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Catherine et Charlette

Chapitre 10

Hétéro
Etrangement nous sommes restés silencieux durant tout ce trajet, une atmosphère étrange règne dans l’habitacle, faite de désirs refoulés, d’appréhensions, et d’envie de passer au plus vite à ce qui doit inéluctablement arriver.
Sur l’autoroute, l’atmosphère se détend, c’est Catherine qui prend l’initiative de poser sa main droite sur mon genou.–Moi oui, mais ne me touches pas, sinon je ne réponds de rien, et je risque de nous foutre en l’air.–Ok, ok, je n’ai pas envie d’aller brouter de l’herbe.Sa main monte et descend sur ma cuisse, je regrette d’avoir mis un jean, un short aurait facilité la tâche de Catherine.–Jean, nous allons faire l’amour tous les deux, sans Charlette à côté, tu ne ressens pas une gêne ?–Je vais te paraitre un peu salaud, mais non, Charlette me connait, je lui ai dit ma manière de vivre, elle sait que je suis un jouisseur, je profite de toutes les occasions qui s’offrent à moi. Elle sait pourquoi et l’accepte.–Ok, mais moi je suis un peu en porte à faux. J’ai envie de toi, tu le sais, tout le monde le sait, mais j’aime Charlette de tout mon cœur, je ne veux pas la faire souffrir.–Tu la fais souffrir, c’est vrai, mais elle ne t’en voudra jamais, elle t’aime comme tu l’aimes, et elle veut ton bonheur. Catherine, si tu commences à te poser des questions, il vaut mieux arrêter là, ce ne sera pas possible. Je sais que moi aussi, je fais souffrir Charlette, nous savons que nous ne finirons pas notre vie ensemble, nous nous aimons, mais nous sommes réalistes, nous sommes trop différents, et il y a cette différence d’âge qui ne joue pas en notre faveur.–Je sais, mais je ne peux m’empêcher de penser à elle. Tu sais que mon amour pour elle dépasse la simple amitié, je me pose des questions, et ton apparition n’arrange pas les choses.–Excuses moi de vivre.–Non, ne te fâches pas, simplement, je veux te dire que je sentais quelque chose apparaitre entre Charlette et moi et ta venue à tout changé. Elle est raide dingue de toi, et moi je suis raide dingue d’elle et de toi. Ça ne facilite pas les choses.–Et tu crois qu’elle n’est pas raide dingue de toi ?–Je ne sais plus, depuis ton apparition, je ne la sens plus aussi proche de moi, moins amante, même si nous faisons l’amour régulièrement.–Elle découvre un nouvel univers ou tu as certainement ta place.–Oui, peut-être.Le silence s’installe, pesant, total, chacun dans sa réflexion. Je commence à somnoler lorsque Catherine pose de nouveau sa main sur mon genou.–Il est temps de faire une pause, nous allons boire un café et dormir un petit peu.Je suis étonné, je m’attendais à ce qu’elle me saute dessus à la première occasion. Je la regarde et elle comprend mon étonnement.–Qu’est-ce que tu crois, que je vais te sauter dessus là, tout de suite. Non, rassures toi, je suis une pro, le boulot d’abord, la gaudriole après. Ne t’en fais pas, je ne t’ai pas oublié et je veux te sentir en moi, mais dans d’autre circonstances.–Ok, allons boire un café.Nous allons dans la station pour boire un infecte café et retournons au camion pour nous allonger un moment tout habillé. Deux heures après, Catherine se lève et démarre le camion alors que je suis toujours dans ma couchette.–Tu peux rester allongé.–Pas question, nous avons des choses à nous dire.
–Comme comment va-t-on faire l’amour ensemble si tu ne penses qu’à ton boulot.–Ne t’en fais pas, nous le ferons je peux te l’assurer.Je m’installe à ma place et la route défile devant nous, nous n’arrêtons pas de parler, de tout, mais surtout de Charlette qui hante l’esprit de Catherine.
Vers huit heures, nous arrivons chez le premier client en France, du côté de Fréjus. Catherine décharge seule, elle ne veut pas que j’intervienne, question de principes. Nous repartons pour Vintimille, mais nous sommes obligés de faire une nouvelle pause, cette fois-ci à côté d’un hôtel.–Nous allons pouvoir faire une petite pause dans un vrai lit, ce sont des amis, ils me prêtent une chambre tous les lundis, seulement c’est un lit à deux places.–Et c’est gênant ?–Non, tentant.–Allons-y, je crève d’envie de te faire l’amour.–Moi, je crève d’envie de te sentir en moi.Nous nous dirigeons vers l’hôtel, en entrant, une jolie jeune fille se précipite vers Catherine.–Catherine, comment vas-tu ? Nous t’avons préparé ta chambre, aujourd’hui, c’est la quinze.Elles s’embrassent sur les joues quand apparait un homme d’une bonne cinquantaine, grand, taillé comme un athlète et qui prend Catherine dans ses bras pour lui déposer deux bises sur les joues.–Comme tu nous l’as demandé, on t’a préparé la quinze, il y a un grand lit à deux places.Elle se retourne vers moi, un peu gênée, me sourit et prend ma main.–Allons-y chéri.Je la suis un peu étonné, la chambre est au premier, simple mais très agréable et confortable.–Nous avons deux heures, mais je veux aussi me reposer, je ne veux pas faire la conne, alors, dans une demi-heure, je dors, donnes moi suffisamment de somnifère pour que je puisse récupérer.–Alors comme ça, il n’y a que des chambres à grands lits, et je suis ton chéri.–Ok, mais comment veux-tu que je fasse, simplement le message n’est pas passé entre eux, quant au chéri, il va falloir que tu t’y fasses, je vais constamment t’appeler comme ça devant les collègues.–Ok, ok, viens.Je la prends dans mes bras, je bande comme un âne, rien qu’à la pensée que je vais faire l’amour avec cette petite poupée merveilleusement faite. Elle m’enlace, se met sur la pointe des pieds et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un long baiser, mes mains s’occupent de son tee shirt, le font passer par-dessus sa tête, elles descendent sur la ceinture de jean, la dégrafe, tirent sur le zip et le font descendre. Je m’accroupie pour faire descendre ce bout de tissu le long de ses jambes. J’embrasse son ventre, son mont de vénus et ses lèvres encore serrées. Elle est là, devant moi, nue, me souriant, offerte, attendant que je prenne l’initiative. Je la prends dans mes bras et la dépose sur le lit. En quelques secondes, je suis nu et m’allonge à côté d’elle. Elle se blotti contre moi. Nous nous embrassons tendrement au début pour finir dans un baiser torride, nos mains parcourant le corps de l’autre, je m’attarde un peu sur ses seins, elle sur mon ventre pour finir sur ma bite. Ma main gauche arrive sur son mont de vénus, un doigt titille le clitoris qui émerge des lèvres. Son ventre s’anime, il commence des ondulations significatives, son corps s’anime.–Oui chéri, occupes-toi de moi, de mon corps, je suis là, juste pour jouir avec toi.Mes lèvres quittent les siennes, descendent le long du cou en y déposant des baisers, arrivent sur ses seins, les escaladent, les enveloppent pour donner un coup de langue sur chaque mamelon érigé, elles poursuivent leurs chemin en glissant vers le ventre toujours en déposants des baisers, s’attardent sur le nombril pour l’exciter de la langue, arrivent sur le mont de vénus qui ondule déjà. Elle écarte légèrement les jambes.
–Plus vite chéri, je n’en peux plus d’attendre, je suis au bord de l’explosion.–Doucement chérie, il faut apprécier l’instant.Ma langue passe sur ses lèvres, en évitant le clitoris, elle ruissèle de cyprine, je lui écarte un peu plus les jambes, les passent sur mes épaule et me penche sur son sexe. Je bois son jus d’amour en évitant soigneusement son clitoris. Je sens le corps de Catherine se raidir, elle ondule de plus en plus, son ventre se crispe, sa respiration est plus sifflante, elle me prend la tête dans ses mains et appuie dessus.–Oui, je jouis, je jouis, MMMMMMMM.Ses jambes me serrent le cou, elle se cambre, son corps est secoué dans tous les sens. Puis, elle se détend un petit peu, c’est à ce moment que je pose mes lèvres sur son clitoris.–AAAHHH.Ma langue se déchaine, virevoltant autour de cette petite tige d’amour qui gonfle.–Oui, oui, MMMMMMM.Elle jouit de nouveau aussi intensément. Je sens des spasmes de plaisir la secouer, elle se cambre de nouveau, ma bouche glisse sur ses lèvres, j’introduis ma langue dans sa vulve pour me délecter de ce divin nectar.–Ou lala, je suis naze, c’est tellement bon.Je la redépose sur le lit, lui écarte bien les jambes et ma bouche remonte doucement vers la sienne. Elle dépose des baisers sur tous les centimètres carrés de sa peau. Arrivée aux seins, elle les mordille, ce qui fait réagir Catherine.–Oui, pinces-les, j’aime.Je prends chaque mamelon entre mes doigts et les pince doucement.–Encore, plus fort.J’augmente légèrement la pression de mes doigts, mais je n’aime pas trop faire mal à ma partenaire, même si elle aime ça. Heureusement elle n’en demande pas plus. Tout en lui pinçant les seins, je continu ma remontée pour arriver sur sa bouche. Nous échangeons un brulant baiser, mais elle est trop petite, et ma bite effleure à peine le haut de ses cuisses. Je libère sa bouche pour monter encore un peu et ma verge s’enfonce doucement dans une grotte chaude et humide.–Oui, aimes moi.Dans un premier temps, je fais de lents va et vient, amples, sur toute la longueur de mon sexe, puis j’accélère la cadence tout en maintenant l’amplitude jusqu’à ce que ma queue sorte à chaque va et vient.–Oh oui, oui, je vais jouir, oui, continu.Je la pistonne au maximum de mes possibilités, mais à ce rythme, je ne peux plus tenir et je me vide en elle en de longs jets de sperme.–Oui, en moi, vide-toi, oui, oui, je viens chéri, je viens, je jouis, je jouis, MMMMMM.Elle se raidi de nouveau, m’enlace avec ses bras et me serre à m’en étouffer, je suis sidéré de la force qu’elle a. Nous sommes collés l’un à l’autre, Catherine reprend son souffle comme moi. Je me laisse tomber à côté d’elle, elle se retourne un peu pour se blottir contre moi, une jambe sur mon ventre.–Il faut dormir maintenant, ils nous réveillent dans une heure et demie. Dors bien chéri, moi je suis déjà dans les bras de Morphée.
Elle s’endort en cinq minutes, moi je suis partagé, j’ai adoré caresser ce magnifique corps, j’ai adoré faire l’amour avec elle, mais j’ai un petit pincement au cœur en pensant à Charlette. Je regarde ce corps abandonné sur moi, qui se soulève lentement au rythme de sa respiration, ce minuscule corps apaisé, repu, qui reprend des forces pour conduire un monstre de quarante-quatre tonnes. Instinctivement, ma main se pose dessus et le caresse doucement en l’effleurant à peine. Ca ne la réveille pas, elle reste impassible dans son sommeil. Je fini par m’endormir.
Le téléphone nous réveille, il est l’heure de se lever, Catherine décroche et parle un petit moment, sourit, rassure, et se tourne vers moi. A ma grande stupéfaction, Catherine me tend le combiné, c’est Charlette.–Allo, comment sais-tu qu’on est là ?–Parce que Catherine s’arrête tous les lundis là pour se reposer et c’est moi qui la réveille, tu sais qu’on s’aime, je lui téléphone tous les jours.–Ok, tu vas bien, pas trop angoissée ?–Non, je sais que vous avez fait l’amour, je sais que les deux personnes que j’aime le plus ont passé un très bon moment ensemble, et j’en suis très heureuse.–Oui, mais comment fais-tu ?–Je vous aime tous les deux, et j’aime que les gens que j’aime s’aiment, ma plus grande joie serait d’être avec vous.–Je t’aime Charlette, je t’aime.–Passe une bonne fin de journée, à demain, je t’aime.Je raccroche sous l’œil amusé de Catherine.–Elle est extraordinaire d’amour.–Tu vois, ce n’est pas si compliqué, mais ce qui va être compliqué, c’est de ne pas te sauter dessus si tu restes nue devant moi.–Ok, à la douche, mais l’un après l’autre, si je jouis maintenant, je ne pourrais pas conduire correctement.
Nous prenons une douche l’un après l’autre et mangeons un petit peu. La route défile de nouveau devant nous, monotone, longue. Nous sommes en Italie, le décor change, la circulation est plus dense sur cette autoroute du nord de l’Italie. Vers vingt et une heures, nous nous arrêtons à un restaurant de routiers. Catherine remet en place sa chevelure qu’elle avait attaché, descend du camion et me prend le bras. –Entrons dans l’arène.Quand nous entrons dans le restaurant, tout le monde nous regarde, quelques sifflets par ci par là, lorsqu’un homme se lève et se dirige vers nous. Il doit friser les deux mètre et les cent trente kilos, une bête. Il prend Catherine par les hanches, la soulève et lui fait deux énormes bises sur les joues.–Catherine, quel plaisir, ça fait un bail.–Oui Carlos, au moins deux mois.Il la remet sur terre, elle se tourne vers moi.–Jean, je te présente Carlos, mon premier patron, mon protecteur dans le milieu, tu comprends pourquoi je n’ai jamais d’ennuis avec les autres chauffeurs, ils savent que ça ne pourrait que déclencher la colère de Carlos, et ils évitent.
Il me serre la main, sans la démolir comme je m’y attendais, et nous nous asseyons à sa table. Le repas se passe très bien, une bonne quinzaine de chauffeurs sont venus faire la bise à Catherine, elle est connu comme le loup blanc. Il est vrai qu’être une femme dans ce milieu, ce n’est pas courant, mais en plus elle est minuscule et elle fait le boulot, alors admiration !! Après le repas, nous rejoignons la cabine pour dormir, enfin je le pensais.
Catherine tire les stores de la cabine et se déshabille entièrement, une fois nue, elle s’étend sur le dos sur sa couchette. Elle me regarde en se caressant les seins.–Déshabille-toi et viens me rejoindre.Je m’exécute et m’allonge à côté d’elle, nous sommes à deux dans un petit lit pour une personne, c’est soit l’un sur l’autre, soit l’autre sur l’un, la différence est minime. Je suis contre la paroi, le dos sur une surface froide, mais la main de Catherine sur ma peau, et la mienne sur sa peau me réchauffe assez vite. Je lui titille le clitoris pendant qu’elle me caresse le sexe. Une fois qu’elle juge que je suis suffisamment en forme, elle me fait basculer sur elle, dirige ma bite sur son sexe et je m’enfonce doucement dans sa chatte chaude et déjà très humide.–Oui, en missionnaire, doucement, tendrement.Je lui fais l’amour lentement, en me tenant sur les bras pour ne pas l’écraser tellement nous sommes à l’étroit. Petit à petit, je sens son corps vibrer, elle ferme les yeux, sa respiration devient plus profonde, plus sifflante. Elle se saisie de ses seins et les pinces. Ses hanches ondulent sous mon ventre, et moi aussi je sens monter la jouissance. Mes pieds s’électrisent, mon ventre se durci, mon cœur accélère et tout à coup, mon cerveau m’ordonne de jouir.–Chérie, je jouis, je vais me vider en toi.–Oui, viens, je vais t’accompagner.Je me vide en elle pendant qu’elle explose dans un violent orgasme.–MMMMMMMMMMMMToujours le même son rauque. Nous finissons par nous calmer et je retombe doucement sur elle, elle me prend la bouche pour un long baiser passionné. Nous sommes trop serrés pour pouvoir dormir et je monte dans la couchette du haut.–Bonne nuit chérie.–Je ne rêve pas, c’est la troisième fois que tu m’appelle chérie aujourd’hui, tu m’aimes donc ?–Evidemment que je t’aime, pas comme Charlette, mais je t’aime sinon je ne pourrais pas te faire l’amour, je te baiserais.–J’apprécie la différence. Tu continueras à notre retour.–Oui, mais en privé.–Même devant Charlette ?–Bien sûr.–Bonne nuit chéri, vous êtes tous les deux des anges.Nous finissons par dormir. Le lendemain, direction Milan pour le premier client important. Je passe deux bonnes heures avec lui, lui expliquant le pourquoi et le comment de notre démarche qualité. Comme beaucoup d’italiens du nord, il parle parfaitement le français et le contact est franc et facile. Il me confirme son intention d’augmenter le trafic avec la France et comme nous avons un réseau qui l’intéresse, il est partant. Nous convenons d’une rencontre au siège dans un proche avenir.
Catherine a fait le déchargement et le chargement, elle est prête. Nous partons direction Naples, il faut traverser toute l’Italie, du nord au sud. Le soir, nous arrivons sur une aire d’autoroute ou il y a un hôtel restaurant. Nous devons passer la nuit pour respecter la règlementation. Je n’ai pas trop envie de dormir dans la cabine, et une nuit dans un bon lit me plairais bien.–Ce soir, dodo dans des draps.–Tu veux prendre une chambre.–Oui, ça te déplairait ?–Parce que je viens avec toi ?–Ne fais pas l’idiote, ça te tente ?–Bien sûr, attends-moi là.
Nous descendons de la cabine, Catherine vas voir deux ou trois chauffeurs et revient vers moi.–C’est bon, j’ai trouvé quelqu’un.Elle remonte dans le tracteur, le démarre et le manœuvre de manière à coller la semi à l’autre camion. Une fois les deux semis cul à, cul, elle arrête tout et redescend.–Pourquoi ?–Comme ça les pilleurs de camion ne peuvent pas ouvrir les semis, elles se protègent mutuellement, et comme ce sont des frigos, pas possible de passer par les côtés comme sur des savoyardes.–Ingénieux.Nous allons diner et je prends une chambre avec réveille à six heures du mat. Nous entrons dans une belle chambre confortable et lumineuse. Un grand lit nous accueille.–Ca va nous changer des couchettes.
Catherine se déshabille et va vers la douche. Je la suis rapidement. L’eau ruisselle sur elle, elle se frotte avec du gel. Je rentre sous la douche et m’occupe de la savonner. Evidemment, mes mains s’attardent sur ses seins, son ventre plat, ses fesses et son sexe. Ma bouche suit mes mains partout où elles passent, et fini sur son clitoris que je sens gonfler sous ma langue.–Oui, comme ça, tu vas me faire jouir, je viens, je jouis, je jouis, MMMMMM.Elle se cambre, s’élève sur la pointe des pieds, pose ses mains sur ma tête, son ventre se durci, elle tremble et soudain se détend et se penche sur moi.–Quel pied, je vais bien dormir maintenant.–Ça te suffit ?–Il faut dormir.–Alors au lit.
lagatois34@gmail.com
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