région…Tu vas morfler ! Pute à blacks !Et il éclata de rire…Voila donc ce que j’étais devenue : une pute à blacks…Moi, la bourgeoise respectable, la bonne épouse, bonne mère de famille…Effondrée, je m’affalais sur le sol…

En effet, ils arrivèrent dans la soirée. Horrifiée, je découvre qu’ils sont au moins une dizaine…Tous blacks. Des jeunes. Ils sifflent en découvrant mon beau pavillon. C’est moi qui vais leur ouvrir dans ma tenue de pute. Je subis des commentaires salaces :— C’est toi la pute à blacks ? Qui veut des bites noires pour te faire gueuler, Je baisse la tête, honteuse et je dois répondre dans un souffle :— Oui, c’est moi…Je suis empoignée et amenée dans le salon. Je suis accroupie sur la moquette. Les jeunes sont déjà en érection et se branlent doucement. Plusieurs bites d’ébène se présentent déjà devant moi. J’engloutis les membres dans ma bouche. Plusieurs mains malaxent mes seins. — Vas-y la bourgeoise ! Ouvre la bouche, suce nous, tu vas nous vider les couilles, pute à blacks !Un grand black fait coulisser sa bite entre mes lèvres. Il éjacule rapidement m’étouffant avec son sperme. Des mains se faufilent sous ma jupe me titillant le clitoris. On me suce les seins. Moussa filme bien sûr. Je suce plusieurs bites. Et parfois deux en même temps. Je suis essoufflée. On se vide dans ma bouche et je dois avaler le foutre. Je suis mise à quatre pattes et on me fesse le cul. Des doigts s’enfoncent dans mon cul et ma fente…Puis une queue me pénètre et une autre s’engouffre dans ma bouche. Mon corps ballote sous les coups de pines. Je gémis. Je suis traitée comme une chienne mais j’y prends un sale plaisir ! Celui qui me pilonnait éjacula sur mon dos et celui que je suçais se vida sur mon visage. Aussitôt un autre le remplaça. Ses va-et-vient violents me font gémir…Il se retira de mon ventre et sans précaution força mon anus. Je voulus crier mais bâillonnée par la bite que je suce, mes cris se muèrent en gémissements plaintifs. — Quelle salope ! Une vraie pute…Moussa me filme en gros plan…

Cela dura toute la nuit…Mon corps ne m’appartient plus. Il leur appartient. JE leur appartiens. Les petits salauds en abusent. Empalée sur une bite, enculée par une autre et contrainte d’en sucer une troisième, je jouis sans discontinuer. Je serais enculée et branlée en même temps avec un gode. Que je devrais sucer ensuite…On se branle entre mes seins…Mes « clients » se soulagèrent en se vidant sur mon visage. Le sperme gicla allant s’écraser sur mes lèvres, mes cheveux, mes yeux. Un des jeunes, plus pervers que les autres, voulut éjaculer dans mes mains et je dus lécher son sperme ensuite. Pour la plus grande joie de Moussa qui trouva cette scène « génial ! »

Ils partirent au petit matin me laissant affalée sur le sol. Moussa, Brice et Diouf n’eurent aucune pitié. N’ayant pas pu profiter de moi, je fus obligé de terminer la soirée en les suçant tous les trois. Ils se vidèrent rapidement dans ma bouche. J’avais tellement de foutre en bouche que cela déborda et que ça coula sur mon menton...— Allez, on va te laisser récupérer ma salope !! Mais vite, hein ! Bientôt on t’emmènera dans un chantier qui appartient à ton mari. Vu comment il doit les payer, il leur doit bien une compensation !Ils éclatèrent de rire. Je me relève péniblement…Apres avoir été une pute à blacks, allais je devenir une pute à chantier ?
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