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Carole au Cap d'Agde

Chapitre 1

Hétéro
Bientôt les vacances d’été !.. L’an dernier, mon copain m’avait emmenée à Cap d’Agde. Il aimait bien mater les nanas mais, particulièrement jaloux, ne supportait pas que les mecs me matent. Il évitait soigneusement les endroits chauds de la station, et sur la plage où il m’amenait, pas l’ombre d’un cul nu !... bref j’en suis revenue un peu frustrée. Ensuite je crois que çà a été le début de la cause de notre rupture.    Comme depuis cet hiver je suis enfin libre, je me rattrape, et du coup, j’ai proposé à Carole de m’accompagner cette année à Cap d’Agde. je suis sûre que dans ce lieu mythique du sexe, avec cette copine pleine d’audace, on va s’éclater. Est-ce la surprise que l’idée vienne de moi ? Carole n’a pas réagi à ma proposition comme je l’attendais. — ça ne parait pas t’enthousiasmer Cap d’Agde ?— oh si, beaucoup !... excuse-moi, mais tu connais Cap d’Agde, enfin, je veux dire, tu pourras supporter tout ce qui se dit ou plutôt se fait à Cap d’Agde ?— Bien sûr, j’y étais l’an dernier ; je ne suis pas une oie blanche !...— Ah bon ?— C’était avec mon mec, et crois moi, ce n’était pas une bonne idée. Cette année, je veux m’éclater. Alors avec toi, je suis sûr que ça va être hard !..— Bravo, c’est une excellente idée… On part quand, on loge où ?— J’ai tout prévu !... on part la semaine prochaine, et on logera, devine où ?... au camping. ça te convient ?— Pour la date oui, pour le camping, je n’en ai jamais fait ; ce sera une première. Pour ça, je compte sur ton expérience.— Tu verras, le camping, ça permet de rencontrer facilement des gens sympa. Et puis là-bas on est tout le temps à poil, comme chez toi !..tu vas voir, tu vas t’éclater !...
    Cher lecteur, je vais te conter par le menu les aventures, pas toujours recherchées, dans lesquelles m’entraîne souvent ma chère amie Carole. Elle est imprévisible et cette fois c’est la route qui va devenir son terrain de jeu ....     C’est donc le samedi matin de la semaine suivante, début juillet, aux aurores, que nous prenons la route des vacances. Heureusement que nous n’avons pas emporté beaucoup de bagages car la malle est vite remplie avec le matériel de camping. Il faut dire que le petit cabriolet 206 de Carole, s’il est super pour frimer et se faire remarquer par sa couleur rouge vif…il ne brille pas par son volume !.. le minimum quoi !... Carole qui était encore à poil juste avant de sortir de son appartement a enfilé vite fait sa jupette blanche qui lui couvre à peine les fesses et un bustier noué sous la poitrine. Moi je porte un short jean déchiré et un tee-shirt court blanc. Nous avons le ventre à l’air     Il fait encore frais. Nous laissons encore le hard top fermé. Carole profite de la fluidité du trafic pour tracer la route à bonne allure. Peu après le départ, bercée par le bruit du moteur je me suis endormie. Deux heures plus tard;— Julie, désolée d’interrompre ton dodo !.. on va prendre un jus ?— Où est-on ? on n’est pas arrivées ?— Non ! mais tu dormais profondément … tu as décroché peu après notre départ.— Eh bien tant mieux, je me sens en pleine forme » répondis-je en baillant et m’étirant comme une chatte.— Tant mieux ! tu pourras prendre le volant tout à l’heure…ce sera mon tour de piquer un roupillon n’est-ce pas ?    A la cafétéria de l’autoroute, notre arrivée détourne le regard de deux hommes accoudés au comptoir, sans doute des routiers. Ils nous matent ostensiblement, ce qui émoustille Carole, toujours prête à la réplique. Du coup elle grimpe sur un des hauts tabourets autour du bar. Je m’installe à côté d’elle. Elle se tourne vers moi exhibant sans avoir l’air ses longues cuisses à nos voisins auxquels je tourne le dos.    Ils parlent à mi voie, mais je comprends de suite que c’est de Carole. Cette dernière a les jambes croisées, et sa jupe troussée jusqu’en haut des cuisses. La conversation dans mon dos va bon train, et les paris semblent ouverts sur la présence ou non d’une culotte, sa taille et sa couleur.     Un croissant et le café avalés prestement, je saute la première de mon perchoir, dégageant la vue à nos deux voisins, les yeux maintenant rivés sur les cuisses de Carole. Il n’en fallait pas plus pour que celle-ci nous improvise une furtive exhibition. Elle se laisse glisser du tabouret, mais l’arrière de sa jupe reste accroché et elle se retrousse carrément jusqu’au nombril. Je ne vous dis pas le sourire de joie des deux hommes à ce spectacle inespéré, d’autant que pour décrocher sa robe, Carole remonte un pied sur le barreau, ouvrant ainsi ses cuisses et offrant sa jolie chatte épilée aux regards ébahis tant de nos deux routiers qu’à quelques clients qui passent derrière en se retournant. C’est en arborant un sourire de jubilation que Carole franchit le seuil du bar.    Nous commençons bien la journée. Le soleil est haut sur l’horizon et commence à darder de ses rayons, provoquant une chaleur étouffante à l’intérieur du petit habitacle de la voiture.
— On décapote ? Propose Carole.    Je prends le volant et règle mon siège pour atteindre les pédales…Carole a de grandes guibolles. Nous reprenons notre chemin. Carole, en position couchette s’assoupit assez vite.     Au bout d’une heure le trafic est devenu plus dense et nous dépassons quelques poids lourds. Mais à chaque fois que j’en dépasse un, nous avons droit à quelques coups d’avertisseur…les trompes à la sonorité très grave m’amusent… aucun de ces routiers ne semble indifférent à notre équipage…Tous des dragueurs…mais au quatrième, je m’interroge. Et très vite j’en comprends la raison. Au gré des cahots de la route, Carole a glissé en avant sur son siège, sa jupette remonte sur son ventre. Sans culotte, elle exhibe sa chatte à ces messieurs les routiers lorsque nous les dépassons !.. En plus, le piercing diamant sur son clitoris brille au soleil de mil feux !...Discret !.. Justement, nous en dépassons un, et pour mieux vérifier mes interrogations, je prends mon temps et le surveille d’un œil…Il mate ferme l’entre cuisse de Carole…ses remerciements à coups de trompe me font partir d’un fou rire… Carole se réveille.. se redresse …et encore dans les vap…— Qu’est-ce qui se passe ?— Tu fais le spectacle aux routiers , chérie !.. et joignant le geste à la parole, je montre du doigt sa chatte glabre exhibée. Aussitôt, provocante, elle remonte un peu plus la jupette dégageant son pubis.— Si ça leur plait, continuons à les satisfaire ! ça ne doit pas leur arriver tous les jours ces petits plaisirs …— Bien sûr, tu as raison.Nous approchons d’un nouveau poids lourd, je me déporte.— Ralenti en le dépassant ; me conseille Carole. Et je la vois maintenant se doigter lorsqu’on arrive au niveau de la cabine. — Quelle garce tu fais !.. Nous matons le chauffeur autant que lui mate Carole. Comme il n’y a personne derrière nous, nous restons un moment à côté du bahut, lui laissant tout le temps de se régaler les yeux. Sa vitre est ouverte et le pouce en l’air il nous crie « bravo les salopes ». mais distrait par le spectacle il semble me serrer contre la glissière de sécurité, prudemment j’accélère et le quitte dans un véritable concert de klaxon. En quelques kilomètres nous en asticotons plus ou moins quelques uns. La plupart ne prêtent pas attention à notre petit jeu, mais Carole est très excitée. Sa chatte est toute mouillée.     Nous roulons depuis un moment sans voir de bahut lorsque surgissent derrière nous deux grosses motos qui nous dépassent plutôt lentement, puis ralentissent tout en nous serrant à droite, m’obligeant à les dépasser. Je râle un peu du comportement des deux pilotes, mais comprend vite, lorsqu’en les dépassant ils ré accélèrent pour se maintenir à notre niveau et profiter eux aussi du spectacle, debout sur leurs engins. Carole un peu inquiète a quand même descendu légèrement sa jupe qui couvre sa chatte. Ils nous demandent si on s’arrête à la prochaine aire de repos. Carole qui leur affiche un sourire béat derrière ses larges lunettes de soleil, leur confirme que oui. Il nous faut faire de l’essence, mais aussi nous restaurer. La prochaine aire de repos est la bienvenue.     Nous jouissons jusque là d’une belle escorte qui nous accompagne jusqu’aux pompes. Carole n’a même pas besoin de descendre pour faire le plein. L’un de nos deux motards s’en charge tandis que le deuxième assis sur le bord de la portière mate ferme nos cuisses tout en engageant la conversation. — Bonjour les filles !... moi c’est Daniel et mon pote c’est Thomas…bravo!...c’est pas souvent qu’on fait d’aussi belles rencontre…à qui a-t on l’honneur ? — Moi c’est Carole, et elle c’est Julie, merci pour le compliment. C’est la première fois qu’on se fait draguer ainsi par des motards. Vous prenez des risques tout de même ?— Pas plus que vous !.. Par chance il n’ y avait personne, et puis on sait piloter, on fait de la compétition. En tous cas, vous nous avez bien allumés…qu’est que vous faites maintenant ? On peut casser la croûte ensemble ? ça vous dit.— Bonne idée. C’est d’accord.    Thomas a fini de faire le plein, je vais payer pendant que Julie et nos deux motards garent les véhicules. Puis nous prenons nos plateaux repas à la cafétéria et nous installons tous les quatre à une table haute . Daniel s’est assis à côté de Carole, Thomas à côté de moi. Tous les deux sont plus intéressés par nos guiboles que par leur assiette. Cependant la conversation va bon train et ils sont bien obligés de nous regarder dans les yeux. De plus depuis ce matin de bonne heure nous n’avons rien mangé et c’est de bon appétit que nous vidons nos assiettes, tout en les écoutant. C’est au dessert et au café, qu’enfin rassasiées nous pouvons parler des vacances. Quand on leur révèle notre destination Cap d’Agde, Daniel s’exclame, les yeux baissés sur les cuisses de Carole;— d’accord, je comprends, t’es nudiste et t’as déjà la moule à l’air sous ta jupe. On peut revoir ? tout à l’heure, à moto, avec le casque, c’était pas cool pour mâter. Et Carole toujours aussi prompte à exhiber son intimité, tout en tournant son tabouret d’un quart de tour vers Daniel, remonte sa jupette sur son ventre, lui exhibant sa chatte et son petit diamant.— Bingo, t’as gagné, j’ai la moule à l’air…quand une femme porte des bijoux c’est pour les montrer n’est-ce pas ? — Tu as raison, et toi aussi ? m’interroge Thomas en lorgnant mes cuisses après s’être dressé au dessus de la table pour voir la chatte de Carole. — Oui mais avec le short, c’est plus discret. Et me tournant vers lui, j’étire puis écarte le fond du short pour lui exhiber ma chatte duveteuse.    Des deux côtés de la table, nos deux motards posent leurs mains sur nos cuisses, nous laissons faire ; ils nous caressent, nous laissons faire ; et très vite leurs doigts s’avancent sur nos chattes, nous les laissons avec plaisir nous besogner sous l’œil incrédule d’une serveuse qui se pointe pour débarrasser la table en nous demandant avec le sourire ; - Avez-vous fini ? Sa question à double sens, nous incite tout de même à la méfiance et nous abrégeons nos galipettes en sortant tous les quatre, bien décidés à les prolonger ailleurs. Mais où ? Pas beaucoup de coins tranquilles sur une aire d’autoroute.    Thomas nous suggère d’aller tout au fond, dans le parking des bahuts. Entre deux camions on sera tranquilles. Bonne pioche, on en trouve deux tout au bout du parking. Il n’y a personne dans les cabines. Au passage, j’ai récupéré notre voiture que je gare en travers derrière, et je descends avec une grande serviette de bain pour être confortables. Toutes les deux encore chaudes de leurs caresses, on s’allonge sur le dos. Moi j’enlève mon short et Carole leur propose un 69. Daniel et Thomas s’empressent de descendre leur bermuda et de nous chevaucher. Nos deux partenaires reprennent leur voluptueuse exploration de nos intimités tandis que nous les branlons et les suçons avec gourmandise. Avec doigté et délicatesse, de leur langue tendue et de leurs lèvres caressantes, Ils nous font jouir admirablement. Nous, nous suçons leur jonc avec tant d’application qu’ils montent vite au créneau et ne peuvent retenir une rapide et puissante éjaculation qui nous propulsent une bonne rasade de sperme dans la bouche. Ils sont mal à l’aise de leur défaillance, mais nous les rassurons en leur confiant qu’ils nous ont bien fait jouir et que nous savourons leur semence!...    Tandis que nos deux partenaires renfilent déjà leur bermuda, relevant la tête pour déguster et déglutir ma dose de foutre, j’aperçois deux mecs plantés juste devant nous en train de se branler en mâtant nos chattes encore en fièvre de nos proches ébats.— Excusez nous, bafouille le plus âgé, mais la voiture, on peut pas partir et quand on a fait le tour, on est venu voir…et là…vous nous excitez beaucoup…alors voilà ; c’est pour ça qu’on se branle devant vous.— Vous êtes tout excusés, leur confie Carole qui s’est relevée et rapprochée d’eux.— On aimerait bien une petite turlutte, nous aussi !... se hasarde le plus jeune la bite en berne et l’œil suppliant. Carole succombe. Dés qu’il est question de sexe, elle ne dit jamais non, et se tournant vers moi, comme s’il lui fallait une caution.— Qu’en penses-tu Julie, as-tu envie qu’on soulage ces messieurs ?— Bien sur, on va pas les laisser partir comme ça !... Les deux mecs nous regardent inquiets. Ils semblent croire qu’on se fout d’eux. Entre temps nos deux motards rhabillés, casque en main viennent nous saluer et nous glissent un papier avec leur téléphone en ajoutant ;— Nous aussi on va à Cap d’Agde !...on pourrait peut-être bien se revoir la bas, n’est-ce pas ?..— Bonne idée, OK, à bientôt. Et le temps des adieux et d’un baiser langoureux, lorsqu’on se retourne, nos deux routiers ont disparu.— Tant pis pour eux, allons !.. en voiture !...Dommage, j’aurais bien encore goûté une rasade de ce jus d’homme….Et toi ?— Je reconnais que j’y prend goût …tu perfectionnes mon éducation Carole, et je t’en suis reconnaissante. D’ailleurs, tu vois, je ne porte plus de culotte !..     Ainsi, en plein cagnard, sur le coup de quatorze heures. Nous reprenons la route des vacances
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