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Carla la turfiste

Chapitre 1

Lesbienne
Presque tout les jours, vers treize heures, elle arrive au bar. Elle joue au tiercé et reste là jusqu’à la fin de la retransmission des courses. Elle gagne parfois. Dans ce cas elle m’offre un verre de champagne que je ne peux refuser, les ordres des clients sont normaux. La seule chose est que le champagne, à cause des bulles sans doute me donne des fourmis dans le bas ventre, en souvenir de mes premières fois, de mes premiers orgasmes avec une copine. Aujourd’hui est un jour spécial, mis à par cette femme personne n’est client. Je ne sais pourquoi personne n’est venu. La joueuse elle est bien là à regarder les courses. Elle gagne plusieurs fois. Le champagne me monte à la tête. Je la regarde en détail, elle est belle, blonde, avec une paire de seins à faire traverser une route à un aveugle. Je n’ai jamais fait attention à ses fesses, elles sont magnifiques. Je sens mon ventre se crisper, j’ai envie d’elle.Comment faire comprendre à cette nana que je la veux nue contre moi, dans le lit.— Vous êtes bien jolie.— Comme d’habitude.— D’ordinaire j’ai trop de clients pour vous voir comme aujourd’hui. — Merci, heureusement que vous êtes une femme, sinon je croirais que vous me faites la cour. — Oui, je suis une femme qui vous fait la cour, j’aime bien les femmes dans mon lit.— Ne me dites pas que vous me voulez— Si justement j’ai envie de votre corps, de vous aimer, de vous caresser partout, de vous faire jouir plusieurs fois.— Je n’ai jamais fait ça avec une femme.— Voilà le moment d’essayer une fois au moins. On peut le faire facilement, je ferme la boutique le temps de nous régaler. Je n’attends pas sa décision qui ne viendra jamais, je ferme les portes, je descends les rideaux de fer. Je viens vers elle, je la regarde de près, de très près. Elle m’excite encore un peu. Je ne peux plus tenir, je vais la prendre dans mes bras, je l’embrasse. Ses lèvres restent closes, je suis obligée de forcer pour qu’elle l’entrouvre juste un peu. J’ai juste la place pour passer ma langue, pour trouver la sienne cachée au fond de sa bouche. Je caresse sa poitrine par-dessus ses habits. Le miracle a lieu, elle ouvre sa bouche, nos langues s’expriment en longues caresses. Je la prends complètement dans mes bras, un bras autour des épaules, l’autre autour de sa taille. Je sens les siens contre mon cou, en forçant un peu je l’oblige d’écarter les jambes pour passer une cuisse contre son bas ventre. Je commence à la faire aller et venir, sur sa chatte, et enfin:— Oui, c’est bon, il y a longtemps que je n’ai pas connu ça.— Je vais te donner ce qu’il faut pour jouir.— Quoi donc ?— Mes mains, ma bouche et mon clitoris.— Pourquoi moi ?— Parce que tu es là. Pour t’appendre le véritable plaisir je vais entrer toute ma main dans ton con.— Ca dois faire mal ?— Oui, au début, après tu prendras du plaisir comme jamais. Tu veux ?— Oui, baises moi.Nous nous embrassons encore avant de monter dans ma chambre, je suis veuve depuis plus de deux ans, je n’ai pas d’amant, je me branle souvent, aujourd’hui j’ai envie de jouir avec quelqu’un. Elle fera l’affaire. Je n’ai qu’à me souvenir de ma jeunesse pendant laquelle je « m’amusais » avec une copine, c’était agréable de nous sucer. Maintenant je suis libre de la déshabiller lentement. Il lui reste un peu de pudeur, elle se cache avec les bras la poitrine que j’ai découverte, pareil pour la chatte. Je pose mes mains sur ses fesses que je caresse de haut en bas pour finalement entrer un doigt dans sa raie culière, un seul, que je descends lentement vers son petit trou qui, je le pense doit être vierge. Je sais que je vais la dépuceler avec mon gode.
Je caresse l’anus au passage, elle avance son postérieur, c’est bien ce que je pensais elle est vierge. J’abandonne cet endroit pour continuer mes recherches. Je trouve sa minette quand même humide, trop humide, son clitoris est sorti. Je caresse lentement le grain de riz,elle se cambre en enlevant ses bras de sa poitrine et la main de sa chatte. Ainsi positionnée, elle se donne maintenant à moi. Ma caresse s’accentue, je la sens se crisper encore plus, elle jouit.Elle ne s’en fait pas pour moi, je suis trempée, j’ai un besoin maladif de jouir, je veux sa main sur ma chatte. Je vais au devant d’elle, je me colle contre sa poitrine, prends sa main droite que je pose sur mon sexe. Enfin elle comprend que moi aussi j’ai des besoins, comme elle: sa main se pose enfin sur ma minette. Elle fouille un bon moment avant de trouver enfin mon bouton. Elle hésite.— Branles moi, comme pour toi.— Je ne me branle jamais.— Comment ça, tu ne te caresses jamais le con ?— Des fois, si.— Bien c’est ça se branler !!!Je me demande si elle est normale, une femme d’une trentaine d’années qui ne sait pas se donner du plaisir, on ne voit ça que dans les romans à l’eau de rose. Enfin elle me caresse comme pour elle, je ne demandais que ça. Elle est douée, elle doit se faire du bien. Je sens ses seins contre mon dos, sa main sur ma chatte, son souffle dans le cou, juste avant qu’elle n’y pose ses lèvres. Elle fait des progrès. Je me caresse la poitrine pour ajouter un peu de sel à notre union. Elle arrive, malgré son inexpérience à me donner le grand frisson. Je m’entends crier ma jouissance. Je me retourne brusquement pour la pousser sur le lit, elle y tombe les jambes ouvertes. Je peux voir enfin sa chatte: un peu rosée, mouillée, le puits entrouvert ainsi que le cul. Je vais me régaler. Je viens de prendre mon plaisir, je peux encore attendre. Je passe ma tête entre ses cuisses. Elle a l’air étonnée. Je lèche l’intérieur de ses jambes en montant lentement. Elle sait où je vais. — Attention, ne passe pas ta langue sur mon con.— Pourquoi, il est malade ?— Non, il n’est pas très propre.— J’aime quand un sexe et naturel, alors je vais te sucer.C’est vrai qu’il sent un peu fort, surtout l’urine. Quand ma langue arrive sur ses lèvres, elle me laisse faire, en poussant de nombreux soupirs. Ma langue se loge entre ses grosses lèvres pour atterrir sur son clitoris. C’est de cet endroit que sort l’odeur de pipi. Ce n’est pas désagréable, c’est même excitant.Je lèche son bouton d’abord avant de le prendre dans la bouche pour presque l’avaler. Elle sursaute de plaisir maintenant, je vois son ventre se creuser comme pour faire participer tout son corps au plaisir qui arrive. L’instinct sans doute la pousse à se caresser les seins. Mes mains viennent participer au cunnilingus: j’entre deux doigts dans la caverne de devant, mes allers et venues sont longues. J’aime sentir son vagin plein de mouille, je change de doigts pour que les premiers fassent connaissance avec son rectum. Je ne fais que le frôler au début puis lentement j’entre dans son cul, il est très étroit: elle est vierge de ce coté là. J’entre quand même les doigts qu’elle devrait supporter. — C’est bon, qu’est-ce que tu me fais ?— Je te caresse le cul.— Je ne savais pas que c’était aussi agréable.— Tu en veux plus ?— Oui.— Je te le dépucellerais après avec mon gode.— Oui.Je reprends cette caresse sans arrêter mes léchages: elle jouit toujours plus.Je me tourne complètement, j’ai envie moi aussi de sa langue. Je ne sais si elle acceptera ma chatte sur sa bouche, J’ose, je l’enjambe, je pose directement mon sexe sur sa bouche. Je suis surprise de la réaction, sans être contre elle accepte avec une certaine réserve. Est-ce que mon sexe et assez propre! Je me lave souvent cet endroit avant de me branler, c’est ce qui m’excite avant de me masturber. Je suis rassurée car elle sort à peine sa langue. J’appuie mon corps sur elle, elle comprend ce que je veux, alors elle lèche normalement mon clitoris et mes lèvres. Elle se débrouille tellement bien qu’elle me fait venir sur sa bouche. — Tu veux que je t’encule maintenant ?— Oui, s’il te plaît, fais moi mal.— Non je veux de faire du bien.Je sors mon ami,le gode. Je le lui montre:— C’est trop gros.— Mais non regardeJe me baise avec, il est entré facilement, je ferme les yeux pour mieux profiter du plaisir qui monte. J’ai la fâcheuse habitude de me branler souvent avec, je gémis tellement que je cris presque en jouissant sans honte devant mon amie.— Il t’a fait jouir, mets moi le dans le cul.— Je vais d’abord te préparer, ton cul n’est pas encore prêt à l’accepter. Laisse toi faire.Je mouille tous mes doigts, j’entre d’abord le premier qu’elle accepte volontiers. J’en mets un autre de l’autre main, elle l’accepte aussi. Je tire mes doigts pour écarter son anus. Elle se plaint un peu pour accepter l’écartement. J’ouvre au maximum avant de lui mettre encore un doigt, je vois maintenant qu’elle ne se crispe plus, c’est plus facile pour lui branler le cul. Son anus reste ouvert quand j’ai fini. Pour lui faire du bien je trempe le gode dans son vagin. Je l’enfile un instant pour bien mouiller la fausse bite qu’elle apprécie. Elle est maintenant en levrette, je lui demande de mettre encore de sa cyprine. Quand j’estime que c’est assez, je lui colle le gode à l’entrée de l’anus, son trou est toujours un peu ouvert: elle appréciera la sodomie. J’entre facilement en elle, elle pousse quand même un cri de surprise?— C’est vachement bon. Pourquoi je ne me suis jamais fait mettre dans ce trou.J’en profite au maximum. Si ma main droite tient le gode pour le rentrer, ma main gauche cherche un peu son clitoris. La petite salope m’a devancé. Les bonnes habitudes se prennent vite. Mes yeux sont vissés sur sa rondelle, je vois exactement comment le gode entre et sort. Je n’en peux plus, je m’occupe de mon sexe, je remarque qu’elle jouit facilement plusieurs fois. J’en veux à mon tour, après ce que j’estime une dernier jouissance, je sors le gode pour le mettre en moi. Je suis sur le dos, elle peut tout voir, je mouille un peu mon rectum, j’enfonce le gode presque au bout. Je commence à me sodomiser quand elle m’arrête pour me remplacer.Je ne peux que la laisser faire ce qu’elle veut. Elle est devenue une bonne lesbienne, disons une bonne bisexuelle. Pour se reposer, elle se couche sur le ventre sa bouche sur la mienne, une main sur un sein, quand à moi je caresse doucement ses fesses comme je le ferais avec une chatte. Nous restons couchées, nues jusqu’au lendemain matin. De temps en temps nous nous aimons. Elle se souvient que je lui avais fait une promesse, elle tient absolument à se faire fister. Heureusement que j’ai un peu de lubrifiant naturel, j’en passe sur et dans sa grotte. Elle se prend à rêver d’un orgasme hors norme ce que je confirme. Je lui fais écarter les jambes au maximum, je positionne mes doigts pour bien la pénétrer. Lentement je rentre dans sa moule assez facilement. Je vois surtout ses chairs s’écarter devant ma main qui entre en entier et jusqu’à la moitié du bras.Elle me dit qu’elle a mal, ce que je comprends: c’est son premier fistage. Enfin elle ne dit plus rien, elle ferme les yeux comme quand je la sodomisais. Elle gémit de plus en plus fort, je mouille, elle se tortille dans tous les sens tellement le plaisir est à son comble. Elle jouit plusieurs fois consécutivement.— Mon dieu que c’est bon. Pourquoi je n’ai jamais connu quelqu’un qui me fasse ça.— Tu m’as maintenant, je te le ferai autant de fois que tu veux, même dans le cul. — Oh Oui, dans le cul.— On verra plus tard. Je ne suis pas sure que dans ton petit trou, ce soit aussi agréable que dans le con. En attendant elle jouit pire qu’une folle. Je pense soudain que je ne connais pas son prénom, entre deux baisers, elle me le donne juste en jouissant: (défense de rire)— Carla.
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