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Au bureau ...

Chapitre 4

SM / Fétichisme
J’étais sortie du bureau comme un voleuse, presqu’en courant et en espérant ne croiser personne que je connaissais. En effet, mon collier était bien visible. Dans le futur, il faudrait que j’ai toujours un foulard pour pouvoir le cacher si je devais encore sortir avec en public.
Maintenant, cela faisait vingt minutes que j’étais dans l’animalerie. J’avais rapidement trouvé la laisse en cuir noire assortie à mon nouveau collier. Mais comment faire pour aborder un inconnu et lui demander de me photographier avec une laisse? Et puis recommencer avec la médaille...
C’est alors qu’un homme d’une cinquantaine d’années est venu vers moi. Il portait un tablier du magasin mais sur son badge, pas de prénom, juste: "Gérant". Il m’a dit: Bonjour Mademoiselle, je vous observe depuis un moment sur les moniteurs de sécurité, puis-je vous aider, en toute discrétion? Devant mon mutisme en mon étonnement, il continua: je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer votre collier, un de nos très beaux modèles. Vous savez, vous n’êtes pas la première que je vois porter ce genre de ´bijou´, parfois il s’agit d’un simple accessoire dans une panoplie gothique, mais parfois c’est le collier d’une soumise qu’un Maître a envoyé faire quelques achats. Devant mon silence, il continua: vu votre tailleur, vos escarpins et votre coiffure très classes, je ne pense pas que vous soyez une gothique... Est-ce que je me trompe? Je fis non de la tête. Il sourit et dit: je suis le patron ici, comment puis-je vous aider? Comme j’hésitais encore, il insista: Mademoiselle, vous n’allez pas rester ici toute la journée avec cette laisse à la main. Alors je lui racontais mon dilemme. La laisse, la médaille, la balle, la gamelle et surtout les photos à prendre. Il acquiesça de la tête et me demanda mon smartphone.
Il me fit dégager mon cou pour qu’on voit bien mon collier et pris quelques photos dans le rayon ´laisses´ lorsqu’il y avait des clients en arrière plan. Ton Maître appréciera qu’il y ait du public, me dit-il, tu verras! Ensuite j’ai mis la laisse et nous avons attendu que des clients passent à nouveau en arrière plan pour prendre quelques photos laisse pendante et laisse tendue entre ses mains. Puis on se rendit aux médailles. Il me choisi un modèle en forme de petit os et grava mon nom de chienne "Stefy". Ensuite, il l’entraîna vers le rayon des gamelles et là, il prit quelques photos de moi en laisse avec ma médaille bien brillante sur fond de cuir noir. Puis il me proposa d’en prendre quelques une à quatre patte, là dans le rayon, devant la gamelle qu’il m’avait choisie avec et sans la balle dans la bouche. Je voulu refuser mais il avait mon smartphone avec les numéros de toutes mes connaissances et les premières photos déjà bien compromettantes et il fallait que je les récupère. Alors je me suis mise à quatre pattes et il a pris plusieurs photos. Avec la balle en bouche, sans, la tête enfoncée dans la gamelle, cambrée et jupe troussée et finalement culotte à mi-cuisses. Puis il m’a conduite dans la réserve. Je m’attendais à devoir lui faire une pipe ou pire. Mais il se contenta de me rendre mon smartphone et de mettre la gamelle et la balle dans un sac en plastique avant de me faire sortir par la porte de la réserve en me disant de ne pas m’inquiéter pour le passage en caisse, qu’il prenait ça pour lui. J’étais finalement très soulagée que cela se finisse aussi bien quand il ajouta: bon maintenant il va falloir que j’aille me faire un petit montage des enregistrements des caméras de sécurité pour ma collection personnelle. Si tu veux le voir un jour, tu sais ou me trouver, j’aime beaucoup les animaux et il rit aux éclats en laissant la porte se refermer sur moi.
Les caméras de sécurité. Il m’en avait parlé au début de notre rencontre. Il y en avait partout dans ce magasin. Je les avais complètement oubliées. Comment pouvais-je être aussi idiote. Je croyais avoir fait ce qu’il fallait pour récupérer mon smartphone. Et lui pendant ce temps, me promenait en laisse, à quatre pattes, jupe troussée, culotte à mi-cuisse devant ses caméras. J’étais vraiment la dernière des idiotes. Il faudrait que je revienne voir cet "ami des animaux" dans quelques jours et que j’en passe sans doute par beaucoup plus glauque pour récupérer sa copie. La reine des pommes comme disait ma sœur quand j’étais gamine.
Maintenant il fallait que je file si je voulais être à l’heure dans le bureau de mon Maître.
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