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brother'n sister

Chapitre 3

Inceste
Le reste de la soirée se passa sans rien à noter de spécial. Mon père, vivant seul avec nous deux depuis le décès de ma mère deux ans plus tôt, partit, comme tous les dimanches, faire la tournée des bars de la ville à quinze heures et revint vers vingt-deux heures, ivre. Mon frère, quant à lui, avait passé sa journée à travailler. Il était en classe de terminale scientifique et avait passé des heures devant sa calculatrice à tracer des courbes censées représenter la trajectoire d’une balle que l’on lançait. Seulement, mon frère, ayant pris un peu d’avance, avait décidé de créer un logiciel informatique permettant de faire exactement la même chose, à la différence près que, contrairement à ce que l’on pouvait trouver dans ses livres d’exercice, la vitesse du vent était variable et la balle tournait sur elle même. Il essayait parfois de m’expliquer, en vain. Moi, j’étais plutôt littéraire, je préférais écrire que calculer, d’où ma terminale littéraire. Mon frère me disait toujours que je ne pourrais pas me servir de ce don que j’avais, celui de captiver mon lecteur rien qu’avec la pointe de ma plume. Je n’étais pas d’accord avec lui, j’étais persuadée que l’art d’écrire pouvait ouvrir une voie que celle du calcul ne pouvait pas, mais il me riait toujours au nez. Même aujourd’hui, il continuait de le faire après que je lui aie offert mon corps. Au final, ce dimanche fut banal et bientôt, vers onze heures et demi du soir, nous décidâmes d’aller nous coucher.
Je me réveillai le lendemain matin lorsque mon réveil sonna. Il était hors-de-question pour moi de me masturber comme je l’avais fait la veille, le temps me manquait. Je me levai alors de mon lit après avoir arrêter le sonnerie assourdissante de mon réveil sur batterie. Je pris les vêtements que j’avais copieusement choisi la veille et me rendis dans la salle de bain, libre de toute présence. C’était étrange, d’habitude, mon frère, à cette heure, était toujours à l’intérieur. Je me rappelai alors qu’il commençait à huit heures le lundi contre neuf heures pour ma part. Je me déshabillai et me regardai alors dans le miroir. Rien en moi n’avait changé. Mon visage était resté le même, mon ventre également, mes fesses, mes cuisses, mon pubis, ma poitrine, rien n’avait évolué ; et pourtant, depuis hier seulement, j’étais devenue une femme. Après mon inspection, j’entrai dans la douche et laissai couler l’eau sur mon corps. Je me savonnai -en passant exagérément plus de temps que nécessaire à laver mon entre-jambe- et massait mes cheveux avec mon shampoing habituel. Lorsque vint le tour de me nettoyer, je fis couler la moindre trace de savon le long de mon corps jusqu’à ce que toute la mousse fut aspirée à travers le siphon. Je n’en coupai pas l’eau pour autant. Je plaçai alors la poire au niveau de mon clitoris et augmentai la pression. Je fus aussitôt parcourue d’un frisson d’une douceur stupéfiante. Je continuai ainsi plusieurs secondes, mais j’eus besoin de plus. Je décidai alors de placer un des doigts de ma main libre entre mes fesses et caressai ma rosette. Je me contentai de passer mon doigt sur celle-ci mais une sorte d’appel du désir me poussa à rentrer ce doigt à l’intérieur de mon anus. Un gémissement s’échappa aussitôt de ma bouche tandis qu’un deuxième doigt vint le rejoindre. J’eus à pousser un peu plus pour faire rentrer le troisième, mais au bout du compte, madame était servie. Je commençai alors à faire des aller-retours dans mes fesses, stimulant cette zone érogène particulièrement sensible. Je sentais la jouissance venir jusqu’à ce que quelque chose vienne perturber cet instant.-Salomé ! Qu’est-ce que tu fais ?Mon père était là, devant la porte de la salle de bain, complètement nu. Je le dévisageai avec surprise avant de sortir les doigts de mon anus, de couper l’eau de la douche et de placer mes mains devant mes seins et mon vagin. J’étais devenue entièrement rouge de honte et lui aussi, mais soudain, mon regard se posa sur son membre. Mon père avait une érection. Je venais, en lui dévoilant inintentionnellement mon corps nu, de faire pousser sa tige jusqu’à atteindre maturité. Je fus alors stupéfaite de voir que son pénis était bien plus grand que celui de mon frère. Je sortis alors de la douche et me préparai à céder la place à mon paternel. Seulement, au passage, ma main frôla son gland et le contact chaud avec celui-ci m’empêcher d’aller plus loin. Pire encore, mon autre main lâcha la serviette que j’avais enroulée autour de moi. Je me retrouvai ainsi une nouvelle fois nue devant ses yeux. Je restai à l’arrêt, mes mains tremblant devant mes pulsions sexuelles. Apparemment, ma petite expérience sous la douche avait fait bouillir mon hypothalamus. Impossible de me contrôler. Je me tournai vers lui et l’embrassai à pleine bouche. Je fis balader ma langue à l’intérieur et fut stupéfaite de sentir la sienne en faire autant. Pour ce qui était de la partie basse de mon père, je la sentais, chaude comme la braise, contre mon ventre, à l’étroit entre nos deux corps. Je posai alors ma main sur sa verge, dure comme du fer, et commençai à en caresser le bout. Mon autre main s’attarda alors sur ses testicules. Je sentais que j’étais prête à aller plus loin mais, dans un élan de pureté, je réussis à repousser mon corps du sien, gênée comme jamais je ne l’avais été.-Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris, articulai-je difficilement.Je le surpris alors à observer l’intégralité de mon corps. Il semblait apprécier ce qu’il voyait, ce faisant, je ne savais pas si je devais me sentir flattée ou encore plus gênée. Sans crier gare, il s’avança vers moi et me força à reculer jusqu’à ce qu’il ne me coince contre un mur. Je fus surprise mais extrêmement excitée par la situation.-Ne t’excuse pas, au contraire, me susurra-t-il.Il profita alors de la situation pour poser ses mains sur ma poitrine et commença à la malaxer très adroitement. Il faisait ça tellement bien que j’en venais à me demander ce qu’ils faisaient réellement, lui et sa bande de copains, les dimanches après-midi. Certainement pas que boire. Je revins à mes esprits lorsque je sentis ses doigts caresser mon intimité. Je le laissai faire, appréciant ce doux massage qu’il m’offrait en ce beau lundi matin. Je dus cependant le couper dans son élan lorsque son gland vint se présenter à l’entrée de mes jambes. Je ne pouvais le laisser faire. Il savait que j’étais encore vierge la veille, s’il me pénétrait et s’apercevait que mon hymen était déjà déchiré, il devinerait très certainement ce que mon frère et moi-même avions fait la veille en son absence.-Non ! me surpris-je alors à crier.Il se recula aussitôt, passant les mains dans ses cheveux. -Je suis... tellement désolée papa, c’est juste que je ne veux pas que ce soit toi qui me dépucelle. Ce n’est pas contre toi, c’est juste que, tu es mon père, et je trouverai ça bizarre.Il me regardait très étrangement, presque déçu, mais surtout désolé. Il pensait être aller trop vite, je le voyais dans ces yeux. Je le vis alors partir et me laisser seule dans la salle de bain.-Attends, m’écriai-je. Il se retourna, toujours aussi muet.-Je ne sais pas comment tu as interpréter ce que je viens de te dire, mais en tout cas, si tu veux, tu peux toujours passer par derrière.Je lui fis un sourire coquin en me penchant exagérément en avant afin qu’il puisse profiter au maximum de mon rectum dilaté par mon activité sous la douche. Il me rendit mon sourire et je vis son membre reprendre toute sa vigueur avant de le voir disparaître derrière moi. Je sentis alors quelque chose de dur se plaquer sur mes fesses. Attendant impatiemment qu’il me pénètre, je fermai les yeux.-Vas-y papa, défonce-moi !Et, comme s’il avait attendu mon autorisation, il donna un puissant coup de rein, propulsant ainsi sa verge ardente au fond de ma rondelle. Je criai bruyamment tandis qu’il faisait son office. Je sentais chacun de ses coups de rein caresser mon corps de l’intérieur. Je l’entendais derrière moi. Il criait fort lui aussi, mais d’une manière bien plus virile. Il articula quelques mots, mais je n’en compris que la moitié. Apparemment, j’étais très étroite. Tant mieux, si ça pouvait lui plaire. Après plusieurs minutes à subir ses assauts répétés, je me surpris à gémir plus bruyamment et, quelques secondes plus tard, je jouis sur le sol, ma cyprine se répandant abondamment sur les dalles de la salle de bain. Il s’arrêta alors de bouger. Avant que je puisse lui demander la raison de cela, je sentis un liquide se déverser dans mon fondement. Lui aussi jouissait et pas qu’un peu. Je comptai au moins sept puissants jets se jeter tout droit vers le néant de mon corps. J’appréciai réellement cette sensation d’être remplie par ce trou. Une fois qu’il eut terminé, il sortit son membre de ma grotte et, après m’être agenouillée devant lui, je lavai ce gros bout de chair avec ma langue. Le goût de son sperme combiné à celui de l’intérieur de mes fesses me plut bien plus que ce que j’avais espéré. Une fois le nettoyage terminé, je me relevai et, essoufflé, il me demanda : -C’était magique mon trésor, mais dis-moi, tu n’as pas cours aujourd’hui ?-Si, mais ne t’en fais pas, j’ai le temps, je ne commence qu’à neuf heures.Soudain, il me regarda inquiet. -Salomé, il est onze heures moins le quart.

Fort heureusement, mon père avait pu me conduire au lycée. Quelle idiote j’étais ! J’avais oublié que j’avais déréglé mon réveil pour le faire sonner à dix heures la veille. J’étais maintenant dans le bureau du proviseur à lui raconter la raison de mon retard mais il ne me crut pas.-Voyons mademoiselle, soyez sérieuse, je ne vais quand même pas croire que vous ayez changé les habitudes de votre réveil pour un dimanche durant lequel vous n’êtes pas sortie de chez vous. -Mais monsieur, je vous jure que c’est vrai !-Ne me prenez pas pour un idiot jeune demoiselle ! Lorsque l’on décide de faire sonner son réveil un dimanche, c’est pour une bonne raison, et des bonnes raisons, vous n’en aviez aucune.En réalité, si, me masturber avec, mais je ne pouvais certainement pas lui avouer ce détail. Je décidai alors de me taire jusqu’à nouvel ordre.-Vous ne dites plus rien, bien. Salomé, vous savez très bien que le règlement de l’école est très strict. Je me vois donc dans l’obligation de vous coller quatre heures ce samedi.Cette annonce me foudroya sur place. Moi, collée. Je n’aurai jamais cru cela possible. J’avais toujours été docile à l’école, je n’avais jamais chercher à créer de conflits et me voilà collée pendant quatre heures. J’étais écœurée. Je sortis donc dans le couloir, en larmes, quand mon frère croisa mon chemin alors qu’il se rendait lui aussi dans le bureau du proviseur.-Tu pleurs ? me demanda-t-il.J’acquiesçai. J’attendis qu’il se moque de moi comme il en avait l’habitude mais il n’en fit rien.-Je suis collée, fis-je. Samedi, pendant quatre heures.Il me regarda tendrement puis, discrètement, il glissa, sans que je puisse rien y redire, sa main dans ma culotte. Ses doigts se perdirent au niveau de mes fesses. Là, il eut la désagréable surprise de sentir mon anus dilaté et rempli. Je n’avais pas eu le temps de me vider à la maison. Même s’il essaya de se contenir, il eut du mal à me cacher sa colère. Il entra en trombe dans le bureau du proviseur. Je ne pus rien entendre de ce qu’ils se disaient, mais lorsque Antoine sortit, il me sourit et m’assura que ma punition était levée. J’étais rassurée jusqu’à ce que je vois le visage du proviseur. Su son visage, on lisait très clairement une seule et unique émotion très violente : la peur.
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