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brother'n sister

Chapitre 4

Inceste
Pendant chacun des cours de la journée, mon esprit restait figé sur ce que j’avais vu en sortant du bureau du proviseur. Son visage était totalement tétanisé par mon frère. Qu’avait-il pu lui dire ou lui faire pour le mettre dans cet état ? Je me le demandais mais ne pouvais trouver le début d’une piste. Ce fut alors qu’en plein cours de philosophie, un détail me revint en mémoire. Le sourire satisfait qu’avait fait mon frère lorsque mon père nous avait annoncé qu’il avait crevé une roue et que son portable était déchargé. D’ailleurs, cela ne ressemblait pas à mon père. Son portable, plutôt ancien, pouvait tenir la charge deux semaines sans avoir a être rechargé et mon père le branchait toujours lorsqu’il passait en deçà de quinze pour cent de batterie, soit plus d’une journée d’autonomie. Impossible que ces deux accidents se soient produits en même temps par pure coïncidence. Il y avait déjà peu de chance pour que l’un ou l’autre survienne. Se pourrait-il que... non, c’est impossible, mon frère serait-il derrière tout ça ?-Mademoiselle Sora, pouvez-vous répéter ce que je viens de dire au sujet des Stoïciens ?Je mis quelques secondes avant de me rendre compte que j’étais la personne que mon professeur venait d’interroger.-Euh... Non monsieur, je regrette, je n’ai pas entendu.-Dites plutôt que vous n’avez pas écouter. Peu importe que vous ne fassiez pas la différence, cela se voit sur votre visage, mais si vous voulez quitter ce lycée avec votre baccalauréat en poche, mademoiselle, vous allez devoir être plus sérieuse, est-ce clair ?-Très clair, monsieur.Je ne me fis plus remarquer jusqu’à que les deux heures de cours soient terminées. J’avais beau aimé la philosophie, avec ce qui se passait en ce moment, je n’avais pas trop la tête à étudier. Vendredi dernier, j’étais totalement vierge. Aujourd’hui, j’avais baisé avec mon frère et mon père et ni mon vagin, ni mes fesses ne pouvaient prétendre être sains. Qui plus est, je me demandais de plus en plus si mon frère n’était pas dangereux. Effrayer ainsi un homme aussi attaché au règlement de l’école, si bien qu’il accepte, Dieu sait comment, à retirer les quatre heures de colle que j’aurai dû récolter.

Durant le déjeuner, je réfléchis plus en détail à la question. Entre chaque bouchée de haricots verts, je me demandai si ce n’était pas, justement, une coïncidence. Je commençai à devenir folle, si bien que je me mis à parler toute seul.-Donc, si je suppose que papa avait réellement oublié de vérifier son niveau de batterie samedi soir, après tout, ça peut toujours arriver une fois dans une vie. Après, on peut se dire que mon père, sur la route, a roulé sur un débris faisant crever le pneu. Deux coups de malchance, rien de plus. Mais alors, pourquoi le proviseur était-il si terrifié ? Souviens-toi de chaque détail, Salomé, souviens-toi. Alors, quand il m’a trouvé en pleurs devant son bureau, la première chose qu’il ait faite a été de me prendre dans ces bras et ensuite il a mis ses doigts au niveau de mes fesses et.... Quelle idiote je suis, tout s’explique ! Il savait que je m’étais faite sodomisée et il a pensé, en me voyant sortir comme ça du bureau, que c’était lui le responsable et qu’il m’avait forcé. Ainsi, il aurait menacé de tout raconter à la police s’il ne retirait pas les heures de colle. Et je suis persuadée que personne ne penserait jamais que ce soit mon père qui ait pu le faire. C’est le suspect idéal. Tout s’explique. Je me mis alors à rire toute seule. Je fis toutefois attention de ne pas attirer l’attention. Une fille qui rigole seule alors qu’elle mangeait seule pouvait très vite gagner une fâcheuse réputation. J’avais donc déliré. Antoine n’était pas dangereux, il voulait juste me protéger. Une fois arrivée à cette conclusion, je quittai le réfectoire après avoir rangé mon plateau et me dirigeai vers ma prochaine salle de cours. Seulement, au passage, je reçu un message de mon frère. Je retirai mon portable de ma poche et l’ouvris. Mon frère voulait qu’on se voit au gymnase juste après les cours. Il voulait très certainement des explications. Je me devais de les lui donner et répondis à son SMS par l’affirmative.

La suite de la journée me sembla interminable tant je me demandais ce que mon frère allait penser de ce que j’avais fait avec mon père. Ce fut avoir une immense joie et, à la fois, une panique monstre que je quittai mon cours de littérature pour me rendre au gymnase où mon frère m’attendait. Dès qu’il me vit entrer, il n’attendit pas que je me sois installer pour me bombarder de questions.-Alors, dis-moi tout, qu’est ce qui s’est passé ce matin ?-Je... Je devais me faire coller parce que j’étais arrivée en retard, mais tu as tout arrangé.-Ne me raconte pas ce que je sais, je préfère qu’on m’apprenne des trucs que je sais pas encore. Pourquoi t’étais en retard ?-Parce que j’ai oublié de régler mon réveil depuis dimanche matin, lui répondis-je en baissant la tête. Je savais qu’il reverrait, tout comme moi, les images de la veille.-Et comment t’es arrivée au lycée ? Si je me rappelle bien, ton portable avait sonné à dix heures hier et il n’y a aucun car pour nous emmener au lycée une fois dix heures dix passé. Seulement tu es arrivée à onze heures. J’en conclus que papa t’as emmenée mais il y a un quart d’heures de route entre la maison et ici. Donc tu es partie à dix heure moins le quart. Seulement, il te faut exactement une demi heure pour te préparer le matin. Aujourd’hui, tu as mis quarante-cinq minutes alors que je n’étais même pas là. Je pourrais te croire si tu me disais que tu n’avais pas vu l’heure, si seulement tu n’avais pas ce petit rituel de toujours regarder l’horloge du salon une fois que tu sors de la douche. Tu aurais dû remarquer ton retard et tu aurais dû arriver plus tôt. Tu l’as compris, ce scénario ne colle pas, il s’est passé autre chose ce matin.Je n’arrivai pas à y croire. Une telle capacité de déduction de la part de mon frère était époustouflante. S’il continuait, il pourrait même découvrir ce qui s’était passé.-Salomé, dis-moi ce qui s’est passé ce matin, à moins que tu ne veuilles que je ne le découvre par moi-même.J’avalai ma salive. Lui cacher la vérité était inutile, il découvrirait tout, comme toujours.-Ce matin, quand tu as mis tes doigts dans... tu sais quoi. Tu as remarqué que c’était détendu.-Oui, ça j’avais remarqué.-Eh bien, repris-je, ce n’est pas le proviseur qui a fait ça, c’est …-Attends ! Tu veux dire que c’est papa qui t’a sodomisée !-Comment est-ce que tu as deviné ?-Parce que les deux seules personnes que tu as croisé ce matin étaient, dans cet ordre, papa et monsieur Davidau (le proviseur). Seulement, lorsque j’ai accusé ce dernier de t’avoir fait du mal de la sorte, il était réellement surpris. Il ne reste donc que papa.-Et donc, si je comprends bien, tu sais que c’est lui depuis le début ?-Non, répondit-il en souriant. Pour être franc, j’ai cru que c’était le chauffeur de car. Bien, puisque le débat est clos...-Attends, le coupai-je. J’ai baisé avec papa et ça ne te dégoûte pas ?-Pourquoi, ça devrait ? Écoute, l’inceste, c’est que des foutaises. C’est une morale à la con que les gens nous ont forcé à suivre, mais en y réfléchissant, y a quoi de mal à se faire plaisir quand on est frère et sœur ? Y en a aucun, pareil pour les parents. Et après tout, c’est ta vie, tu fais ce que tu veux.Sans réfléchir, je me jetai dans les bras de mon frère et l’enlaçai bien fort. Je voulais lui montrer à travers ce geste que je l’aimais plus que le reste. -Oh, pas trop vite sœurette. Puisque je t’ai fait un joli cadeau en te délivrant du proviseur, tu vas m’en faire un toi aussi.-Ah oui, et qu’est-ce que tu veux ?-Sous la douche, la dernière fois. Je t’avoue que je n’avais pas vraiment pris mon pied. Je ne voulais simplement pas te faire mal vu que c’était ta première fois. Mais maintenant, c’est différent, alors je voudrais qu’on recommence ici et cette fois, je vais t’en faire voir de toutes les couleurs, tu vas voir, tu vas adorer.-Mais Antoine, on ne peut pas faire ça ici ! Quelqu’un pourrait nous surprendre !-Ne t’en fais pas pour ça. Ils ferment toujours le gymnase à cinq heures et demi. Tout de suite, il est six heures moins vingt. Non, ne t’en fais pas, nous ne sommes pas enfermés, j’ai pris des clés -il leva un trousseau en l’air et fit tinter les neuf clés entourées autour de l’anneau de métal. Alors, tu es partante ?Il ne m’en fallut pas plus. Je ne lui répondis rien, je me contentai de retirer mon T-shirt rouge ainsi que mon jean slim. Je demeurai immobile devant lui, en sous-vêtements. Ses yeux tombèrent sur mon soutien-gorge en dentelle. Avec la volonté de l’exciter encore davantage, j’ôtai ce petit bout de tissu. Mes deux seins se révélèrent nus à ses yeux. Il ne lui en fallut pas plus pour s’avancer rapidement vers et empoigner fermement ma poitrine de ses deux mains. Il me plaqua ensuite contre un mur et m’embrassa à pleine bouche. Ma langue alla rejoindre la sienne avant que je ne commence à le déshabiller. Je commençai par son T-shirt noir avant de faire descendre son pantalon et, par un mouvement plus brusque que je ne l’avais imaginé, son caleçon suivit le mouvement. Il se retrouva totalement nu, son pénis pointant fièrement contre ma culotte. Dès qu’il eut fini de jouer avec mes seins, il se mit à genoux et, la bouche en face de la tâche d’humidité sur la dernière barrière de mon corps, il ôta l’ultime pièce de tissu, me laissant totalement nue en face de lui. Toutefois, il ne se releva pas.-Qu’est-ce que tu fais ? lui demandai-je.-La dernière fois, tu m’as sucé. A moi de jouer à présent.Il n’attendit pas ma réaction pour coller sa bouche à mon vagin et commença à le lécher. La sensation de sa langue en moi me fit frissonner. Il s’occupait de mes lèvres puis de mon clitoris et alternait entre des baisers et sa langue. Lorsque je fus totalement humide, il se releva et planta son dard en moi sans crier gare. Je hurlai immédiatement de plaisir et, toujours sans prévenir, il commença de violents aller-retours. Je hurlai de plaisir à chacun de ses cours de reins. Cette sensation, totalement différente de l’épisode de la douche, était toute nouvelle pour moi. C’était donc cela, avoir un pénis entre les jambes. Je me laissai inaliénablement aller au plaisir tandis que mon frère accéléra la cadence après avoir agrippé mes deux seins et commença à jouer avec mes tétons entre ses doigts. Je sentis le plaisir monter à travers mon corps mais je le contins ; je voulais que ce moment dure le plus longtemps possible. En effet, ce genre d’expériences, si elle se répétaient, seraient plutôt rares. Sentant mon frère sur le point d’imploser je décidai de me laisser jouir. Je poussai un petit cri qu’il étouffa en m’embrassa langoureusement pendant que ma cyprine gicla de mon vagin. Je sentis alors qu’il allait jouir à son tour. Je décidai de retirer son pénis, je ne voulais pas qu’il se décharge à l’intérieur. L’inceste était une chose, tomber enceinte de son frère en était une autre. Il comprit lorsque je me mis à genoux et ouvrait la bouche pour recueillir son membre. Il se laissa faire et je pus lui faire une fellation afin de le faire venir au plus vite. Cependant, au dernier moment, il retira son membre de ma bouche et un filet de sperme gicla sur mon visage. Je fermai les yeux et sentis une substance gluante s’écraser sur ma joue. Une autre atteint mon œil gauche -heureusement que je l’avais fermé- tandis qu’un dernier m’atteignit aux cheveux. Cette sensation de chaleur dégagée par ce liquide séminal était on ne pouvait plus agréable.

Je me relevai après avoir retiré le filet de sperme m’obstruant l’œil. Tandis que mon frère me tendit un mouchoir pour m’essuyer, nous entendîmes un bruit à ma gauche. Nous pûmes alors apercevoir un jeune garçon d’à peu près quatorze ans caché derrière un tas ballon de football. Il tenta de s’enfuir mais ce fut sans compter sur les talents d’athlétisme de mon frère qui le rattrapa en quelques secondes à peine. Il nous parla alors : il avait tout vu. Il jura cependant de ne rien dire. Nous n’apprîmes rien de lui, si ce n’était son nom : William Beauregard. Mon frère et moi partîmes alors ensemble, laissant le jeune William seul.

Le lendemain matin, au réveil, je fus réveillée par l’alerte enlèvement de la télévision. Un jeune garçon avait disparu. Je quittai alors mollement mon lit et me dirigeai vers le salon, toujours en pyjama. Ce que je vis alors manqua de me faire m’écrouler : le jeune garçon disparu, je connaissais son visage. C’était celui de William.
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