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Cauchemar ou presque…

Chapitre 5

fin et epoligue

Inceste
Rhoooooo dégage le soleil ! Sors de ma chambre ! Laisse- moi encore un peu dormir à l’abri dans mes rêves. Bonjour Marie, bonjour mon amie. Quelle étrange situation, me réveiller dans le lit conjugal à tes côtés. Vraiment bizarre. Et ce tendre baiser, si doux, si plaisant. J’ai presque l’impression de vraiment trompé Pierre maintenant. Pourtant je suis certaine que dans sa certitude machiste il me tuerait pour le jardinier et me demanderai de regarder pour toutes les deux. Je ne lui ai pourtant pas dis « je t’aime » au jardinier. Je ne l’ai pourtant pas embrassé ce substitut phallique. Ben voyons, mon fils et Isabelle qui nous apportent le petit déjeuner au lit. Ca n’a pas dû lui arriver depuis qu’il avait huit ans. S’il te plait Marie, ta main, pas devant… ho et puis si... Excuses- moi ma chérie, après tout c’est ce qu’il a voulu, alors qu’il se le prenne en pleine figure maintenant ! Et oui mon fils, j’ai bien vu que tes yeux se bloquaient sur la bosse sous le drap, Marie a bien sa main sur mon pubis, ça te gêne ? TAMPIS POUR TOI ! Toi, par contre Isa, ton sourire est radieux. Comme si tu avais réussi à avoir une espèce de couple dont tu rêvais. Tu le voulais vraiment de nous voir, ta mère et moi, dans le même lit, un dimanche matin, dans une espèce de famille improbable.
— Ca fait plaisir de te voir aussi radieuse maman… — Tu me trouves radieuse ? — Oui, et plus reposée que jamais. — C’est ce que tu voulais Justin ? Vraiment ? — Plus ou moins, oui. — Et bien pourquoi as- tu l’air si gêné dans ce cas ? — Pour rien… juste l’impression de retrouver la sensation d’empiéter sur un territoire intime et un peu interdis comme quand j’étais jeune et que je venais vous retrouver, toi et papa. — Ca fait un bail que tu n’es pas venu nous apporter le petit déjeuner au lit… — Vous êtes toujours levé aux aurores maintenant. — C’est vrai… D’un autre côté je te ferai signaler que tu es toujours un jeune homme. — Si tu le dis… je ne suis pas certain qu’Isabelle partage ton point de vue mais… — Isabelle est aussi une jeune femme n’est- ce pas Marie ? — Oui, tout à fait. — Alors disons que nous sommes des jeunes enfants qui ont réussi à t’apprendre ta liberté d’adulte. — Liberté ? — Oui, la liberté d’être à nouveau une femme, et pas juste au foyer. La liberté d’accepter et assouvir tes pulsions. La liberté de ne plus voir le monde avec tes œillères, tes préjugés, mais comme il est réellement. — Parce que tu crois que c’est la réalité normale de venir porter le petit déjeuner à ta mère et son amante ? — Amie… ton amie maman, et tu as eu une relation sexuelle avec ton amie parce que tu en éprouvais le désir. Ca ne t’empêche pas d’aimer papa ou moi, mais au moins tu ne seras plus en manque… — Manque… tu parles comme s’il s’agissait d’une drogue ou d’un besoin essentiel.
On peut vivre sans sexe, tu sais Justin ?

— Survivre maman, vivre c’est autre chose. Maintenant tu vis, hier soir tu vivais quand tu as crié de plaisir. — Peut- être… mais que crois- tu que ton père penserait de tout ça ? Excuses moi
Marie mais il faut dire que c’est un peu nouveau et, surtout, étrange comme situation.
— Ce n’est rien Hélène, tu as toujours été assez franche et directe. Et puis tu as raison, il est bon de savoir où on en est et si ton fils pourras tenir sa langue ou non. — Je tiendrai ma langue ! Je ne suis pas une balance ! — Pourtant tu ne t’es pas gêné pour me faire chanter… — C’était pour ton bien ma chère petite maman… — Que pour le mien ? Fais- moi rire ! — Aussi pour le tien, c’est vrai… Mais tu avoueras que le résultat n’est pas si mal. — Je ne juge pas les résultats, juste les moyens. — Disons qu’il me faut encore apprendre dans ce domaine… — Ben voyons, c’est bien le moment de jouer les gentils garçons. — Mais je suis tout prêt à apprendre maman… — A apprendre ? Apprendre quoi ? — Tout. — Tout quoi ? — Tout sur tous les sujets… je ne pense pas qu’au cul tu sais ? — Ho ? Vraiment ? — Ha ha ha… très drôle… Mais toi aussi, il te reste des choses à apprendre… — Comme ? — Comme le fait que tu te caches sous le drap alors que Marie ne semble pas plus gênée que ça de se redresser pour boire son café. — La pudeur n’est pas vraiment en cause tu sais mon chéri… mais comment veux- tu que je ne sois pas impressionnée par une poitrine comme la sienne quand tu vois la mienne… — Hoooo… dis pas ça ma belle, elle est trop jolie ta poitrine. — Oui moi aussi j’adore vos seins Hélène, vous ne devriez pas en avoir honte… — Tu vois maman… tout le monde est d’accord… — Ben voyons, je suis surtout entourée d’une bande de voyeurs ! — Pas faux… — Et alors ? — Tssssssss… — Haaaa tu vois maman ? C’est pas mieux ? — Pour qui ? — Pour vous Hélène, on aurait dit que vous alliez vous étrangler avec votre café… — Et puis si ça te déplaisait tu n’aurais pas les bouts qui pointent… — Tu sais il va falloir que tu apprennes à interpréter certains signes. Les tétons qui pointent peuvent être le signe d’un courant d’air, d’une excitation, mais aussi d’une gêne, d’une tension, d’un vêtement qui frotte… en gros de tout un tas de chose comme quand tu te réveilles… — Et que j’ai la gaule… oui je sais, mais avoue que d’exhiber ta poitrine et avoir la main de Marie sur ton minou peut aussi créer une certaine excitation non ? — Touchée… — Ma main te gêne ma belle ? — Non… Du tout. — Et vous Marie ? Contente que j’aie pu faire changer ma mère ? — En un sens oui mais je suis bien d’accord avec ta mère, les moyens étaient ignobles. Je sais très bien que tu penses que je suis une sorte d’objet sexuel, de traînée qui passe son temps à coucher avec d’autres hommes et femmes et qui, en plus, ne se gêne pas pour impliquer sa fille dans sa libido débordante. Mais tu te trompes du tout au tout… — J’avoue que j’y suis allé un peu fort mais de votre côté avouez que vous êtes plutôt du genre libertine et vous rêviez de vous taper ma mère. — Libertine ? Cela fait plus de trois ans que nous n’avons pas fait de soirée avec d’autre couple, Bernard et moi. Quant à ma fille, t’a- t- elle expliqué que ça n’est arrivé que trois fois entre nous et qu’à chaque fois c’est elle qui fait le premier pas. Ca ne m’excuse pas, tu as raison, mais rien n’est arrivé de plus qu’une stimulation mutuelle et m’a fille ne m’a amenée à jouir qu’une seule fois, et encore, elle n’était qu’à côté de moi pendant que je me caressais moi- même. — Et Bernard ? Hein ? — Bernard n’a, à ma connaissance, jamais vraiment fait l’amour à Isabelle, je ne pense même pas qu’il l’a touché réellement. — Il l’a fait maman, une fois, la fois où vous aviez pris un apéro un peu trop corsé… — Oui, je me souviens de cette fois là… — Par contre maman a raison, papa n’a jamais couché avec moi… — Et ta virginité alors ? — Le vibromasseur de maman avec Virginie, la fille de terminale qui m’a donné des cours en math… — Quoi ? Cette garce qui faisait du charme à ton père ? Mais tu avais… - Mais j’en avais vraiment envie, elle ne m’a pas forcée. — Bon… De toute façon ce qui est fait… — Est fait, et je vous fais toute mes excuses Marie, j’ai un peu trop crû les rumeurs malgré ce que me disait Isa. — Oui, je le suppose, au moins si ça peut t’éviter de propager des rumeurs à ton tour. — Attends Isabelle, je te fais un peu de place. — Merci Hélène. Plus confortable avec un oreiller dans le dos… hihi… — Et moi ? — Toi tu restes où tu es, au pied du lit… Tu as voulu que j’accepte mon côté bisexuel alors maintenant tu vas devoir accepter la solidarité féminine. — Ben tiens… manquait plus que ça… — Nan, nan, nan… Tu restes au pied du lit c’est comme ça… — Pfffffffff… En tous cas Marie vous pouvez pas dire que vous appréciez le résultat même si mes moyens n’ont pas été très honnêtes. — Pas très honnêtes ? C’est le moins que l’on puisse dire. Quant aux résultats, si tu parles de la nuit avec ta maman alors oui, j’avoue que c’était quelque chose sur lequel je fantasmais depuis un certain temps. Par contre, le fait de me retrouver au lit avec deux jeunes qui sont bourrés d’hormones… ça je ne suis pas certaine de vraiment y être préparée. — Bah, vous n’avez qu’à prendre ça comme un bonus… hihihi… — Bonus ? Je crois t’avoir déjà dis que je n’ai jamais fait l’amour avec les jeunes !! Il y a quand même certaines choses que ma morale m’interdis, vois- tu. — Pourtant vous êtes à poil devant moi et ça ne vous dérange pas plus que ça… — La nudité n’a pas un rapport directe avec la sexualité, as- tu envie de toutes les filles à moitié nue sur la plage pendant l’été ? — Toutes non, mais un gros paquet quand même ! — Tsssssssss… Un vrai ajeunegouverné par ses testicules. — Et alors ? — Et alors ? Disons que je ne suis pas sûre de vraiment vouloir continuer cette conversation, surtout si ça doit te mettre dans cet état… — Hey j’ai devant moi trois belles femmes… Je serais pas normal si je bandais pas. Et puis vous devriez changer d’avis sur les jeunes, à ce qu’il parait on a plus de ressources que les vieux… — Merci de t’en inquiété mais je n’ai jamais eu à me plaindre des ressources de
Bernard, et puis, vois- tu, j’ai bien peur que la taille de ton sexe ne puisse satisfaire une femme comme moi…
— Ouch… cassé… A ce qu’il parait c’est pas la taille qui compte… — Oui mais il faut quand même un minimum… — Double cassé ! Hey… Z’êtes pas cool au réveil… — Tu n’as qu’à pas exhiber ta petite quéquette devant moi si tu ne veux pas que je fasse des remarques dessus. — Je suis désolé Marie, je ne voulais pas "l’exhiber" comme vous dîtes mais j’ai du mal à me contrôler, vous avez vraiment des nichons trop beaux… Et puis vous pouvez prendre un air offusqué, je vois bien qu’il n’y a pas que votre main sur le minou de ma mère. — Oups… — Isabelle ? Et bien ma fille, tu es bien délurée en ce moment… — Ben tu sais maman c’est difficile de rester à côté d’Hélène et ne pas me souvenir de… heu… — De? — Rien maman, oublie… — Vous avez déjà fait l’amour toutes les deux ?!? — Oui, Marie… Je suis désolée mais la semaine dernière j’étais sous le choc de ce qu’avait fait et dit Justin et ta fille s’est montrée, pour le moins, persuasive. — Quoi ? Tu es venue te taper ma mère pendant que je dormais ? — Oui Juju… j’avais trop envie… Et j’ai pas regretté… c’était ma première fois, je veux dire pour de bon, avec une femme… — Et bien Hélène, j’ai du mal à y croire… Toi et ma fille ? Tu caches bien ton jeu…
Ca n’est pas ce que tu crois Marie, j’étais encore sous le choc et… ce n’est pas qu’elle m’ait forcé mais elle ne m’a pas laissé vraiment le choix non plus.
— C’est vrai Isabelle ? — Oui, mais c’était juste pour commencer, j’avais pas encore massé ses jambes qu’elle mouillait comme une folle… un peu comme maintenant… — ISA ! — Isabelle ! Hoooooo… S’il te plait ! — Maman, je t’en prie… Je suis comme toi, j’aime aussi les filles. Pas que Juju, j’adore ta queue et hier tu m’as fait avoir un vrai orgasme du tonnerre dans le salon… Mais j’avais trop envie de goûter au minou d’Hélène… Avec Virginie, c’était pas pareil, c’est elle qui menait la danse. Là c’est moi qui contrôlais et c’était vraiment trop top. — Et tu as aimé maman ? Je veux dire… vraiment ? — Heu… oui… oui… c’était vraiment très particulier… — Moi qui croyais être ta première partenaire femme… — Et moi alors ? J’ai jamais imaginé que je partageais ma copine avec ma mère ! — Ho hé c’est bon hein ! Tu voulais que ta mère se libère sexuellement, ben je me suis dit que je pouvais aussi participer, c’est tout… — Et si je peux me permettre, ça n’a été qu’une fois, une sorte d’accident… — Accident ? Et dire que je n’osais pas toucher ma fille de peur de trop la perturber et c’est toi qui lui a fait l’amour pour la première fois. Vu comme elle en parle c’était pas juste du sexe… — Disons que ça a été une sorte de révélation, je l’avoue mais rien à voir avec toi
Marie…
— Je ne veux pas de comparaison et je ne t’en veux pas, rassure- toi… C’est juste que j’aurais juste voulu le savoir, pouvoir le partager, avec toi ma fille et toi mon amie… — Pardon maman… Je sais mais… Enfin c’était si… — Intime… Je sais… Et je sais à quel point Hélène est une amante particulière… — Mmmmmh… Dîtes… Si vous pouviez éviter de me toucher vous deux… C’est pas que mais… — Mais ? Tu as l’air d’effectivement aimer ma belle… — Oui mais… — Mmmmh… et vous avez vraiment très bon goût Hélène… — Mais mon… hooooooo… — Au lieu de la goûter que sur tes doigts ma puce tu veux… — Ho oui maman… ho oui ! — Mais qu’est- ce que… Mais non… mon… Hoooooooo - Je ne savais pas que tu aimé autant les caresse orales Isa… Tu ne cesseras pas de m’étonner… — Mmmmmm…. Mmmmmmffff…. — Mais arrêtez… mon fils… — Justin a déjà vu ta poitrine Hélène… — Mais… mais pas… Pas… Nnnnnnnnngh… — Mais si je t’ai déjà vue entrain de jouir. Cette nuit maman, je t’ai vu cette nuit… — Hooooo… Justin… S’il te plait… — Quoi maman ? C’est ma copine entre tes jambes à te faire un broute- minou alors tu crois pas que j’ai au moins le droit de regarder ? — Mais… mais… — Chuuuuuut ma belle… embrasse- moi… laisse- toi faire… J’aime tellement ta langue. — Mmmmmmh… mmmmmmmh - Tu vois maman, tu vois que tu le voulais… Tu vois… — Nnnnnngh…. — Tu peux dire ce que tu veux sur ce que j’ai fait mais en tous cas, une chose est sûre, tu as plus découvert de trucs ces derniers temps que les dernières années à vouloir jouer les femmes au foyer pudibondes… — Mmmmmh… NNNNNNNNGH… — Le téléphone sonne… Je reviens - C’était papa, il voulait te dire qu’il ne viendra pas pour manger à midi. Bernard et lui vont à un match de foot. J’ai dû dire que j’avais des devoirs à faire pour ne pas aller avec eux mais je ne voulais pas louper ça… — Quoi ? Tu n’as jamais fais un 69 Justin ? — Ho si Marie mais je n’ai jamais vu deux femme en faire un, encore moins ma propre mère… — Mmmmmmmh…. mmmmmfffff - Et tu aimes la voir me lécher ? Tu aimes la voir comme ça ? — Pour ça oui ! Et puis vous avez un putain de cul Marie… Vous êtes trop bonne vous aussi… — Merci Justin… mmmmmh ouiiiii Hélène… ouiiiiiiiii… Wow Isa, tu es vraiment plus délurée que je ne le pensais ma fille… Je ne savais pas que tu aimais lécher cet endroit aussi… — Mmmmh ho si tu savais maman… Et puis j’adore enfoncer ma langue ou mon doigt dans son ptit trou du cul… Elle se contracte à chaque fois et se détend pour m’avaler encore plus en elle… — Nnnnnnnnnnngh…. MMmmmmmmfffff… — Et vu comme elle s’acharne sur mon clito, elle apprécie vraiment… ho ouiiiii…
lààààààà - Elle aime ça aussi Isa… Hein bébé… Tu aimes quand je mets mon doigt dans ton cul comme ça hein ?
— Nnnnnnnngh… doucement Juju… oui… Hooo ouiiiiii…. — Ho ma fille… Tu es si belle… quand… tu… — Oui… Vous êtes si belles quand vous vous embrassez toutes les deux… J’ai jamais vu quelque chose d’aussi bandant ! — Hey… T’arrête pas Justin ! — Awwwwww Hélène… Hooo oui j’aime aussi quand on me lèche là… — Attendez… Je vais m’occuper de vous aussi… Vous êtes toutes les deux sur la chatte de ma mère… Pourquoi ne pas être à deux sur votre cul… — Oui Juju… vas- y… branle le cul de ma mère, elle adore ça ! — Hoooo ouiiiiiiiii… Nnnnnnngh… Oui plus loin Justin… Enfonce ton doigt plus fort… — Vous aimez vraiment ça hein ? Vous aimez qu’on vous perfore le cul… — Nnnnnnnngh… Oui… Mets m’en deux ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii - Putain quel pied ! Vous avez vraiment un cul du tonnerre ! Oui maman, écarte- lui bien les fesses… Mais… Qu’est- ce que tu fais maman ? — Mmmmmh nooooon…. Ne t’arrête pas mon chéri… Continuer de m’enfoncer tes doigts… hooooooooo…. — Maman… Tu crois vraiment que… Attends je l’enlève mon caleçon… Mmmmh ouiiiiiiii… hooooooo… comment papa il peut avoir renoncé à ça… hooooo… Ma mère me suce… Ma mère suce ma putain de bite… J’y crois paaaaas… — Ne t’arrête pas Isa… Fais la jouir pendant qu’elle suce son fils… Ils attendent ça depuis si longtemps on dirait… — Mmmmmh… Nnnnnnngh… — Chuuuuuut Hélène… Ne t’inquiètes pas pour moi… Occupe- toi de ton fils… Moi je vais m’occuper de ma fille… — Ho ouiiiii mamaaaaaaan… Lèches moi la chatte… ouiiiii làààà… Putain t’es pas comme Justin… Nnnnnnngh… ho mammmmaaaaan…. J’ai jamais eu deux doigts dans ma chatte à part les miens… tu fais ça troooooooop bieeeeeeen - Maman ! Nooon… pas mes… hoooooo… ho oui bouffe moi les couilles maman…
oui comme ça…
— MAMAN ! Hooooooo… Tu… Tu… TU vas me faire… ho ouiiiiiiiiii… ho putain !
Noooon… non !... ouiiiiiiiii… tes doigts dans mon cul… ouiiiiiii… Arrêtes… arrêtes… j’en peux plus… OUIiiiiii… ho noooon… plus…. Plus… hooooooooooooooooooo - Hey… elle… elle…
— Ce n’est rien Justin… Il faut juste la laisser retrouver son souffle, elle n’a jamais dû être malmenée comme ça… Je t’apprendrai comment la faire jouir jusqu’au bout, elle est jeune, elle peut jouir plusieurs fois les unes à la suite des autres avant de s’effondrer comme ça… — Hooooo… Je… Je vois mmmmmmh ouiiiiiii maman… Tu… tu es une reine !....— Laisse- moi la faire jouir à son tour pendant qu’elle te suce…— NNNNNNNNNGH….— Oui ma belle… laisse- toi aller… Vas- y…— Ho putain ! Ho putain ! Elle… Elle m’avale tout entier ! Ho putaiiiiiiin - Là ma belle… Tu les sens bien mes doigts hein… Tu vas jouir ma belle…— C’est trop booooooooon…— Ouiiii… Comme ça Hélène… voilà…— HOOOOOOOOOOO… Mamaaaaaaaaaan… je… je vais… haaaaaaaaaannn - Mmmmmmmh….

Dimanche soir, nous sommes dimanche soir. Justin dans sa chambre finit ses devoirs et Pierre a l’air rayonnant. Ce weekend aura fait du bien à tout le monde, on dirait. Il m’a fallu du temps pour accepter que j’avais bien avalé le sperme de mon fils, que je l’avais sucé. Et puis nous avons remis de l’ordre dans la maison et passé l’après-midi à bronzer et à nager. Il a bien fallut calmer les ardeurs des deux gamins mais il est hors de question de renouveler cette expérience de si tôt. Hors de question que ça devienne une habitude cette histoire-là. Il y a une différence entre un accident, un moment d’oubli, et une histoire suivie. Bon… Pierre est dans son fauteuil et pas à côté de moi mais il ne lit pas son journal pour une fois. C’est peut- être une amélioration. S’il savait comme je peux avoir envie de lui. Il ne s’est même pas aperçu que je ne porte rien sous ma robe. Autant son fils est un obsédé, autant, lui, il est devenu un vrai moine. Enfin demain une nouvelle semaine, tout devrait rentrer dans l’ordre maintenant. Oui mon amour, Justin est devenu un élève assidu, mais si tu savais qu’il a rempli ma bouche de sa semence, que j’ai couché avec Marie et qu’on a baisé tout ce matin avec deux gamins… Ho et puis après… personne de blesser si ce n’est mon amour propre de ne plus pouvoir faire bander mon mari. Et oui Justin, lundi soir et ce week-end semble être à des années de nous. Je prépare le repas et ton père regarde les informations à la télé. En tous cas c’est sympa d’avoir son fils pour donner un coup de main à la cuisine. Il se montre un peu collant mais je ne peux pas lui en vouloir. Il est bien comme son père, il ne remarque rien ceci dit. Hé… Je trouve ça mignon mais il ne faut pas abuser. Je veux bien me sentir coupable mais de là à me laisser me faire tripoter par mon fils dans la cuisine, il y a une limite que je ne compte plus franchir.
Mais ils sont où ces verres, elle est gentille Isa mais si elle pouvait éviter de tout déranger. JUSTIN ! Mais il est con ce gamin ! Son père est à côté et il met ses mains sur mes fesses !
— Arrête s’il te plait… ton père est là…
Mais ce n’est pas vrai ! Il va arrêter oui… ho nooooooooon… Bon ben s’il n’avait pas remarqué que je n’ai rien sous ma robe maintenant c’est fait. Et il en profite le salop ! Maiiiiiis ! Ha non ! Pas ça ! Mais il m’a enfoncé son doigt dans mon sexe ce con de gamin !
— Justin, ça me rappelle un peu trop ce que t’as fait à Isa pendant que j’étais sur le canapé alors pour l’amour de Dieu, arrête. — Un souci chérie ? — Non Pierre, tout va bien… Je cherche les verres, impossible de mettre la main dessus…
La main dessus ce n’est pas la main dessous Justin ! Mais il est con ce gamin ! Bon, il faut me contrôler, ne pas faire de bruit sinon Pierre va péter une durite. On serait à moins ceci dit, pendant qu’il regarde les infos sur le câble son fils trifouille l’intimité de sa mère. Nnnnnnnnngh… Arrête ça de suite Justin, tu me fais mal ! Ho noooon… non, non, non pas ça… Pas mon clito sale petit enfoiré. Comment l’obliger à s’arrêter alors que je mouille comme une salope pendant qu’il s’acharne sur mon clito et m’enfonce deux doigts dans mon conin. Il jubile l’enfoiré, il jubile. Je suis à sa merci. Et si je me relève comme ça hein ? Et oui fiston il va falloir penser à grandir si tu veux pouvoir me tripoter quand je suis debout. Héhé, tu ne fais plus rien, hein maintenant ? Ho tu peux toujours passer tes mains sous ma jupe, tant que je suis comme ça contre le bar, impossible de fureter entre mes jambes. MAIS NON ! Justin ! C’est qui qu’il m’a foutu ce petit con ! Pourquoi faut- il qu’il soit impossible alors qu’il peut être si mignon à d’autres moments… Je ne sais pas ce qu’il m’a fichu mais c’est loin d’être agréable. Hooooooooo… J’y crois pas ! La plaquette de beurre sur la table. Il a dû me mettre du beurre pour m’enfoncer ton son majeur dans mes fesses ! Bon et bien tu l’auras voulu…
— Voilà ton verre chéri… — Justin ? T’as l’air bizarre… — Non ça va papa…
Il ne s’y attendait pas à celle- là le fiston. Mais il m’a eu à son tour. Je pensais qu’il retournerait dans sa chambre, mais non, il préfère rester sur le canapé avec sa mère. Une scène un peu trop commune maintenant. Son père dodeline de la tête, le nez dans son journal alors que Justin tente comme il peut de glisser sa main sous mes fesses. Vérifier le match sur l’autre chaîne pendant la pub ? Mais oui mon chéri. Mais quel con il peut faire lui aussi. Je dois me lever pour prendre la télécommande et Justin n’a pas perdu de temps. Sa main gauche s’est fourrée sous mes fesses et déjà son majeur appuie contre mon anus. Hoooooooo… Je n’en peux plus. Deux doigts vont et viennent dans mon fondement et Pierre ne s’aperçoit de rien. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas gémir. Et dire que je n’ai jamais laissé Pierre me sodomiser. Je ne pensais pas que je pourrais autant éprouver de plaisir ainsi stimulée. Nnnnnnngh… Aïe ! Non Justin, arrête… Trois doigts ça fait beaucoup là-dedans ! Mmmmmffff… hoooooooo… Quel enfoiré ce gamin ! Il se régale de m’enfoncer ses doigts. Je dois me mettre un peu de côté et il ne s’est même pas rendu compte qu’en frottant son visage comme ça j’ai ma nuisette presque en haut des cuisses. Putain mais regarde Pierre ! Pour l’amour de Dieu ! J’ai presque mon minou à l’air et je suis sur le point de jouir avec les doigts de ton fils dans mon trou du cul ! Et lui, il bande comme un poney, il n’en peut plus. Je pourrais le sucer, là sur le canapé, que son père ne verrait rien. Enfin la fin du film. Et pourquoi on le fait commencer à dix heures du matin dans son collège, comme si je n’en avais pas assez avec le mardi et le weekend. Mais oui mon chéri je m’en vais nous faire une tisane. Tu parles ! Il n’est pas gentil de vouloir m’aider ton fils, il veut juste essayer de finir ce qu’il a commencé ! Et bien évidemment que je suis obligée d’attendre que l’eau bout. Ho non Justin, mais ton père est juste là, à quelques mètres sur son fauteuil alors retire tes mains de sous ma jupe. NON ! Ne la remonte pas s’il te plaît mais… mais qu’est- ce que… ho nooooooon… non pas çaaaaa ! Pas ton sexe dans mon… cul ! Ho nooooooooon… mais réveilles- toi Pierre ! Pendant que tu lis les nouvelles économiques ton fils m’encule ! Doucement ! Pas si fort ! Hooooooooo… Comment peut- il oser… Tout son sexe s’enfonce en moi. Il n’est pas bien gros… heureusement mais… ho nooooooon… Il est tout en moi ! DOUCEMENT ! Si tu t’agites comme un malheureux ton père nous verra… Ouiiiiiiiii… ho oui… Comme ça !... Nnnnnnnnnnngh… La première sodomie et c’est mon fils qui me l’offre…
Attends… attends… Voilà… Mais quelle traînée. La bite de mon fils va et vient lentement dans mon cul pendant que je frotte mon clito… Non ! Non pas si vite ! Tu vas faire trop de bruit ! Je… Je n’en peux plus… Mes jambes ! Elles ne me tiennent plus ! Il faut que je prenne appuie… HAAAAN ! Putain que ça fait mal. Et ce con de Pierre qui me demande si tout va bien. Mais n’écoute pas ton fils ! Non tout ne va pas bien ! Je ne cherche pas un truc qui a roulé sous le buffet, j’ai la tête contre le sol, les fesses en l’air et ton fils enfonce sa petite bite dans mon anus ! Comment je pourrais aller bien ?!? HO OUiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…. Nnnnnnnnnngh… Hannnn Hannnn… Oui plus fort petit salaud… Baise mon cul, défonce-moi ! Ho putain que c’est bon ! J’imagine la bite de Pierre à la place de celle de son fils, elle est tellement large… Elle me ferait crier, hurler de plaisir. NON JUSTIN ! Mais il est fou ! Dégrafe pas ma robe ! Nnnnnnnnnnngh… Il a de la force quand il veut le gamin et un sacré coup de rein. Mais il se rend compte que j’ai les seins à l’air maintenant ? Il s’en rend compte ? Je suis sa mère pour l’amour de Dieu ! Je suis sa mère et je suis à quatre pattes, la robe froissée autour de ma taille, les seins à l’air qui se balancent en rythme de ses va et vient dans mon cul. C’est ta mère que tu encules mon fils ! C’est ta mère que tu traites comme une chienne ! C’est ta mère qui recule fort ses fesses contre ton pubis pour que tu t’enfonces plus loin encore !
Hoooooooo… C’est si booooooooon… Tu la sens ma main qui frotte ma chatte dégoulinante ? Hein ? Tes sens mes doigts contre tes couilles ? Si tu m’entendais mon chéri, si je pouvais te dire ce que je ressens ça te ferai tout lâcher dans mes boyaux petit salopard ! Si tu entendais ce que pense ta mère tu n’en croirais pas tes oreilles mon cher petit. Alors VAS- Y ! DEFONCE- MOI MON PUTAIN DE CUL ! FOUS- MOI TA BITE JUSQU’AU FOND ! Ho ouiiiiiiiii ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Tu accélères, tu te tends et OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII…VASYYYYYY ! Ouiiiiiiiiiii mon chéri déverse tout ton foutre dans le cul de ta mère… REMPLISMOI !!!! JE…. JE…. HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !!!!
— NON PAS CA ! PIERRE ! Ne me regarde pas Pierre ! Ne fais rien à notre fils ! Ce n’est pas lui ! Ce n’est pas sa fauuuuuuuuuute…. Haaaaaaaaaan…. JE… C’est
MOI… Moi qui suis la fautiiiiive… hooooooo…. Nnnnnnnnnnnnnngh… HO MON DIEUUUUUUUUUU !!! Ne me regarde pas !!! C’est… C’est un cauchemaaaaaar !!!!
— Chuuuuuut….
EpilogueJe me suis évanouie. Pas que le plaisir m’est terrassée, mais de voir Pierre me fixer alors que son fils enfonçait encore son pénis et sa semence dans mon arrière train m’a fait comme disjonctée. A mon réveil j’étais dans ma chambre. Personne d’autre. Nue dans mon lit. Aucun bruit dans le reste de la maison. J’étais terrifiée, je voulais savoir ce que Pierre avait fait de notre fils. Quand j’ai voulu me lever, la douleur de ma récente première sodomie m’a faite me contracter et dans le silence j’ai entendu la voix calme de mon mari parler à mon fils. Je ne pouvais entendre ce qu’il lui disait mais la conversation avait l’air amicale, paternelle. Je me suis rendormie. Je ne savais pas comment tout ceci allait se régler. Je ne voyais tout de même aucun dénouement joyeux pour moi. C’était peut- être la dernière nuit dans cette maison. Je voulais m’endormir mais quand Pierre est venu se coucher j’étais toujours éveillée. Je n’ai pas bougée, j’ai fait semblant de dormir et pour la première fois depuis bien longtemps Pierre s’est penché vers moi pour embrasser mon épaule avant de s’endormir. J’étais perdue, complètement perdue. Samedi soir, les Bonerands sont venu passer la soirée à la maison. Marie, Bernard et
Isabelle, tous les trois sont enchantés de partager cette soirée avec nous. Marie et moi avons passé un long moment sur la terrasse à profiter des derniers rayons de soleil. Quand l’air devient un peu trop frais, nous rentrons et je reste plantée là. Mon fils debout derrière le fauteuil balance ses hanches d’avant en arrière, savourant la fellation qu’on lui prodigue. Je fais lentement le tour de la table basse et pendant que je me dirige derrière mon fils je vois son père avaler son sexe de jeune garçon. Difficile d’expliquer ce qu’une mère peut ressentir en découvrant son mari sucer goulument le sexe de son fils. J’étais médusée, excitée, attendrie, un peu effrayée aussi, mal à l’aise. Mon fils tel le petit homme qu’il devient à ses mains dans les cheveux frisés de son père et lui intime la cadence de la caresse buccale. Marie s’approche de moi et passe sa main autour de mes hanches. Sa main, un peu fraîche fait frissonner ma peau nue. Elle ne s’attarde pas longtemps sur mon fils et son père. Son regard est rivé sur son mari qui lentement enfonce son membre tendu dans les fesses de Pierre. Elle semble tout aussi touchée que moi par ce spectacle. Nous restons là, nue, l’une contre l’autre pendant que les trois hommes de nos vies s’ébattent sous nos yeux. Pas que nos yeux d’ailleurs. Isabelle, elle non plus, ne perd pas une miette de la scène. Assise sur le canapé, les jambes bien écartées, elle frotte son petit conin rougit par tant d’attention et d’excitation. Elle a même son majeur fiché dans son petit derrière, la garce. Justin la fixe pendant que son père avale tout son sexe dans sa bouche. Mon fils m’invite à prendre place son mon mari et me voilà, échangeant un 69 avec l’homme que j’ai juré de chérir toute ma vie, le symbole de la virilité pour moi, son épouse. Je suce la queue de Pierre, la lèche. Je remonte tout le long de sa hampe pour venir glisser sur la verge de Bernard qui s’enfonce de plus en plus fort dans l’anus de Pierre. Mon fils a rejoint son père, à quatre pattes entre mes jambes pour couvrir toute mon intimité de leurs langues fébriles. Marie s’approche de son époux, le caresse et le détourne de Pierre. Il grogne quand ce gros pénis se retire de ses fesses.
Je suce ce pénis qui m’a tellement manqué. Je parcours chaque parcelle de l’entrejambe de mon mari. J’attendais ce moment depuis si longtemps et ne peut retenir un petit ricanement en me disant qu’il faut que ce soit sous le regard de nos amis que ça arrive. Pierre et moi roulons. Je fouille chaque centimètre carré de son intimité de ma langue, de mes lèvres. Son sexe butte contre le fond de ma gorge et je l’entends gémir de retrouver ainsi l’emprisonnement de mes lèvres. Je gémis à mon tour, redressée, tendue, quand mon fils enfonce son majeur et son index dans mes fesses alors que son père agite son majeur dans mon vagin. Du coin de l’œil je vois Bernard assis sur notre canapé et Isabelle, à califourchon sur son père, descendre lentement pour que sa mère guide l’énorme pénis à l’entrée de son conin d’enfant. Je reste à regarder cette gamine s’empaler sur le sexe dressé de son papa et ne remarque pas vraiment que Pierre change de position sous moi. Mon mari attire mon visage entre ses mains et m’embrasse longuement pendant que son fils, imitant Marie, guide son pénis dans mon vagin détrempé. Mon fils, notre fils, notre fils chéri, caresse les testicules de son père pendant que je m’empale lentement sur son membre. Isabelle et moi suivons le même rythme, accélérant peu à peu nos va et vient. Alors que Marie s’est redressée pour caresser les petits seins de son enfant, mon mari attrape mes hanches pour ralentir notre cadence. Je commence à croire qu’il a peur de venir trop vite quand je sens un liquide frais couler entre mes fesses. Je tourne mon visage mais mon mari me rattrape et m’embrasse fougueusement pendant que les doigts de Justin étale le gel sur mon anus puis dedans. Quand c’est son pénis qui pousse contre la corolle froncée de mon anus, je souffle longuement. Mon mari ne bouge plus, il laisse son fils le rejoindre dans le corps de sa mère. Je crie, je hurle presque. Les deux hommes de ma vie vont et viennent profondément en moi. Il m’a fallu un petit moment pour m’habituer à cette intrusion dans mes deux orifices. Mais maintenant que les deux coulissent sans plus de retenue, je ne suis plus qu’une poupée de chiffon secouée en tout sens par leurs assauts frénétiques. Seules les plaintes aiguës d’Isabelle couvrent mes propres paroles. Je les invectives tous les deux. Je les veux plus profond en moi, plus forts, plus fermes. Quand Isabelle se tétanise connaissant son premier orgasme par un homme adulte je vois sa mère pleurer. Elle encourage son mari qui avec l’agrément de sa fille se lève. La mère allonge sa fille et vient plaquer sa bouche contre sa fentine alors que Bernard nous rejoint, son membre tout aussi dur que lorsqu’il s’est retiré de mon mari. Je comprends ce qu’ils souhaitent et embouche ce sexe dès qu’il est à ma portée. Un pénis dans chacun de mes orifices il ne me faudra que peu de temps pour être ravagée par un orgasme merveilleux. Justin a éjaculé dans mes intestins mais il lui faudra peu de temps pour faire subir à Marie le même sort que le mien. C’est Isabelle par la suite qui subira les assauts de mon fils et de son père combinés. La nuit est longue. Longue et pleine de nouvelles expériences.
Dire que depuis un an mon mari assouvissait ce qu’il pensait être son homosexualité avec Bernard. Dire qu’il lui a fallu un an pour admettre qu’il ne devait plus avoir honte. Un an pour qu’il soit surpris par son fils qui, sans l’ombre d’une hésitation, s’est joint à lui pour sucer le sexe de Bernard. Cela faisait deux mois que mes deux hommes partageaient les faveurs du mari de mon amie. Deux mois que mon amie était perdue, triste de ne pouvoir me dire ce qui arrivait.Cela fait presque un mois que mon fils, grâce à l’aide de mon mari, m’a surprise avec le jardinier. Un mois qu’il a compris qu’il n’est pas homo. Un mois qu’il accepte sa bisexualité et ne rêve que d’une chose : me prouver la mienne. Un mois de cauchemar. Une vie de rêve.
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