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Cauchemar ou presque…

Chapitre 3

devenue soumise

Inceste
Justin a passé la première partie de la journée dans sa chambre à faire ses devoirs.J’avoue que s’il y a un bon côté à cette histoire c’est bien qu’il soit redevenu un élève attentif et travailleur. Mais j’ai bien vu la lueur dans ses yeux quand Pierre m’a dit qu’un ami commun à Bernard et lui avait téléphoné. Ils vont se faire une soirée foot devant la télé, la belle idée. Pendant qu’ils vont siroter des bières et invectiver le petit écran, moi je vais devoir supporter son fils. Au moins Marie sera là. Isabelle aussi, mais je ne suis pas certaine que cela m’aide.Mais la lueur dans les yeux de mon fils n’est rien comparé à la flamme qui a explosé quand son père nous a appris que Marie et Isa n’avaient qu’à dormir ici, dans le canapé lit par exemple, lui passerait la nuit chez Bernard.Et dire qu’au lieu de convier son fils à cette soirée, il lui donne le prétexte qu’Isa est sa petite amie pour éviter de devoir suivre son père. Peut- être qu’il veut avoir une soirée intime juste avec Bernard… Zut ! Il m’a vue sourire et me demande pourquoi…Pierre reste quand même une petite demi- heure quand Marie et sa famille arrivent.
Nous échangeons sur divers sujet mais je ne peux m’empêcher d’épier la jeune fille qui reste collée à son père. Les deux hommes nous laissent et Justin propose à Isa de finir l’après-midi dans la piscine. Bien sûr qu’elle accepte mais je suis impatiente de voir comment elle va se tenir en la présence de sa mère. Je propose à Marie de se joindre à eux mais nous restons dans notre coin. Je n’ai pas l’habitude de voir Marie en petite tenue et son bikini lui va à merveille. Elle est une très belle femme, ses rondeurs lui donnent cet aspect charnel qui eut me manquer.Alors qu’Isabelle n’a pas hésité une seconde pour ne garder que la culotte de son maillot, j’observe mon amie. L’absence de marque de bronzage est une preuve suffisante de ses habitudes de bronzage et je lui propose de se mettre aussi à l’aise que sa fille si elle le désire. Pourquoi est- elle si surprise ? Je donne à ce point une image de femme coincée, de grenouille de bénitier ? Ha, mon fils… est- ce que son fils ne va pas en profiter pour se rincer l’œil ? He bien justement !!! Qu’il s’excite sur quelqu’un d’autre que moi, ça me fera des vacances. Et puis si je peux me moquer de son état en présence de sa copine, ça sera toujours ça de pris.Et il ne lui faut pas longtemps pour lorgner sur la poitrine lourde de la mère de sa copine. C’est que ses seins sont magnifiques. Bien sûr ils subissent la loi sadique de la gravité mais ils restent extraordinairement sensuels, entre l’aspect maternel des mamelles nourricières et la concupiscence d’une poitrine qui répond rapidement au petit air frais de la fin d’après-midi, même si cet air frais ne m’est pas vraiment évident. Et la voilà la gourgandine à passer et repasser la crème sur le dos de mon fils. La pauvre Marie, elle ne sait pas trop comment réagir quand sa progéniture ne prend aucune précaution pour masser, ensuite, le devant de mon fils. J’ai presque l’impression qu’elle va lui ôter son maillot de bain mais non, elle sait respecter certaines limites. Tout de même ! Mais moi aussi je suis une garce et je m’en excuse juste après avoir fait remarqué à Marie qu’elles ne semblent, ni elle ni sa fille, avoir de trace de bronzage en bas non plus… Marie sent que je suis un peu nerveuse. Elle tente de me rassurer, ma gentille amie, mais je redoute le reste de la soirée. Vont- ils me refaire le coup du bar tout à l’heure ? Vont- ils trouver pire ? Au moins Marie sait tout ce qu’il y a à savoir et Justin ne pourra pas me pousser à faire ce que je ne veux pas. Mais elle ne compte pas s’arrête en si bon chemin la jeune fille. Bien sûr que sa mère accepte son massage, comment pourrait- elle refuser ? Et mes soupçons se renforcent quand je vois comment mon amie réagit aux caresses de sa fille. Elle lutte la maman, elle combat, se tend, mais je ressens intensément le plaisir qui l’embrase. La douceur des caresses se mêle sûrement à l’impression d’exhibition et entre ses cuisses épaisses je vois poindre le film luisant de son excitation non- dite. Et Isabelle sait exactement ce qu’elle veut. Comment peut- elle être si impudique cette jeune fille e à se secouer comme ça, à aller et venir sur le pubis de sa mère alors qu’elle pétri les seins gonflés de sa propre mère ? Le pauvre Justin, il est dans son coin, excité comme un jeune bouc, il n’ose même pas se caresser mais ne sait pas comment camoufler cette tension dans son bas- ventre.
Et moi ? Hein ? Je peux parler. Mais quand elle s’est attaquée à mon dos, je la sens la tension se nouer. Tu es une garce, je les sens tes mains frôler mon maillot, je les sens tes doigts se faufiler brièvement sous le tissu élastique. Mon haut de maillot ça fait longtemps que tu l’as dégrafé mais c’est le bas que tu convoites. Si nous étions seules je me repaîtrais à nouveau de tes charmes de petite succube. Démone, tu sais comment me rappeler nos ébats sans pour autant te montrer trop impudique. Mais oui j’accepte de me retourner, tu croyais avoir le dessus, hein ? Mais non, je me fiche que mon fils me scrute, me mate. Tu les aimes mes nichons, je le sais, ça doit te coûter de ne pas les embrasser. Regarde- les ! Oui mes tétons bandent pour toi petite salope ! Je suis excitée et j’en profite parce qu’avec ta mère à mes côté tu n’as plus la maîtrise de la situation. Tu peux frotter ton minou sur mon pubis, tu ne m’arracheras rien de plus que ce sourire entendu et ce feu qui illumine mon regard. Marie, ne vois- tu rien ? Comment peux- tu jouer les mères de famille au regard complaisant quand mon fils caresse sans vergogne la cuisse de ta fille ne s’arrêtant que lorsque ses doigts ont bien pris l’empreinte de son conin ? Peut- être voudrais- tu qu’il te fasse de même ? Je suis amère, amère et en colère. Comment Pierre a-t-il pu penser que je préfèrerai passer la soirée avec son obsédé de fils et cette fille aux fesses en feu ? Oui Marie il est en forme mon fils, je le vois bien qu’il ne se cache même plus devant toi alors qu’une bosse déforme son boxer. A s’exhiber ainsi j’aurais autant aimé qu’il conserve son caleçon de bain, mais non, autant que sa fille roule son petit popotin sous notre nez, autant mon fils se délecte de nous faire partager son excitation. Enfin le repas, au moins dans la cuisine je n’ai plus à supporter les attouchements fébriles de ces gosses dévergondés. JUSTIN ! Retourne à ta place, petit saligaud. Oui je saurai porter quatre assiettes et un saladier, et non tes mains sur mes hanches ne m’aideront pas. Et sur mes fesses encore moins ! Marie m’a entendu le reprendre, pourquoi n’as- tu pas l’air soucieux mais plutôt curieux ? Serait- ce un jeu ? Y aurait- il un plan pour la soirée qui m’aurait échappé ? Hoooo, fils indigne, oui je le sens ton sexe frotter contre mes fesses alors que je dois me pencher pour prendre les verres sous le bar. Mais laisse- moi ! Comment ose- t- il ce coquin, passer la fin du repas avec une main sur ma cuisse et une sur celle de sa copine. Tiens ta main, reprend- la. Non tu ne me tripoteras pas devant mon amie. Que tout ceci cesse ! Oui, rentrons, ça ira mieux. Et oui je reste sur le fauteuil. Je vous le laisse le canapé les enfants, vous ne croyez tout de même pas que je vais me vautrer avec vous, non ? Mais où vont- ils s’arrêter ?
— Justin, s’il te plait, un peu de tenue… — Quoi maman ? J’ai rien fait de mal. — Et bien retire tes mains du ventre d’Isabelle, ça t’évitera de faire des bêtises, vous n’êtes pas seuls quand même… — Désolée Hélène… Au fait maman vous avez parlé, Hélène et toi à propos du nudisme, elle semblait curieuse de savoir comment on faisait à la maison. — … — Oui ma puce, mais Hélène a raison, si ça continue vous allez finir par devenir vraiment indécents.
— Je suis désolé Marie, je ne pensais pas que nous pouvions vous choquer. — Justin ! — Non ce n’est rien Hélène, autant profiter de ce moment pour dissiper certains malentendus… Tu sais Justin, Bernard et moi, avons peut- être une vie sexuelle assez active, ce n’est pas pour autant que nous sommes exhibitionnistes ou voyeurs… surtout quand cela concerne notre fille ou un jeune garçon comme toi. — Ouais… je sais… mais ça doit pas vous choquer de voir d’autres personnes se toucher non ? — Non, ça ne me choque pas, je trouve juste ça déplacé quand il ne s’agit pas d’une soirée prévue pour ça… — Et bien si nous on voulait que ce soit une soirée prévue pour ça ? — Dans ce cas-là il faudrait demander l’avis de mon mari et de ton père, Bernard et moi sommes échangistes mais je ne l’ai jamais trompé. — Ben vous avez pourtant baisé avec d’autres mecs non ? — Oui mais il était toujours présent. — Justin ça suffit maintenant ! — Non laisse Hélène, peut- être que si ton fils arrive à comprendre certaines nuances, lui et ses copains pourront saisir la différence entre le libertinage et la perversion. — J’ai jamais dit que vous étiez des pervers ! — Je sais, mais ce que tu sembles penser n’en est pas loin, tu penses que parce que nous sommes échangistes je peux te laisser peloter ma fille sans rien dire ou même apprécier. Et bien je suis désolée mais non, nous ne pratiquons le libertinage qu’avec d’autres adultes consentant, jamais avec des enfants. — Ben je comptais pas vous demander de participer mais si vous vous proposez… — Tu dépasses les limites Justin ! Fais des excuses immédiatement à Marie. Je peux accepter que tu sois curieux et que tu poses des questions mais tu n’as pas à être sarcastique ou injurieux. — Désolée ’man… Pardon Marie, c’est vrai que j’y suis allé un peu fort - Ce n’est pas grave, je me doute que toutes ces hormones ça ne doit pas être si simple à gérer. — Ouais et passer la soirée avec trois superbes femmes ça aide pas à rester de marbre… — Trois superbes femmes c’est gentil… Tu penses donc que ta mère est une superbe femme ? — Ben ouais, plutôt, vous trouvez pas ? — Ho si. Ta maman est une très belle femme, très sexy, je comprends que tu nourrisses pour elles certains désirs… — Heu… J’ai pas trop capté, vous voulez dire quoi ? — Que pour un jeune homme comme toi, il est normal, en vivant auprès d’une femme aussi belle que ta maman, de parfois penser à avoir d’autres rapports que ceux entre un fils et sa mère. — Heu… peut- être… je sais pas - Ne rougis pas, je suis certaine que ma fille aussi, ça peut lui arriver de penser à son père pendant qu’elle se masturbe par exemple… — Non ! Enfin… c’est peut- être arrivé mais… enfin là j’suis pas en train de caresser les cuisses de ma mère… — Oui mais tu le faisais pendant le repas non ? — Je la caressai pas ! J’avais juste ma main sur elle, c’est ma mère après tout ! — Oui, oui bien sûr… Mais d’un autre côté tu ne peux pas nier que de tripoter ma fille devant ta mère n’est pas quelque chose d’anodin… — Je le fais devant vous aussi, vous pensez que je veux coucher avec vous ? — Je n’ai pas dit que tu voulais coucher avec ta mère, mais après tout si c’est ce que tu désires, je trouve intéressant que tu en parles. — Mais non ! — Pourquoi es-tu allé dans la cuisine avec elle tout à l’heure alors ? — Pour l’aider ! — Je ne suis pas certaine que ça l’ait beaucoup aidé tes mains sur ses fesses pour porter les assiettes. — Ouais ben de toute façon ça ne vous regarde pas… — Tu tripotes ma fille je te signale, donc ce que tu fais avec elle me concerne, et ce que tu fais devant moi me concerne aussi… — Ca vous concerne ou ça vous excite ? — Voir des amoureux est toujours émoustillant mais c’est ma fille, Justin, c’est un peu particulier non ? — Ben je sais pas… vous aviez l’air de bien aimer aussi quand elle vous a massé tout à l’heure… — Oui… toi non ? — Moi j’ai bandé terrible ! Vous aussi ? — Non, ce n’est pas vraiment la même chose pour une femme tu sais… Si ta question est : est- ce que le massage de ma fille m’a émoustillée, je te dirai que oui, un petit peu, comme quand un pantalon trop serré frotte contre ton sexe ou quand tu te réveilles avec une érection. C’est, disons, une sorte de réponse physiologique indépendante de notre volonté. — Si j’ai bien compris, c’est purement physiologique quand votre fille a les tétons qui pointent alors que je lui caresse les cuisses ? — Non, tous les deux vous êtes amoureux, c’est autre chose… — Ha ok, et le fait que vous ayez aussi les tétons qui pointent en nous regardant c’est physiologique ? — Non plus, c’est l’incongruité de la scène et le fait de parler de sexe qui m’émoustille un peu. — Donc ça vous excite de voir votre fille se faire tripoter… — Ca excite ma libido de voir un couple de jeunes gens se toucher, mais ma raison, mon instinct de mère sait que je ne dois pas, ce qui fait que je reste à vous regarder sur mon fauteuil au lieu de vous proposer autre chose, comme si vous étiez des adultes. — Ouais je comprends, et toi maman ça t’excite aussi, même si comme t’es ma mère tu vas pas faire quoi que ce soit ? — Heu… peut- être un peu… — Je vois, et pourquoi c’est indécent de le faire alors ? Je veux dire si ça vous donne du plaisir et que de toute façon vous n’allez rien faire de mal, pourquoi c’est indécent ou immoral ou je ne sais quoi ? — Parce que certaines choses ne se font que dans l’intimité, je suppose que tu ne voudrais pas que ton père et ta mère se touchent devant toi non ? — Ben si ça leur va bien je m’en fous… Et puis ça m’apprendra des trucs… — Tu ne trouves pas ça un petit peu pervers ? — Pervers ? Non, je sais que ça ne se fait pas mais je capte pas pourquoi ça ne se fait pas… Si vous préférez je sais qu’il ne faut pas abuser des enfants, je sais qu’il ne faut jamais forcer quelqu’un. Mais là, si je pose ma main sur les seins d’Isa je ne la force en rien et je ne crois pas qu’on puisse vous choquer… — Non mais ça peut nous déranger tu ne crois pas ? Nous n’avons peut- être pas envie que tu continues… — Ben si ça vous excite, ça ne vous dérange pas… — Ca ce n’est pas tout à fait juste, voir un bel homme nu m’excite mais je ne tiens pas à voir n’importe qui dans la rue nu même si ça pouvait m’exciter. — Ouais mais nous ne sommes pas dans la rue, on est entre nous, et pour tout dire vous m’excitez aussi vous savez, et vu que je ne peux sûrement pas vous forcer à quoi que ce soit, je ne vois pas en quoi c’est si mal… — Tout simplement parce que c’est ma fille et que mon éducation ainsi que mes croyance ne s’accordent pas avec le fait que tu n’arrêtes pas de pétrir ses petits seins. — Ca j’ai bien compris, normalement on ne doit pas être excité par ses propres enfants. Mais si l’enfant s’en fiche, au contraire même, et ça vous excite quand même, ce n’est pas plus simple de l’avouer et d’en profiter plutôt que de se cacher derrière des faux prétextes ? — Ce ne sont pas de faux prétextes Justin. Dans l’absolu tu as raison, mieux vaut la franchise et la reconnaissance de nos désirs plutôt que le refoulement et la frustration mais certaines règles existent pour qu’on ne fasse pas tout et n’importe quoi, ce qui ne manquerait pas de blesser quelqu’un… — Ouais, ouais… mais vous parlez toujours dans le cas général et répondez pas sur notre cas précis… J’suis sûr qu’en fait ça vous excite trop de voir votre fille mouiller comme ça mais que vous osez pas le dire parce que ma mère est là. — Justin ! Tu vas trop loin ! Marie et moi avons parlé de nombreuses choses et elle sait qu’elle n’a pas à être gênée devant moi mais nous avons tous nos réserves et notre pudeur contrairement à toi, il semblerait. — Ben moi j’y crois pas qu’elle t’ait tout dit, moi je suis sûr qu’elle adorerait prendre ma place ou nous regarder faire mais qu’elle ose pas parce que toi t’es trop coincée. — Je ne suis pas coincée et très franchement si tu crois qu’en exhibant ton macaroni ridicule tu peux exciter des femmes adultes, il te faudrait peut- être revoir tes ambitions à la baisse. — En tout cas mon macaroni il plait bien à Isa et il était pas si ridicule que ça quand tu l’as vue me sucer, t’était toute rouge et tu voulais que je le cache ! — Ho? — Heu… oui Marie, j’avais évité cette anecdote, pas la peine de rentrer dans les détails… — Détails ? Mort de rire, tu parles d’un détail, tu gueulais comme un putois et t’étais rouge prête à exploser. Moi j’suis sûre que vous êtes toutes les deux trop gênée et que nous dire qu’on est indécent c’est pour vous éviter à vous justifier de votre excitation. — Tu es ignoble mon fils, ignoble et malhonnête… Tu parles de faire des choses de votre plein grès mais on ne l’entend pas Isa, tu crois vraiment que ça ne la gêne pas d’être ainsi triturée devant sa mère ? — Heu… — C’est bon Isa… te prends pas la tête… Ma mère elle a toujours pas capté que c’est pas la première fois que ta mère elle te voit excitée et mouiller. — Et arrêtes de parler si mal ! Tu me fais honte. — Ca je le sais que t’as honte maman, mais moi je sais que ce n’est pas à cause de moi, c’est juste que tu crèves de jalousie et que t’es trop excitée pour oser le reconnaître. — Excitée par quoi ? Et que je sache ça ne fait pas si longtemps que ça que vous sortez ensemble, et Isa a avoué que tu étais le premier, tu crois vraiment que
Marie a vu un tel spectacle auparavant ? Et tu crois vraiment qu’il y en a beaucoup des jeunes porcs comme toi ?
— Ben je sais pas moi, hein Marie ? C’est la première fois que vous voyez votre fille entrain de gémir et de prendre son pied ? — Je te prenais pour un gentil garçon, sensé et sensible, je crois que je me suis lourdement trompée. — Pourquoi ça ? Dites, il faudrait vous mettre d’accord toutes les deux, il faut dire la vérité ou mentir ? Il faut être naturel ou refouler nos pulsions ? Vous n’arrêtez pas de dire des trucs mais quand on applique ce que vous dites on est des méchants… — Tu n’appliques rien du tout, tu détournes nos propos, tu n’entends que ce qui t’arrange - Ben moi je crois plutôt que j’entends tout et aussi ce qui vous dérange maman… — Justin pourquoi te montres- tu si agressif avec ta mère ? — Parce qu’elle capte pas que vous avez déjà fait des trucs avec votre fille et que vous voudriez bien qu’on aille plus loin. Elle aussi elle pense la même chose, j’en suis sûr, je parie que si on y regarde de plus près elle a trempé sa culotte mais elle a tellement de préjugés qu’elle le reconnaîtra jamais. Vous voulez que je vous dise, Isa et moi on est sûrs que vous rêvez toutes les deux de faire des trucs ensembles mais vous êtes tellement coincées par vos règle à la con que vous ’avez jamais osé vous le dire. — JUSTIN ! — … — Vous voulez qu’on joue au jeu de la vérité ? OK… Oui j’ai déjà pensé à ma mère quand je me paluche et oui, faire miauler Isa devant ma mère c’est un kiffe d’enfer. Et vous ? — Heu… — Et bien qui Marie ? Vous n’avez jamais eu envie de bouffer le minou de ma mère ? — JUSTIN ! — Ben laisse- la répondre… — Oui, je l’avoue, ça te va ? Mais ta mère sait déjà que j’aime autant les femmes que les hommes. Et ce n’est pas parce que j’ai déjà fantasmé sur ta mère que ça veut dire que je vais lui sauter dessus. — Ok, et toi maman ? Dis-moi que t’a jamais pensé à téter les nichons de ta copine… — Justin ! Tu… — Tu ne réponds pas… — Je n’ai pas à le faire, mais qu’est- ce que tu crois… que tu - Je crois juste que t’as trop honte de tes désirs pour les avouer sainement et de toute façon vu comme tu réagis je crois que la réponse est évidente… — Non ! — Ce n’est pas grave Hélène… Comme je l’ai dit… — Ouais, ouais… comme vous l’avez dit c’est parce que vous en crevez d’envie que vous allez sauter le pas et vous donner du bon temps toutes les deux et que vous allez rester comme deux gourdes à vous regarder dans le blanc des yeux. — Et tu voudrais quoi Justin, que ta mère et moi on se désape et qu’on vous offre un show à se rouler par terre pour satisfaire ta petite libido de gamin shooté aux hormones ? — Très franchement, allez dans sa chambre si vous préférez. Oui ça me ferait trop kiffer de vous voir vous gouiner mais tant que vous prenez votre pied, et surtout toi maman, le reste je m’en carre grave. — Je… — Justin c’est… — Ho hé arrêtez, vous voulez faire croire à qui que vous en mourrez pas d’envie, ça fait deux minutes que j’astique le clito d’Isa et aucune de vous deux n’a encore dit quoi que ce soit. Si ça vous dérangeais autant on serait plus sur le canapé depuis un moment… hein mon bébé… — Mmmmmmmmh - Isa s’il te plait… — Désolée maman mais… nnnnnngh… il fait ça trop bien… presque aussi bien que toiiiiiiiiii…… — Pardon ?!? — Ayez ? Tu commences à capter ’man ? — Marie… tu… Tu as déjà eu des rapports sexuels avec ta fille ?!? — Oui Hélène… je suis désolée de n’en avoir pas parlé mais… enfin comprends moi…
C’est un crime aux yeux de la loi, mais je te promets que jamais elle n’a été forcée, c’est elle qui m’a léchée et doigtée la première. Mon seul tort et de n’avoir pas dit non de suite…
— Et je suppose que Bernard aussi il s’est occupé de ta fille… — C’est arrivé, oui, une ou deux fois… Mais… tu voulais que je fasse quoi quand elle est montée sur son sexe et s’est empalée toute seule dessus ? — Tu n’avais qu’à… — Qu’à quoi maman ? T’as fait quoi toi hier hein ? Quand papa étais sur le fauteuil et que j’avais mes doigts dans ta chatte ? — Je n’ai jamais voulu ce qui est arrivé ! Tu m’as forcée ! Tu as profité de… — J’ai profité de quoi quand papa s’est réveillé et que tu as posé ta main sur ma queue pour pas qu’il voit que je bande ? C’est moi qui te l’ai ordonné ? Je t’ai faites chantée ? Non, tu l’as fait toute seule et tu n’as pas enlevé ta main quand t’as sentie que je me frotté dedans… — Tais- toi ! Comment oses- tu devant… — Devant qui maman ? Vous partagez les mêmes envies mais vous avez toujours été trop connes pour vous l’avouer… — Justin ! Mmmmmmmmph… s’te plait…. — Oui, désolée bébé, Scusez moi, j’ai pas le droit de dire que vous êtes conne, mais avouez que vous y mettez pas du votre non plus ! — Tu ne comprends rien ! Tu… — Je comprends rien ? Ben vas- y… montre nous comme tu n’es pas excitée, je ferme les yeux si tu veux pas que je vois, mais je suis prêt à parier tout ce que tu veux que tu mouilles comme une cochonne. C’est simple, si tu prouves que tu mouilles pas, non seulement je laisse Isa tranquille ce soir mais ce jusqu’à ma majorité, plus de filles, plus de sortie, que l’école et le sport. Je te le jure, montre- nous que tu ne mouilles pas et je deviens le plus parfait des fils ! — Tu es un monstre ! — J’ai raison ! — Et alors ?!? — Et alors ? Ben vas- y, me prends pas la tête et laisse toi aller. Perso entre le jardinier et Marie, il y a pas photo, même papa il pourrait rien dire s’il savait que tu avais couché avec Marie, ptet même que ça pourrait le réveiller s’il vous voyez toutes les deux… — Justin tu exagères… j’exagère rien du tout, vous rêvez de pouvoir vous caresser pour jouir en même temps que votre fille et vous n’osez même pas rêver que ma mère vous le fasse. — Quand bien même ce n’est pas une raison pour être si agressif avec ta mère. — Ok, ben écoutez-vous faites ce que vous voulez… mais moi j’ai pas l’intention de gâcher ma soirée parce que ma mère est trop prude pour enfin se laisser aller… — Justin, veux- tu te rhabiller ! — Isa… qu’est- ce que tu fais ? — Non ’man… Y en a marre des détours, si c’est à nous de vous montrer le chemin, ben y a pas de blème… — Maman… Puisqu’elle le sait maintenant, j’ai trop envie… si tu veux je te lèche pendant qu’il me baise… — JUSTIN ! — ISABELLE !
Peine perdu… Mon Salop de fils est déjà derrière sa garce de copine et sa langue farfouille tout son arrière train. Marie est dans sous ses états, la pauvre, en fin de compte elle devrait être la plus ouverte à ce genre d’expérience mais elle a cet air hébété, sa bouche ouverte, comme si tout son monde venait de voler en éclat. Et moi ? Moi je suis assise, penchée en avant, me demandant si je dois quitter la pièce, me jeter sur mon fils pour lui apprendre ce qu’une faible femme peut faire ou… Et puis zut ! Non… Et puis merde ! Ils veulent du spectacle, ils veulent se rouler dans la fange, ok… mais qu’ils ne comptent pas sur moi pour rester dans mon coin. J’en ai marre ! Marre ! Marre ! Elle ne comprend rien mon amie, plus rien du tout. Et oui Marie, c’est bien moi qui m’approche de toi et prend ta main. Laissons à leurs ébats de gamin, tu as des choses à m’apprendre. Nous n’arriverons pas à leur faire entendre raison. Alors viens mon amie, montons à l’étage et dans ma chambre tu m’expliqueras tout ce que jusque-là tu m’as caché. Ne dis rien… regardes moi, oui je suis toujours ton amie, mais… mais ce petit con qui me sert de fils a raison. Tu en as envie et j’en ai envie. Alors pendant qu’ils sont occupés en bas montre- moi. Oui voilà, retire ton chemisier. Laisse- moi caresser cette poitrine qui m’a toujours impressionnée, attirée. Qu’elle est douce, qu’elle est ferme aussi. Laisse mon le dégrafé ce soutien- gorge qui te comprime. Oh mon Dieu, qu’elle est belle, que tu es belle. Qu’ils sont lourds et pourtant si sensibles. Déjà tes tétons se rebiffent contre me doigts et ta respiration se fait plus rauque. Oui, chuuuuut… Laisse- moi faire, j’ai tant à découvrir. Je suis si… excitée. Ta fille m’a initiée aux plaisirs féminins mais toi, toi tu es une femme. Mes doigts ne se lassent pas de courir sur ta peau, de suivre les contours de tes aréoles. Elles sont si larges, si attendrissantes quand, comme ça, elles se fripent d’excitation. Mmmmmh…. Et leur goût, sucré et salé à la fois. Mais tu transpires, tu transpires d’impatience, de désir. Oh oui laisse- moi les sucer encore, laisse- moi lécher toute ta poitrine. M’amuser avec chacun de tes seins, de tes nichons. Mmmmh… quel régale, comment je peux autant m’enflammer alors que je tète les nichons de ma meilleure amie. Ta respiration, tes halètements me rendent folle. Et ton goût, ton parfum, un vrai aphrodisiaque.
Comment ai- je pu me retenir jusque-là, ma langue ne se rassasie pas de tes seins. J’en veux encore, j’en veux plus. Ho ouiiiii… ton ventre, ton ventre rond, ton ventre lourd. Ce bourrelet qui ceint ta taille d’un tendre coussin. Cette chaleur, quelle extraordinaire chaleur. Je sens la vie, je sens l’envie. Je te sens te contracter quand ma langue joue avec ton nombril, je te sens frémir quand je l’avale et le suce. Et comme tu frissonnes dès que mes lèvres effleurent la lisière de ta culotte. Je te croyais effrontée et impudique, je te découvre chatouilleuse et troublée à chaque nouvelle parcelle de peau que j’atteins. Non laisse le encore, ce dernière rempart qui te préserve. Laisse- moi te guider sur le lit, laisse- moi découvrir ces cuisses comme j’ai pu me repaître de ton ventre. Ces masses rondes et laiteuses m’enserrent, m’emprisonnent. Je me perds en elles, me prélasse. Jusqu’à tes pieds je te dévore, je te mange. Quelle étrange sensation que de retourner ton regard alors que je suce chacun de tes orteils. Ton sourire, ma chaleur… Oh Mon Dieu. Laisse- moi t’embrasser, longuement et fougueusement, tendrement et timidement. Nous langues emmêlées, nos corps pressés. Non ne retiens pas mon visage, je n’en ai pas fini avec toi. Non, je ne briserai notre baiser que pour t’en donner un autre, sur d’autres lèvres. Où est- donc cette assurance, Marie, maintenant que tu caches ton visage alors que je te débarrasse de ta culotte. Elle est où cette expérience si supérieur maintenant que tu resserre tes cuisses pour me cacher cette intimité presque imberbe. Laisse- moi les retrouver du bout de ma langue dardée, laisse- moi te questionner sur cette bouche qui suinte ton désir. Hooooo mon amie, quel est donc ce feu qui me consume, cette fièvre moi qui n’est jamais osé poser un œil sur une autre femme. C’est qui cette chienne à quatre pattes entre tes cuisses qui te lape, te lèche, étend sa bave sur ton pubis et ton entre- jambe ? Qui est cette femme qui emplit la chambre des bruits mouillés de sa langue fouillant ta fente ? Que m’as- tu fait Marie ? Comment m’as- tu transformée en cette furie qui frotte son visage sur toute cette part de toi que je n’ai jamais pu croiser du regard ? Tes sécrétions couvre tout mon visage, voile ma raison. Je te mange, je te bois, je m’enivre à ta source.
Chacune de tes réaction me guide, me dis où je dois allez, ce que je dois faire. Ton corps m’explique ce que tu aimes, ce que tu veux. J’en oublie la connaissance de mon corps de femme pour tout apprendre du tien. Nous ne sommes plus que gémissements, soupires, râles. Au bout de ma langue tu te contracte et te laisse aller. Je m’enfonce dans ton antre, revient sur ton clitoris. Je te baise de ce sexe sorti de ma bouche et te caresse ensuite. Tu montes plus haut, tu montes plus fort. De tes cuisses à ton pubis, partout j’enfouis mon visage, mon nez, ma langue. Partout je me frotte et m’insinue jusqu’à me délecter du parfum acre du sillon serré de tes fesses. Que j’aime ces gémissements quand, enfin j’appuie sur ce point qui te fait réagir. Que c’est bon d’oublier mes tabous futiles, maintenant qu’il n’existe plus que ton plaisir et le mien. Je m’acharne sur toi, je m’entête. Je veux te faire exploser, je veux te faire jouir. Je veux te montrer que je suis capable de m’abandonner et t’emmener là où j’ai toujours eu peur d’aller. Je suis une femme, une mère, une amie, et je te fais crier, hurler ton plaisir. Tu m’as emmenée dans cette parenthèse étrange de ma vie si ordonnée pour que je prenne le temps de te donner un plaisir que je n’ai jamais reçu. Je t’entends me dire combien tu m’aimes. Je t’entends me remercier, t’excuser. Et à contre cœur je quitte les parfums de ton intimité pour t’embrasser de nouveau et partager cette union que j’imaginais contre nature. Tes mains se pressent pour, à mon tour, me déshabiller. Nos langues ne se quittent plus pendant que un à un mes vêtements glissent, s’envolent. J’ai l’impression d’être une enfant contre ce corps si chaud, si fort comparé au mien. Nos bouches collées, nos seins unis, nos ventre qui se cherchent, nos intimités détrempées, nos jambes emmêlées. Nous ne formons plus qu’une, une fusion de nos corps, de nos désirs. Nous sommes une liane folle qui s’enroule autour de sa sœur. Tu t’agrippe, je me contracte, tu t’agites, je me fonds, tu te frottes, je coulisse.

Tes mains me pressent contre ton corps, j’ai envie d’être en toi, que nos corps fusionne. Que ton baiser est sucré, sauvage. Tu me pétris, me malaxes. Tes jambes me retiennent, tes lèvres m’emprisonnent. Tes yeux cherchent mon regard et, enfin, j’ose ce contact immoral. Tu me fais l’amour, nos corps s’agitent, nos corps s’imbriquent. Un même mouvement nous anime et nous fait rouler l’une contre l’autre, l’une dans l’autre. Je suis en feu, qu’es- tu en train de me faire mon amie ? Je brûle, aucune autre façon de le dire, entre mes jambes est né un brasier qui enflamme maintenant tout mon corps. De mon ventre, de nouvelles sensations irradient et me soulève. Toi sur moi, moi sur toi, nous roulons sans fin comme dans un près magique aux fleurs de jouissance. Tes mains me guident, me contrôlent. Je n’ai plus de raison, plus de volonté. Tu as fait de moi un jouet. Je croyais initier quelque chose de nouveau mais me voilà élève et toi ma maîtresse.
Ce que ta fille m’avait fait entrevoir tu me le fait maintenant pleinement éprouver. Si elle avait pour elle le parfum de la jeunesse, de l’interdit, de la découverte. Tu as, toi, la fureur et la force du plaisir fougueux qui m’emmène plus haut, toujours plus haut. Mon amie, mon amante, mon amour, tous ces mots je te les livre entre mes soupires et mes gémissements. Ta main s’immisce entre nos corps et s’enfonce à la source de ce feu étrange. Entre tes doigts tu recueilles mon clitoris et je plante mes mains dans ton dos. Tu me pénètre sans pudeur, sans gêne, et je mords ton épaule. A ton tour tu t’acharnes, tu combats mes dernières résistances instinctives et je crie ce plaisir incroyable qui s’empare de mon être. Tu ralentis pour me laisser savourer chacune de ces nouvelles sensations mais tes caresses expertes m’emportent vers cette explosion que je désire plus que tout. Couverte de tes mains, de ta bouche, de ta peau, je n’ai plus de force, plus aucune résistance et je me laisse enlever vers ce paradis dissolu qu’une autre femme, toi mon amie, m’offre sans réserve. Ma tête roule en tous sens et dans un dernier moment lucide j’aperçois mon fils, mon enfant nos contempler. J’aperçois le doux regard de ta fille, ce même regard fiévreux qui m’avait hypnotisé. Regarde- moi Justin ! Regarde- Moi mon fils ! Regarde ta mère consumée par le plaisir inavouable qu’une autre femme me donne. Entends comme je grogne, entends que je pleure. Tu m’as, peu à peu, amenée à me livrer sans plus de retenue. Alors regarde la, ta mère, qui s’arque- boute pour plus encore s’empaler sur ces doigts qui me baise ! Regarde- la, cette femme qui t’a portée dans son ventre et maintenant s’agite sous les caresses de son amie. Regarde- moi ! Regarde- moi jouir, regarde- moi comme je ne suis plus rien si ce n’est la somme fantastique des plaisirs honteux. Hooooo mon fils… mon Justin… je… t’aime.
— Chuuuuut… tout va bien Hélène. Tu t’es effondrée et tu as dormi une bonne heure. — Ho mon Dieu… et… Justin, je l’ai vu quand… — Il est en bas avec Isabelle, ils regardent la télé. Tu lui as fait peur, il ne pensait pas qu’une femme puisse avoir un tel orgasme et j’avoue que, même moi, tu m’as étonnée. Je ne te savais pas si… fougueuse dans le sexe. — Hoooo Mon Dieu… je me sens si… — Si reposée ? — Oui… aussi… mais… — Mais le reste n’a pas d’importance, oublie ces restes de préjugés qui t’encombrent. — Facile à dire… Comment est- ce que j’ai pu me laisser aller comme ça devant mon fils ? — C’est lui qui a tout fait pour que t’y arrives, prends le plutôt comme un cadeau qu’il t’aurait fait. — C’est toi qui m’as offert ce cadeau. — Tu m’en as fait un très joli aussi ma belle, je ne t’aurais jamais cru si bonne amante tu sais… — Merci Marie mais… — Chuuuuut… prends le temps de te reposer, tu as beaucoup de choses à remettre en ordre dans ton esprit je suppose. Ce n’est pas facile d’accepter le sexe homosexuel quand on l’a toujours vu comme une déviance. — S’il ne s’agissait que de sexe, Marie, je saurais comment le gérer. Je n’ai jamais eu de problème à digérer mon aventure avec Alain, le paysagiste. — Oui mais là c’est avec une autre femme, ton amie qui plus est. — Là il ne s’agit pas que de sexe. J’ai baisé avec Alain mais toi, à toi je t’ai fait l’amour, et cela faisait si longtemps avec Pierre…. — Hoooo ma belle, tu es vraiment incroyable tu sais. Tu t’es toujours montrée réservée, réfléchie, et t’entendre maintenant parler ainsi est un tantinet déroutant. — Je t’ai choquée ? Désolée, je n’aurais pas dû… — Chuuuuut… Ho si tu as bien fait ma belle. Je n’avais juste pas osé espérer une telle chose, c’est tout. Mais dors maintenant, je vais m’occuper des enfants. — Tu es sûre ? — Oui, t’avoir vu jouir comme ça, a eu plus d’effet sur ton fils que la pire des corrections. Alors ne t’inquiète pas. Dors et repose- toi, je resterai près de toi.
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