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Le bûcheron et son soumis

Chapitre 2

Gay
Partie deux : la grange
    Mon maître me conduit dans une petite grange près de sa demeure, il y a deux poteaux d’un mètre d’écart l’un de l’autre au milieu de la grange, avec de la corde accrochée, il m’attache les poignets et les mollets à chaque poteau, ce fait que suis debout en croix, offert à lui, je bande déjà comme ce n’est pas permis. Il commence par m’asperger d’eau tiède avec un tuyau d’arrosage pour laver l’urine de mon corps, il insiste bien sur ma verge et mon anus, l’eau jaillit dans mon cul, il rapproche de plus en plus le tuyau d’arrosage de mon trou jusqu’à me pénétrer avec, j’en crie de douleur mais ne débande pas pour autant. Il coupe l’eau et lâche l’arrosoir, et m’essuie avec une serviette doucement, il me caresse tout le corps de ses grandes mains, me caresse les bourses et me masturbe doucement tout en me roulant des pelles en salivant beaucoup dans ma bouche, j’aime beaucoup ça et j’avale un maximum de sa salive. Il me crache alors dans la bouche plusieurs fois, me forçant à avaler sa salive, ce que fais avec zèle, il me crache au visage, et partout sue le corps. Après quelques minutes de ce traitement je suis couvert de salive et extrêmement excité.     Il sort alors d’un sac devant moi un martinet, une cravache, un bâillon-boule et quelques godes de différentes tailles. Il commence par se placer derrière mois et me met le bâillon-boule en bouche. Il me caresse alors les fesses et me donne une petite claque puis une autre un peu plus forte puis encore une un peu plus forte, chacune de ses fessées deviennent de plus en plus fortes jusqu’à ce que j’ai mal. A ce moment là il s’arrête et me met un doigt dans mon petit cul serré puis un deuxième, il les fait rentrer et sortir quelques fois puis s’arrête et s’éloigne vers le sac. J’ai l’impression de n’être qu’un jouet entre ses mains et cette idée me fait un peu mouiller du cul, je sens de l’humidité à l’arrière. Mon maître revient avec la cravache, se place derrière moi pour commencer à me corriger, mais en voyant un peu de mouille couler de mon cul, il me dit : "tu mouilles abondamment petite chienne, tu aimes ce que je te fais, tu es ma petite pute à moi, je peux faire tout ce que je veux de toi, ton petit cul m’appartient, salope". Je ne sais pas pourquoi mais j’apprécie assez quand il m’insulte ou alors c’est le fait de n’être plus qu’une petite chienne soumise à son maître qui me plait, je ne sais pas mais ce que je sais c’est que je n’ai jamais eu autant de plaisir avant.     Je reçois un coup cinglant de cravache en plein sur les fesses, je crie de douleur et de jouissance, les coups de cravache pleuvent et je suis au bord de l’éjaculation. Il me donne encore quelques dizaines coups puis passe sa main sur mes fesses pour en apprécier la rougeur. Il se place ensuite devant moi, touche avec un doigt la bave qui sort de ma bouche à cause du bâillon et inspecte ma queue sur le bord d’exploser. Il touche le bout du gland, son doigt entre en contact avec un peu de mon sperme prêt à jaillir et il me dit : "tu veux jouir hein salope, t’es excitée et je suis un bon maître, tu m’aimes hein, grosse pute, je sais que tu veux que je te baises, que je te défonce le cul, que je te ramone ton petit trou de cul à fond". Je hoche de la tête et il commence à me masturber doucement puis de plus en plus vite, ma respiration s’accélère, il me dit : "c’est bon hein?", je hoche encore la tête, ça y est je vais jouir, il le voit et à ce moment là il s’arrête, enlève sa main et s’éloigne. Il me donne une gifle sue la joue, me tient le menton et dit : "tu ne jouis pas sans mon autorisation, compris salope ?", je hoche encore de la tête et il me crache au visage.     Il prend alors deux godes, un de petite taille et un de très grosse taille, plus gros encore que sa queue. Il étale la salive qui coule sur mon corps sur les godes et directement me pénètre à une cadence infernale avec le petit gode. C’est si bon, je sens que je veux jouir mais je me retiens, mon seul objectif est de contenter mon maître. Il enlève le petit gode et commence à me pénétrer doucement avec le gros gode. Ça fait très mal mais je dilate mon anus le plus que je peux pour que ça rentre. Le gode est maintenant en moi, il m’arrache un cri de douleur, mon maître essaie de faire des va-et-vient, c’est impossible, il est trop gros. Il le laisse alors planté dans mon anus, le gode tient bien et mon maître saisit le martinet et commence à me fouetter les fesses sans retenue, il me fouette encore et encore et encore, le gode me pénètre un peu à chaque coup de fouet, je ne sais plus où j’en suis, ma tête tourne, je suis en transe, puis tout à coup je jouis en hurlant, je jouis comme jamais. Mon maître s’arrête, voit une quantité incroyable de sperme au sol, je donne une gifle, me pince et me mord les tétons avec rage, m’enlève le bâillon et avec sa main récolte mon sperme et me donne sa main à lécher.     Il sort alors sa queue de son pantalon, m’enlève brutalement le gros gode et vient me sodomiser violemment en me donnant le gros gode à sucer. Il jouit très vite et me détache, il me met à genou et fourre tout ce qu’il trouve dans ma bouche : sa belle queue à nettoyer, les godes à nettoyer, le manche du martinet, je lèche la cravache, le bâillon, ses doigts. je lui dis :"merci maitre pour me baiser ainsi". Il apprécie, range les affaires dans le sac, me conduit chez lui, je marche devant lui, toujours nu et en laisse, il me donne une fessée à chaque pas, il a compris que j’aimais ça par dessus tout...
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