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Cambriolage

Chapitre 9

SM / Fétichisme
Le lendemain matin après le ménage on me fit enfilé par-dessus ma tenue de bébé et mes couches une robe Abaya noire on me coiffa avec un foulard Hijab et un niqab que l’on voit que mes yeux et je dus aussi enfiler des gants noir qui remontaient aux coudes, puis je dus suivre à pieds Madame Fatima jusqu’au centre ville ou il y avait un grand marcher, Madame Fatima me faisait porter deux gros paniers qu’elle remplissait de victuailles, je la suivais comme une bonne petite chienne en essayant de ne pas la perdre de vue, car je ne savais pas vraiment ou je me trouvais. Je transpirais sous ma robe surtout que j’étais en tenue de bébé dessous avec mes couches trempées et mon collant en laine, plusieurs fois je lui demandais si je pouvais boire un peu, mais aucune réponse de sa part. Au retour du marcher Madame Sophie demanda à Madame Fatima comment ça c’était passé pour moi, Madame Fatima lui dit que je trainais des pieds et que je me suis plein de la chaleur sous la robe, Madame Sophie m’hurla dessus, et me dit qu’il m’était interdit d’adresser la parole à toutes les personnes de la famille, et comme je me plaignais de la chaleur Madame Sophie me dit de prendre le panier de légumes, et de la suivre dehors, elle me fit assoir sur un tabouret en plein soleil au fond du jardin et m’ordonna d’éplucher les légumes. Enfin au bout d’une bonne heure Madame Sophie vint me chercher, elle me fit me déshabiller entièrement, elle retira mes couches trempée également, surtout que ces couches était de la veille, heureusement je n’avais pas déféqué, mais j’avais une sérieuse envie, je demandais poliment à Madame Sophie pour aller aux toilettes elle me répondit que je n’avais que le droit au seau. Elle alla me chercher un vieux seau métallique et une grande bassine métallique également, elle me dit le seau c’est pour tes besoins, tu iras le vider discrètement au fond du jardin à ton réveille, ensuite tu le nettoieras au robinet d’eau du jardin, une fois nettoyé tu le rempliras d’eau au même robinet et tu le rapporteras plein à la cuisine, l’eau du seau va te servir à te laver, tu pourras t’assoir dans la cuvette elle est assez grande, tu tachera de garder un peu d’eau dans le seau car il te servira à te désaltérer durant la journée, si tu oublie tant pis pour toi. Comme j’avais vraiment envie de déféqué Madame Sophie m’autorisa à me soulagé dans le seau devant Madame Fatima encore un grand moment de honte. Voila les jours passèrent comme cela entre le ménage le service à table les courses au marcher mes seule moment de sortie, sauf un soir ou j’ai eu une peur bleue, en effet les quatre filles de la maison m’avaient fait revêtir ma tenue d’écolière, jupette écossaise ultra courte, chemisier blanc col Claudine, socquettes blanches, mocassins vernis, perruque rousse agrémenté d’un serre tête avec un gros nœud rouge, elles me maquillèrent très pute, puis elles me firent sortir dans la rue et me poussèrent sur la banquette arrière d’une voiture, j’ai essayé de résister mais contre quatre filles en furies je n’ai rien pu faire. La voiture démarra et nous avons traversé la ville, quand soudain une voiture de police avec quatre policiers à bord arrêta notre véhicule, bien sur ils avaient vu que c’était une voiture avec des filles à l’intérieur, ils demandèrent les papiers à chacune mais, mais moi je n’avais aucun papier, ils me firent descendre du véhicule et comme j’avais une jupe ultra mini et sans culotte dessous ils ont vu que j’étais un homme. Ils me poussèrent dans la voiture de Police, ils me parlèrent en arabe mais je ne comprenais rien, puis l’un deux me dit Française, je lui répondis que oui, il me dit les travelos c’est interdit ici en Algérie, tu risque dix ans de prison à moins que tu sois gentille avec nous. Vous pensez bien que j’ai accepté sur le champ, ils s’éloignèrent de la ville, je dus les sucer tout les quatre, ils m’ont ensuite sodomisés avec leurs bâtons de police, mais deux d’entre eux mon pénétrés de force. Ils me remirent les menottes et nous somme repartie, je pensais qu’ils me ramenaient dans la famille d’Ahmed, mais ils m’emmenèrent au poste de police.
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