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Cambriolage

Chapitre 3

SM / Fétichisme
L’heure tournait trop vite et je n’arrivais pas à tout faire au dernier moment je me précipite à la cuisine pour commencer à faire le repas mais on m’appelait déjà sur la terrasse, ils étaient tous en maillot de bain allongés dans les relaxes au bord de la piscine, Mademoiselle Josiane me dit d’aller chercher des boissons fraiches jus de fruits et apéros accompagner de petits salés et trucs à croquer d’apéritif et me dit de me dépêcher un peu pour préparer le repas. Je reviens vite avec un plateau chargé de boissons que je pose sur la table et je demande à chacun ce qu’il désirait afin de le servir. Puis je me précipite pour allumer le barbecue qui se trouve à l’autre bout de la terrasse, je retourne vite à la cuisine pour prendre les couverts afin de dresser la table de la terrasse, puis je porte les grillades pour les faires cuire. J’entendais les rires et les quolibets de me voir courir avec mes talons Je commençais sérieusement à transpirer dans mes habits de soubrette avec ma perruque sur la tête et ma paire de bas, mais je savais qu’il ne fallait pas que je la ramène car je sentais bien que j’allais passer un sale quart d’heure. Une fois qu’ils se sont tous installés à table je dus les servir un à un et quand je servis Monsieur Bernard il en profita pour me passer la main sous ma robe et caresser mes fesses. Une fois que tous le monde furent servi Madame Sophie m’ordonna de me mettre à genoux en dehors de la tonnelle en plein soleil et de tenir le plat de grillades afin qu’il reste chaud, ils me laissèrent un bon moment comme ça, mais je fus sauvé pour aller chercher les desserts et les cafés. Quand ils eurent fini le repas Maitresse Françoise m’ordonna de vider les assiettes et les verres dans le saladier, de débarrasser la table et de laisser le saladier sur la table, puis elle m’ordonna d’aller faire la vaisselle et de ranger la cuisine. Quand tout fut rangé et nettoyé je retourne sur la terrasse pour attendre les ordres et Madame Sophie me montra le saladier poser à terre au bord de la piscine, et me dit c’est ton repas va manger à quatre pattes. Je regarde à l’intérieur du saladier ils y avaient les restes des assiettes mais aussi des mégots de cigarettes qui flottaient à cause des verres vidés, j’avoue que j’étais écœuré mais la faim et la soif me tenaillait alors je dus ravaler mon écœurement et je me mis à manger car je commençais à être passablement déshydraté. Mademoiselle Josiane, m’appela, viens ici, au faite comment tu t’appelle quand tu es en travesti, tu dois bien avoir un prénom féminin ? Charlotte lui dis-je ! Bon pour l’instant ont t’appellera comme ça mais je vais te trouver un nom qui conviendra mieux à ton statut de tafiole soumise. Pour l’instant tu vas aller chercher mon sac que j’ai laissé dans MA chambre et tu me le ramène vite fait. Je cours chercher ce que Mademoiselle Josiane m’a demandé et je lui rapporte rapidement, elle ouvre son sac et en sort du matériel pour faire les ongles, tu vas me faire les ongles des mains et des pieds j’espère que tu sais faire ? Oui ! Mademoiselle Josiane et je me mis au travail immédiatement. Bien sur les deux autres femmes en voulaient autant et je dus m’exécuter de suite. Le temps passa comme cela dans l’après midi, les garçons et les filles plongeaient dans la piscine pour ce rafraichir, et moi j’étais en sueur dans cette tenue noire de soubrette par cette chaleur étouffante mais aussi de courir partout pour les satisfaire et ne pas être punie. La chaleur était tellement étouffante que vers 17 heures le temps tourna à l’orage et nous dument rentrer dans la maison sous une forte averse.Une fois à l’intérieur de la maison les filles ont eu envie de me voir à nouveau habillé en Sissy Bébé car elles avaient besoins de me prendre en photos pour leurs albums. Elles me firent déshabiller puis une fois nu je dus m’allonger sur la table basse, c’est Mademoiselle Josiane qui se proposa pour me langer car elle n’avait pas d’expérience dans ce domaine, Madame Sophie photographiait et Madame Françoise filmait avec un caméscope numérique. Mademoiselle Josiane enfila des gants latex, elle m’ordonna de lever les jambes en l’air, avec une lingette elle m’essuya les fesses, en profita pour regarder ma rosette, les deux copines prenaient des photos en gros plan de mon derrière. Puis Mademoiselle Josiane aventura un doigt ganté dans mon anus pour savoir s’il était suffisamment souple, elle demanda aux deux autres si elles voulaient m’introduire un Plug avant de me langer, mais celles-ci dirent on verra demain mais tu lui laisse ça cage de chasteté, Mademoiselle Josiane me talqua les fesses, puis fit glisser une couche culotte bien garnie, ma culotte plastique, une paire de collant et une culotte Sissy à froufrou par dessus, enfin une robe Sissy jaune et un bonnet charlotte assortie à la robe. Une fois debout j’ose dire à Mademoiselle Josiane que j’avais envie d’aller aux toilettes, elle se mis dans une violente colère, je viens de te changer et tu me demande seulement pour aller aux toilettes, tu te fous de moi ! Tu as une couche tu n’a qu’a faire dedans, j’espère que ce n’est qu’un pipi ? Non Mademoiselle j’avais envie de faire caca, là je reçu une magistral paire de claque, et bien fais dans ta couche mais demain matin tu verras ce qu’il va t’arriver.Pendant ce temps Madame Sophie avait fait chauffer un grand biberon de lait, se que je ne savais pas c’est qu’elle avait mise une bonne dose de laxatif, puis sous l’œil de la camera et de l’appareil photo je dus boire mon biberon. Vers les 18 heures Maitresse Françoise dit, je crois qu’il est l’heure de coucher bébé, car il va avoir une dure journée demain, le toit de la niche est étanche ou pas me dit elle ? Je ne savais pas trop, bon comme il pleut des sacs d’eau tu dormiras dans le coffre d’une voiture. Elle me menotta les mains dans le dos, puis à l’aide de la laisse elle me tira vers une voiture garé dans la cour, ouvrit le coffre et me fit rentrer à l’intérieur, je dus me coucher en chien de fusil vu l’étroitesse du coffre, elle me planta ma tosse dans la bouche, me souhaita bonne nuit et referma le coffre de la voiture. Encore une nuit affreuse pour moi, Le bruit de la pluie sur la voiture, les coups de tonnerre en plus j’avais horriblement mal au ventre que je n’ai pas pus me retenir plus longtemps de faire dans mes couches, je sentais remonter mes excréments jusqu’au dessus des fesses, heureusement que j’avais ma culotte plastique, mais l’odeur était là quand même. Tant bien que mal je réussi à m’endormir il faut dire que j’étais exténué.
Je me suis réveillé lorsque le coffre de la voiture c’est ouvert, là au dessus de moi ce tenait Madame Françoise elle ce pinçait le nez en disant pouaaah.. qu’elle horreur ce n’est pas possible de puer comme ça, en effet c’était intenable, à distance elle me dit de sortir du coffre, et me poussa au fond du jardin avec le nez toujours pincé, puis elle pris le tuyau d’arrosage et commença à m’asperger tout habillé, une fois que l’odeur n’était plus aussi forte elle me détacha les mains et me dit de me déshabiller complètement, une fois nu elle repris le tuyaux d’arrosage et continua le lavage à l’eau glacée, je grelottais. Ma douche froide terminé, Madame Françoise me dit de me rendre à la cuisine pour préparer les petits déjeuners, je demande à Madame Françoise si je peux m’habiller, mais elle me dit que je suis bien comme ça, mais de mettre juste un petit tablier pour cacher l’horreur que j’avais entre les jambes.Donc comme la veille je prépare pour tout le monde le petit déjeuner, toujours nu je me rends dans chacune des chambres, je n’ai pas oublié les recommandations de la veille, frapper aux portes, puis aller embrasser les pieds de chaque personnes. Ce qui me gêne le plus c’est d’embrasser les pieds des garçons, puis comme hier j’ai eu droit au restant des bols comme petit déjeuner.
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