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La cave de l'interdit

Chapitre 3

Hétéro
Chapitre 3 : Réveillon de Noël
Ce chapitre se déroule bien après le chapitre 2 , pour se consacrer sur un autre arc narratif, il n’est pas nécessaire d’avoir lu les autres chapitres pour comprendre celui-ci. Je reviendrais sur l’autre arc ultérieurement, mais je l’entrecouperais d’histoires autour de cette cave qui regorge de surprises que je souhaite vous raconter.

Le réveillon de Noël se passait chez mes grands-parents. Il y avait toute ma famille, mes parents, mais aussi ma tante Lætitia qui pour la première fois avait ramené son nouveau copain François. Ce dernier avait deux enfants : Sammy et Laurianne qui venait d’avoir ses 18 ans. Du côté de ma tante, il n’y avait qu’un de ses fils: Cyril que je n’avais pas vu depuis longtemps et qui était dans mon enfance "mon cousin préféré".
Étant le plus âgé des petits enfants, c’était à moi de faire le service en alcool. Je servis Cyril mon cousin avec qui j’échangeais des souvenirs qui nous firent rire tous les deux. Je passai le verre de Sammy, qui était un peu trop jeune pour boire. Puis je m’arrêtai à Laurianne en tendant la bouteille de champagne pour qu’elle me confirme ou non si je devais la servir. Elle portait une robe bleue qui laissait ses épaules nues et reflétait ses yeux bleus très clairs encadré par des cheveux bouclés châtains. Elle se tourna vers son père, qui, bon vivant en bout de table s’esclaffe:
-Tu dragues ma fille?
Ne le connaissant pas encore et ne sachant que dire je lui dis:
-Non François, c’est ta fille qui drague la bouteille de champagne!
Toute la famille rigola à ma blague, François manqua de s’étouffer, et il m’autorisa à servir sa fille. Tandis que je remplissais les autres coupes, ma tante Lætitia déclara en prenant son copain par le bras:
— C’est vrai que François est très protecteur avec sa fille, la dernière fois, un copain de Laurianne dormait à la maison. La nuit François a entendu le gamin se lever, il s’est précipité dans le couloir avec le fusil de chasse. Je vous dis pas la tête du mioche quand il a vu François avec ça.
Toute la famille se mit à rire en chœur, François reprit aussitôt:
— Je lui ai dit, si tu tires ton coup avec ma fille c’est moi qui vais te mettre une cartouche!
La discussion continuait et je regagnais ma place. J’avais désormais 22 ans, je prenais de l’assurance et intervenais plus dans les discussions familiales en ayant plus confiance en moi. Je me dis que Laurianne avait un petit air de Belle dans la Belle et la Bête. Je souriais devant la surprotection de son père, mais en même temps je me disais que cela devait l’étouffer un peu pour son développement personnel. Je lançai un regard à ma tante, j’étais heureux de la voir épanouie après tout ce qu’elle avait traversé.
Après le repas, il était l’heure d’aller se coucher. Étant donné qu’il y a beaucoup de monde à coucher, nous nous retrouvions à dormir à la cave à 4. Il y avait un lit double et deux petits matelas qui étaient jonchés à côté. Je décidai de prendre un matelas, tandis que Cyril et Sammy prenaient le lit double laissant Laurianne sur un matelas. Je m’installai dans mon duvet que je venais d’acheter et dont je ne regrettais pas l’achat.
Nous parlions de tout et de rien, blaguant et faisant les pitres en faisant du bruit comme nous étions seuls à la cave. Cette cave que j’appréciais tant. Après un long moment de fou rire, mon cousin Cyril se mit à émettre de petits gémissements. Je m’approchai de lui, et l’aperçu se tordre de douleur, je lui dis alors:
-ça va Cyril?
-Non, j’ai mal au ventre
Sammy intervient alors:
-Il a eu un ulcère cet été, peut être que c’est ça!
Aussitôt je m’inquiétai, je ne savais que faire dans ce genre de situation. Je décidai alors d’aller voir ma tante pour savoir quoi faire. Je quittai la cave en caleçon, tenant mon cousin et accompagné par Laurianne. Une fois remonté vers la maison, je toquai à la porte de ma tante. Cette dernière sortit et je lui expliquai le problème. Voyant mon inquiétude, elle me demanda de mettre mon cousin sur le canapé pendant qu’elle allait chercher des médicaments. Elle demanda alors à Laurianne de retourner se coucher. Ce que la jeune fille exécuta sur-le-champ. Une fois au chevet de son fils, ma tante posa sa main sur la mienne et me remercia tendrement:
-Merci Jérem, je vais m’occuper de lui, vas te coucher.
Je souhaitai bonne nuit à ma tante puis descendis à la cave. J’entrai dans la chambre plongée dans l’obscurité et arrivai à tâtons à mon matelas. À cet instant je remarquai qu’il n’y avait pas mon duvet, je me mis à le chercher à l’aveuglette lorsque j’entendis glousser Laurianne. Je m’approchai d’elle et sentis en mettant ma main sur ses pieds qu’elle était dans MON duvet. Je lui lançai aussitôt:
-Tu peux me rendre mon duvet?
-Hum, non il est bien ce sac de couchage, il est agréable.
-Allez rends le moi s’il te plait.
-Hum je crois que non, riait-elle.
-Bon et bien si tu ne veux pas me le laisser, je vais rentrer dedans.
Elle ne dit rien, tandis que je rentrai en caleçon dans le sac de couchage. Je sentais son corps, enveloppé dans un pyjama assez doux. Nous restions comme cela, à parler avec son frère Sammy. Puis ce dernier s’endormit. C’est à cet instant, qu’avec la pénombre je retrouvais mon ancienne et précieuse alliée: la cave de l’interdit où j’avais fait ma première fois. Les choses avaient changées et j’avais bien évolué, mais je restais attaché à ce lieu.
Je me demandai pourquoi Laurianne était rentrée dans mon duvet, était-ce une blague anodine? Le fait de me voir en caleçon l’avait-elle aguichée? Ou bien cela lui permettait-il pour la première fois de dormir avec un homme sans que son père n’intervienne ? Après quelque temps à parler, la proximité aidant, je posai ma main sur son ventre dont je sentis la peau. Elle me souffla:
-Arrête de toucher mon gras!
Puis dans l’obscurité je tentai de l’embrasser, mais n’ayant pas de précision avec ce voile noir, mes lèvres atteignirent son cou. Je déposai alors un baiser au creux de sa gorge, puis poursuivis les bisous jusqu’à atteindre sa joue. Elle était dos à moi, et ma main tenait sa hanche. Je sentis monter en moi une excitation, tout cela semblait irréel. Une érection naquit dans mon bas ventre et touchait les fesses de Laurianne qui était en quelque sorte "ma cousine".
Nos bouches s’agrippèrent, doucement dans des baisers tendres. Je caressai son ventre affectueusement. Puis elle se tourna plus vers moi, et ma main s’aventura jusqu’à sa poitrine. Du bout des doigts j’explorai ses tétons et malaxai ses seins. Après de longues minutes ainsi, ma main longea son plexus, pour arriver à son nombril puis se faufila sous son pantalon de pyjama et atteignit ses lèvres. Elle poussa un long râle. Je bloquai sa bouche avec la mienne, il ne fallait pas qu’elle réveille son frère. Mes doigts jouèrent avec son clitoris, effectuant de petits mouvements circulaires, puis j’effleurai sa cuisse pour ensuite revenir titiller son entrejambe.
De son côté elle passa sa main dans mon caleçon et caressa mon sexe. Elle plaça ses doigts autour de ma colonne de chair et effectua un mouvement de haut en bas pour me branler. C’était exquis. Le fait de ne pas devoir faire de bruit, et surtout toucher la fille du copain de ma tante avait un goût d’interdit qui rendait le moment intense.
Elle commençait à bien mouiller lorsque j’introduis un doigt à l’entrée de son entrejambe. J’avais peur qu’elle soit vierge et que cela lui fasse mal, mais à ma grande surprise mon doigt s’enfonça sans difficulté accompagné de bruits de satisfaction. Je plaçai ma main gauche sous sa nuque et fit la mitraillette avec ma main. Ma paume tapait sur sa chatte épilée, faisant un petit bruit humide, masqué par son souffle haletant. J’essayai de faire rentrer mon doigt le plus loin possible. Cela semblait lui plaire. J’arrêtai au bout d’un moment car j’avais mal au bras.
Le duvet renfermait une chaleur insoutenable, il s’agissait d’un brasier que nos deux corps alimentaient. Elle s’écarta de moi et descendit au fond du duvet, déposant des baisers sur mon ventre puis arriva face à mon pénis. J’avais le souffle coupé. Je sentis ses petits baisers délicats sur ma tige, puis sa langue partit de haut en bas. Et finalement elle ouvrit sa bouche, je sentais son souffle chaud sur mon gland. Elle engloutit ma bite et se mit à me sucer. C’était si chaud, si agréable. Une de ces mains me massait les couilles. Ce n’était pas sa première fois, c’était sûr malgré des gestes un peu maladroits.
J’adorais être dans sa bouche, mais j’avais un autre plan en tête. Je l’attrapai et l’amenai à mon niveau. Je voulais la pénétrer. Je la plaçai sur le dos, mais avec le duvet c’était un peu compliqué. Je la mis donc sur le côté, dos à moi, et je me collais à elle en cuillère. J’amenais mon pénis à l’entrée de son vagin humide, elle leva sa jambe et me guida. Et d’un coup je rentrai. Une merveille. Elle était très serrée, et mon avancée dans sa chatte semblait être une découverte totale des lieux. Je faisais des mouvements de bassin très doux et souple. Elle posa sa main derrière ma tête et me souffla:
-J’ai envie de gémir.
Je continuai à la pénétrer, puis j’accélérai le mouvement. C’était si bon. Dans cette cave, dans ce duvet brulait un feu indomptable. J’essayais de taper de plus en plus fort sans faire non plus trop de bruit. Je sentais mon aine taper ses fesses bien rebondies. Je devenais un animal et attrapai l’un de ses seins tout en maintenant les coups de pistons. Elle tourna sa tête et m’embrassa goulument.

Puis elle se recula et retira le duvet en se mettant à 4 pattes. Tout à coup la chaleur partit, je me mis derrière elle et la pénétrai de nouveau. Sans le duvet j’avais l’impression d’avoir plus de sensation. Je continuais de la culbuter, mais cette fois-ci nous étions encore plus à la merci de son frère si ce dernier se réveillait. Lui ne devait pas se douter que sa grande sœur se faisait sauter à un mètre de lui. J’attrapai les fesses onctueuses de Laurianne et les écartais pour pouvoir la pénétrer plus profondément. Elle enfonça sa tête dans l’oreiller pour pouvoir geindre en faisant moins de bruit. Je caressais ses seins tandis que mon gland s’enfonçait dans cette chatte humide et gluante qui se desserrait.
Maintenant qu’il n’y avait plus de duvet, je la retournais sur le dos et la pénétrais en étant sur elle. Nos deux corps se complétaient, je faisais de petits allers-retours à l’entrée de son vagin sans vraiment rentré puis en l’enlaçant je donnai un grand coup qui la fit trembler. Son corps était à moi à ce moment-là, sentir ses seins compressés contre ma poitrine m’excitait à un point inimaginable. Ses ongles griffaient mon dos, je l’embrassais avec passion tandis que je m’enfonçais en elle. Soudain je sentais que j’allais venir, je lui murmurai pour la prévenir, elle me rétorqua :
-Viens en moi Jéremy
Il ne fallait pas me le dire deux fois, j’accélérai le rythme, mes bras amenaient son corps sur moi. Je sentais le plaisir grandir dans ma queue, puis il éclata, plusieurs fois. Avec toute cette excitation j’éjaculais abondamment en elle et l’embrassai tendrement. Nos corps étaient chauds et en sueurs.
Après une douce étreinte, elle me dit:
-Il vaudrait mieux que tu retournes à ton matelas, avec ton duvet, si mon père apprend ça nous aurons des problèmes tous les deux.
J’acquiesçai et rejoignis ma place, un peu frustré de ne pas pouvoir finir ma nuit avec elle, mais j’étais heureux de ce qu’il venait de se passer. Je m’endormis assez vite et lorsque mes yeux s’ouvrirent j’aperçus mon cousin Cyril qui était venu me réveiller:
-Jérem, viens le père noël est passé.
Et comment qu’il était passé...
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