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Campagne érectorale

Chapitre 1

Hétéro
Cette histoire est très largement inspirée d’un canular télévisuel, une caméra cachée, diffusé en France quelques mois avant l’élection présidentielle de 2012. Les faits et les noms ont été modifiés, amplifiés, déformés, et transposés pour les besoins du récit comme si ils étaient racontés quelques jours avant l’élection de 2017.
Nous sommes en Mars 2017. Je fais partie de l’équipe de campagne locale pour le candidat Jean Charles Maroali du Mouvement de Protection des Valeurs Rurales. Avec un collègue, nous parcourons les campagnes afin de recueillir les fameuses signatures de parrainage. Au fait je m’appelle Maryline Borrel, une jolie brune de 25 ans avec de jolies formes. Après des études en communication, j’ai choisi ce boulot, déjà parce que j’étais au chômage et puis parce que ça me permettait de prendre des contacts avec des journaux et médias qu’ils soient locaux ou nationaux. Dans notre duo, je suis l’atout charme de l’équipe. J’aime plaire et j’aime aussi en jouer. Mon collègue savait que je n’avais pas froid aux yeux. C’est une de ses relations qui nous avait mis en contact lors de mes études, où il m’arrivait en quelques rares occasions de faire l’Escort girl lors de soirée d’affaire quand j’avais besoin d’argent. Nous étions donc en route vers un petit village du cantal pour y rencontrer le maire pour avoir sa signature.
— Donc Maryline, notre prochaine cible est Monsieur le maire Charrier, agriculteur de profession et veuf depuis 3 ans. A mon avis tu as quelque chose à tenter là dessus.— Oui je crois aussi. Il est mignon ?— Ça je n’en sais rien. Je te signale que même si on a une prime à la signature tu n’es pas obligé d’aller jusqu’au bout avec lui. Il faut juste le distraire, le divertir pour qu’il soit plus réceptif à nos arguments.— Je sais.— Même si on est en retard au niveau des signatures, il ne faut pas te sentir obligé.— Ne t’en fait pas. Je sais ce que je fais.— Bon on arrive. Ajuste ton décolleté, souris et soit charmante.
Nous descendons de voiture et une fois entrés dans la mairie, nous demandons à voir monsieur le maire. Après un bref coup de téléphone de l’hôtesse d’accueil, elle nous annonça :
— Monsieur le maire va vous recevoir. asseyez-vous.
Après quelques minutes, nous aperçûmes une silhouette imposante arriver. Un homme barbu, crane dégarni, genre armoire à glace d’1m90, habillé d’un jean noir, d’un pull gris en laine et d’une veste de costume verte foncée. Il se dégageait de lui un charme rustique pas déplaisant. L’homme, une fois arrivé à notre hauteur nous parla avec une grosse voix.
— Messieux dame bonjour, Remi Charrier maire de la commune. En quoi puis-je vous aider ?— Ma collègue et moi-même venons pour recueillir votre parrainage en vue d’officialiser la candidature de notre candidat à l’élection présidentielle.— J’aurais du m’en douter. Ça n’arrête pas en ce moment. Comme vous avez fait l’effort de venir en personne, nous allons aller dans mon bureau. Suivez-moi.
En passant devant moi pour nous amener à son bureau, je le vis jeter un coup d’œil gourmand sur l’ouverture de mon chemisier. Puis nous entrâmes dans un bureau assez grand, avec l’éternel buste de Marianne, la photo du chef de l’état en place ainsi que celles des précédents maires et un immense bureau en chêne massif derrière lequel il s’asseyait.

— Prenez un siège, asseyez vous je vous en pris.— Merci. Donc je vous disais que nous venons vous voire dans l’espoir d’obtenir votre soutien pour officialiser la candidature de M Maroali à l’élection présidentielle.— Vous n’êtes pas le 1er à me solliciter. En générale j’accorde mon soutien à celui qui représente le mieux mes attentes et mes convictions ainsi que celle de mes administrés.— Je vous comprends mais laissez moi une chance de vous convaincre. ….
Mon collègue, qui avait le verbe facile tenta d’amadouer notre interlocuteur. Seulement lui était occupé par tout autre chose. Placé en face de lui, je me mouillais les lèvres avec ma langue et je croisais et décroisais souvent mes jambes tout en bondant le torse pour mieux faire ressortir le galbe de mes seins. Il n’en perdait pas une miette. Quand nos regards se croisaient, je lui souriais et lui en faisait de même. Ce petit manège a durée quelques minutes et mon collègue l’avait bien remarqué. Il entreprit de le déstabiliser pour le mettre mal à l’aise et essayer de prendre un ascendant sur lui en vu de l’obtention de sa signature.
— …….. C’est pourquoi je pense que notre candidat représenterait au mieux vos attentes et celle de vos administrés. Qu’en pensez-vous monsieur le maire ?— Mmmhh … Pardon excusez moi vous disiez ?— Je vous demandais si mes arguments vous avaient convaincu.— …. Pas vraiment. Vous savez j’ai des convictions et je préfère m’y tenir. Dit-il pour se justifier de ne pas avoir écouté.— Bon en tout cas, tant que votre décision n’est pas définitive, je tiens vraiment à vous laisser la brochure. Dans le cas où vous changeriez d’avis, nous pourrions convenir d’un rendez-vous avec notre responsable locale : Mademoiselle Borrel ici présente.
A ce moment là, il esquissa un large sourire.
— Je constate à votre sourire que ça vous plairait de revoir mademoiselle.— Je dois admettre qu’elle d’assez agréable compagnie.— Je la connais et je pense que vous devriez pouvoir vous entendre.
Soudain le portable de mon collègue sonna.
— Excusez moi, Allô, Jérôme, tu m’excuses je te reprends dans 2 secondes. Excusez-moi monsieur le maire. Je vous laisse avec ma collaboratrice pour convenir d’un rendez-vous. Un de mes collaborateurs a un soucis je dois lui parler en privé.— Allez-y.
Une fois sorti, le maire se rapprocha de moi pour s’asseoir dans l’autre fauteuil maintenant vide. Il était très charmeur et commença à me caresser la main. On parlait de tout et de rien. Qu’il s’était relancé dans le boulot, pour ne pas sombrer après son veuvage, avec son exploitation agricole, qu’il faisait tourner en même temps que ses activités de maire. Il était touchant et très séducteur mais je devais garder en tête ce que je devais faire.Après de longues minutes, mon collègue s’impatientait de ne pas me voire revenir. Il arriva me chercher et en ouvrant la porte du bureau, il fut surpris de me voir de dos entre les cuisses de monsieur le maire, ma tête montant et descendant sur l’entrecuisse de celui-ci.
— Euh ….. excusez-moi mais il va falloir qu’on y aille.
Je me relevais alors en me réajustant, le maire se reculottant.
— Monsieur le maire voulait un aperçu de ce que JE pouvais lui proposer pour notre rendez-vous.— Ouais …. Je vois ça. Donc vous avez fixé une date ?
Le maire me répondit, un peu déçu d’avoir été interrompu.
— Oui, nous nous voyons Samedi, un peu avant Midi. Pas avant car j’ai un mariage à célébrer suivi d’un parrainage civil. Nous serons tranquilles après.— Parfait. Maryline, on a d’autre gens à voir. Au revoir monsieur le maire.— Au revoir. Nous renvoya le maire, frustré qu’on nous ait interrompu avant de finir.
De retour à la voiture, mon collègue me regarda à la fois gêné de m’avoir vu reluire le manche du maire et satisfait de la tournure des éléments.
— Je t’avais dit que tu n’y étais pas obligé. Je sais que tu as besoin d’argent et que tu cours après les primes de signature mais là tu y es allé un peu fort.— Je sais mais il était charmant, attendrissant, et puis bien malgré toi tu as aussi contribué à sa signature.— Comment ça ?— En nous interrompant, tu l’as frustré. Du coup il n’attend plus qu’une chose : finir ce que nous avions commencé.— Je n’avais pas vu ça comme ça. En tout cas tache de rester discrète samedi. Il ne faudrait pas qu’on vous entende. Imagine le scandale si ça se savait.— Ne t’inquiète pas.
Et nous repartîmes sur les routes en direction de la prochaine ville laissant le maire qui nous regardait nous éloigner depuis la fenêtre de son bureau.Le samedi arriva et je me retrouvais sur le Parking de la mairie. En face, je voyais le cortège du mariage qui avait du avoir lieu peu de temps auparavant à la mairie se diriger vers l’église. Je me dirigeais alors vers l’accueil pour m’annoncer.
— Bonjour madame, Maryline Borrel, j’ai rendez-vous avec monsieur le maire.— Oui, je suis au courant. Le mariage a pris un peu de retard et le parrainage civil n’est pas terminé. Veuillez patienter Monsieur le maire ne va pas tarder.
J’attendis alors sur une des chaises de l’accueil. Ne manquant de remarquer que l’hôtesse m’avait scruté de haut en bas avec un sourire moqueur, comme si elle se doutait de la raison de ma venue. 10 minutes plus tard je vis sortir toute une famille avec, en tête, Les parents ainsi qu’une petite fille d’un an. Celle qui devait surement se faire parrainer. Puis arriva Monsieur le maire, tout sourire de me voir, dans son beau costume cravate du dimanche avec son écharpe de maire bleue, blanc, rouge.
— Mademoiselle Borrel, ravi que vous ayez pu venir.— Merci de me recevoir.— Allons dans mon bureau. Ah Gisèle, si je n’ai pas fini avec mademoiselle avant que vous ne partiez, ne m’attendez pas. Je fermerai.
L’hôtesse hocha la tête pour acquiescer, tout en gardant son sourire moqueur en voyant le maire m’accompagner dans son bureau, m’ayant mis une main aux fesses. Une fois dans son bureau, après avoir verrouillé la porte, je me mis à l’embrasser à pleine bouche.
— Ma chère Maryline, j‘attendais notre rendez-vous avec impatience.— Je sais. Je le sens à votre entrejambe. Voulez vous que l’on reprenne là où nous en étions.— Avec plaisir.
Il se dirigea vers son fauteuil tout en se mettant à l’aise en retirant son écharpe, sa veste et sa cravate pour se retrouver en chemise dont il commença à déboutonner les boutons pendant que je me déshabillais entièrement et me mettais en place, prête à le recevoir. Durant la gâterie, il grommelait comme le gros ours qu’il semblait être. Me maintenant la tête avec ses mains, il me donnait la cadences des va et viens. Il me demanda d’arrêter avant de « cracher la sauce » comme il disait. Il m’allongea sur son bureau, sur le dos. Et après avoir préparer le terrain en s’occupant de ma fente avec sa langue, tout en me massant la poitrine, il me pénétra d’un coup et me besogna avec vigueur tout en me recouvrant de toute sa masse. Voyant que je me mordais les lèvres pour ne pas crier sous ses coups de boutoirs, il m’autorisa à me laisser aller.
— Si vous avez envie de gémir ou même de crier ne vous gênez pas. Le bureau est insonorisé.— Ah bon ?— Oui, depuis qu’un de mes prédécesseur s’est fait surprendre à cause des gémissements que poussait sa partenaire, une femme qui n’était pas la sienne.— Parfait alors.
Du coup je n’avais plus aucune retenue. Mes gémissements sonnaient à ses oreilles comme des encouragements à continuer de plus belle le poussant à accélérer la cadence. Même si il y avait de l’exagération dans mes cris, il était vigoureux et performant. N’ayant eu que très peu l’occasion de tirer un coup il en profita bien.
— De son vivant, ma femme m’avait toujours refusé la sodomie. M’y autoriser vous ?— Bien sur, faites ce que vous voulez. Du moment que vous me signer le papier de soutien à la fin de notre « petite séance ».— Si ce n’est que ça je vous le signe de suite.
Il s’empara du papier et d’un stylo et signa le papier sur mon ventre en guise de support. Puis il me retourna sur le ventre, étala un peu de lubrifiant. Et commença à me ramoner avec entrain le conduit à ordure. Il y allait gaiement, sans s’arrêter. Même s’il était un peu enrobé, son activité dans sa ferme, le soir le maintenait en forme et je le sentais. Maintenant qu’il avait signé, j’aurai pu lui dire « ça suffit je me casse d’ici » mais il me faisait tellement de bien que je comptais bien en profiter encore un peu. Après m’avoir joyeusement labouré le postérieur, Je le senti se retirer et jouir sur mon dos. Il m’essuya alors avec un rouleau d’essuie-tout avant de s’affaler sur son fauteuil avec un sourire de satisfaction jusqu’aux oreilles. Après s’être rhabillé, il me raccompagna à la sortie. Il me souhaita bon retour en espérant me revoir, pourquoi pas dans 5 ans pour la prochaine élection, voire même avant en privé. Une fois dans la voiture, j’informais mon collègue que j’avais eu sa signature. Comme quoi la politique c’est aussi une affaire de fesse.
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