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A la Campagne

Chapitre 1

Divers
Le type : Soumission
Je revenais d’une après midi chez mon amie Myriam. Il était tard et j’étais pressée de rentrer à la maison. Malheureusement Myriam habitait à l’extérieur d’un petit village de la campagne meusienne, et je devais faire attention à la route qui ressemblait plus à un chemin qu’une départementale. Au sortir d’une courbe, un petit animal traversa la chaussée. Donnant un coup de volant pour l’éviter je perdis le contrôle de la voiture qui alla s’arrêter dans un petit fossé. Plus de peur que de mal, j’étais coincée dans l’impossibilité de sortir la voiture de ce fossé. Le chemin était boueux et pour couronner le tout, impossible d’utiliser mon portable faute de réseau. Je sorti de la voiture salissant mes escarpins. L’ornement de mes chaussures était recouvert de boue et je dois avouer que l’élégance de mes escarpins Fiore-Kenzo marron contrasté avec la rudesse ces lieux. Je décidais de m’aventurer sur le chemin afin de trouver de l’aide sachant que personne ne passait sur la route, il me fallait aller au devant des secours, et avec mes 11cm de talon ce n’était pas simple. Emmitouflée dans mon manteau Max Mara, j’avançais péniblement sur ce chemin, sachant mes escarpins irrémédiablement foutus, mon déhanchement naturel tranché avec ces lieux rudes et froid. Au bout de virage j’entendis le bruit d’un moteur. J’aperçu au loin un tracteur. Je fis de grand signe afin d’attirer son attention. Enfin le tracteur, changea de trajectoire et se dirigea vers moi. Arrivé à mon niveau, un homme d’une trentaine d’année sorti de la cabine et demanda ce qui se passait.
— J’ai eu un petit accident un peu plus loin sur la route et j’ai besoin d’aide— OK belle dame on va voir cela, monte dans la cabine.
Je me dirigeais vers le tracteur, dans ce champ boueux. Mes pieds s’enfonçaient dans la terre humide. L’agriculteur riait.
— Ah les belles dames de la ville ne sont vraiment pas équipées campagne. Attends je vais t’aider.
Il descendit du tracteur, et se dirigea vers moi. A mon niveau il me souleva dans ses bras, et me porta sur son épaule se dirigeant vers le tracteur. J’émis une plainte, surprise de tant de familiarité.
— Je vous en prie, restez correct— Et si tu veux je te lâche grande dame, et tu te débrouilles toute seule dans la boue
Il me déposa sur la margelle du tracteur, et me demanda de monter et de s’asseoir sur le coté. J’obéis, inquiète mais soulagée d’avoir trouvé de l’aide.
Il redémarra et conduit en direction de ma voiture. Après avoir observé mon véhicule, il conclu qu’il fallait retournait à la ferme chercher des cordes afin de tracter ma Berline BMW 330D en dehors du fossé.
— allez t’inquiète pas c’est juste a 15 minutes d’ici, le temps de faire l’aller retour. Mais peut être préfères-tu attendre dans ta bagnole ?
Inquiète à l’idée de rester seule, je décidais de venir avec lui.

— Sage décision belle dame, les bois sont pleins de braconniers.— Je m’appelle Marc et toi— Moi c’est Patricia, je rentrais chez moi avant l’accident. Je viens de chez Myriam X, je suis une de ses amies.— Ah oui je la connais bien la Myriam on est super pote, une sacré coquine ta copine
Il posa sa main sur ma cuisse, que je repoussais immédiatement. Une fois à la ferme, nous descendîmes du tracteur. Il alla chercher la corde.
— Dis moi donc la belle, qu’est ce que je gagne à retourner à ta bagnole ?— Je vous paierais n’ayez crainte— Je ne veux pas d’argent pour dire vrai je pensais à une autre forme de paiement— Mais vous êtes dégoûtant, jamais, c’est hors de question.— Pas grave, tu peux rentrer a pied c’est juste a 10 km d’ici et tu connais le chemin maintenant.— Mais c’est du chantage, je pourrais porter plainte— Allons fait pas ta mijaurée, et la Myriam, elle m’a déjà parlé de toi, il parait que t’es une sacré coquine aussi, t’aime bien te faire forcer. Ca se trouve tu as fait exprès de mettre ta bagnole dans le fossé, pour te faire secouer par un rustre comme moi, il parait que tu adores ça.
Il s’approchait de moi, me faisant reculer contre le tracteur.
— Enlève ton manteau maintenant la bourgeoise que je vois ce que tu nous cache
J’essayais de sortir de son emprise, mais il me retenu par le bras et me repoussa vers le tracteur. La peur et le désir me tenaillaient le ventre. Ce monstre m’effrayait et m’exciter à la fois, et je savais ne pas avoir d’autres alternatives que de le laisser jouer de mon corps.J’obéis inquiète, et enlevais mon manteau, je révélais mon ensemble Carroll composé d’une jupe fourreau pied de poule, et d’un pull laine loir moulant, faisant ressortir mon opulente poitrine. Mes collants noirs faisant ressortir mes longues jambes.
— Elle m’avait dit que tu étais bien gaulée la Mymy mais je ne m’attendais pas à un tel canon.
De sa main calleuse il m’attrapa par les cheveux. Je sortais de chez le coiffeur qui m’avait fait payer une fortune ma coupe carrée, et cet animal me tirait par les cheveux comme on attrape la crinière d’une jument affolée.
— J’adore les brunes qui se colore en rousse ça m’excite. Tu vas me faire une petite gâterie et après on ira voir ta bagnole. Mais avant tu vas te mettre à l’aise. Relève ta jupe que je vois ce qu’il y a en dessous.
Mes collants noirs Wolford apparurent révélant mes cuisses, ainsi que ma culotte Lise Charmel noir. Il me retourna afin d’observer mes formes.
— Ouahhhh, quelle croupe, t’as un beau gros cul ma cochonne, ça va être un plaisir et honneur de te saillir comme une belle jument. Mais attends on va libérer tout ça.
Déchirant mes collants en deux il écarta le nylon afin de libérer ma croupe. Il fit ensuite coulisser ma culotte dans la raie de mes fesses afin de dégager ma peau de tout issu protecteur. Il me poussa ensuite à m’asseoir sur le marche pied de son tracteur. Ma bouche au niveau de son bas ventre fut alors forcée par un membre au dimension impressionnante mais à l’odeur nauséabonde. Il engouffra son sexe entièrement.
— Allez montre moi que tu es une bonne butineuse. Lèche moi et suce moi comme une vrai pro. La bourgeoise chaude du cul ça adore se faire envahir la bouche.
Il faisait allez et venir son sexe dans ma bouche le ressortant afin que je puisse lui lécher. Son bâton de chair coulissait au travers de mes lèvres peintes. Ressortant son sexe de ma bouche, ma langue passait délicatement sur son gland, mordillant de mes dents son gland gros et baveux, je détournais la tête simulant l’écoeurement ce qui l’excitait encore plus. Me saisissant par les cheveux, il redirigea ma bouche vers son membre, me l’offrant à lécher comme une glace.
— Vous êtes dégoûtant, c’est ignoble.— Oui c’est ça cochonne, continu à protester. Regarde moi ça les belle grosses loches qui demande qu’a être malaxaient. Je vais te mettre sous ma machine a traire, je suis sur que je peux tirer du lait à une belle grande mameleuse comme toi. Regarde moi pendant que tu me suces, je veux voir ton regard de salope.
C’est mains me pétrissaient les seins pendant que son sexe me violait la bouche. Il releva mon pull et libéra mes seins de mon soutien gorge noir. Il plaça alors son sexe au milieu. Le fixant dans les yeux je pouvais percevoir dans son regard lubrique le désir d’une bête qui allait m’utilisait comme une poupée de chair.

— Fais moi une bonne cravate de notaire, c’est la spécialité des bourgeoises qui ont des gros nichons
Serrant mes seins de mes mains gantés, je pétrissais son membre qu’il faisait coulisser.
— Oui c’est bon continue salope t’es une bonne chaudasse. Je vais te prendre maintenant. Je ne pourrais pas me retenir plus longtemps.
Il me retourna. Caressa mes fesses, s’exclamant de la marque du marche pied sur ma croupe.
— Il est bien quadrillé ton beau gros cul, comme ça tu as ma marque.
Ecartant ma culotte il enfonça son gros membre en moi me tenant par mes seins ballotant dans le vide. Je sentais qu’il ne pourrait se retenir longtemps, excitait de baiser une belle bourgeoise dans la cour de sa ferme. Il me lamina cependant jusqu’à me faire jouir, son gros sexe labourant mon sexe, comme son tracteur retournait un champ. Sa grosse main calleuse pelotait ma poitrine, malaxant mes gros seins, alors que son autre main s’était saisie du haut de mon slip Lise Charmel le tenant comme les rennes d’une jument chevauchée lors d’une course effrénée. Il continuait inlassablement son travail de sape et à ma grande surprise il se faisait beaucoup plus résistant que je ne l’aurais imaginé.
Toujours retourné contre son tracteur, je sentis la pluie qui commençait à tomber.
— Allons nous mettre à l’abri beauté, je vais te faire visiter l’étable, c’est la place pour une grosse cochonne comme toi. Tu vas voir mes bêtes elles ont des mamelles aussi grosses que les tiennes
Il se retira de moi, et m’attrapant par les cheveux il m’emmena vers un bâtiment dans la cour qui faisait office d’étable. Nous traversions la cour sous la pluie, mes fesses à l’air ainsi que mes seins libre de tout carcan, et entrèrent dans l’étable. Sur la gauche se trouvait de la paille, alors que sur la droite une dizaine de vache paisible mâchant tranquillement. C’était sale et mes escarpins ainsi que le bas de mes collants étaient recouverts de bouses. Il me fit approcher de la première vache.
— Penche toi et prends ses pis dans la main, je veux que tu caresses ma belle génisse pendant que je vais m’occuper de ton beau gros cul.
J’obéis. La scène était surréaliste. Penchées en avant les fesses offertes à un paysan rustre et sale, je caressais les pis d’une vache, comme si j’avais masturbées le sexe d’un homme. En même temps Marc, me mangeait la croupe, mordillant mes fesses, et enfonçant sa langue dans mon sexe. Ses mains toujours accrochées à mes seins, effectuaient des mouvements de traite comme pour m’extirper du lait.
— Prends son pis dans la bouche et suce la, m’ordonna Marc— Non jamais c’est trop dégoûtant !!!!!!!!!!!!!!!!!!— Obéis salope, ou je te fais dormir dans l’étable toute la nuit.
J’obéis et pris le pis da la jeune génisse dans la bouche et me mit à la sucer. Surexcité de mon humiliation marc me refourra son sexe dans la chatte, me prenant en levrette, et me martela à nouveau. Il me maintenait fermement la tête par les cheveux afin de maintenir ma fellation. Cela devait aussi provoquer certaines réactions car le bovidé beuglait de plus en plus fort.
— T’as vu elle aime ça la Marcelline, toi aussi on dirait que t’es une vrai gourmande. J’vais te finir sur la paille.
Il me coucha sur la paille légèrement tourné sur le coté, et toujours par derrière me pénétra a nouveau. Quelle force, il me faisait jouir comme une folle, mes soupirs et halètements se faisaient de plus en plus fort. Jamais dans mes rêves les plus fous je n’avais pensée être prise et traitée de la sorte, comme une vulgaire catin, traînée, forcée, humiliée, tout cela me procurant une jouissance extrême. Et mon amant continuait ses commentaires extrêmes.
— Bouge moi ton gros cul ma belle, je veux te sentir remuer. Oui comme ça, c’est bien t’es une bonne baiseuse, t’as aimé sucer la Marcelline, c’était bon hein, la prochaine fois je te ferais saillir par mon taureau, allez bouge poufiasse, je sens que cela vient, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Son sperme se rependit sur mes fesses, des quantités abondantes comme si il n’avait pas joui depuis longtemps. Il se blottit contre moi tout en me caressant les seins. Nous restâmes silencieux, sans bouger, collé l’un a l’autre.
— Je crois que tu as bien mérité ton dépannage maintenant— Merci, je dois avouer que tu m’as fait profondément jouir, c’était si bon
Je l’embrassais tendrement et sentis sa langue en moi, nous échangèrent un baiser passionné, pendant de longues minutes. Toujours collé à moi je sentais son membre se durcir à nouveau. Mon nouvel amant avait décidément une belle constitution.
Nous repartîmes en tracteur vers mon véhicule en silence. La nuit tombée, il faisait sombre et froid.
Arrivé à ma voiture Marc utilisa la corde pour sortir de l’ornière et plaça la voiture sur le chemin. Il inspecta le véhicule rien ne semblait abîmé. Pendant ce temps j’avais ouvert la malle arrière afin de prendre des affaires de rechange se trouvant au fond du coffre. Penchée en avant pour attraper quelques rechanges je sentis marc derrière moi. Il m’attrapa par les hanches.
— Je crois que j’ai oublié de visiter quelque chose, va falloir corriger cela
Ramenant mes bras en arrière il me lia les poignets avec sa corde, me laissant a moitié dans le coffre offrant une fois de plus ma croupe libre d’accès et sans défense à ses futurs assauts. Il releva à nouveau ma jupe laissant apparaître mes collants déchirés offrant mon orifice anal juste protégé par ma culotte souillée par ses précédentes attaques. Avec son couteau il découpa ma culotte de chaque coté et me la retira pour me la placer dans la bouche. J’étais donc attachée et bâillonnée a moitié enfermée dans le coffre de ma voiture. Son sexe se présenta à l’entrée de anus forçant l’accès du seul endroit qu’il n’avait pas encore visité. Bien raide, en dépit de sa précédente prestation, mais toujours gluant il me sodomisa avec force.
— Tu es toute étroite ma belle. Tu ne dois pas souvent te faire enculer par un vrai male.
Il me pistonna à nouveau tout en me fessant la croupe que je devinais virer au rouge, du fait des grandes claques qu’il m’appliquait sur les fesses. Ses mains s’acharnèrent à nouveau sur mes seins à nouveau libérés.
— Ohhhh tes mamelles, sont aussi grosses que la Marcelline, j’adore ton gros cul et tes gros nichons, et toi t’aime te faire enculer sauvagement hein.— Ouiii continue c’est bon ...............— Allez je veux t’entendre jouir et parler laisse toi allez ma belle
M’ayant retiré la culotte de la bouche il me demanda d’être obscène, de prononcer ses propres paroles comme pour asseoir encore plus sa domination.
— Oui, je suis une grosse cochonne, qui aime se faire prendre par des rustres, qui aime se faire défoncer et enculer, gicler dessus comme une pute, continue fais moi jouir oui vas y......................
Juste avant de jouir il me sorti du coffre de la voiture et m’accroupi sur le chemin boueux. Il se masturba au niveau de ma bouche jusqu’à ce que de nouvelles traînées blanches envahissent ma bouche.

Quand je me suis éveillée, le réveil affiché 3h17, j’étais en transpiration allongée dans mon lit à coté de Richard qui dormait. Je le réveillais afin de lui raconter mon rêve. Nous fîmes l’amour immédiatement et rapidement, mon histoire ayant excité Richard autant que moi.
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