Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 22 J'aime
  • 1 Commentaire

Captive d'un soir

Chapitre 2

SM / Fétichisme
La sentence est tombée. Dans un moment d’égarement, tu as osé violer une des règles que je t’avais imposé pour ce soir. Tu as posé ton regard sur le mien, remettant en cause mon autorité sur toi. Mais cet incident est une aubaine, car il me donne un prétexte pour tester tes limites.Toujours sur un ton sec, je t’ordonne d’aller chercher un fouet. Je sais que tu en as un, tu me l’a signalé lors d’une de nos interminables conversations sur internet.Tu es à genoux, à mes pieds, à la place qui te reviens et que tu te plais à occuper depuis le début de notre soirée. Mais en entendant mes mots, voilà que tu prends peur, tu agrippes mes jambes, tu implores.
 - Non, pitié monsieur, je ferai ce que vous voudrez, tout mais pas la fouet.
Ta voix tremblante, tes gémissements, tout a l’air vrai, tu es une très bonne actrice. Mais je sais qu’en ton fort intérieur tu bouillonnes de plaisir en songeant à cet infâme instrument mordant ta peau douce.
 - Tu refuses d’obéir, esclave ?
 - S’il vous plaît, monsieur, je vous appartiens, mon corps vous appartiens, humiliez-moi de mille façons, mais par pitié pas le fouet.
Tu es tellement crédible dans ton rôle, tantôt tu m’a prévenu que ton comportement serait entièrement simulé, faux, et qu’en aucun cas cela ne devrait interférer avec notre soirée. Amusé, je rentre davantage dans ton jeu, me montrant plus impitoyable à ton égard.
 - Arrête de pleurnicher, sale garce, et dépêche-toi d’obéir si tu ne veux pas que je te punisse trop sévèrement.
Avec le pied, je te rejette comme une malpropre. Tu t’écroules en arrière, misérable et avilie. En silence, tu te relèves, entièrement soumise, et tu te hâtes de ramener le fameux serpent de cuir qui représente une nouvelle étape dans ton initiation. Tu reviens à ta place, par terre, agenouillée, cuisses écartées, et me tends le fouet comme la fidèle servante que tu dois être. Par pur sadisme, je m’amuse à faire aller la menaçante lanière sur ton corps. Je te vois trembler, alors que je te caresse avec l’instrument de ta punition, pendant que je le laisse effleurer tes joues rougissantes, tes seins tombants, tes tétons pointés, jusqu’à atteindre ton entrejambe. Je t’entends pousser quelques gémissements de plaisir, tu t’impatientes.
 - Tu en as envie, je le sens, te dis-je. Alors vas-y prouve-moi ton obéissance encore une fois, et je saurai me montrer clément.
Tu prends une inspiration avant de parler, essayant de calmer tes ardeurs pendant que le fouet continue de titiller ton intimité offerte.
 - Monsieur, j’ai mérité d’être châtiée pour mon manque de respect envers vous. Me fouetter m’aiderait à rester à ma place. Je l’ai mérité, je ne suis qu’une insolente, s’il vous plaît, renvoyez-moi à ma place d’esclave.
Tu es tellement belle, et tu me plais encore plus quand j’entends ces paroles sortir de ta bouche. Alors je t’empoigne par les cheveux et t’entraîne derrière moi, tu me suis à quatre pattes, poussant de petits cris mêlant douleur et jouissance. Rapidement, je te tire jusqu’à la table basse de ton salon, je te force à monter dessus et à t’y prosterner, bras étendus devant toi et croupe relevée, tes cuisses bien écartées laissent tes fesses entièrement vulnérables aux futurs assauts du fouet.

 - Combien ? Je te demande en faisant tournoyer de nouveau le serpent de cuir sur ta peau offerte.
Tu hésites, le fait que je te laisse choisir le nombre de coup est un don à double tranchant. D’un côté cela te permet de jauger ta faute, mais tu sais pertinemment que si ce nombre ne me plaît pas, je serai tenté de faire durer la punition et t’infliger beaucoup de souffrances.
Tre... Trente, monsieur, balbuties-tu jouant la pauvre apeurée.
Décidément tu ne cesses de me surprendre. Je m’attendais à quinze, voire vingt, mais trente coups. Je tombe sous ton charme, tu me fais chavirer par ton courage... Ou ta perversité.
 - Très bien, je chuchote avant de caresser une dernière fois ton corps avec mes mains pour te rassurer et te motiver.
Un court silence se répand alors dans l’appartement, interrompu par nos respirations respectives et par quelques bruits de voitures passant au bas de la rue. Tu attends, tu tremblotes, tu es nerveuse alors que les secondes défilent et que rien ne se passe.Puis le premier coup tombe, assaillant ta croupe exposée. Tu étouffes un léger gémissement de plaisir, tes cuisses se referment par réflexe.
 - Merci monsieur, t’écries-tu.
Docile, tu écartes de nouveau tes jambes, avant même que j’ai besoin de te l’ordonner. Et tu fais tout pour résister alors que les coups suivants viennent pleuvoir sur ta peau meurtrie. Au sixième coup, tu ne peux plus lutter et pousses un cri de satisfaction. Puis à partir du onzième coup, alors que tes fesses rougissent sous le fouet, tu ne peux t’empêcher de révéler ta vraie nature.
 - Oh oui, merci monsieur, je l’ai mérité, punissez-moi !
Adieu le rôle de la pauvre esclave suppliante, désormais la vraie soumise se dévoile. Souriant en te voyant profiter de cette séance, je te laisse t’exprimer, cela me motive à continuer. Et pendant que les coups s’enchaînent, tu poursuis tes remerciements, tu te plais dans cette situation. Tu me plais. Nous arrivons rapidement au trentième coup, tu es haletante, tes fesses sont marquées de petites stries qui, je le regrette, viennent dénaturer la perfection de ton corps nu. Si tu m’avais demandé plus, je ne t’aurai pas écouté, ta peau est divine et ne mérite pas d’être pervertie de la sorte.
Toujours aussi fidèle à nos règles, tu descends alors de la table basse et viens te prosterner à mes pieds. Entièrement asservie et désormais marquée par les lanières en cuir, tu te mets à embrasser mes jambes, montant puis descendant, en remerciant mon autorité.
 - Merci monsieur, merci de m’avoir remise dans le droit chemin. Je ne suis rien qu’une esclave bonne à être dressée pour vous servir. Ordonnez, monsieur, et vous serez exaucé, je vous appartiens.
Complètement séduit, je m’accroupis et empoigne avec tendresse ton menton, le forçant à se relever. Nos visages sont proches, tu baisses ton regard soumis, tu as compris ta leçon. Alors tout en caressant tes joues, je te susurre les mots que tu espérais depuis le début de la soirée.
 - Je suis fier de toi, allons dans la chambre, il est temps pour moi de t’offrir ta récompense, ma belle esclave.
A suivre
Diffuse en direct !
Regarder son live