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Catherine et Charlette

Chapitre 11

Hétéro
Nous finissons de nous doucher, et nous jetons sur le lit déjà ouvert. Elle se blotti contre moi, je la caresse, lui dépose des baisers sur tout le corps, insiste sur les seins, le nombril, le ventre et le clitoris. Son ventre monte et descend de plus en plus vite, elle a mis les bras en croix et attend. Je lui écarte les jambes et plonge sur son nid d’amour. Je lèche ses lèvres, titille le clitoris, le mordille, sa respiration s’accélère, elle pose ses mains sur ma tête, appuis et part dans un terrible orgasme. Ses fesses se soulèvent du lit, elle est dure comme du bois. Quand je la sens se détendre un peu, j’abandonne son sexe pour remonter son corps et m’enfoncer d’un seul coup dans sa vulve ruisselante.–Oui, ouiiiiiiiJe m’active aussi profondément que je peux, je fais sortir mon sexe pour l’empaler immédiatement après.–Oui, ouiiiiiJe fini par céder à la jouissance et me vider en elle.–MMMMMMElle jouit encore une fois. Je me couche sur elle, ses mains parcourent mon corps en s’attardant sur mes fesses. Je suis toujours en elle, je sens son vagin me comprimer le sexe et se détendre, elle répète cette action plusieurs fois, ma queue réagit et se durci lentement dans son sexe. Au bout d’une minute, je suis de nouveau raide, je n’en reviens pas. Elle me fait basculer pour se retrouver sur moi. Elle se couche sur moi, son bassin monte et descend, elle me branle avec son sexe. Je pose mes mains sur ses fesses que je malaxe et caresse. Elle a les yeux fermés, le souffle court, elle se concentre sur son sexe. Comme je viens de jouir, je résiste plus longtemps. Elle accélère le mouvement, s’agrippe à mes épaules, me griffe avec ses ongles acérés, se raidi et jouit une nouvelle fois.–MMMMMMM.Je ne résiste pas et m’abandonne à la jouissance. Au bout de quelques minutes, elle glisse sur le côté en me couvrant de baiser.–Je suis si bien, jamais je n’ai jouit aussi souvent aussi rapidement. Je t’aime.–Tu aimes mon sexe, pas moi.–Peut être.–C’est sûr, c’est Charlette que tu aimes d’amour, pas moi.–Tu as peut être raison, mais pour l’instant, jamais je n’ai été aussi bien.–Je crois qu’il faut dormir maintenant.–Ok, bonne nuit mon chéri.–Bonne nuit ma chérie.Elle se blotti contre moi et nous nous endormons rapidement.
Je suis réveillé par une sensation bizarre, Catherine me branle. Elle fait aller et venir sa main doucement sur ma bite raide. Quand elle constate que je suis réveillé, elle me fait signe de me taire avec un doigt devant sa bouche, elle se penche et me gobe la bite. Sa langue me titille le gland, me lèche, elle me mordille doucement. Je suis de plus en plus tendu, je l’attrape par les hanches et la fait se positionner sur moi pour pouvoir lui brouter le minou que je vois couler devant moi, mais elle est vraiment trop petite, et je n’arrive qu’à lui embrasser les fesses. Elle se retourne, me chevauche et se laisse descendre sur mon vit. Son sexe lubrifié m’avale sans difficultés jusqu’à ce que ses fesses touchent mes cuisses. Elle est face à moi, plantée sur mon sexe et monte et descend jusqu’à ce que je sente sa vulve se contracter, j’ai réussi à me retenir jusqu’ici, mais là je craque et me vide en elle.–Oui, je te rejoins, je jouis, MMMMMMM.Toujours ce râle roque. Nous finissons par nous doucher, et une fois la toilette faite, nous descendons à la salle à manger prendre le petit déjeuner. Une demi-heure plus tard, nous sommes de nouveau sur l’autoroute. Nous arrivons chez le second client, Catherine s’occupe de la cargaison pendant que je discute avec le patron qui envisage aussi une visite en France. Tout ce passe bien et en route pour Rome ou nous devrions arriver en fin de journée. Nous avons rendez-vous le lendemain vers dix heures, le patron n’étant pas disponible avant. Nous décidons de nous arrêter un peu avant sur une aire juste à côté d’un hôtel. Nous prenons une chambre, mais je veux faire un bon repas avant, car trois jours en camion m’ont mis sur les rotules, je n’ai pas l’habitude. Catherine se marre en voyant ma tête déconfite.–Tu as raison, il faut que tu te reposes car demain, Luigi va être plus coriace à convaincre. Il a une petite dent contre les transporteurs français, je ne sais pas pourquoi, mais systématiquement il nous contrôle, alors qu’il ne contrôle pratiquement pas les transporteurs italiens.–On verra bien, demain est un autre jour.Nous montons dans la chambre pour nous rafraîchir, petite douche, petite minette qui fait exploser Catherine et nous nous changeons. Elle enfile une jolie robe parme, très moulante et assez courte qui fait merveilleusement ressortir ses formes.
–Pas de sous-vêtements ?–Non, la robe ne s’y prête pas, trop moulante.Elle est magnifique. Quand nous entrons dans la salle à manger, elle ne passe vraiment pas inaperçue. Il y a quelques collègues français et italiens qui la saluent. Nous faisons un très bon repas, le chef est un artiste. Après le repas, nous allons nous promener dans un petit parc juste à côté. C’est bizarre de marcher à côté d’une femme si petite. Mon bras descend pour se poser sur ses épaules, mais elle, quand elle m’enlace, elle fait le tour de ma poitrine. Après une demi-heure de ballade, nous entrons à l’hôtel pour aller nous coucher.
Une fois dans la chambre, je m’approche d’elle, prend le bas de sa robe et tire vers le haut. Je remonte sa robe lentement, découvrant son magnifique corps. Elle se laisse faire en souriant. Quand sa robe est sur une chaise, je la prends mes bras et la soulève pour déposer un baiser sur ses lèvres et l’allonger sur le lit. Elle est là, nue, les jambes légèrement ouvertes laissant apercevoir son clitoris sorti de sa cachette, les bras en croix, à me regarder la regarder. Je bande.–Déshabille-toi et viens me faire l’amour.Je me déshabille et viens m’allonger à sa gauche. Je reste immobile.–C’est toi qui diriges, je suis ton objet sexuel, tu fais ce que tu veux.Elle se redresse, se tourne vers moi et sa main droite vient se saisir de ma bite déjà bien dure. Elle me masturbe lentement, puis se penche et gobe mon sexe. Sa langue me titille le gland mais n’insiste pas. Elle se redresse pour venir se coucher sur moi, je sens son corps épouser le mien, je bande encore plus, ma bite ne demande qu’à s’engouffrer dans cette grotte chaude et mouillée, mais ce n’est pas ce qu’elle veut pour l’instant. Elle ondule sur moi en m’embrassant langoureusement, son sexe est juste à la limite de ma bite raide, et de temps en temps, mon gland frôle ses lèvres humides. Elle remonte encore pour m’offrir ses seins que je lèche et embrasse, puis vient le ventre et enfin son sexe liquéfié. Je me jette sur ses lèvres, les écarte avec ma langue pour m’enfoncer le plus possible dans son vagin. Je la bois, je l’aspire, je la mordille. Elle ondule du bassin et fini par me présenter son clitoris que le suce du bout des lèvres.–Oui, c’est bon.Ma langue se déchaine sur son petit bouton et elle finit par exploser dans un grognement.–MMMMMMMMMMMJe la saisie, la retourne, l’allonge sur le lit et me jette sur elle alors qu’elle est toujours dans son trip. Je me plante d’un seul coup dans son antre et la pistonne violemment.–HhhhooooElle lance son bas ventre contre mon bas ventre, elle accentue mes mouvements, se soulève et repart dans un nouvel orgasme. N’y tenant plus, je me vide en elle.–Oui chéri, joui en moi, vide-toi, je te veux.Au bout d’un long moment, nous sommes de nouveau allongés côte à côte.–J’aime ta manière de faire l’amour, mais je crois que je ne pourrais pas vivre avec un homme toute ma vie. Il faut dormir maintenant, demain tu rencontres Luigi, bonne nuit chéri.–Bonne nuit chérie.Nous nous endormons assez vite. Vers six heures du matin, je suis réveillé par une impression de mouillé. C’est Catherine qui me taille une superbe pipe. Je bande comme un âne.–Ca, c’est un réveil.Elle lève la tête, me sourit, et se tourne vers moi pour m’embrasser. Nous échangeons un baiser torride.–Ne bouge pas et tais-toi.Elle se redresse, me chevauche face à moi, se saisi de ma bite et la dirige vers sa petite rondelle.–Il n’y a que là qu’elle n’est pas entré, il faut qu’elle connaisse, je me suis bien préparée, elle va entrer dans une grotte nikel.Elle se laisse descendre doucement sur mon vit raide comme la justice. Je sens mon gland écarter ses chairs. Le sphincter se détend et laisse libre accès à ma bite conquérante. Elle glisse jusqu’à ce que je sente ses fesses sur mes cuisses.–Oui, c’est bon, une bonne bite dans le cul.Elle s’active, monte et descend, elle se penche légèrement vers moi, m’offrant ses seins à caresser, ce que je m’empresse de faire. Je ne peux les embrasser, elle est trop petite. Elle se couche sur moi, son bassin continuant à monter et descendre. Je ne peux résister longtemps et je me vide en elle.–Oui, joui, joui en moi, j’aime sentir ton jus m’envahir les entrailles.Elle me serre très fort, pose sa main sur son clitoris et fini par jouir à son tour. Elle reste ainsi, allongée sur moi, à attendre que mon sexe la quitte de lui-même, ce qui arrive au bout de quelques minutes.–Heureusement que nous n’avons pas beaucoup de kilomètres à faire, ce n’aurais pas été raisonnable.Elle s’allonge à côté de moi et ferme les yeux. Au bout de cinq minutes, elle dort de nouveau. Nous nous levons vers huit heures, le rendez-vous est vers dix heures et nous sommes qu’à quelques kilomètres de l’entrepôt. Douche, petite minette qu’elle apprécie de plus en plus. Nous arrivons un quart d’heure avant l’heure du rendez-vous, je l’aide un peu à décharger, elle accepte maintenant, et je vais voir Luigi. C’est un homme avenant, assez drôle, parlant parfaitement le français. Nous tombons d’accord assez rapidement, il comprend l’intérêt de notre démarche, ce qu’il pourra en tirer comme bénéfice et l’atmosphère est vite à la détente. Sur ma demande, il m’explique que s’il vérifie les camions français, c’est à cause des risques de vol de marchandise, les camions français étant les plus ciblés par les voleurs, car ils transportent souvent des produits de luxe. Il n’y a aucune animosité vis-à-vis des français.
Nous quittons Rome pour Milan en début d’après-midi, nous dormons dans la cabine, ce qui n’est pas très confortable. Catherine est très fatiguée et dort tout de suite, juste après une minette. Je sens chez elle une ambiguïté, elle aime faire l’amour avec moi, mais ses pensées sont plus orientées vers Charlette que je la soupçonne d’aimer de plus en plus. J’en suis heureux, car je pense que Charlette est vraiment amoureuse de Catherine. Elles se sont téléphoné tous les jours, bien sûr je lui parlais, bien sûr elle me disait qu’elle m’aimait, ce qui est vrai, mais je sentais que je n’étais pas la raison ultime de ses appels. Je ne compte plus les fois où j’ai aimé des femmes qui se sont tournée vers d’autres femmes.
Le jeudi soir, nous sommes à la frontière française et je décide de prendre une chambre dans un hôtel, ras le bol des couchettes inconfortables. Après avoir mangé, et fait une toilette, très approfondie pour elle, nous nous retrouvons dans le lit allongés côte à côte.–C’est notre dernière nuit, tu vas me prendre par tous mes orifices, tu vas me faire jouir plusieurs fois, je veux que cette nuit soit inoubliable pour moi, car ce sera la dernière que je passerais seule avec un homme. J’ai décidé de parler à Charlette, je sais maintenant que c’est elle que j’aime. J’ai envie de vivre avec elle, ce qui implique que nous déménagions si elle accepte, ce ne sera pas supportable chez nous. Aime moi, fais-moi jouir une dernière fois avec une bite. Je veux ressentir cet objet en moi dans mes orifices, sexe, cul, bouche. Pourras-tu jouir dans tous ?–Non, je n’ai plus vingt ans, et même, trois fois de suite, c’est impossible pour moi.–Ok, au moins dans ma bouche, je veux te boire une dernière fois.–Ok, mais il va falloir que tu m’aides, en te masturbant.–Pas de problème.Je la mets sur le dos, je lui caresse le corps en laissant ma main trainer sur sa peau douce. Elle se laisse faire, ma bouche se promène aussi sur son corps, titille les seins, lèche le ventre, titille le nombril pour s’arrêter sur le mont de vénus. Ses mains poussent ma tête sur son sexe, je m’empare de son clitoris pour le mordiller, le sucer, l’aspirer, le titiller avec ma langue et elle part dans un premier orgasme. Je lui écarte les jambes, remonte sur elle et lui plante mon dard dans le sexe. Je la pistonne violemment, ce qui la fait repartir dans un nouvel orgasme, elle n’a pas fini de jouir que je lui soulève les jambes, dégageant son anus permettant à ma bite de se frayer un passage entre ses fesses pour la sodomiser doucement. Je la pistonne de plus en plus fort, faisant sortir ma bite pour la planter encore plus violemment dans son cul, sa main se pose sur son clitoris et elle jouit une nouvelle fois. –Viens, je veux te boire.Elle se redresse, me met sur le dos et vient me gober la bite. Je l’attire vers ma bouche et réussi à lui titiller le clitoris avec le bout de ma langue. Elle me mordille le gland, lèche le méat, enroule sa langue autour de ma tige. Je ne peux résister longtemps, je suis au bord de la jouissance.–Je viens chérie, tu vas pouvoir me boire.Sur ces mots, elle s’active encore plus et je me vide en elle. Elle me boit sans problème, jusqu’à la dernière goutte et fini par jouir une nouvelle et dernière fois sous l’effet de ma langue. Une fois revenue à elle, elle se retourne pour se blottir dans mes bras, sa tête sur mon épaule.–Oui, chéri, tu auras été mon dernier amant, j’ai rarement jouis comme ça, je dirais même jamais, mais même après ça, je sais, je suis sûre que c’est Charlette que j’aime. Je sais que vous êtes ensemble, mais c’est plus fort que moi, il faut que je lui dise ce que je ressens pour elle. J’espère seulement que tu ne m’en voudras pas.–Ne t’en fais pas, j’aime Charlette, et si son bonheur est avec toi, je ferais même tout mon possible pour que vous soyez heureuse ensemble. Je ne ferais jamais rien contre toi.Catherine m’embrasse passionnément.–Merci chéri, merci.Nous restons comme ça sans parler jusqu’à ce que Morphée nous emporte.
Le lendemain, retour vers la société ou nous arrivons vers seize heures. Charlette se précipite vers nous.–Ca va vous deux, vous n’avez pas l’air si fatigués que ça.–Jean a payé l’hôtel quelques fois.–Je vois, ce soir c’est chez moi, et il n’y pas de discussion, tu te libère.–Ok chérie.Catherine décharge son camion aidé par Jean Luc. Je vais voir Jérôme pour lui rendre compte de la tournée et voir avec lui les dates possibles pour cette réunion au siège. Vers dix-huit heures, je quitte la société avec Charlette pour le week-end. Arrivés chez elle, elle m’entraine dans la chambre, me déshabille, se déshabille et se jette sur moi qui commence à bander.–Tu as baisé toute la semaine, mais pas moi, à mon tour de prendre mon pied.Quand elle voit que je suis en forme, elle s’empale sur ma bite raide. J’entre dans une grotte chaude et extrêmement lubrifiée, son sexe me serre, elle attend ça depuis si longtemps, qu’elle jouit en très peu de temps. Je me dégage, l’allonge sur le dos, lui écarte les jambes et m’empare de son sexe avec ma bouche, après deux minutes de sussions, mordillage, léchage elle repart dans un second orgasme encore plus fort, je me couche sur elle et l’empale sur mon vit.–Oui, encore.Je la pistonne comme un diable, ma bite sort et entre à un rythme infernal dans sa vulve et fini par la faire jouir encore une fois, mais cette fois-ci je l’accompagne et me vide en elle.–HHHHHOOOOOJe bascule sur le côté et la fait monter sur moi. Elle reste là, les jambes ouvertes pendantes de chaque côté de mon corps. Elle respire doucement, un sourire sur les lèvres. Au bout de quelques instants, elle se laisse glisser sur le côté, pose sa tête sur mon épaule.–Tu sais, il faut que je te dise quelque chose, je ne sais pas comment tu vas le prendre, mais il faut que tu saches que je t’aime, et que j’adore être avec toi.–Que de précautions.–C’est assez dur à sortir.–Ca ne parlerait pas de Catherine par hasard ?–Pourquoi tu me pose cette question ?–Parce que je sais que tu l’aimes, d’un amour profond, immense, viscéral. Parce que tu lui téléphone tous les jours quand elle n’est pas là. Parce que j’ai senti chez toi ce besoin d’elle.–Décidément, on ne peut rien te cacher.–Déformation professionnelle.–Oui, tu as raison, je l’aime de toute mon âme, et c’est ce voyage avec toi qui m’a fait comprendre la profondeur de mes sentiments pour elle. De vous savoir ensemble, je croyais que j’allais souffrir de ton absence, mais je me suis rendu compte que c’est l’absence de Catherine qui me faisait souffrir le plus. Je l’aime et je veux lui dire, je veux partager ma vie avec elle.–Tu n’as qu’à lui dire ce soir, je peux vous laisser si tu veux.–Pas question, même si je veux vivre avec elle, ce ne sera pas possible ici et je veux encore de toi en moi, même si je sais que ça va finir bientôt, je veux encore en profiter si tu veux de moi évidemment.–Ok pour servir l’alibi.–Allons nous baigner, l’eau est excellente.Nous allons dans la piscine ou nous nous amusons comme des gosses.
Nous sommes rejoints par Catherine vers vingt heures. Je vais lui ouvrir avec Charlette, nus comme des vers. J’ouvre la porte pour tomber sur une ravissante Catherine, en minirobe blanche très moulante assez transparente qui montre plutôt qu’elle ne cache son sublime corps nu.–Bonsoir chérie.Charlette me regarde étonnée.–Oui, après ce qui s’est passé, je crois que je peux l’appeler chérie.–Tu as raison, bonsoir chérie.–Bonsoir vous deux, j’ai amené des pizzas, ce sera plus rapide.–Pose-les dans la cuisine.Elle va dans la cuisine poser les cartons et en ressort nue.–On se baigne ?Nous retournons dans la piscine ou nous batifolons comme des gamins heureux de se retrouver. Catherine et Charlette n’arrêtent pas de s’embrasser pour un oui ou un non. Je sens que c’est ce soir que tout va se jouer, elles sont toutes les deux dans l’angoisse de la réponse de l’autre. Moi, je sais, et je me réjouis à l’avance de ce qui va se passer. Ce soir, ces deux femmes seront les plus heureuses du monde. Au bout d’un moment, nous mangeons les pizzas sur la terrasse et quand tout est débarrassé, nous nous allongeons sur les transats, il fait encore très bon et nous pouvons rester nus sans problème.–Charlette chérie, j’ai quelque chose à te dire.–Moi aussi, mais commence d’abord.–Non, vas-y.–Non, toi.Là, il faut que j’intervienne.–Bon les filles, je sais ce que vous avez à vous dire, alors, je crois que c’est Catherine qui doit parler.Elles me regardent étonnées. Catherine se lance.–Charlette chérie, je viens de passer cinq jours merveilleux, Jean est d’une gentillesse incommensurable, il sait aller au-devant de tes désirs, il m’a faite jouir comme jamais je ne l’avais fait, il faut dire que je ne l’avais pas trop cherché. Mais malgré ça, j’aime une autre personne, je l’aime comme je n’ai jamais aimé, elle occupe toute la place que j’ai dans le cœur. Elle est ma source de vie, ma source d’énergie, ma source de jouvence, elle est ma raison de vivre, elle me donne la volonté de me battre, avec elle, je vois la vie autrement, je veux partager ma vie avec elle. Cette personne, c’est toi ma chérie, je t’aime à en crever.Charlette la regarde, ses yeux se remplissent de larmes.–Mais moi aussi je veux vivre avec toi, je t’aime.
lagatois34@gmail.com
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