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Carole à la Laverie

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
J’ai reçu ce matin un SMS de Carole… « RDV au café du marché vers quinze heures ». Pour qu’elle me contacte ainsi, Carole a encore une idée foldingue dont elle a le génie… sûrement un projet insensé d’exhibition !... dans ces cas là, elle souhaite toujours que je l’accompagne.    Je rejoins Carole au café quelle m’a indiqué. Elle est déjà là, assise à la terrasse, en train de se faire draguer par un jeune garçon de café. Penché devant elle, il ne manque rien de sa poitrine dont, Carole, bombant le torse, lui exhibe ses belles rondeurs, les tétons au bord du tissus. Le spectacle rend bavard le jeune garçon, faisant durer le plaisir à coup de balivernes qui ne troublent nullement notre belle garce tout au plaisir de se montrer !..Mon arrivée trouble un peu le garçon qui se redresse avec empressement et me gratifie d’un franc sourire. Dés qu’il a pris les commandes et tourné le dos, brandissant une poche de linge, Carole m’annonce, les yeux pleins de malice : — Regarde l’enseigne de la vitrine à côté et devine ce que nous allons faire dans cette    laverie ?...— OK, je commence à comprendre !..— C’est une vidéo que j’ai vue sur you tube qui m’a donné l’idée. Tu commenceras lapremière, toi qui a toujours une culotte !..— Tu tiens vraiment à ce qu’on se foute à poil dans cette laverie ?... dans ce quartier où iln’y a que des bourges ?..— Justement !...on va se marrer…et s’il y a des mecs, même des vieux…ils serontcontents !..— Décidément, t’es folle !..    Nos cafés avalés, sous l’œil curieux du garçon, nous entrons dans la laverie. Je précise que, comme de nombreuses laveries automatiques, la devanture entièrement vitrée permet aux passants de voir à l’intérieur. Une jeune femme est assise, plongée dans la lecture d’un gros bouquin et ne semble pas nous prêter attention. Comme convenu, tandis que Carole sort de sa poche son linge sale, j’enlève mon chemisier, je dégrafe et descend mon jean…je suis en sous tif et string…la bouquineuse lève un œil mi-amusé, mi-interrogative. Je fais des aller et venus devant les machines et à ce moment un homme, sans doute sexagénaire, entre dans la boutique, le sourire aux lèvres…c’est au moment où il passe derrière Carole que celle –ci l’interpelle :— Pardon Monsieur, pourriez vous me rendre un service ?— Bien sur, avec grand plaisir, que puis-je pour vous ?— Je n’arrive pas à défaire cette chaînette, pourriez-vous la détacher ? — Ça ne devrait pas être compliqué !..    Et s’accroupissant devant Carole, l’homme commence à tripoter la chaînette. Sitôt défaite, la robe s’ouvre et le sexagénaire se retrouve le nez sur la poitrine et l’intimité de Carole offertes à son regard médusé. Il ne peut retenir un :— Si je m’attendais à cela !...— Merci de m’avoir libérée de mes chaînes !..— Mais tout le plaisir est pour moi, chère Madame !.. vous êtes si belle et si désirable, ainsi…affichant un sourire complice.    Et sans le laisser finir son compliment, Carole enlève sa petite robe qu’elle enfourne dans la machine avec ses autres vêtements et rattache autour de la taille la chainette.    La fille au bouquin suit la scène depuis l’entrée du vieux monsieur et semble effarée par la situation. Le monsieur, ébaubi, ne lâche plus des yeux Carole complètement nue dans la boutique. On dirait qu’ils m’ont oubliée !...Parce que j’ai mon sous tif et ma culotte ?.. Tiens, ils vont voir !.. J’enlève le haut. Seul l’homme détourne le regard.    Évidemment, Carole n’arrête pas de gesticuler : buste abaissé devant le hublot, jambes écartées, fesses en l’air, elle offre au regard du monsieur assis derrière, sa moule entrouverte. Puis, la machine en route, elle se hisse dessus, non sans avoir bien écarté les cuisses et s’y assoie, mains appuyées de chaque coté de ses fesses. Elle semble jouir des trépidations de la machine !..    Près de la vitrine, je surveille les passants qui ne semblent pas prêter attention à nos folies. Pourtant, très près de la porte, un peu de côté je vois le garçon de café, les yeux rivés sur Carole. Va-t-il entrer ?    Bingo !.. Il pousse la porte et me jette un regard appuyé, plein de satisfaction !.. mais se dirige tout de suite à coté du sexagénaire et s’assoie face à Carole qui, comme pour accueillir son regard lubrique, écarte un peu plus les cuisses !..    La jeune fille, semble-t-il gênée, s’est replongée dans son bouquin. Le vieux monsieur semble satisfait que son voisin attise les sens de la belle. Coquin, il l’encourage à mater de plus prêt. Le garçon se hasarde à s’accroupir devant le hublot, faisant mine de surveiller le linge qui tourne à l’intérieur, mais son regard est fixé juste au dessus, sur la moule béante de Carole. Celle-ci, toujours provocante, lève les pieds, les pose sur les épaules du garçon, et approchant ses fesses au bord de la machine, ouvre large ses cuisses et lui exhibe toute la beauté de son intimité. Le garçon reste figé !.. C’est la jeune fille au bouquin, visiblement très énervée, qui se levant brusquement et se dirigeant vers la sortie en maugréant qui va interrompre ce moment presque irréel !...    Au moment où sort la grincheuse, entre une femme mature de belle allure et plutôt sexy. Assez grande, quelques rondeurs harmonieuses, elle est vêtue d’une robe noire moulante et courte, des cheveux blanc attachés en chignon sur le haut de la tête. Elle s’approche souriante de Carole, passe son bras autour de ses épaules, lui glisse quelques mots à l’oreille et elles partent toutes deux d’un fou rire prolongé !.. Puis elle vient s’asseoir à côté du vieux monsieur, toujours face à Carole. Je suis surprise de la voir poser sa main sur la braguette gonflée du monsieur.     Maintenant, face au garçon, juste devant et au monsieur, derrière lui, Carole, stimulée par les vibrations du lave linge commence à se toucher,. La dame mature a ouvert la braguette du monsieur, dégagé sa verge, et le suce lentement. Remontant les pieds sur le bord de la machine, de chaque coté de ses fesses, Carole invite le garçon à la sucer : il s’empresse.    Moi, un peu frustrée, je viens m’asseoir à coté du monsieur et écartant mon string, commence aussi à me doigter, non sans infliger à mon voisin quelques coups de coude. Il comprend vite, et de sa main libre, l’autre doigtant la dame qui le suce, il me fait profiter de ses caresses appuyées, glissant facilement plusieurs doigts dans ma grotte inondée de cyprine. Nous profiterons de ces complicités libertines un bon quart d’heure avant qu’un nouveau client ne rentre et nous apostrophe sur un ton courroucé :— Bonjour tout le monde ! je suis le gérant de cette laverie, et j’aimerais qu’on ne s’y croitpas au bordel ; alors, s’il vous plait mesdames, un peu de tenue, rhabillez vous !...    Ainsi se termina notre aventure laverie.    On appris par la suite, autour d’une table dans le café d’à coté, que le monsieur et la dame vivaient en couple, habitant le quartier, mais aussi libertins. Ils nous laissèrent leur carte nous assurant qu’ils avaient été ravis de nous rencontrer, très amusés par notre exhibition et qu’ils comptaient bien nous revoir. Quant à Carole, elle laissa son téléphone au garçon qu’elle n’eut pas le loisir d’apprécier pleinement, se promettant de le revoir, lui aussi.
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