J’ai effectivement besoin d’une bonne douche. Bruno me conduit dans la salle de bain et me donne une serviette. Il ressort ensuite en fermant la porte derrière lui. Je me déshabille et entre dans la cabine de douche. Je fais couler de l’eau chaude sur mon visage et je ferme les yeux. Je m’abandonne à mes pensées, comme dans une bulle, totalement déconnecté du monde extérieur. Je perds toute notion du temps, combien de minutes est ce que je reste ainsi ? Je ne sais pas mais tout à coup, je sursaute : voilà Bruno à mes côtés, il est entré dans la cabine avec moi. L’eau coule sur nous deux et nous commençons à nous savonner. D’abord les bras, puis en descendant : le torse, le bas ventre, le sexe, les cuisses... me sentir bouger comme ça, nous deux collés l’un contre l’autre, mes fesses à la hauteur de sa bite, Bruno recommence à bander. Je me retourne alors et mets un peu de gel douche dans la paume de sa main pour qu’il me frotte le dos. Moi, je continue à me savonner de partout tout doucement, lascivement... allant même jusqu’à me pencher pour essayer d’atteindre mes mollets... et là en me penchant, mes deux fesses s’entrouvrent au contact de la bite de Bruno qui en profite pour s’immiscer de quelques cm l’intérieur de mon rectum. J’écarte alors mes fesses avec mes mains et me dandine, permettant ainsi à la queue de mon amant de rentrer bien au fond... Bruno me prend les deux mains de force et tire en arrière... Poussé par cet élan, son gros chibre me transperce et vient buter contre le fond de ma paroi rectale.— Argh !— Tu aimes la sentir bien profond, sale chienne !— Oh ! Ou... oui ! Mais tu me fais mal, Bruno.— C’est rien, faut que tu t’habitues. Tu vas aimer.J’obéis docilement et me laisse dominer. Sous l’eau chaude, Bruno me tire fort sur les mains pour m’obliger à me cambrer encore plus, permettant à son pieu de se frayer un chemin encore plus profond en moi... Et il me pilonne, je frémis... et presque je défaillis, agité de nombreux soubresauts. Mon amant me sent faiblir sur mes jambes, aussi il stoppe sa pénétration. Il retire son sexe de mon fion et m’aide à sortir de la cabine de douche pour m’allonger sur le tapis de sol au milieu de la salle de bain. Et là, alors que je suis toujours à moitié dans les vapes, Bruno se couche à mes côtés et commence par un langoureux baiser. Cela me sort de ma torpeur. Ses mains parcourent mon corps si désiré, il titille délicatement la pointe de mes seins avec ses doigts. Je ne cache pas mes émotions et je gémis. Bruno se met à califourchon sur moi et recommence à m’embrasser. Sa langue descend le long de mon cou, sur mon épaule et passe sous mes aisselles. Il me coince les bras au-dessus de ma tête et sa langue continue de me lécher. Mon corps est parcouru de frissons, mon corps se cabre, je gémis de plaisir. Il s’arrête un moment sur mon poitrail, sa langue rappeuse joue avec mes deux tétons durs et proéminents, il les mordilles délicatement. Alors que mes gémissements deviennent plus forts, Bruno descend tout doucement, en me léchant, vers le nombril. Puis sa langue continue son chemin tout en s’approchant de la base de ma bite, qu’il prend un plaisir malin à ne pas toucher. Bruno a une autre idée en tête : il se place au dessus de moi en position 69 et j’ouvre immédiatement la bouche pour enfourner sa belle bite. Lui non plus ne tarde pas à s’occuper de ma bite : il part de la base puis sa langue remonte tout doucement jusqu’au sommet de ce monstre de plaisir. Bruno joue autour de mon prépuce, je n’en peux plus. Et soudain, sans prévenir, il la gobe toute entière dans sa bouche, je ne peux retenir un cri de surprise. Mon amant me fait la plus belle félation possible et je crie de plaisir. Après ces minutes de bonheur, Bruno ramène mes jambes vers lui, pour pouvoir me lécher la rondelle. Il en profite pour introduire un, puis deux doigts. Ma bouche se referme plus fermement sur son chibre à chaque fois, sans pour autant arrêter de le sucer. Sa langue s’approche tout doucement de mes bourses, il les prend en bouche délicatement... je soupire de plaisir. Je suis complètement électrique, et pour éviter que je ne me débatte, Bruno me retourne sur le ventre et m’attache les deux mains dans le dos avec la ceinture d’un peignoir. Il m’écarte ensuite les jambes ainsi que mes deux belles fesses et retrouve ce puits d’amour qui ne demande qu’à redécouvrir le plaisir. Sa langue remonte et descend le long de ma raie. Bruno entrouvre mes jambes autant que possible, et quand il lèche ma rondelle, je suis parcouru de frissons. Sa langue continue son exploration et s’aventure à l’intérieur. Je le supplie :— Prends-moi, maintenant, je n’en peux plus, j’ai envie de te sentir en moi !Bruno se redresse alors pour se positionner à hauteur de mon trou, j’ai toujours les mains attachées dans le dos. Avec sa queue il glisse délicatement le long de ma raie. À chaque fois qu’il passe près de ma rondelle, je frémis, je veux qu’il m’empale. Au bout de quelques instants de ce supplice, le suppliant toujours de s’enfoncer en moi, il accède enfin à mes désirs. Bruno place alors sa bite près de ce petit orifice qui ne demande qu’à s’ouvrir et il s’enfonce tout doucement... jusqu’à ce que, par un coup de rein de ma part, je m’empale entièrement. Argh !!! Les vannes sont désormais ouvertes! Ce ne sont plus des gémissements, mais carrément des cris de plaisir qui sortent de ma gorge. Et j’en redemande, à croire que mon corps n’est plus que jouissance. Mon amant, lui, continue à me pilonner, j’ai le visage écrasé contre le carrelage de la salle de bain et je bave de plaisir. Après de longues minutes de ce rythme effréné, je n’ai même plus la force de crier, juste quelques gémissements inaudibles sortent de ma bouche. Bruno sent alors que le plaisir ne va pas être long à venir pour moi et il me prend par les hanches pour me pilonner avec davantage de ferveur… et dans un même cri de délivrance, nous jouissons tous les deux. Nos deux corps en sueur sont posés l’un sur l’autre. Bruno s’écarte délicatement pour me laisser respirer et il en profite pour me détacher les mains. Je me retourne sur le dos, et là mon amant peut constater sur mon visage rayonnant que je suis comblé, les yeux encore dans les vagues du plaisir. Bruno me relève les jambes en l’air pour lécher mon trou et aspirer tout le foutre qui en ressort... Sans rien avaler, il lèche ensuite mon ventre pour y récupérer le maximum de mon foutre. Puis il se positionnes au dessus de mes lèvres, et dans ma bouche il me déverse le mélange de nos deux spermes mêlés à sa salive. Hum, c’est bon ! J’avale tout. Bruno s’effondre ensuite sur moi et m’embrasse, satisfait.— Je suis vidé cette fois Chris.— J’espère bien parce qu’à ce rythme là je ne suis pas prêt de partir... je ne sais même pas si je peux encore marcher! Après un long moment enlacés tous les deux sur le sol de la salle de bain, nous reprenons une petite douche rapide, puis je rentre chez moi...
