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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Carpe Diem

Chapitre 1

Divers
Nous marchons depuis près de 2 heures maintenant. Les cigales nous accompagnent de leur crissement continu. Il fait chaud ce matin. Nous sommes en août et nous avons décidé, Stéphanie et moi de suivre le GR 49 le long des gorges de l’Artuby jusqu’aux ruines du Castellas.    Je suis à Castellane pour les vacances et j’y ai retrouvé Stéphanie, ma première petite amie, de laquelle je m’étais éloigné quand mes parents déménagèrent sur Grenoble. Quand je dis petite amie, n’y voyez aucune connotation sexuelle : lors de mon départ j’avais 10 ans et elle 8.     Mais j’avais gardé le contact avec elle, et, comme j’avais encore de la famille dans le coin, je la revoyais régulièrement pour les vacances, et avec les premiers émois de la puberté, nous avions exploré toutes les facettes de la sexualité à chaque fois que je revenais la voir.    J’ai maintenant 21 ans et elle 19. Ce n’est plus la petite Stéph’ de mon enfance mais une jolie fille blonde, les cheveux mi-longs, une peau bronzée et de magnifiques yeux bleus qui lui font un très joli visage malgré un nez un poil trop long.    Stéphanie respire la joie de vivre et la simplicité d’une âme heureuse. Sans le vouloir, tous ses gestes sont emprunts d’une forte sensualité et, comme elle marche devant moi, je ne peux détacher mon regard de sa superbe silhouette. Elle est habillée d’un tee-shirt blanc qui moule ses jolis petits seins et d’un short laissant admirer le galbe musclé de ses jambes: ce jour-ci elle est à la croisée des chemins entre la fraîcheur délicate de l’adolescente et la plénitude épanouie de la femme.    Dans le lointain, nous entendons de temps en temps le grondement des pièces d’artillerie du camp militaire de Canjuers, et à chaque fois le refrain lancinant des grillons s’arrête pendant quelques secondes avant de reprendre, la nature rassurée de n’être dérangée que par ces deux bipèdes.    Nous sommes enfin arrivés aux ruines et du promontoire où nous sommes nous dominons l’Artuby et la partie sauvage de ses gorges. Au loin, le panorama superbe se prolonge à l’ouest vers le Canyon du Verdon et à l’est vers ses statues gigantesques et tellement grotesques que la secte du Mandarom a fait édifier sur une colline de l’autre côté de Castellane.    Stéphanie, pas fâchée d’être arrivée au sommet de la colline s’étire voluptueusement et j’ai le bonheur fugace d’admirer sa poitrine qui se gonfle et tire son tee-shirt vers le haut en dénudant son ventre plat.     Elle regarde l’eau verdoyante de la rivière qui coule en contrebas et s’exclame ’Ce serait agréable de pouvoir se baigner dans la rivière. L’eau doit être juste à la bonne température’    Je lui répond ’Si tu veux, pour le retour, on peut pousser jusqu’au petit oratoire qui se trouve au bord de la rivière; il y a une jolie plage et nous pourrons nous baigner’    Stéphanie a rougi ’j’aimerai bien me baigner mais j’ai pas de maillot’.    Qu’elle se baigne nue, je ne demande que ça; néanmoins je la rassure ’y’aura personne là-bas et pis t’auras qu’à te baigner habillée; avec la chaleur qu’il fait tes vêtements seront sec en un quart d’heure!’    C’est ainsi que nous redescendons alors qu’il fait de plus en plus chaud et après une demi-heure de marche, nous rejoignons la rivière que nous longeons jusqu’à la petite chapelle.    Nous nous arrêtons devant la vieille bâtisse presque en ruines, terrassés par ce soleil de plomb. Nous sommes en eau et de grosses gouttes de sueur roulent sur la peau cuivrée de Stéphanie pour aller se perdre à la naissance de ses seins.    Poussant la porte de chêne, elle entre dans l’oratoire pour profiter de la fraîcheur ombrageuse de l’endroit.    A l’intérieur une ouverture donnant sur la rivière laisse filtrer les rayons du soleil et la poussière que nous déplaçons s’envole dans un nuage étincelant comme une myriade de petites étoiles qui virevoltent dans tous les sens.    Stéphanie s’avançant dans cette lumière, je regarde sa silhouette de jeune femme se dessiner, son petit short épousant ses jolies fesses rebondies...     Elle est délicieuse. Elle s’approche de la fenêtre pour admirer l’onde fluide et murmurante, se tenant sur la pointe de ses tennis de toile, faisant à nouveau remonter son tee-shirt au-dessus de son nombril.    J’imagine les caresses du tissu sur sa peau et souhaite de tout c?ur à ce moment être transformé en tee-shirt, son tee-shirt, pour pouvoir épouser au plus prêt son corps souple et chaud. Cette simple vision m’amène à un niveau de désir comme rarement j’en ai connu.    Je m’approche d’elle...    ’Tu as vu comme c’est beau !! Qu’est-ce qu’on est bien ici ’ dit-elle.    Je suis tout contre elle, je sens le parfum de ses cheveux... et je craque : je la prends par la taille, mes lèvres se posent sur sa nuque.    ’Mais qu’est-ce que tu fais ?’    ’Laisse-toi faire...profite du moment présent... Carpe Diem !’    Elle gémit doucement... ma langue lui titille le lobe des oreilles, goûtant la saveur salée de sa transpiration... mes mains se posent sur ses cuisses satinées et remontent pour épouser les formes de ses fesses si joliment galbées. Sous le coton de son petit short, je sens le frémissement de son corps qui se laisse peu à peu emporter par le plaisir de ces sensations nouvelles
    Je sens doucement l’abandon gagner son corps; malgré le paysage enchanteur, ses yeux se ferment et un sourire apréciatif ourle ses lèvres délicates.    Son corps ondule sous mes caresses et je sens que je peux à présent m’enhardir...    J’approche mes lèvres de sa bouche, forçant avec ma langue un passage entre ses dents. Elle me répond avec fougue, sa langue se nouant à la mienne, ses mains me caressant le dos et les fesses.    Me dégageant de son étreinte, j’empoigne son tee-shirt que je fais passer au-dessus de sa tête, dévoilant un joli petit soutien-gorge en coton blanc de sportive, maintenant fermement ses seins en poire. Son petit short, ainsi que le mien et mon tee-shirt suivent le même trajet et nous retrouvons tous les deux armés de nos seuls sous-vêtements dans cette maison de Dieu.    Revenant à son soutien-gorge, en tâtonnant un peu dans son dos, j’arrive à le dégrafer et ses seins libérés peuvent s’épanouir librement.    Enfin, pas si librement puisque immédiatement, je les saisis de mes lèvres et les fait rouler avec ma langue. Sous l’action de cette langue insidieuse, Stéphanie ne peut retenir un gémissement ’Hmmm, c’est bon, continue ’    Les pointes de ses seins se durcissent et je me mets à les sucer comme de gros bonbons tendres, léchant ensuite tous son torse pour assécher les perles de sueur qui le constelle.
    ’C’est marrant, tu me lèche partout pour me sécher, et pourtant, il y a un endroit que tu n’as pas encore visité où je suis de plus en plus mouillée... Tu veux pas t’en occuper ? ’ minaude-t-elle.    ’Chaque chose en son temps; je ne me suis pas encore occupé de tes jambes’ et abandonnant son torse, je commence à donner de petits coups de langues sur le mollet droit de Stéphanie, puis remonte lentement toute la jambe. Quand j’arrive enfin vers l’intérieur de la cuisse, je sens à ses frémissements que Stéphanie espère que je vais enfin m’occuper de la partie plus intime de son anatomie, mais non, je reprends du mollet gauche mon lent travail de séchage.    Enfin j’arrive à nouveau en haut des cuisses de Stéphanie ’Allez, vas-y, continue !’ supplie-t-elle.    Je fais durer le plaisir et entame une lente spirale autour de la petite culotte en coton de mon amie.    Puis je me décide et donne un petit coup de langue sur le coton, juste au niveau des grandes lèvres. C’est vrai, l’étoffe est complètement trempée, et je peux sentir la délicate senteur qui s’en dégage.     ’Tu as raison, il va falloir que j’enlève ta culotte pour sécher ce qu’il y a en dessous’.    Aussitôt dit, aussitôt fait, avec l’aide empressée de Stéphanie, sa culotte vole dans les airs et je peux contempler l’objet des mes attentions.    Du clitoris jusqu’au petit bouton rose de l’anus, Stéphanie est littéralement inondée.    Avec ma langue, je fouaille maintenant son intimité chaude et odorante. J’écarte les lèvres et darde le bout de ma langue le plus loin possible. Ce faisant, mon nez heurte le clitoris de Stéphanie qui a un sursaut. Observant cette réaction, je remonte mes lèvres vers ce bourgeon et m’empresse de le sucer comme un petit phallus.    Je sens aux mouvements de son corps et aux petits gémissements qu’elle pousse que c’est un moment de pure béatitude pour Stéphanie. Tour à tour je bois, lèche, mordille, aspire, mâche,... bref j’administre à Stéphanie mon plus beau cunnilingus, égarant parfois ma langue vers son petit trou, histoire de voir ce qu’elle pense de cette caresse.    Ma langue va et vient, explorant tout, du bourgeon saillant jusqu’au périnée et à l’anus, revenant vers la cavité du vagin dans lequel elle s’enfonce le plus loin possible pour récupérer les premières sécrétions de la jouissance de mon amie; c’est à ce moment que Stéphanie connaît un orgasme ravageur.    Son corps s’arque dans une succession de spasmes puis retombe sur le banc sur laquelle je l’avais allongée, parcouru de frissons délicieux. Tant bien que mal, j’essaye de suivre le mouvement et d’absorber le flot nouveau de fluide vaginal provoqué par cette explosion.    Je me relève soudainement, sentant que je suis moi-même au bord de l’éjaculation : ’Et moi, est-ce que j’ai le droit à quelques caresses aussi ?’    Stéphanie encore complètement dans son trip ne répond pas, mais elle pose doucement sa main sur ma verge qu’elle masse à travers le tissu de mon boxer.    Enfin, reprenant son souffle, elle s’agenouille devant moi, s’apprêtant à baisser mon slip.    ’Tu voudrais pas que l’on continue au bord de l’eau, ça serait encore plus excitant ?’ je lui demande.    ’T’es fou on pourrait nous voir’    ’Qui serait assez dingue pour venir aussi loin par cette chaleur ! Ce serait vachement agréable dans l’eau. Allez, viens !’    Elle cède enfin et, la prenant par la main, je vais m’allonger sur un gros rocher tout lisse qui émerge de l’onde, fort heureusement situé à l’ombre d’un chêne liège. Stéphanie baisse alors mon slip et mon sexe, trop longtemps contenu jaillit tel un missile et pointe vers le ciel d’azur.    Lentement, elle me masturbe, appréciant la finesse de la peau et le grain velouté de ma verge turgescente. Elle approche ses lèvres et telle une sucette lèche cette belle bite de la racine jusqu’au méat, n’oubliant dans cette action aucune surface de peau.    Quelques gouttelettes perlent à l’extrémité de mon sexe, que Stéphanie s’empresse d’avaler, puis lentement, très lentement, torture si délicieuse, elle enfonce ma queue jusqu’aux tréfonds de sa gorge.    La sensation est merveilleuse; à la chaleur écrasante qui règne par cette belle journée d’août vient se mêler la moiteur intense de sa gorge.     Je sens que je vais jouir et je relève lentement la tête de Stéphanie     ’Attends, moins vite, je préfère jouir en toi...’    Je me rallonge sur mon rocher. ’Viens ! Assieds-toi sur moi’.    Stéphanie enjambe mon corps, puis descend lentement positionner son vagin en face de ma verge en érection. Le gland force petit à petit les lèvres et s’enfonce doucement jusqu’à ce que Stéphanie se retrouve totalement emmanchée.    Dieu que c’est bon ! Je me retiens pour ne pas exploser illico, j’essaie de penser à n’importe quoi d’autres qu’aux sensations que je ressens en ce moment.    Stéphanie entame alors un lent travail de va et vient faisant parfois sortir complètement ma verge de son vagin pour mieux s’empaler à nouveau. Elle a un air extatique, complètement perdue dans ses sensations.    J’en profite vicieusement et de ma main droite, je contourne les fesses de ma maîtresse et mon index vient se positionner sur son anus qu’il pénètre lentement. Cette pénétration est grandement facilitée par la sueur qui lubrifie le petit bouton suite au précédent orgasme de Stéphanie.    L’index s’enfonce ainsi de plus en plus profondément, vite rejoint par le majeur.    Estimant le passage près, je soulève doucement Stéphanie, de telle manière que, mon sexe étant complètement sorti du vagin, je n’ai plus qu’à le bouger de quelques millimètres pour le positionner à l’orée de sa nouvelle cible.    Devant l’acquiescement muet de ma compagne, je repose doucement le corps de Stéphanie sur ma queue qui millimètre par millimètre pénètre son anneau serré. Des deux mains, Stéphanie écarte ses fesses, aidant à la pénétration puis se laisse peser totalement sur moi, amenant ma verge au plus profond d’elle.    Je fais coulisser mon sexe dans ce conduit étroit éprouvant intensément la pression du sphincter sur ma verge, qui se retrouve ainsi massée comme elle l’a rarement été. La sensation est fantastique et Stéphanie doit la partager puisque explose alors son second orgasme.    Ne pouvant pas me retenir une seconde de plus, j’éjacule à longs jets chauds dans l’anus de Stéphanie tout resserré par l’orgasme électrisant qu’elle ressent.    Anéantis, nous nous écroulons ensemble sur le rocher et je nous fais lentement glisser dans l’onde mouvante : quelle fraîcheur sur nos corps en fusion ! Par cette canicule, l’eau doit être à près de 30? mais pour nous c’est un délice et allongés sur le fond sablonneux, baignant dans une trentaine de centimètres d’eau, nous nous laissons aller à savourer ces instants de plénitude totale.    ’C’était merveilleux mon trésor. Le pied total. J’adore sentir ma queue serrée dans ton petit cul’.    ’Ouais ! Déjà que j’aime bien ça d’habitude, je dois dire que tu t’es surpassé et j’ai jamais autant apprécié’ répond-elle.    Je lui ferme la bouche d’un long baiser langoureux, serrant fort son corps contre le mien.    Vraiment, je me sens parfaitement bien et ces vacances semblent commencées sous les meilleurs auspices.    Je murmure tout bas : ’Carpe Diem’.
E-mail: anakinsolo75@hotmail.com
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