Je n’ai jamais caché à ma femme mon attirance pour les jolies filles. Elle me connaissait bien, parfaitement trop bien. Lors qu’on croisait une jolie créature, elle me le faisait remarquer par un "elle est jolie non ?", comme si elle savait ce qui se passait dans ma tête. Justement, ce qui se passe dans ma tête, si elle pouvait entrevoir un petit bout, j’espérais quand même qu’elle n’en sache pas d’avantage. Je suis un homme très imaginatif, mais, pour ce qui est du sexe avec elle, cela était routinier, et ça dure depuis un certain temps. Nous essayons de nous le cacher l’un à l’autre, mais, il est clair que le sexe entre nous, c’était juste pour entretenir la flamme. D’ailleurs, je n’imagine pas ma vie sans elle. Pourtant, soyons franc, le sexe, c’est quand même une grande partie du couple. Nous regardons, de temps à autre, du porno pour nous exciter tous les deux. Des fois, j’ai quand même du mal à repartir au combat après avoir joui. Moi qui étais si performant étant plus jeune. Le doute a commencé à s’installer en moi. Est-ce de ma faute ? Est-ce l’âge ? Non, je ne le crois pas, j’arrive pourtant toujours à avoir de l’envie à la vue des images qui défilent devant mon écran. Et puis, en pleine trentaine, je suis, comme on l’entend si souvent de nos jours, en pleine force de l’âge. Le problème, c’est que ma femme, je la vois tous les jours, je vis avec elle, je l’aime, mais surtout, elle est devenue complètement ma chose. Tellement qu’elle m’appartient, que je ne la convoite plus. Elle peut me dire qu’elle sort avec des ami(e)s, franchement, cela ne me fait ni chaud, ni froid, comme si j’avais une totale confiance en elle. Jamais elle n’est revenue éméchée, je connais ses fréquentations. Pour être honnête avec vous, souvent j’attends impatiemment ses absences pour visiter des sites qui proposent du sexe afin de me branler et de jouir au vu du spectacle qui m’est proposer. Et puis, il y eu ce fameux soir. Nous étions samedi et à 23 heures, son téléphone sonne. C’est son ami, Frédéric, un ancien collègue de travail qui avait quitté la ville suite à une rupture sentimentale. Alors que nous étions ensemble à regarder un DVD, cet ami l’appelle et ils passent le reste de la soirée à parler. Moi, m’étant dit que ce Frédéric était parti il y a bientôt 3 mois de la ville, ils avaient surement des choses à se dire, en tant que bons amis. Je fais un bisou à ma dulcinée, et lui dit que je vais me coucher, qu’elle n’a qu’a me rejoindre une fois le coup de fil terminé. Entre nous, je ne sais pas jusqu’à quelle heure leur conversation prit fin. La semaine suivante a commencé sans que je saches qu’elle changerai ma vie de couple à jamais. Chacun est parti au travail comme d’habitude, jusqu’à ce que ma vie soit bouleversée à jamais le jeudi. N’ayant plus de produits pour nettoyer notre appartement, je m’étais dit que j’irai faire un tour au centre commercial afin d’acheter de quoi faire le ménage le weekend. En passant devant les galeries marchandes, j’aperçois Claire, ma femme, assise chez le crêpier, en tête à tête avec Frédéric. Je pensais bon d’aller les saluer, lorsqu’en me rapprochant, je vois Frédéric se lever et se pencher vers Claire et l’embrasser. Ce baiser me parut une éternité. S’était-elle laisser faire ? Ce fut-il la première fois ? Avait-elle sortie sa langue ? A ces questions, je fis demi-tour et sans même acheter mes produits d’entretien, je partais en voiture pour une folle virée, pensant à ce que je venais de voir, me posant dix mille questions. Et puis, au bout d’un temps, un plan m’est venu à la tête : et si je l’espionnait ? Ce plan se ficelait petit à petit dans ma tête, au fur et à mesure qu’il prenait forme, je commençai à ressentir de l’excitation et je repris le chemin de la maison. Claire était déjà rentrée. Nous avons passer la soirée comme si de rien n’était. Moi devant une rediffusion d’un match de foot, elle, s’essayant à une dernière recette de gâteau trouvée sur internet. Puis, nous avons fait l’amour ce soir là, et bizarrement, je ressentais de la jalousie en moi, je voulais lui faire du mal à cause de ce que j’ai vu durant la fin d’après-midi, mais, c’était tellement bon de la baiser. Et pendant notre acte, je lui ai demandé de me raconter son fantasme le plus inavouable. Elle me répondit qu’elle en avait pas, qu’elle n’était pas comme moi qui ne se gênait pas de regarder les jolies femmes et leurs courbes. Alors, je lui dis qu’elle avait raison, que j’étais un obsédé. Que je rêvais d’un plan à trois avec une autre femme, que je voulais me prendre une maîtresse, et je lui dis : "J’ai surtout envie de te voir faire l’amour avec un autre homme". Sur ce, elle s’est empalée sur moi, prenant les choses en main, faisant des va et viens, pendant que mes mains l’aidaient en poussant son gros cul. Puis, sentant qu’elle était dans un état second, je lui répétais que j’avais envie de la voir se faire prendre par un autre homme une deuxième fois, ce à quoi elle me répondit par un "ah ouais ?!" tout en douceur. Malgré le silence qui s’en suivi, car je n’étais plus trop sûr de moi, même si cela m’excitait tellement de le lui dire, je sentais ses va et viens de plus en plus insistant. Je savais que je touchais là à son fantasme, ou alors, devrais-je dire, à ses secrets surement. Peu importe, cette fois-ci c’était trop bon. Puis, elle me dit, "oui bébé, regarde-moi jouir avec un autre homme"... ce à quoi le rythme de ses mouvement s’accélérait. J’ai compris qu’elle allait jouir, ce qui ne fut que décupler mon plaisir, avant qu’elle ne prenne mes deux mains de ses fesses et qu’elle les posent sur ses seins, pour que je la caresse pendant son orgasme. J’en profitais pour lever la tête afin de lui lécher les tétons entre deux malaxations des seins. Elle s’écroula sur moi. Puis, au bout d’un temps, commença une fellation pour me terminer. je fus tellement surpris car cela faisait si longtemps qu’elle ne m’avait plus sucé pour que je vienne en fin de baise. C’est dans sa bouche que j’ai tout lâché. J’ai aimé comme si c’était la première fois. Puis, elle s’est levée, et elle est partie se laver. Moi pour ma part, je suis resté avec toute cette cyprine sur moi, comme un enfant émerveillé par son jouet fétiche. Nous avons dormis cette nuit comme d’habitude. Le lendemain matin, elle me dit : "il faut que je te dise, Frédéric est revenu en ville. Il pense rester quelques jours dans le coin". Bien sûr, à ces mots, mon plan malsain resurgis dans mes pensées. On se fait un bisou et on se souhaite une bonne journée au bureau. Cependant, je me dirigeais vers un loueur de voiture, là où une superbe voiture de sport, vitre teinté me tentait bien. A 130 euros la journée, la voiture était pour moi, idéal pour mettre a exécution mon plan de filature !
