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Cauchemar pour ma mère

Chapitre 2

Trash
Avertissement: cette histoire contient des scènes hards, violentes et humiliantes. Pudibond, passe ton chemin et ne lis pas : tu es prévenu (une fois de plus). On ajoutera bien sûr que dans la réalité, tout rapport sexuel non consenti est immoral et illégal et sévèrement condamné par la justice...

    Les hommes étaient dans un état de folie intense en voyant cette bourgeoise aux seins énormes. On leur avait pas menti et ils étaient venus nombreux et il en venait encore et encore. Ma mère , l’objet de leur quolibet et de leur convoitise, était à deux doigts de s’évanouir tant elle était effrayée par le nombre d’homme qui allaient se régaler de son corps. Ils savouraient l’idée de la savoir entre leurs mains et savoir qu’ils allaient la baiser tous sans exception. Ils avaient tous le regard fixé sur la poitrine opulente qui déformait le chemisier. Mais ils n’en n’oubliaient pas ses beaux cheveux noirs, sa bouche gourmande qui avait déjà bien donné du plaisir. Elle essaya de fuir mais elle fut immédiatement saisie et entraînée dans la cave dont l’accès était devenu presque inaccessible tant c’était bondé. Elle fut soulevée par deux hommes qui la maintenait par les bras et en se débattant, perdit ses escarpins à talons hauts. Je vis avec horreur, des mains lui peloter sauvagement les seins à travers le fin tissus du chemiser, son ventre, et oser s’insinuer sous sa minijupe. Un homme parvint à se faufiler puis à agripper les deux pans du superbe chemisier blancs et l’arracher faisant gicler les petits boutons qui tombèrent en grappe sur le sol. Sa mini jupe noire lui fut arrachée ainsi que ses bas résille. Je vis un pervers sortir un couteau et lacérer la mini jupe. Ma mère se débattait comme elle pouvait tandis que des mains arrachèrent son magnifique soutient gorge noir à armature faisant jaillir ses seins monstrueux aux larges aréoles foncés et aux longs tétons. Le regard des hommes s’illuminèrent tandis que déjà, la poitrine maternelle, offerte sans défense, était mise à mal et que son sexe était fouillé par des doigts avides. En quelques secondes, je vis ma propre mère devenir un objet sexuel pour ses salauds sans état d’âme et je ne pourrais rien faire. Ils tiraient sur ses énormes seins comme pour les arracher et les emporter avec eux. On l’embrassait, fouillait son sexe, son anus avec un irrespect abominable. Dire que cette femme il y’a quelques heures, dirigeait une entreprise avec mon père toujours habillée tailleur jupe, souriante et très professionnelle. Dire que cette femme fut aussi une mère exemplaire, attentive et très douce. La voilà réduite à l’état d’objet sexuel, de jouet. Elle arriva enfin au centre de la cave où on l’allongea sur le matelas. Il était sale et je repensais à la pauvre femme et aux innombrables supplices qu’elle avait du subir ici même. Cette femme que j’avais aussi baisé sans scrupule (voir épisode précédent). Déjà, elle ne se défendait plus, consciente que cela ne servirait à rien. Je la vis se détendre et se laisser écarter les cuisses. Un homme se glissa entre et lui lécha la chatte tandis que deux autres sortaient leur sexe et les présentèrent à sa bouche. Elle les suça avec la même dextérité que le plus salope des putes. Les sexes étaient bien gros , vigoureux et voir que c’était elle qui en était l’origine lui donna une légère satisfaction qui atténua un peu sa peur. Alors que les deux hommes venait de gicler sur le visage maternel, j’entendis une voix que je reconnu bien vite :-Alors, les mecs !vous êtes satisfait ? elle vous plait cette pute ?C’était le gars de cet après midi qui m’avait conduit à cette pauvre femme que j’avais baisé. Il me reconnu.-Tu es là, toi ? Mais tu es vrai pervers à regarder ta mère se faire baiser par tout ces mecs.Je n’osais rien dire mais j’étais assez fasciné de voir ma génitrice se faire prendre sauvagement . Les hommes me regardèrent tous.-C’est sa mère et il la regarde se faire violer! il est malade.L’homme me désigna du doigt et cria :-Il a déjà baiser la femme que sa « maman » est venue remplacer et il a pas hésité. C’est un salopard de première. Ma mère, allongée et toujours maintenue solidement sur le matelas leva sa tête souillé et me regarda avec un air terrifié. -Eh oui, espèce de salope de bourgeoise, ton fils, il est pas mieux que nous, il est même pire car en plus il prend son pied à voir sa propre mère se faire mettre. Regarde !Il désigna mon pantalon largement déformé par ma bite dure comme jamais. -C’est lui qui devrait se faire mettre, salopard !L’homme secoua la tête en souriant.-Non, non ! Qu’on ne lui fasse rien. Par contre, vous pouvez faire ce que vous voulez de sa pute de mère, elle est à vous et ne vous retenez pas.Une clameur de satisfaction s’éleva et ma mère, achevée par la révélation de mon acte, se mit à pleurnicher. Elle était détruite de savoir que son propre fils était sans doute plus pervers que ces hommes qui étaient en train d’abuser d’elle. Alors elle s’abandonna à eux. Plus rien ne pouvait plus l’inciter à se défendre. Ils voulaient la prendre : qu’ils la prennent tous. Les hommes qui la maintenaient durent le sentir et lâchèrent prise. Ma mère écarta les cuisses en direction des hommes.-Allez y, faites de moi ce que vous voulez !Alors, ce fut la curée. Les hommes se jetaient sur elle comme des sales hyènes. Ils malmenaient son corps et s’acharnaient sur ses seins gigantesques. Ils étaient malaxés et on s’amusait à tirer sur ses tétons. Sa bouche n’avaient pas de répit et elle n’hésitait plus à avaler les jets de semence. De temps en temps, elle me jetait un coup d’œil tout en se faisant besogner comme une truie, histoire que je n’en perde pas une miette. Elle se vengeait de moi en quelque sorte. Puis d’autres décidèrent de la sodomiser. Elle se mit à quatre patte et tourna son cul vers moi, elle écarta ses fesses pour bien montrer qu’elle désirait plus que nous se faire enculer. Les hommes ne se firent pas attendre et après avoir lubrifié son anus, se hâtèrent de la limer. Je voyais les bites défiler, lui ramoner le conduit culier et gicler en elle. Lorsqu’ils retiraient leurs bites, du sperme dégoulinait de son anus. Des hommes étaient brutaux et c’était à grand coup de hanche qu’ils la baisaient par le trou du cul. Ma mère se retenait tant bien que mal de hurler mais la douleur l’emportait et elle ne put s’empêcher de crier sous les coups de boutoir. D’autres hommes arrivaient. C’était presque l’émeute. Ma mère en prenait plein le cul, elle crut que sa mâchoire allait se décrocher tant les bites se succédaient pour qu’elle les sucent. Ses gros seins devenaient douloureux tant ces idiots les pelotaient violemment. Et ce n’était que le début de son clavaire car les portables fonctionnaient à fond, et ça passait de l’appel. L’idée de se taper une bourgeoise à gros nibards devant son fils faisaient se ramener les mecs. Je savais que ce qu’elle avait subit pendant les vacances n’aurait rien à voir avec ce qui préparait pour elle. Ma bite me faisait mal tant elle était pressée dans mon jean et je n’eu d’autres choix que de la sortir et ça bien sûr, ils le remarquèrent tous. -regardez ! il a sorti sa queue, le salopard ! L’on me poussa violemment au centre de la cave.-Autant qu’il la baise aussi, sa sale pute de mère !Mon sexe était gonflé à bloc, comme jamais et même ma honte ne parvenait à me faire débander. Ma mère, complètement essoufflée et les orifices en feu , se décomposa à la vue de cette scène. Moi, son propre fils, debout devant elle, la bite à l’air en feu et ce, provoqué par le viol de sa propre mère.-Oh, non, pitié, pas ça ! Tu n’as pas honte, mon dieu…Elle pleurnicha. Mais on la saisit à nouveau par les bras et les jambes. Elle fut allongée sur le matelas. -Tu vas la baiser à fond ! devant nous !L’homme écarta alors le sexe gluant de Céline .Les lèvres étaient gonflées et rougies. -Elle est prête là, regarde, tu n’as plus qu’à la prendre et si tu as des remords essaie de te dire que c’est une pute. Il se mit à lui malaxer les seins. -regarde cette paire de nibards ! Tu en verras jamais d’aussi énorme et naturels en plus. -Bah, faites les boire et vous allez voir qu’ils baiseront comme des animaux. Alors ils nous saoulèrent et ce fut rapide car ma mère et moi n’avions pas l’habitude de boire. Ma mère faillit vomir tant ils lui enfournaient d’alcool dans le gosier. Un mélange de bière, de rhum et autre alcool coulait de sa bouche jusque se seins. Sa tête lui tourna et bientôt ce fut mon tour. Deux gars me forcèrent à m’accroupir puis machinalement je mis ma bite entre les deux énormes masses de chairs. Elle s’enfonça tant ses seins étaient immenses. Ma mère , complètement à l’ouest se laissait faire et l’homme pressa lui même les deux énormes globes. Il me branla devant tous le monde et lorsque je jutai, tous le monde se mit à applaudir. Mon foutre jaillit sur son visage et entre ses nibards et se mélangea à l’alcool , la crasse et le sperme des autres. On me retira et m’éjecta de la cave lamentablement afin que le calvaire de Céline continue. Pendant toute la nuit, ils la baisèrent tous et par tout les trous. Elle n’était même plus consciente tant elle était saoule est fatiguée. Ma génitrice n’était plus qu’un vulgaire jouet sexuel. Quand à moi, j’émergeais tôt le lendemain matin, la tête en vrac. Des mecs la finissaient avant de partir puis l’abandonnèrent dans un état épouvantable sur le matelas dégueulasse. Recouverte de sperme et d’alcool. Il faisait encore nuit et je parvins malgré mon écœurement à la porter jusqu’à la voiture. Puis nous rentrâmes et fort heureusement, mon père avait veillé toute la nuit et m’aida à la mettre sous la douche en arrivant. Il fut effaré en voyant sa femme dans un tel état. -Mon dieu, mais que lui ont ils fait, ces salauds !Ma mère émergea à peine sous la douche et cuvait en ronflant légèrement. Puis nous la mime au lit où elle dormit toute l’après midi. Elle parvint à se lever pour prendre des cachets pour la tête puis se recoucha auprès de mon père. Le lendemain, je reçus un appel sur mon portable. C’étais un gars du nom de François : ce fut direct.-Ma mère voudrait te voir !-Ta mère ? je ne la connais pas !-Si, tu l’as baisé m’a t-elle dit.Inutile de mentir, je savais qui était cette femme. Celle que ma mère remplaçait. -Que me veut-elle. Je suis désolé, je n’ai pas pu m’en empêcher et…-Je sais que ta mère remplace la mienne et qu’elle a subit beaucoup d’outrages hier. -Que me veut elle ?-Te revoir !Je repensais alors à ce qui s’était passé et malgré ma honte j’acceptais. Ce que j’ignorais, c’est que cette histoire irait très loin, trop. J’ignorais alors que cela allait se terminer tragiquement pour l’une des deux femmes, Céline ou Amandine et ce pour que l’une puisse vivre…Mefistoh.
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