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La canicule

Chapitre 2

Gay
La canicule (2)

La canicule s’est prolongée pendant trois semaines. La ville était écrasée de chaleur et je restais cloîtré dans mon appartement, volets fermés aux deux tiers, nu du matin au soir et me rafraîchissant dans la journée en prenant des douches froides. La nuit, je dormais sur un matelas, posé sur la terrasse, pour profiter de la moindre brise sur mon corps dénudé et en sueur. Mes jours et mes nuits étaient hantés par les souvenirs de ma première expérience homosexuelle avec Paul, Jonathan et Julian, au bord de la Garonne. Certains soirs, après 23h, ne pouvant dormir, je passais un short et un marcel et j’allais me promener sur la prairie des filtres, au bord du fleuve. J’étais travaillé par des fantasmes érotiques et j’avais envie de recommencer l’expérience du sexe entre hommes. L’endroit est connu pour être fréquenté par les homosexuels et j’errais à la recherche d’une rencontre. Dans la semi obscurité je voyais circuler des ombres. D’autres attendaient au pied d’un arbre ou sur un banc. Je n’osais trop m’approcher d’elles, craignant une mauvaise surprise. La nuit, le lieu est plutôt inquiétant et je balançais entre crainte et désir. A deux reprises je fuyais l’approche d’un homme plus entreprenant que les autres, la peur l’emportant sur l’envie pourtant forte. L’autre soir, alors que j’allais quitter une fois de plus la prairie, bredouille, mais la verge bandée dans mon short, j’aperçus, isolé, un mec à poil, étendu sur un banc, la tête posée sur ses vêtements pliés, qui se caressait le vit. J’osais m’approcher, admirant ce corps au blanc laiteux, bien constitué et totalement rasé, ainsi abandonné aux désirs des passants. Parvenu à proximité, je reconnus Paul, un sourire lubrique aux lèvres, les yeux fermés, la verge en érection, le gland gonflé, un bras pendant vers le sol et la main droite titillant ses couilles glabres et contractées. En un éclair j’étais à genoux devant ce banc et ma bouche avide emprisonnait ce gland humide. Paul ne bougea pas, mais un râle de satisfaction sortit du plus profond de sa gorge. Tout en lui suçant le sexe, je lui caressais le ventre, la poitrine et les cheveux de ma main droite. Il vibrait sous le glissement de celle-ci sur sa peau. Deux ombres s’étaient approchées pour nous observer avec le désir de se joindre à nous. Trop occupé avec Paul, je les laissais venir. Il y avait un vieil homme dans la soixantaine, chauve et bedonnant, qui exhibait par la braguette un sexe à demi bandé mais déjà impressionnant. L’autre mec était plus jeune, du genre costaud, à peu près de mon âge, avec de belles fesses proéminentes et une verge vigoureusement dressée au dessus de son short baissé à mi cuisses. Pendant que je poursuivais ma fellation, ils se masturbaient au dessus du corps fébrile de Paul. Celui-ci gémissait de plus en plus fort au rythme de ma bouche et de ma main tandis que les deux hommes se rapprochaient encore, le plus jeune me passant sa bite raide sur le visage, le plus âgé se branlant au dessus des lèvres de Paul. En râlant, ils ont jouis l’un après l’autre, dans des flots de sperme. J’en avais plein le torse, Paul sur tout le visage et dans les cheveux. J’entrepris alors de lui nettoyer la face en léchant les foutres répandus, avalant avec gourmandise ces semences mâles mêlées. Les deux mecs avaient commencé à me pétrir les fesses au travers du fin tissu de coton de mon short et j’avais le sexe raide et dur, n’ayant pas encore eu mon plaisir. Aussi je me relevais et me tournais vers eux, saisissant des deux mains leurs bites ramollies pour leur redonner de la vigueur par un bon massage. L’effet produit fut immédiat et je me retrouvais subitement entièrement déshabillé, les fesses malaxées par quatre mains chaudes et viriles. Dans mon dos, Paul, qui ne m’avait pas reconnu et n’avait pas encore jouis, s’était levé de son banc et s’intéressait à mon cul, fouillant ma raie d’une main ferme. Je tendis mes fesses vers cette caresse si excitante, sentant un doigt explorer mon anus, puis s’introduire lentement en moi. Mon sphincter se détendit et s’ouvrit à cette pénétration. Je bandais comme un fou, deux bites raides dans les mains et un doigt fouineur dans le cul. D’autres ombres s’étaient approchées et je me trouvais maintenant au milieu d’un cercle de mâles en chaleur qui, en se paluchant, observaient le travail de mes trois partenaires. Cela m’a surexcité et sans aucune retenue je dévorais les lèvres des deux hommes qui maintenant me pressaient les couilles et me masturbaient, tandis que mes mains s’occupaient de leurs fesses charnues et poilues. Paul avait enfin retiré son doigt de mes entrailles et cherchait mon œillet de son gland humide. Je le sentis forcer l’ouverture et me pénétrer lentement. J’étais tellement affolé de désir, le cul bien ouvert et lubrifié, que je ne ressentis aucune douleur et me laissais prendre bien à fond, dans un râle de satisfaction. J’avais envie d’être sucé pendant que Paul me sodomisait et j’appuyais sur la tête du plus jeune des deux mecs occupés à me masturber. Comprenant, celui-ci s’agenouillait et prenait ma verge turgescente en bouche, alors que le plus âgé s’emparait de mes lèvres pour une pelle savante. Je haletais et gémissait doucement sous ces trois assauts, le cul et la bite en feu, la gueule pleine de salive, visitée par une langue vigoureuse et experte. Quelle jouissance ! J’aurais voulu que cela dure des heures. Et tous ces mecs échauffés qui se branlaient autour de nous en se rapprochant de plus en plus ! Au paroxysme du plaisir, j’ai senti le vit de Paul se gonfler et éjecter son foutre au plus profond de mon rectum, alors que presque simultanément je jouissais violemment dans la bouche du jeune mec qui me suçait avec application. Ce dernier se reculait, lâchant ma verge, pour recracher mon sperme. Alors le plus vieux des deux abandonnait ma bouche, se jetait à mes pieds et venait lécher mon sexe gluant de semence, pour le nettoyer entièrement. Paul débandait lentement et se retirait de mon cul comme à regret. Je me retournais vers lui pour l’embrasser et c’est alors qu’il me reconnut. « Toi ? Quelle surprise ! Quel bonheur aussi ! » me souffla-t-il avant de se jeter sur moi, corps contre corps, dans une virile étreinte. Mon sexe pressé contre le sien reprit aussitôt du volume et je me collais encore plus contre Paul, pour mieux sentir sa verge reprendre vie au contact de mon corps fiévreux. Les hommes autour de nous s’étant soulagés, avaient quitté les lieux en silence, nous laissant seuls, suant à grosses gouttes, épuisés par l’action et la chaleur ambiante, toujours étroitement embrassés. Sans nous concerter, nous nous sommes rapidement séparés, avons enfilé nos shorts à même la peau et torses nus, nous avons gagné mon domicile à pied, en évitant les zones trop éclairées ou trop fréquentées. Nous avons passé la nuit ensemble et par deux fois je l’ai possédé, l’inondant de ma semence. Quel pied ! Au petit matin, alors que je dormais profondément, il est reparti, me laissant son numéro de téléphone sur un bout de papier abandonné sur son oreiller froissé.

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