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Cambriolage

Chapitre 10

SM / Fétichisme
Au Poste il y avait deux autres policiers quand ils m’ont vues arriver dans cette accoutrement ils éclatèrent de rire. Un policier me pris mes empreintes puis ce fut la séance photos avec et sans perruque, le chef m’emmena dans une cellule ou il y avait plusieurs autres détenus, je n’en menais pas large. Le lendemain matin, le plus gradé des policiers avait mon passeport en main, je me demandais comment il ce l’était procuré ?. Il me fit rentrer dans son bureau, je dus lire le procès verbal, dans celui-ci il était dit que j’avais été pris en train de me prostituer, avec une tenue indécente et sans culotte. Je n’avais pas le choix et je dus signer, il me dit qu’il gardait mon passeport jusqu’à nouvel ordre, mais que je ne serai pas inquiété si je restai bien sage et à leurs disposition.
Puis il me fit monter dans une voiture de police et me ramena dans la famille d’Ahmed, madame Fatima me fit entrer et m’houspilla dans la cuisine, pendant qu’elle parlait au policier, mais ils parlaient arabe et je n’ai rien compris. Puis quelques jours passèrent, je m’inquiétais pour mon passeport et ce qu’il pourrait m’arriver, surtout que je surprenais des brides de conversation ou ils parlaient qu’il faudrait peut être me laisser là. Une fin d’après midi ou je faisais le ménage habillé en soubrette, les policiers vinrent me chercher me menottèrent et m’embarquèrent dans cette tenue, pendant que le fourgon roulait deux policiers m’obligèrent à les sucer, puis le fourgon s’arrêta dans un petit chemin désert, ils me firent descendre du véhicule, un des policiers me couchât sur le capot et je senti un truc énorme me pénétrer, les larmes me montèrent aux yeux, j’ai cru qu’il me déchirait en deux, il me laboura le derrière pendant un long moment sous les rires de ses collègues, enfin je le senti ce vider en moi par de longue giclées de sperme. Ensuite ils me firent remonter dans le fourgon et redémarrèrent arriver au centre ville le fourgon s’arrêta devant une grosse bâtisse, un policier descendit et sonna à la porte, une femme vint ouvrir et ils se mirent à parlementer, puis il fit signe à un autre policier de me conduire dans cette maison. Le policier me poussa et je me retrouvai à genoux aux pieds de cette femme, le policier lui parla en arabe il y eu une longue conversation et des palabres puis la femme lui donna une poignée de billets de banque, et le policier parti et me laissa seul aux pieds de cette femme. Je m’appelle Madame Mounia je suis la patronne de ce bordel et je viens de t’acheter, il faudra que tu te tienne à la disposition de toutes les femmes de la maison, que tu fasse le ménage de toutes les chambres de ces dames, le lavage des draps et le ménage de la chambre après chaque passe, mais aussi tu devra être gentille avec les clients, s’ils demandent ta participation. Il faudrait que tu travail plusieurs mois ici pour rembourser l’énorme sommes d’argent donné au policier, d’ailleurs celui-ci à gardé ton passeport et à de quoi te mettre en prison pour une dizaine d’année, alors je te conseil de filer doux. Ici il y a quelques clients qui aiment bien les petites fiote dans ton genre, surtout ceux qui pratiquent le SM, d’ailleurs il y a une belle salle de torture dans la maison, et nous avons aussi une jeune Maitresse très sadique qui t’en fera voir de toutes les couleurs. Une bonniche française j’en ai toujours rêvée, à j’oubliai il y a quelques filles ici qui n’aiment pas les travelos et en plus elles sont un peux racistes surtout avec les français. Je vois que tu es déjà en tenue de bonniche, sa sera très bien pour débuter, mais pour l’instant tu vas devoir passer une inspection devant mes filles pour savoir si tu nous cache pas quelques maladies.
Elle appela toutes les filles de la maison, puis elle me fit déshabiller entièrement, quand toutes ses dames virent mon asticot enfermé dans sa cage chacune voulu voir ça de plus prés, elles me tripotèrent chacune à tour de rôle, mais aussi elles me faisaient baisser en avant les jambes écartées pour examiner mon anus, et comme je venais peu de temps avant de subir les assauts des policiers surtout de celui qui était monté comme un âne, mon anus était super dilaté. J’avais vraiment honte que l’on examine de cette façon, mais le pire c’est que je ne savais plus très bien ou j’étais et combien de temps j’allais endurer ces humiliations. La Maitresse de maison me fit rhabiller dans ma tenue et m’emmena dans la cuisine pour aider la cuisinière à faire à manger, il y avait le souper des filles avant l’ouverture de l’établissement.
Quand les premiers clients arrivèrent on me demanda de me tenir discrètement au fond du salon et d’attendre que l’on m’appelle pour servir les boissons. Puis quand une fille redescendait d’une chambre avec son client, je devais me précipiter dans sa chambre, changer les draps, nettoyer les toilettes, ramasser les préservatifs et rendre la chambre impeccable pour les suivants.
Pour mon premier jours heureusement aucun client ma demandé de monter avec lui dans une chambre, mais je n’en menais pas large et me faisais le plus discret possible. Les jours qui ont suivie furent tout autre, quelques fois une fille me faisait monter avec le client et je devais le sucer pour le mettre en érection et pendant l’accouplement je devais avec la langue titiller l’anus du client pour qu’il se vide plus vite. Au bout de huit jours de ce régime le policier et venu me chercher pour me ramener dans la famille d’Ahmed, je fus grandement soulagé et j’ai compris que la police étaient complice avec la famille. Le retour en France fut pour moi un grand soulagement même si je devais encore subir ma soumission auprès de Madame Sophie et de Monsieur Ahmed.
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