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Cauchemar ou presque…

Chapitre 1

me suis fait surprendre par mon fils

Inceste
Ho mon dieu, c’est un cauchemar !!! Comment je vais pouvoir lui expliquer tout ça. Comment je vais m’en sortir. Je suis trop conne. J’ai tout foutu en l’air. Et pourquoi Justin est rentré plus tôt ? Pourquoi il n’est pas au lycée ? C’est un cauchemar !!! Et je ne vais pas aller lui demander maintenant… Il est où d’ailleurs ? Dans sa chambre sûrement. Putain j’y crois pas, il a fallut qu’il arrive et fourre son nez dans ma chambre sans crier gare comme d’habitude. Et cet abruti d’Alain qui n’a rien trouvé de mieux que de se retirer et me juter sur les fesses. Mais quel con ! Ca l’excite peut-être de voir son foutre sur mon cul mais Justin en a bien profité. Putain ! Putain ! Putain…. Un vrai cauchemar… Je passe rapidement une culotte, soutif, robe et écoute. Il est où ce satané gamin ? Aucun bruit dans sa chambre… Peut-être en bas. Je descends les escaliers et manque de me ficher en l’air tant mes jambes flageolent. Dans le salon rien, dans la cuisine… Ha le voilà. 
Pourquoi il ne me dit rien ? « Justin ? » Putain mais répond au moins !!! L’ado dans toute sa splendeur, il doit se croire malin là, à siroter son verre de coca sans même me regarder. Mon dieu, il va tout dire à son père, depuis le temps qu’il cherche à nous pourrir la vie, il va tout raconter cet enfoiré. Non, il ne faut pas que je parle comme ça, c’est mon fils. Mais merde à la fin ! Il cherche quoi ? Et moi ? Je cherche quoi ? Un mari riche entrepreneur, une maison splendide et je me fais tronchée par le mec qui s’occupe du jardin. Quel cauchemar !!! 
— Justin ?— Quoi ?
Quoi quoi ? Putain il va en profiter le salaud, il doit jubiler. C’est bien la dernière fois que je me laisse aller avec un autre mec, je le jure mais répond moi !!! D’un autre côté il y a bien des chances que ce soit la dernière fois que je le vois le paysagiste… Je ne vais quand même pas me foutre à genou devant mon gamin non ? 
— Justin… s’il te plait…— Quoi ?— Je ne sais pas moi… dit quelque chose…— Quelque chose.
Ha Ha Ha… très drôle, petit con. Tu te régales hein ? Enfoiré ! Tu dois déjà te faire le film de tout ce que tu vas pouvoir dire à ton père et comment tu vas lui annoncer. Ca doit te faire jouir hein ? Te faire bander ! 
— Justin… je voudrais juste…enfin… — Enfin quoi bordel ? Tu te fais sauter par le jardinier y a quoi à discuter ? — S’il te plait… tu sais ton père… — Quoi mon père ? Mon père il paye cette baraque, tes fringues, ta vie. Il passe ses journées au boulot pendant que toi tu baises… 
— Ho Justin… Je sais que ton père se donne beaucoup de mal mais son boulot monopolise tout son temps et toute son énergie… — Et alors ? Tu veux dire qu’il te baise pas assez ? — Ho non, s’il te plat Justin, je ne veux pas avoir ce genre de discussion avec toi… — Ben fallait y penser avant… Moi je m’en fous de cette discussion, je sais ce que j’ai eu. — … Et… et qu’est- ce que tu comptes faire ? — Quoi t’as peur que je dise à papa qu’il est cocu ? Vue comme tu reçois les ouvriers il doit s’en douter… — Comment ?!? — Tu crois quoi ? Qu’on t’as pas vue avec tes robes à moitié transparente, à rouler du cul dès qu’un mec passe dans le coin ? — Tu exagères !!! C’est la première fois que je… enfin… — Ouai… enfin… comme tu dis… — Alain est le premier ! C’est la seconde fois qu’il venait et… et bien oui j’avoue que ton père ne me touche plus depuis si longtemps que j’en ai eu marre de me soulager toute seule ! C’est un crime ? — Un crime ? J’en sais rien… faudra voir ce que papa en pense… — Ho noooon… Justin… tu… tu vas tout foutre en l’air… — Hola… tout foutre en l’air ? Voilà que tu dis des gros mots maintenant ? — Te paye pas ma tête s’il te plaît ! — Tu te paye bien celle de papa ! — Non ! Ce n’est pas vrai ! J’aime ton père, je l’aime vraiment ! C’est juste que… — Que ? — Que j’étais comme en manque… je te promets que jamais ça se reproduira mais s’il te plaît… — Ce qui est fait est fait ! C’est pas toi qui dis ça tout le temps ? Ou des trucs genre : il faut accepter les conséquences de nos actes… — Ho non Justin, pour l’amour de Dieu… Si tu dis tout à ton père, surtout si tu lui dis que tu nous a vu, il va demander le divorce… tu n’as que seize ans Justin… Tu veux vraiment nous voir nous déchirer ? — J’en sais rien… Tout ce que je sais c’est que tu trompes papa… — S’il te plaît… — Rien du tout… tu es une fieffée salope et c’est tout. 
Il va tout lui dire. Il va tout lui dire ce salopard de gamin. Putain je vis un cauchemar… Pourquoi a- t- il fallut que je laisse ce porc me foutre la main dessus. Je suis une conne, une vraie conne ! Ha il a la part belle cet enfoiré, regardez le sortir de la cuisine comme un grand prince… petit con. Petit con ! Petit con ! Petit con ! Je vais faire quoi maintenant moi… Bon jusque là tout se passe à peu près bien. Pierre est rentré du travail, bon il m’a tout juste fait un rapide smack alors que j’étais entrain de l’enlacer mais passons. Au moins  Justin n’a toujours rien dit. Par contre qu’il arrête de me fixer comme ça. Son père va finir par se douter de quelque chose. Et ce petit sourire narquois… Au moins Pierre est tellement perdu dans le récit de sa journée qu’il n’a pas remarqué son fils. Voilà, le repas est fini, j’ai fini ma vaisselle et… tiens ? Qu’est- ce qu’il fout dans le salon Justin ? Jamais il ne regarde la télé avec nous… Ho non, il ne va quand même pas… Bon, le film est fini, peut- être que le film l’intéressait après tout… 
— Papa, il faut que je te parle— Oui ?
Ho non pas ça !!! S’il te plaît !!! Et puis arrête de sourire alors que tu me vois presque à pleurer. Espèce d’enfoiré, s’il te plaît, tu ne vas pas faire ça. Tu es mon fils, souviens toi quand t’étais petit comme tu aimais me faire des câlins. Je t’en prie Justin, je t’en supplie… 
— Il s’est passé quelque chose aujourd’hui.— Quoi donc ?— Et bien, je ne sais pas trop comment te le dire…
Tu jubiles hein espèce de… espèce de… espèce d’enculé !!! Ne fais pas ça, je t’en conjure !!! Regardes moi ! Regardes comme je t’implore du regard, comment tu peux être indifférent à la détresse de ta propre mère ? Comment peux- tu être indifférent à la vie, aux vies, que tu vas foutre en l’air ? Pour l’amour de Dieu, que cesse ce cauchemar ! 
— Vas y fiston, tu peux tout me dire, tu le sais…— Tu es sûr?— Oui, évidemment.— Je… je vais vous laisser…
Pourquoi j’ai dit ça moi ? Mais je ne peux pas en supporter plus. Justin se régale de me torturer et il sait y mettre les formes l’enfoiré ! Mon fils chéri, pour l’amour de Dieu, ne gâche pas tout… ne gâche pas plus que ce que j’ai déjà fichu en l’air. 
— Non maman, ça te concerne aussi. — Ha. — Bon et bien vas- y Justin. — Et bien tu te souviens de ce contrôle de mathématiques… celui où je devais avoir plus de la moyenne si je voulais continuer à avoir mon ordinateur dans le salon… — Oui. Et ? — Et bien il a été avancé à cet après midi. Mais au lieu de mettre deux heures à le faire, je suis juste resté une demi- heure. Et je suis donc rentré plus tôt. — Je vois… tu t’es encore planté c’est ça ? 
Le saligaud, il a tout prévu !!! Il va faire passer la pilule de son échec en maths, en racontant à son père ce qu’il a vu. Il est décidément intelligent mon fils, intelligent et fourbe ! Il ne me reste plus qu’à faire mes valises maintenant. Qu’est- ce qui t’es arrivé Justin ? Qu’est- ce qui est arrivé au gentil garçon que tu étais ? En tous cas je n’aurais plus à supporter tes sauts d’humeur… 
— Ce n’est pas vraiment ça. Je suis rentré plus tôt à la maison et Delphine m’a appelé. Le prof a corrigé les copies au fur et à mesure et elle a vu que j’avais eu 18 sur 20. Je voulais vous faire la surprise mais je n’ai pas pu résister… — C’est vrai ? Génial mon fils ! Tu vois quand tu veux ! Hein ? Je suis fier de toi ! Tu ne le félicite pas Hélène ? — Hein ? Heu oui bien sur… c’est très bien mon fils. J’espère que ce n’est qu’un début. — C’est vrai ! Ta mère a raison, il faut continuer, mais pour le moment les félicitations s’imposent ! Ta mère est un peu dure mais c’est pour ton bien tu sais. — Ho je sais papa… je le sais. 
Fourbe ? Non… machiavélique. Peut- être a- t- il pris conscience de tout ce qu’il pourrait perdre. Enfin, je m’en fiche, tout est bien qui finit bien comme qui dirait. Mais pourquoi je ne me sens pas soulagée, pourquoi je trouve que sa main autour de ma taille, quand je l’ai embrassé, était un peu trop appuyée, trop présente ? Je n’y crois pas, me voilà au lit avec Pierre qui me fait la morale pour ne pas trop en demander à Justin. Si tu savais ce dont ton fils est capable… Enfin, rien n’a changé, tu lis ton journal économique alors que ta femme est quasi nue à côté de toi… 
— Tu as pensé à préparer ton sac pour ce weekend Justin ? — Hein ? Ha non… j’ai changé mes plans. — Vraiment fiston ? Pourtant après une telle note j’aurai pensé que tu aurais profité de t’amuser avec tes amis. — Non, j’ai un autre contrôle la semaine prochaine et je veux être sûr de le réussir papa. — Et bien ! Quel changement ! Tu me vois très fier de toi mon fils ! Mais prends quand même le temps de t’amuser un peu. Je ne veux pas que tu te transforme en un rat de bouquin sans vie sociale. — T’inquiète pas papa. Pas de risque. Mais je la sens mal cette fête chez Guillaume. Je préfère étudier et me reposer. En plus j’ai un match mercredi et le coach nous  a dit que ce serait pas évident. — Je ne vais pas dire que je ne suis pas contente Justin mais tu te souviens que ton père ne sera pas là ce weekend, il doit aller à Londres, tu ne vas pas t’ennuyer avec ta pauvre mère ? — Non, t’inquiète. Je suis même sûr qu’on va bien s’amuser. — Oui, enfin… tu sais que Marie et Betty viennent ici demain après midi… et je sais que tu ne… — Non non tout va bien… Je resterai surtout dans ma chambre et puis ça me changera des gamines de l’école. De vraies femmes mûres avec des sujets de conversation intéressant, ça devrait ne pas me faire de mal non ? — Oui… oui… si tu le dis… 
Il me fait quoi là ? Il joue à quoi ? Il a peut- être peur que je remette le couvert avec le jardinier… 
— Au fait Pierre, tu sais le paysagiste qui s’occupe du jardin… — Oui… Alain je crois… — Oui, c’est ça… Je n’aime pas trop le travail qu’il fait… Ca te dérange si on en change ? — Ho… Non, pas vraiment, c’est juste que ça fait presque deux ans qu’il s’occupe du terrain. Mais bon, si ça ne te plait pas… — Ne te fais pas de soucis, j’en chercherai un autre moi- même ou peut- être que je m’occuperai moi- même du jardin. Ca n’a pas l’air si compliqué que ça après tout. — Bon, enfin ne te mets pas martel en tête non plus chérie, tu n’es pas aussi robuste qu’un jardinier… — Je pourrai l’aider papa ! Le boulot de jardinier semble avoir des facettes intéressantes… — Des facettes intéressantes ? Mais qui a changé notre fils en un vrai garçon modèle ? Esprit du bien sort de ce corps, je te l’ordonne !!! — Ha hahahaha…. Non c’est juste que ça sera un bon moyen de me défouler et si ça peut aider maman… — Marché conclu dans ce cas. Si tu fais du bon boulot, ta mère et moi verrons comment augmenter ton argent de poche… 
Mais qu’est- ce qu’il se passe ici ? C’est quoi ce bordel ? Et moi qui pensais le cauchemar fini ? Il me prépare quoi le chérubin à son papa ? J’aimerai pouvoir être convaincu par ses élans de bon sentiments mais c’est trop soudain… enfin… Et pourquoi pas après tout. Peut- être que je lui ai vraiment fait peur en lui parlant de divorce. 
Une journée bien tranquille et bien remplie. Bonbonne a préparé le sac de Missié pour son voyage à Londres. Qui me dit qu’il n’a pas une maîtresse à Londres d’ailleurs ? Non… Je m’en rendrai compte et puis la dernière fois que j’ai tenté de lui faire dresser la tente, au bout d’un quart d’heure avec ma bouche j’ai toujours eu droit à une sardine à la place d’un mat de cocagne. Ou alors il se shoot au viagra mais je devrais quand même m’en apercevoir… Tiens j’y ai pas pensé au viagra… faudra qu’on en parle. Bon il me reste une petite heure, je vais m’occuper un peu du jardin avant que le fils prodigue ne revienne. 
Oui oui c’est ça, bonjour maman… Rhoooooo Hélène arrête. C’est ton fils. S’il veut se racheter une conduite tu dois l’épauler. Ce n’est pas ce que tu fais toi aussi ? M’aider à jardiner. Pourquoi pas après tout. Le revoilà… Ca fera pas de mal qu’il s’occupe des sacs d’engrais, j’en ai marre de les trimbaler, c’est lourd cette connerie. Il n’est pas si mal fichu le gamin. Je n’ai pas si mal travaillé tout compte fait. Il doit en faire craquer des minettes. En tous cas j’aimerai autant plutôt que devoir ramasser les kleenex tout collés dans sa chambre. Hein ??? C’est nouveau ça. C’est moi où il m’a touché les fesses ? Arrête Hélène, c’est ton fils ! Et tu es en manque… Alain c’était sympa la première fois mais après… c’est comme tous les mecs. De plus en plus rapide et de moins en moins attentionné. Bon… pense à autre chose ma fille sinon tu ne vas pas t’en sortir. 
Tiens il est encore là. Hier, il devait s’amuser avec son annonce mais pourquoi il veut regarder la télé avec nous ce soir ? Bizarre… Tu me diras, là ou pas, ce n’est pas son père, sur son fauteuil avec le nez dans son journal qui va l’empêcher de se concentrer sur la série. Et il nous propose une tisane pendant la pub. Décidément, il va me falloir m’y faire à ce nouveau fiston. Ca ne devrait pas être trop difficile ceci dit. J’aime autant ces attentions que les grognements qui lui servaient de dialecte les derniers temps… 
Heu… par contre il fait quoi là ? Pourquoi il vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé ? Ben voyons, t’as raison Pierre, ça fait plaisir à voir, la mère et son garçon comme quand il était petit… Ce n’est pas que ce soit totalement faux mais pourquoi je me sens mal à l’aise. Pourquoi ça me gêne d’avoir sa tête sur mes cuisses et sa main dans mon dos ? Ben tiens ! Peut être parce que sa main elle commence à descendre sur mes fesses… C’est une bonne raison pour que ça me gêne ça non ? Quoi que, on dirait qu’il s’assoupit. 
C’est encore un gamin tout compte fait. Il n’a que seize ans après tout. Je me fais des films pour un rien, je crois. C’est juste un gosse qui a voulu jouer au grand et qui a eu peur des conséquences. Enfin sa main je la trouve un peu trop sur mes fesses mais bon, il dort, je suis conne par moments… QUOI ?!? On est samedi matin, il n’est pas neuf heures et mon fils est déjà sous la douche ?!? Holà… le cauchemar deviendrait- il un rêve ? Si j’avais su ! Je me serai faite sautée plus tôt ! Pfffffff je suis conne. En tous cas c’est vrai que ça fait du bien ce nouveau Justin. Bon Pierre est déjà parti, et j’ai du ménage à faire si je ne veux pas que mes amies se moquent de moi. 
— Bonjour Justin, bien matinal… — Bonjour maman… ça te gêne ? — Non du tout, du tout. C’est juste que je n’y étais pas habituée. — Ouch ! Touché ! — Mmmmmh ? Je t’ai préparé ton petit déjeuner. — C’est gentil, merci. — … — Tu crois que je me paye ta tête ? — Non, non excuses moi… je t’aime beaucoup mon chéri, il me faut juste un peu de temps pour me faire à tout ça. — Tout ça quoi ? Moi ou alors l’absence de jardinier ? — Toi et… je vois. Je devrais te remercier pour n’avoir rien dit à ton père. Merci Justin. Je te promets que rien de tout ça n’arrivera de nouveau. — Mouai… si tu le dis. J’ai repensé à tout ça… — Ha? — Oui. A papa qui te touche plus comme tu dis et toi qui est toujours toute seule… — Et alors ? — Ben rien… Je vais juste faire ce que je peux pour y remédier. — Y remédier ? Tu ne devrais pas penser à ce genre de chose. Tu es mon petit garçon et ton nouveau comportement me convient tout à fait. Je suis fière de toi tu sais, alors ne change plus rien et tout ira pour le mieux. — Merci maman, t’inquiètes pas, je ferai rien que je regretterai. — Bien… Je vais faire la lessive, tu as descendu tout ton linge sale ? — Oui, dans la corbeille. 
Et bien… quoi dire si ce n’est : loué soit le seigneur ! Il continue comme ça le fiston et je vais retourner à l’église moi ! Aïe, tu deviens méchante là… Enfin, vu la dose de linge sale, me reste plus qu’à m’y mettre. Sympa tout compte fait le repas en tête à tête avec Justin. Quand il fait l’effort de parler intelligiblement, il n’a pas que des raisonnements débiles. J’avoue que de le voir arriver en boxer m’a un peu troublée, mais après tout, c’est vrai qu’il fait déjà chaud pour la saison. Comme quoi, je ne suis pas une si mauvaise mère tout compte fait. Le résultat n’est pas si mal. M’aider à faire la vaisselle ? Oui pourquoi pas… Et il se souvient même où se trouve le torchon! Merveilleux ! Par contre ça serait bien qu’il arrête de se frotter derrière moi pour prendre les assiettes. Il a beau n’avoir que seize je sens bien que ce n’est pas un briquet qui s’appuie contre mon postérieur. Non mais ça suffit comme ça maintenant ! Il a grossi le briquet là ! Bon voilà, en me mettant un peu de côté. C’est quand même flatteur de ne pas être si repoussante que ça à ses yeux. Mais bon. 
— Ta robe est très jolie maman.— Ha ? Elle n’est pas neuve pourtant mais merci, c’est gentil.— C’est vraie que ça fait un moment que tu ne l’avais pas portée. Je m’excuse d’ailleurs d’avoir critiqué les robes que tu mettais récemment. Elles sont aussi très jolies, peut- être même plus que celle là. — Oui mais comme tu me l’as fait judicieusement remarqué, elles n’étaient pas toujours très décentes. — J’ai dit ça ? Excuse- moi alors. Je suis con. Moi je les trouvais très bien sur toi, juste que j’aimais pas comment les autres te mataient c’est tout. — Et bien vu que je ne compte plus les porter, tu n’auras plus à te plaindre du regard des "autres". — Tu ne vas pas les remettre ?!? Tu devrais… elles te vont vraiment trop bien. Celle là est pas mal mais je kiffe trop la rose avec les boutons devant. — Tu kiffes une de mes robes ? T’es gentil mon poussin mais je crois que je vais quand même reprendre mon ancienne garde- robe. — C’est con. Moi je te fais un compliment, j’essaie d’être gentil et toi tu me refoules comme un malpropre. — Je ne te "refoule" pas mon chéri, c’est juste que je suis surprise de ton soudain intérêt pour ma garde- robe. — Pourquoi ? C’est si difficile que ça à comprendre que j’aime autant te voir la plus belle ?— Non… c’est juste que…— Tu les mettais que pour allumer les ouvriers c’est ça ?— Non ! Non… je… je les remettrai… c’est promis.— Cool.
J’ai bien cru qu’il allait me faire un esclandre maintenant. Fiouuuuuu… D’un peu plus et j’ai bien crû qu’il allait tout envoyer bouler. Pour peu que je fasse ça quand son père est dans les parages et il est bien capable de tout balancer finalement. J’oublie un peu vite que ce n’est qu’un gamin encore. Gérer la frustration ce n’est pas si évident. Et puis il fait des efforts, je devrais me montrer plus conciliante. Mais… 
— Bonjour chéri, je croyais que tu devais travailler toute la journée ?— Oui, c’est ce qui était prévu mais on a tout bouclé ce matin.— Et ton voyage à Londres ?— Reporté… Les clients n’étaient pas tous là…— Et bien tant mieux, on pourra passer un peu de temps ensemble comme ça.— Oui… enfin… je suis désolée mon amour mais je vais quand même devoir travailler à la maison, après le repas. — Ho… je vois… enfin c’est déjà mieux que tu sois là plutôt qu’au bureau. — Oui… Et Justin ?— Il ne devrait pas tarder à descendre… Il finit ses devoirs…— Bien…— Je monte finir de ranger la chambre, installe toi mon chéri… je m’occupe de tout…
Et voilà… là sans être là… enfin, toujours mieux que rien. Bon je vais finir la chambre, changer de tenue et finir de préparer le repas. C’est vrai qu’elle me va bien cette robe, à me regarder comme ça devant le miroir on ne dirait pas que j’ai bientôt trente cinq ans. Bon. Vite que je l’enfile avant que les autres arrivent. Tiens ! J’ai bien cru voir une ombre dans le couloir. Si je fermais la porte de ma chambre aussi… 
— JUSTIN ! — Chut ! Tu vas rameuter tout le quartier ! — Mais qu’est- ce que tu fiches dans ma chambre ?!? — Ben je voulais te demander un truc sur un bouquin et puis quand je t’ai vu tourner et retourner devant la glace j’suis resté québlo. — "Québlo"… je t’en ficherai moi des "québlo"… — Hey y a pas de mal… — Comment ça « y a pas de mal » ? Et si je te reluquais pendant que tu choisis tes habits dans ta chambre ? Hein ? Tu ne serais pas gêné ? — Ben si c’est toi non… — Bon ben moi ça me gêne… — Ouai mais si je fais pas comme ça… — Si tu ne fais pas comme ça quoi ? — Ben je pourrais jamais te voir comme tu es maintenant — J’ai quoi de particulier maintenant ? — Tu portes un string sous ta robe et t’as pas de soutif… — JUSTIN ! — Ben qui c’est vrai non ? — Ce n’est pas le problème… et retire tes mains de mes hanches s’il te plait. Ton père est en bas, il est revenu plus haut, s’il te voyait dans notre chambre il penserait quoi, hein ? — Ben il penserait juste que je t’aide à choisir ta tenue, rien de méchant donc… — Le pire c’est que c’est sûrement ce qu’il penserait mais… Mais arrête Justin ! Regarde dans quel état tu es ! Tu crois vraiment que ton père va croire que tu m’aides à choisir une robe en voyant la bosse dans ton boxer ? — Bah, j’suis sûr que ça le ferait rire de me voir tout excité pour toi… Ca ne te fais pas plaisir de voir que tu me rends tout chose maman ? — Tout chose ? Je ne suis pas certaine que j’appellerai ça comme ça moi. — Et tu dirais comment maman ? Hein tu dirais comment… — Arrête Justin… retire tes mains de ma taille et arrête de te frotter contre mes fesses, c’est… c’est… c’est indécent ! — Indécent ? C’est comme ça que tu dis toi ? Tu me trouves indécent ? — Oui ! Vraiment ! C’est indécent pour un garçon de frotter son… son truc contre les fesses de sa mère ! — Mon truc ? C’est moi ou t’es toute bizarre toi aussi maman ? — Quoi ? Qu’est- ce que tu veux dire ?!? — Juste que t’as du mal à trouver tes mots et que tes tétons sont tout durs sous ta robe… — Ho non Justin, ne fais pas ça !!! Je t’en prie… — Ne fais pas quoi ? — Ca… te frotter contre moi, mettre tes mains sous ma jupe comme ça… — Pourquoi tu n’aimes pas quand ton fiston te fait un câlin ? — Ce n’est pas un câlin… tu es… tu es… et ne me regarde pas comme ça ! — Pourquoi ? Tu es si belle maman… — Mon chéri, il te faut une petite copine, tu verras… — Mais je ne te parle pas de sortir ou d’amour maman… Je t’aime comme une mère tu sais, je te l’ai déjà dit… Là c’est juste que je te trouve terriblement sexy… — Ho non mon chéri… arrête… Enlève tes mains de mon ventre… — Tu les préfères là ? — NON ! Pas sur mes seins !!! — Si tu savais depuis combien de temps je rêve de pouvoir faire ça ’man… de pouvoir mettre mes mains sur tes nichons… il sont si doux, si beaux… — Hooooo Justin… je t’en prie… arrête… — Mais je t’aime maman… je t’aime tellement… tu le sais que je t’aime hein ? — Oui mon chéri… je sais que tu m’aimes… Mais s’il te plait… retourne dans ta chambre… Retire tes mains de ma poitrine… — Juste encore un peu ’man… J’ai rêvé tant de fois de pouvoir le faire… Et puis sentir tes fesses contre ma queue… ho maman si tu savais… — Nooooon… Arrête… je… Tu vas me faire tomber… — Non maman… regarde nous dans le miroir… regarde comme mes mains sont bien sur tes nichons… regarde comme on va bien tous les deux comme ça… — Ho mon garçon… comment peux- tu ? — Mais je t’aime maman, c’est parce que je t’aime… — Voilà… merci Justin, enlève tes mains de sous ma robe maintenant… — Pourquoi ? Pourquoi maman ? Pourquoi tu devrais cacher ce corps merveilleux à ton fils chéri ? Pourquoi je ne pourrais pas te voir dans ce mignon petit string ? — NON ! Fais pas ça ! Rebaisse ma robe ! Arrête ! — Chuuuuuut… Je capte pas pourquoi tu te mets dans un état pareil maman… Tu dis que je dois te laisser et pourtant regarde toi… Tu es toute tremblante, tes tétons sont tout dressé et… et oui… t’es toute humide là…. — HO nooooooooon… pas çaaaaa… — Pas quoi maman ? — Enlève ta main de là… pour l’amour de Dieu… — Mais je ne te fais pas mal maman… j’ai juste ma main sur ton string… et il est tout mouillé… pourquoi il est tout mouillé entre tes jambes ton string maman ? — Justin… je t’en supplie… si ton père… — Mon père est en bas et il doit être entrain de lire le journal, il s’en fout de ce qui se passe ici. — Hooooooo… mais… qu’est- ce que tu fais ? — Je frotte ton clitoris maman… je te branle à travers ton string maman… Tu ne savais pas que c’est comme ça qu’une femme se branle ? — Nnnnnnng… — Comment maman ? Je n’ai pas compris… Tu ne te branles jamais maman ? Jamais tu n’as frotté ton petit bouton d’amour comme ça ? — Siiiiiii… mais arrêtttteeeee… Je… je ferai ce que tu voudras mais arrête ça de suite… — Pourquoi je devrais arrêter maman… et puis j’ai tout ce que je veux là… Ma belle petite maman toute pour moi et en plus je peux lui donner du plaisir… — Ce n’est pas bieeeeeeen… — Pas bien ? Mais c’est que du bonheur ’man… que du plaisir… Regarde comme elle a grandit la tâche maman… même à travers le string j’ai les doigts tout mouillés… — Hooooooo…. Mmmmmph…. C’est… c’est… — Oui maman… laisse toi aller… laisse toi faire… comme ça… — Ho non… nooooon… — Regarde dans la glace comme mes doigts frotte bien ta chatte maman… regarde comme je te branle… — Non… non… noooooooon… — Mais si maman… je te branle maman, et je sais que tu aimes ça… ça te manquait maman… alors vas- y… prends ton pied… — Hoooooooooooo…. — Oui voilà… comme ça… appuie toi contre le miroir… laisse moi faire… laisse moi te faire jouir ma maman d’amour…— Hooooo… arrête… arrête… hooooooo noooooooooon….— Ca va là- haut ? Tu fabrique quoi Hélène ? C’était quoi ce bruit ?— C’était rien Pierre… je… je me suis pris les pieds contre le lit et suis tombée…— Tu t’es fait mal ?— Non… non ça va… reste en bas… j’arrive…— Ben tu vois maman… Je savais que tu aimerais…— Fiche le camp de ma chambre !— Ben fais celle qui est en colère ’man… j’ai bien senti que t’as joui tu sais, et puis si tu n’avais pas aimé, pourquoi aurais tu menti à papa ? Hein ?— Dégage de là !
Ho mon Dieu… c’est un cauchemar… Mon fils m’a presque violée, et je n’ai rien pu dire, rien pu faire… Ho mon Dieu… mais qu’est- ce que je vais devenir ? Et si je dis quoi que ce soit à son père, il va tout raconter. Comment je peux me sortir de là ? Regardez le parler avec son père, quel salaud, et son petit sourire. Un ange hein ? On lui donnerait le bon dieu sans confession. Mais le petit ange il vient de tripoter sa mère, il vient de… Et cet abruti de mari qui le félicite de si bien travailler pour l’école…
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