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Cécille dans les bois

Chapitre 1

Lesbienne
Nous sommes quatre à habiter en banlieue lointaine. Un jour nous décidons de faire du covoiturage, nous avons les mêmes horaires, nous ne travaillons pas trop loin. Chaque semaine nous changeons de véhicules: nous économisons de l’essence et des kilomètres à nos compteurs. Nous bavardons entre nous: c’est plus sympa que de se morfondre seul. Il arrive, rarement, que l’un de nous ne puisse venir soit parce qu’il est malade, soit parce qu’il doit aller faire une course. Un matin arrive l’impensable, les deux hommes font faux bond. Nous nous retrouvons seules avec Cécile. C’est notre premier voyage seules. Au début nous évoquons les deux hommes presque comme des disparus. — Tu sais je crois que si nous étions seules sans arrêt tu me ferais faire des bêtises, me dit Cécile. — Quelle genre de bêtises?— Regarde où t’arrive la robe.Elle a raison le bas de ma robe pourtant sage est presque à la limite de ma culotte. C’est bien la première fois qu’une copine me fait ce genre de réflexion. J’essaie comme je peux de redescendre ma robe, je n’y arrive pas. C’est Cécile qui dans un geste honorable arrive en forçant pendant que je me relève un peu à remettre la robe en place. Nous entrons en ville quand je remarque qu’elle regarde vers mes jambes. Encore un coup du tissu de la robe. — Si tu reste comme ça longtemps je vais avoir envie de toi.— Pourquoi tu es lesbienne?— Non, je pourrais le devenir à force de voir tes belles jambes.Sur le moment je ne relève pas le désir, nous arrivons, donc au soir. Pendant mon travail je repense à Cécile et son désir. Finalement, étant célibataire par contrainte, je ne dirais pas non à une brève rencontre. Et puis non, je ne pourrais jamais plus la revoir comme copine et que diraient les autres. A force de remuer l’affaire j’ai envie de me masturber. Je passe le temps de mon plaisir dans les toilettes. Je pars en oubliant de remettre ma culotte. Tant pis, elle est aussi bien dans mon sac.17 heures nous voilà en route pour la maison. Cette sacrée robe fait des siennes. Je repense maintenant que je ne porte pas de sous vêtement. Cécile risque de voir ma chatte. Je conduis en descendant sans arrêt le bas de la robe. — Tu en fais bien des histoires avec ta robe, laisse la faire comme elle veut, tu n’en mourras pas.Je ne vais pas lui dire que je suis nue dessous: elle prendrait ça pour une invite. — Reste tranquille, tu vas nous faire avoir un accident. — Ca va j’ai compris, tu veux voir mes cuisses: les voici.Je laisse le tissu monter comme il veut. Bien sur ma figue est en vue. Cécile la voit bien elle aussi. Elle ne dit plus rien, regarde la route, pas mes jambes. C’est quand je sens sa main sur ma cuisse, caressante main que je comprends que son désir n’est pas feint. Je ralentis pour ne pas me laisser distraire par une suite inévitable. Sa main vient entre mes cuisses, là où la peau est sensible aux caresses. Je ralentis tant que j’engage la voiture sur un petit chemin forestier ou je stoppe.— Je préfère arrêter ici, j’ai peur de provoquer un accident.— Tu as raison.— Continue si tu veux.— Je veux, justement, j’ai envie de te donner du plaisir.Sans réponse de ma part elle continue sa caresse. C’est drôlement agréable de se faire caresser, surtout que la caresse monte vers ma chatte. Je sens que je suis totalement mouillée. Qu’elle se dépêche, j’ai envie de jouir encore. Ce que j’ai fait aux toilettes ne compte pas pour moi. Je sens distinctement son pouce sur ma jambe et les autres doigts montant lentement. Enfin elle arrive à me toucher le point névralgique, elle est rapidement sur mon bouton durci par le désir. Elle effleure mon pistil lentement trop lentement. J’avance sur le siège pour que ma moule soit à sa hauteur que ma robe monte encore plus. Je sens maintenant le tissu du siège rugueux sur mes fesses. Je m’excite seule en plus. Cécile accentue sa pression, elle fait monter dans mon ventre le début d’un orgasme. Je serre les dents pour ne pas jouir si vite. Pourtant j’ai beau faire je n’arrive pas à retenir mon souffle quand je pars dans un bel orgasme. Je reste prostrée un instant quand :— Tu as jouis?— Oui.— Branle moi. — Je n’oserais pas.— J’ai bien osé oui.— Oui.Elle enlève son string, relève sa jupe et me montre sa chatte. Je vais comme elle, je caresse d’abord les cuisses pour arriver sur son clitoris. Je ne sais pas faire comme elle, alors je la branle comme je me branle. Il faut croire que je réussis bien, elle jouit en geignant. Je ne pensais jamais ce matin en partant qu’au retour nous en serions à ce point. — Va plus loin avec la voiture, nous baiserons là bas.Sans réfléchir j’avance la voiture d’un bon kilomètre pour nous trouver totalement isolées. Nous sortons du véhicule: je ne connais pas la suite qui arrive vite. Cécile commence à me déshabiller: le plus fort est que je me laisse faire. Je suis dans ses bras, elle m’embrasse sur la bouche. J’apprécie ce baiser plus que d’une bouche d’homme, je ne sais pourquoi. Cécille a pris ascendance sur moi. Elle me demande de la déshabiller à mon tour. Nos corps nus s’enlacent. Nos bouches sont toujours occupées dans un long baiser. J’apprécie de sentir sa poitrine contre la mienne. Elle appuie son pubis contre le mien. Si nous étions sur un lit, nous pourrions nous coucher, mais là sur un chemin forestier, mis à part une souche ou le capot de la voiture nous n’avons rien pour nous caresser. Cécile encore elle choisit le lieu: la souche d’arbre. Elle a raison, il y a de la place pour nous deux. Nous sommes assises, nues, exposées aux regards de tous. Nous ne nous préoccupons pas de regards étrangers, nous sommes prises par le démon du plaisir partagé. Nues nous nous embrassons encore, penchées que nous sommes vers l’autre. Elle prend un sein, le caresse: je sens mon téton bander. Je suis mal placé pour lui rendre la caresse. Il me semble qu’elle en profite. Je prends sa taille pour au moins la serrer contre moi. Je sens sa chaleur contre mon corps, je voudrais la sentir contre moi, sur moi. Elle place à nouveau sa main entre mes jambes. Je les écarte plus que nécessaire. Elle est très douce, je l’attends sur le clitoris, elle met directement deux doigts dans le puits d’amour. Elle me masturbe comme si elle avait une bite dans ma chatte. Je crispe les muscles du vagin pour mieux la sentir. J’aurais du lui en faire autant en même temps, je n’ai même pas eu l’idée de le faire. L’inévitable arrive quand je sens monter encore une fois l’orgasme. Dieu qu’elle branle bien. Enfin à mon tour je pose ma main directement sur son abricot. Il est juteux à point, je le touche à pleine main avant de le goûter en léchant mes doigts. Je reviens sur elle. J’entre directement un doigt dans son vagin, je ne force pratiquement pas quand j’en mets un autre dans son cul presque ouvert. Ma main va et vient dans ses entrailles. Le résultat n’est pas maigre, elle jouit bien mieux que la première fois.Et puis je ne sais ce qui se réveille en moi, je me mets à genoux devant elle, j’écarte ses cuisses, ma tête est entre ses jambes. Je vois bien maintenant tout son sexe : ça m’excite encore plus. Je lèche ses cuisses, à l’intérieur, j’arrive ainsi petit à petit sur sa moule : quel festin pour moi. Je lèche, j’aspire son jus, je la baise avec la langue que je descends sur son rectum dans lequel j’entre avec plaisir. Ses doigts caressent mes cheveux, ma tête, je ne sais plus. Ce que je sens ce sont ses nombreux spasmes d’orgasme presque continus. Quand le me relève elle vient à mes lèvres : elle goûte ainsi tous ces goûts. Elle se lève pour m’embrasser encore, venir sur mes seins, et se pencher complètement pour me rendre ce que je lui ai fait. Je sens sa langue partout sur ma chatte, même dans des endroits inédits. C’est la nuit tombante qui nous oblige à nous rhabiller et partir. Pendant le reste du trajet nous nous mettons d’accord pour nous rencontrer en secret (dans les petites banlieues il est impossible de se voir souvent la nuit). Nous pouvons nous trouver une passion commune respectable comme les timbres par exemple. C’est-ce que nous faisons depuis plusieurs mois sans que personne ne se doutent que nos collections sont des orgasmes accompagnés de caresses buccales ou manuelles et depuis plusieurs semaines par des godes bien utiles pour les filles pas encore complètement convertie à Lesbos.
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